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insécurité - Page 598

  • Acte 18 des Gilets jaunes : l’opposition politique au gouvernement dénonce un laxisme policier volontaire

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Alors que certains policiers se révoltent contre des mises en garde à vue arbitraires, l’opposition au gouvernement critique de son côté un laxisme policier volontaire.

    Le taureau racaillo-gauchiste lâché dans Paris

    L’ultragauche révolutionnaire casse, la racaille issue des quartiers de l’immigration pille derrière. A défaut de pouvoir vivre ensemble, il est possible de détruire ensemble. Ce samedi, lors de la manifestation des Gilets jaunes, le taureau racaillo-gauchiste a fait de nombreux ravages dans la capitale : magasins saccagés, la célèbre brasserie du Fouquet’s vandalisée, affrontements avec la police, magasins pillés…

    Certaines personnalités médiatiques commencent à faire la différence entre les Gilets jaunes et la gauche révolutionnaire

    Dans un tweet remarqué, Marine Le Pen, photo à l’appui, a dénoncé les black blocs. « À Paris, les cagoules noires ont remplacé les Gilets jaunes. Les black blocs détruisent, brûlent, violentent toujours en toute impunité ».

    La plupart des politiques et des médias ont crié au bobard de Marine Le Pen

    Cependant, certains journalistes, comme Natasha Polony, ont admis qu’il existe une différence entre les Gilets jaunes et l’ultragauche qui tente de récupérer le mouvement. « A un moment, il va peut-être falloir cesser d’appeler ces personnes des Gilets jaunes ».

    Pour l’opposition politique, le gouvernement ferait preuve d’un laxisme volontaire

    Depuis le début des Gilets jaunes, les stratégies du gouvernement ont été nombreuses pour discréditer le mouvement : répression policière, diabolisation… La corrida racaillo-gauchiste ne serait qu’un moyen comme un autre pour faire sortir les Gilets jaunes de la place publique. Le gouvernement compterait officieusement sur la violence de l’islamo-gauchisme pour faire taire une parole démocratique qui n’a pu être réduite au silence depuis maintenant quatre mois.

    https://fr.novopress.info/213959/acte-18-des-gilets-jaunes-lopposition-politique-au-gouvernement-denonce-un-laxisme-policier-volontaire/
  • Black-Blocs, idiots utiles de la macronie

    L’image contient peut-être : 1 personne, foule et plein air
    La violence d'extrême gauche, c'est comme une fourmi qui parle anglais et javanais: ça n'existe pas.
    Rappelons, pour bien situer le niveau de lutte RÉELLE contre la violence RÉELLE exercée depuis des années en matière de manifestations publiques, qu’une obscure commission d’enquête parlementaire sur la lutte contre la violence des groupuscules d’extrême-droite a été montée début 2019, à la demande de la France Insoumise, en guise de hochet. 
    Si vous avez connaissance de manifestations violentes, récurrentes, de mises à sac de masse, commises par ces groupes, l'Inspecteur Gadget est preneur.
    Cette commission, qui s’est déconsidérée jour après jour et dont même le rapporteur LREM Adrien Morenas (c’est dire!) dénonce les dérives partisanes et la tournure de vaudeville, sert en réalité principalement à sa contestable présidente issue de l’extrême-gauche héraultaise, Muriel Ressiguier, à traquer ses opposants politiques locaux.
    Cette commission s’est notamment ridiculisée en essayant (puis renonçant) d’auditionner des personnalités politiques telles que Marion Maréchal ou Marine Le Pen, mais surtout en tentant d'intégrer parmi ses membres respectables le député ex-LREM M’jid El Guerrab particulièrement au fait des questions de violence pour avoir défoncé le crâne du socialiste Boris Faure à coups de casque de moto (et toujours pas jugé et toujours député). 
    Honte de rien, ils osent tout, comme chacun sait, c’est à cela qu’on les reconnaît.
    Pendant ce temps, et contrairement à ce qu’affirmait péremptoirement la journaliste du Parisien Jannick Alimi hier soir en direct sur BFMTV, il N’EXISTE PAS de commission d’enquête parlementaire sur les violences d’extrême-gauche dans ce pays. 
    Tout simplement. 
    Aussi invraisemblable que cela puisse paraître. 
    Existe pas. Môme Néant.
    La seule obsession idéologique de ce régime post-socialiste est de lutter contre les «populistes» gilets jaunes ou autres Gaulois réputés réfractaires et lépreux.
    La délinquance qui depuis des années sabote tous les mouvements sociaux en les radicalisant hystériquement et en saccageant les centres villes est laissée libre de croître et de prospérer. 
    La seule rhétorique employée par cet exécutif vise l’extrême-droite (réelle ou putative). 
    La seule obsession sans cesse rebachée est celle d’un retour fantasmagorique des heures sombres. Anne Hidalgo a été jusqu’à halluciner, pathétique Bernadette Soubirous de la post-modernité, des violences d’extrême-droite samedi sur les Champs.
    Aucun combat réel n’est mené contre les véritables fauteurs de troubles blacks-blocs et antifas connus depuis des années. 
    Au contraire, ils bénéficient de la mansuétude idéologique des gouvernements, soit par proximité politique, soit parce qu’ils permettent de saper en les discréditant tous les conflits sociaux. 
    Et c'est à tordre le cou au mouvement des gilets jaunes qu'ils vont encore servir cette fois-ci.
    Tout comme aucune action sérieuse n’a été entreprise samedi contre eux, se baladant tranquillement en centre-ville avec des disqueuses, des meuleuses, des tronçonneuses.
    Alors, les moulinets, les coups de menton, les mises en scène théâtrales, les réveils tardifs et sélectifs : merci mais non merci.

