Trois CRS ont été placés mercredi en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur des violences dans un Burger King situé près de l’Arc de Triomphe en décembre 2018, en marge de l’Acte III des Gilets jaunes à Paris, a appris l’AFP d’une source proche de l’enquête. Les trois fonctionnaires sont entendus dans les locaux de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN).
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Gilets jaunes : trois CRS placés en garde à vue pour le matraquage de manifestants dans un Burger King en 2018
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Un nouveau policier tué, l’Etat aux abonnés absents
Le billet de Patrick Parment
C’est peu dire que le vase a débordé depuis longtemps. Un policier, intervenant dans un quarter d’Avignon réputé pour être l’un des lieux du trafic de drogue, a été tué par un individu qui n’a pas hésité à lui tirer dessus avec une arme à feu. L’individu a pris la fuite est recherché comme l’on dit. Si l’on ne peut accuser la police de faire son travail – comme le font les médias bobos comme Libération, Mediapart ou France 2 -, et dans des conditions bien souvent difficiles – par manque de moyens – il n’en va pas de même de ce président de la République et de son gouvernement, totalement dépassés par les événements et dont les préoccupations majeures sont plus électorales que sécuritaires. La police paie la note de l’impuissance de l’Etat et le ministre de l’Injustice signe les factures.
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Mérignac : une mère de famille brûlée vive en pleine rue par son ex-conjoint, Mounir B., qui sortait de prison
Une mère de famille de 31 ans a été sauvagement tuée par son mari à Mérignac (Gironde), le mardi 4 mai, en fin d’après-midi, en pleine rue. Âgé de 44 ans, il a été interpellé et placé en garde à vue.
« Il s’est acharné sur elle »
La victime a été tuée dans des circonstances barbares. Le drame s’est produit vers 18 h 20 dans un quartier résidentiel de Mérignac ,relate Sud-Ouest. Un incendie a tout d’abord été allumé dans la maison où la victime habitait avec son mari et ses trois enfants de 3, 6 et 11 ans.
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Entre tambouilles et violences, l’agonie du vieux monde
Les appareils, politiques ou syndicaux, ne représentent plus qu’eux-mêmes. Ils sont appelés à se heurter à une société civile qui a pris le large en s’émancipant des mots d’ordre décidés par des castes. C’est un ancien monde, déphasé, qui agonise sous nos yeux. Dimanche, en région Paca, des politicards ont perpétué d’antiques tambouilles en vue des élections régionales tandis qu’à Paris la CGT a été agressée par des manifestants du 1er mai.
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#SaccageParis – Violence, drogue, crasse : Bienvenue chez Hidalgo – JT du mercredi 5 avril 2021
Pour commencer cette édition, direction le XIXème arrondissement de Paris et plus exactement le quartier de Stalingrad. Là-bas, les dealers et les toxicomanes font la loi. Face au manque d’action des pouvoirs publics, les habitants ont décidé de riposter. TVLibertés est allée à leur rencontre.
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Sur France Culture, un Black Bloc est « mal à l’aise avec le terme de violences »… Il pensait faire de la pâte à modeler ?
À chaque jour son lot de problèmes insolubles. Dans la série des « que-voulez-vous-faire-ma-brave-dame », après les délinquants et les terroristes, voici les Black Blocs. Insaisissables. Ils se dissimulent si bien, sont si mobiles que l’on ne sait pas les intercepter. On peut verrouiller 60 millions de Français, les aligner pour un masque sous le nez. Mais on ne peut rien contre quelques centaines de Black Blocs. On vous a déjà expliqué, c’est trop compliqué.
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Nanterre : un père placé en garde à vue pour « tentative d’homicide » après avoir sorti son arme et tiré en direction de cinq individus qui harcelaient sexuellement sa fille
Lundi 3 mai, le père d’une jeune fille a tiré en direction de cinq individus qui étaient en train de la harceler dans le centre-ville de Nanterre. Selon LCI, la jeune fille avait été prise à partie et sexuellement harcelée par cinq individus en voiture vers 18h45 alors qu’elle rentrait chez elle. N’ayant pas reçu de réponse, ils l’ont insultée et ont menacé de la violer.
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Stalingrad : la guérilla urbaine gagne la capitale
Jany Leroy
A la suite des tirs de mortiers des riverains de la place Stalingrad sur les trafiquants de crack, Le Figaro cite l’association « Stalincrack » : « les Parisiens vont découvrir la guérilla urbaine ». Le pronostic ne laisse aucune place au doute. Après la banlieue, le chaos gagnera la capitale. C’est ainsi.
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Le plat hommage rendu à Stéphanie Monfermé
Le Premier ministre a présidé l’hommage à la secrétaire administrative, égorgée au commissariat de Rambouillet, vendredi 23 avril. Une cérémonie dénuée de toute grandeur.
Comme dans les meilleurs films de mafia, c’est l’un des commanditaires du meurtre qui est le premier à réciter l’éloge funèbre. Non que Jean Castex ait porté lui-même le couteau qui a servi à égorger Stéphanie Monfermé, un après-midi du 23 avril, mais c’est toute une politique qui peut être désignée comme responsable de ce genre d’attaque, en plein cœur d’un commissariat ! Une politique d’angélisme, qui se concrétise par un certain laxisme judiciaire, mais qui se retrouve également dans le discours de nos dirigeants. Plus encore lorsqu’il s’agit de rendre hommage à une victime d’acte islamiste. Le cadre était choisi avec soin par les cabinets du gouvernement, sur la place Thome-Patenôtre, face à la Lanterne, un lieu culturel de la commune francilienne.
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Soignants : le temps des applaudissements est terminé
En 2020, la MACSF (Mutuelle d’assurances du corps de santé français) a émis un rapport sur la violence subie par le personnel soignant, car cette violence qui s’exerce de plus en plus dans tous les domaines de la société, comme en témoignent les nombreux reportages quotidiens, n’épargne plus les soignants à l’hôpital comme en milieu extra-hospitalier.
Ces soignants qui étaient applaudis tous les jours, à 20 heures, l’an dernier, de manière un peu facile, il faut bien le dire, sont très fréquemment agressés principalement dans les services d’urgences, de psychiatrie et de gérontologie. Ces agressions peuvent être le fait de patients drogués ou alcoolisés, mais peuvent aussi être générées par un individualisme exacerbé qui entraîne des violences physiques ou des dégradations de biens dans les services où cela se produit.