
Si ce n’est pas comptabilisé comme violence conjugale, c’est qu’il n’y a pas de conjugalité entre personnes de même sexe… Mais alors, ce fait entre-t-il dans les décomptes de l’homophobie ?
C’est compliqué leur nouveau monde…
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Si ce n’est pas comptabilisé comme violence conjugale, c’est qu’il n’y a pas de conjugalité entre personnes de même sexe… Mais alors, ce fait entre-t-il dans les décomptes de l’homophobie ?
C’est compliqué leur nouveau monde…
Les Cassandre ont changé de camp. A la veille de 1914, les sonneurs de tocsin mettaient en garde avec raison contre la montée du bellicisme et les “phraseurs de guerre” dénoncés par Stefan Zweig (1). Aujourd’hui, ils alertent en vain contre la généralisation de la complaisance et de la lâcheté face à la montée du totalitarisme islamiste et de ses méthodes terroristes. Cinq ans après la tuerie à Charlie Hebdo, le 7 janvier 2015, il faut bien constater que la culture djihadiste a fait des émules en France et ailleurs. Le sursaut d’indignation du peuple français, rassemblé à Paris pour une manifestation monstre le 11 janvier 2015, n’a pas suffi à réveiller l’esprit de résistance des dirigeants et des médias face à l’islamo-fascisme et à ses collaborateurs. Le 10 novembre 2019, la gauche perdue a manifesté avec des musulmans fanatiques qui ont incité la foule à hurler “Allah Akbar !” à quelques encablures de Charlie Hebdo et du Bataclan, ces scènes affreuses de la barbarie importée. Or cette infecte trahison n’a guère suscitée de remous chez ceux qui font habituellement profession de distribuer des bons points et de dire la morale. Aujourd’hui, le premier réflexe des autorités confrontées à un islamiste qui tue au nom du Coran, est de le présenter comme un “déséquilibré”, potentiellement irresponsable de ses actes.
Près d’un an après la grave blessure d’Olivier Béziade, un Gilet jaune originaire de Bazas, touché par un tir de lanceur de balle de défense (LBD), un policier soupçonné d’être à l’origine du tir qui a touché et grièvement blessé le manifestant a été mis en examen pour violences volontaires ayant entraîné une incapacité totale de travail de plus de 3 mois, selon des sources judiciaires.
Le fonctionnaire en question, affecté dans une brigade anticriminalité (BAC), a été convoqué devant un juge d’instruction en charge du dossier lundi, mais il n’a pas été suspendu de ses fonctions ni été placé sous contrôle judiciaire.
Olivier Béziade, 47 ans, avait été touché au niveau du crâne par un tir de LBD alors qu’il participait à une manifestation des Gilets jaunes lors de l’acte IX de la mobilisation, le 12 janvier 2019. Grièvement blessé, il avait été placé durant 4 jours dans un coma artificiel. L’homme avait été plus tard entendu par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) qui avait été saisie par le préfet.
Après l’attaque au couteau perpétré à Villejuif au cri d’Allah Akbar vendredi dernier, même scénario à Metz et à la gare d’Austerlitz dimanche.
A Metz, c’est un homme de 30 ans, fiché S, qui a été neutralisé par des policiers hier dimanche midi dans le quartier Borny. Il était armé d’un couteau, criait “Allah Akbar“et menaçait une patrouille de police. La police a tiré à quatre reprises après sommation, l’homme a été blessé à la jambe et conduit à l’hôpital. L’individu était notamment connu par les services de la DGSI pour sa proximité avec la mouvance salafiste.
C’est un chiffre que le gouvernement refuse de révéler depuis plusieurs jours et pourtant nos confrères d’Europe 1 affirment avoir obtenu le nombre de voitures brûlées la nuit de la Saint Sylvestre et c’est un record en France. D’après les informations d’Europe 1, 1.457 véhicules ont été incendiés sur tout le territoire pendant la nuit du 31 décembre 2019. Un bilan qui détrône de 13% celui de l’an dernier, qui faisait déjà office d’année « record ». D’après les autorités, la nuit a connu moins d’incendies graves qu’à l’accoutumée, mais par endroits, la nuit a été très chaude. C’est notamment le cas à Strasbourg, où la mairie indique que pas moins de 220 véhicules ont brûlé.
Cette hypothèse très crédible est naturellement passée sous silence par tous les journalistes et politiques qui vivent sous l’emprise de Greta Thunberg. Et pourtant, la responsabilité d’une politique imposée par les Verts refusant le débroussaillage pour préserver la biodiversité pourrait être en cause dans le cas précis de l’Australie (sources en fin d’article) :
Pour la presse française, un seul coupable possible : le réchauffement climatique et surtout la posture climato-septique du premier Ministre australien Scott Morrison, libéral de surcroît, qu’il fallait punir.
Bernard Plouvier
En ce début d’année 2020, on déplore une attaque ciblée d’un drone made in USA contre un chef de guerre iranien, en omettant généralement de rappeler les dizaines de civils et de soldats US qui ont servi de cibles aux fous furieux chiites, associés à ce qui reste de l’État islamique Daesh, en 2019.
Que l’homme de la Maison Blanche ait eu une réaction (limitée, car très bien ciblée) n’étonnera que les (fausses) pucelles effrayées. Après tout, il semble bien qu’en 2019, l’US-Army nous ait délivré du fou Abou-Bakr II, le calife auto-proclamé qui avait ravivé le Djihâd en 2014, en donnant son aval au terrorisme non-ciblé un peu partout en Occident. Le général iranien transformé brutalement en pure énergie était chargé de revigorer les guérillas d’Irak.
Grève : enfin la fin ?
Plus d’un mois après le début de la grève contre la réforme des retraites, le premier ministre, Edouard Philippe, s’efface au profit du ministre du Travail, Muriel Pénicaud. Le gouvernement s’active pour trouver un compromis et en finir avec une mobilisation coûteuse.
Attentat de Charlie Hebdo : 5 ans après
Cinq ans après les attentats de Charlie Hebdo, la France n’est toujours pas sortie de la menace terroriste. Le fameux esprit Charlie en a lourd sur la conscience, et notre pays voit les risques sécuritaires toujours présents.
L’Australie, à feu et à cendres
Depuis le mois de septembre, l’Australie doit faire face à des incendies d’une ampleur sans précédent. Avec déjà 8 millions d’hectares de forêt partis en fumée, 24 décès et près d’un demi-milliard d’animaux morts, le bilan devrait encore s’alourdir alors que l’aide internationale arrive au compte goutte.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/greve-enfin-la-fin-journal-du-mardi-7-janvier-2020