  • Alexandre Langlois : « Le vrai responsable de tout ce chaos, c’est M. Castaner »

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    Polémique au sujet de la gestion de l’acte XVIII des gilets jaunes par le gouvernement et la préfecture de police de Paris.

    Alexandre Langlois réagit au micro de Boulevard Voltaire.

    Grosse polémique à la suite de la gestion de l’acte 18 des gilets jaunes. Cette manifestation a été particulièrement violente avec énormément de dégâts matériels.
    La responsabilité de la hiérarchie de la police est en cause, notamment le préfet de police et le ministre de l’Intérieur. Comment a été géré cet acte 18 ?

    L’acte 18 n’a pas été mieux géré que les autres. Cela fait depuis le mois de décembre que nous disons que la gestion du maintien de l’ordre est catastrophique, en particulier sur le mouvement des gilets jaunes. On n’a que le résultat de ce qui se passe depuis plusieurs mois . Cette fois-ci, le résultat est amplifié puisque les policiers sont de plus en plus épuisés, de moins en moins efficaces, et le commandement est toujours aussi désorganisé.

    Les bruits courent que le ministre de l’Intérieur aurait été sévèrement réprimandé. On parle également d’une démission possible du préfet de police.
    Cette décision politique sera un bon signal envoyé aux forces de l’ordre ?

    Le vrai responsable de ce chaos est monsieur Castaner. Si monsieur Castaner ne démissionne pas, aucun signal n’est envoyé aux forces de l’ordre.
    Même si monsieur Delpuech, préfet de police, n’est pas forcément à la hauteur sur la gestion des gilets jaunes, on pourrait avoir l’impression qu’on fait le ménage sur l’affaire Benalla en se servant du prétexte du maintien de l’ordre.
    Ce serait un double non-sens. Donc, soit c’est monsieur Castaner, soit on continue comme avant.
    Les LBD ont été reconfigurés pour être moins efficaces, semble-t-il. Cela a coïncidé avec un regain de violence vis-à-vis des forces de l’ordre. Un camion de gendarmes a été retourné et un gendarme a évité de peu de lynchage.
    Selon vous, faudrait-il réarmer plus massivement les forces de l’ordre ?

    Pas forcément. Si jamais, on reçoit des ordres cohérents pour rétablir l’ordre, on peut. Mais, comme toujours, il faut avoir les renforts nécessaires pour intervenir, savoir où intervenir et déployer les forces de l’ordre. S’il y a un véritable danger de mort par lynchage, je rappelle que nous pouvons faire usage de l’arme à feu.
    Il y a toujours une peur d’utiliser la mauvaise arme au mauvais moment, car il y a un risque de prendre une vie ou de mutiler quelqu’un. Mais si jamais c’est pour protéger une vie ou éviter que quelqu’un se fasse tuer, alors nous avons les moyens de réagir. A propos du LBD la question n’est pas vraiment de savoir s’il faut les rééquiper ou les modifier, mais il faudrait qu’on ait une formation adéquate pour tirer sur les bonnes personnes et non que ce soit la foire d’empoigne, comme nous avons pu le constater depuis le début des manifestations des gilets jaunes.
    Le syndicat Vigi a publié un communiqué rappelant que 86 policiers s’étaient suicidés depuis la prise de fonction d’Emmanuel Macron, 68 depuis le préfet Delpuech et 28 depuis la nomination de Christophe Castaner au ministère de l’Intérieur.
    Cet épuisement des policiers ne va-t-il pas aggraver ce fléau qui touche la Police nationale ?

    Cela va aggraver toutes causes des suicides. Les causes sont des horaires de travail complètement pathogènes, des cycles de travail compliqués, le manque des jours de repos, l’impossibilité d’avoir une vie sociale et familiale épanouie et équilibrée. On a tous besoin, à un moment donné, de se reposer et de voir autre chose.
    Tout cela est aggravé avec le mouvement de gilets jaunes, parce que nous avons une gestion des ressources humaines proches du niveau 0. On ne nous paie pas nos heures supplémentaires et on nous dit que, de toute façon, nous sommes corvéables à merci et que nous ne sommes que des numéros. On nous dit aussi qu’on va refaire des mesures complètement ubuesques qui peuvent être prises uniquement dans un bureau, mais qui sont totalement incohérentes sur le terrain.
    Tout le cocktail est réuni pour que la situation continue à s’aggraver.

    http://www.bvoltaire.fr/alexandre-langlois-le-vrai-responsable-de-tout-ce-chaos-cest-m-castaner/

  • Stéphane Ravier : « Il faut rétablir la peine de mort pour ces salauds »

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    Une étudiante de 21 ans a été poignardée à mort devant une bouche de métro à Marseille. Réaction au micro de Boulevard Voltaire de Stéphane Ravier, sénateur des Bouches-du-Rhône.

  • Gilets Jaunes : le pouvoir à la dérive – Journal du lundi 18 mars 2019

     

    Gilets Jaunes : le pouvoir à la dérive

    Nouveau désaveu pour l’exécutif. L’acte XVIII des Gilets Jaunes a donné l’occasion à des centaines de casseurs de saccager la Capitale… Après des semaines de répression musclée contre les manifestants pacifiques, le gouvernement n’a pas réagi face à l’extrême-gauche… Pendant les scènes de chaos sur les Champs Elysées, Emmanuel Macron était au ski…

    Gilets Jaunes : Le casse-tête des Républicains

    Les Républicains face à un dilemme. Alors que le mouvement ne bouderait pas une partie de l’électorat Gilets Jaunes, il est bien difficile de conjuguer leur fonctionnement. Chronique d’une séduction vouée à l’échec.

    Glucksmann ou la mort du PS

    La mort des socialistes en passe d’être consommée. Raphaël Glucksmann est officiellement la tête de liste pour les élections européennes. Une manœuvre qui lui permettra de mêler aux socialistes les membres de sa formation politique Place Publique… une solution de dernier recours pour le PS qui pourrait bien avoir signé sa mort politique.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-le-pouvoir-a-la-derive-journal-du-lundi-18-mars-2019

  • Champs-Élysées : Marine Le Pen a-t-elle tort de dénoncer l’impunité des « cagoules noires » ?

    Une partie de la presse fait ses choux gras d’un tweet, publié samedi par Marine Le Pen, qui dénonce les « cagoules noires », avec une photo datant du 1er mai 2018.
    Façon d’insinuer que la présidente du Rassemblement national n’hésite pas à utiliser de faux documents et à pratiquer la désinformation.
    Ces censeurs feraient mieux de s’intéresser au contenu de la déclaration plutôt qu’à son illustration. 

    « À Paris, les cagoules noires ont remplacé les gilets jaunes. Les black blocs détruisent, brûlent, violentent toujours en toute impunité », a écrit Marine Le Pen, après les scènes de saccage et de pillage, ajoutant la photo de manifestants vêtus de noir, le visage masqué, avec une banderole portant le A cerclé de l’anarchie. 
    Que l’illustration date du 1er mai dernier est accessoire. 
    Peut-être même est-ce un choix volontaire pour montrer la permanence de ces groupes d’ultras dans toutes les occasions où l’on peut semer le désordre. 
    Les auteurs des incidents de samedi sont-ils ou non des professionnels de l’émeute ?
    Il suffisait, si l’on n’était pas en personne sur les lieux, de regarder les chaînes d’information en continu pour s’apercevoir que ce type d’individus, bien reconnaissables, étaient encore plus nombreux que lors des précédentes manifestations et se sont livrés, comme le 1er mai, à des scènes de vandalisme. 
    Ils se sont attaqués notamment aux symboles du capitalisme, des banques, des magasins de luxe, le Fouquet’s, laissant avec leurs tags les stigmates de leur idéologie.
    Si on lit bien le message de Marine Le Pen, il paraît évident que son objectif est de dénoncer l’ « impunité » dont semblent bénéficier ces casseurs, envers lesquels le gouvernement prodigue une étrange indulgence. 
    Plutôt que de rechercher la source de la photo incriminée, les journalistes en question auraient pu s’inquiéter des raisons pour lesquelles les violences n’ont pas été contenues. 
    Par impéritie ? Ce serait grave. 
    Par intérêt ? Ce serait encore plus grave. 
    Et si les forces de l’ordre sont impuissantes face aux casseurs, il est urgent que le ministre de l’Intérieur revoie sa stratégie.
    Bruno Retailleau, évoquant la proposition de loi « anti-casseurs » dont il avait été l’initiateur après les événements du 1er mai 2018, a déclaré récemment dans la presse : « Je ne confonds pas les Gilets Jaunes et les cagoules noires. » 
    Ce n’est pas le cas des politiciens ou journalistes qui prennent un malin plaisir à porter le discrédit sur Marine Le Pen – à l’approche des élections européennes, comme par hasard.
    Beaucoup de ces commentateurs partisans ont été plus indulgents, en revanche, vis-à-vis de l’attitude incongrue de Christophe Castaner, qui, selon le mot d’un élu LR, va « draguer en boîte » pour décompresser en galante compagnie, quelques jours après l’Acte 17 des gilets jaunes. 
    Ou, surtout, vis-à-vis de la désinvolture de notre Président qui, bien que la manifestation de ce samedi fût annoncée comme à hauts risques, a choisi de partir avec son épouse skier à La Mongie. 
    Chacun, fût-ce un dirigeant, a le droit d’avoir une vie privée, mais il est des circonstances où la fonction impose des priorités.
    Quand on voyait samedi, parallèlement sur l’écran de télévision, le visage radieux de Macron au ski et les scènes de violence sur les Champs-Élysées, on se prenait à se demander par quelle bande d’irresponsables et de noceurs on est gouverné. 
    Philippe Kerlouan

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/03/champs-elysees-marine-le-pen-t-elle.html#more

  • Attentat de Christchurch : la faute à la presse française, si l’on en croit Najat Vallaud-Belkacem ?

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    Depuis qu’elle a quitté la politique pour l’édition, Najat Vallaud-Belkacem n’imprime plus dans les médias. Doit-on s’en plaindre ? Je vous laisse juge. Il semble, en tout cas, qu’on ne s’en portait pas plus mal. Et puis là, cela a dû être plus fort qu’elle, comme une pulsion, un besoin, un impératif : l’ancien ministre de l’Éducation de François Hollande a dégainé un tweet qui devrait faire date dans les annales de la sottise. « Oui toutes nos pensées vont aux victimes de l’abject attentat de Christchurch, et oui cela devrait tous nous rassembler. Mais découvrir ici des messages d’indignation hypocrite y compris de ceux qui ont contribué, année après année, à promouvoir ça… comment dire ? Nausée. »

    Suit, sur le tweet, un montage de vingt unes de plusieurs magazines qui ont titré ces dernières années sur le terrorisme islamique, le djihad ou l’immigration : évidemment, en tête, Valeurs actuelles (sept fois), Le Figaro Magazine (trois fois) mais aussi L’Express (cinq fois), Le Point (deux fois), Marianne (une fois) et même Courrier international (une fois) et la revue L’Histoire (une fois). « Violence et islam »« Islam, le danger communautariste »« La République face à l’islam »« Le djihad à nos portes », etc.

    Donc, si on suit bien ce qu’il est convenu d’appeler, par convention de manœuvre, un raisonnement, c’est-à-dire un processus qui relève de l’intelligence, pour faire court, Valeurs actuellesLe FigaroL’ExpressLe PointMarianneCourrier international et L’Histoire ont contribué, année après année, à promouvoir « ça », c’est-à-dire, si l’on essaye de comprendre, l’islamophobie et, par voie de conséquence, son expression la plus violente comme l’attentat de Christchurch en Nouvelle-Zélande. N’ayons pas peur des mots : incitation à la haine. Des procès sont possibles…

    Est-ce à dire qu’il aurait fallu passer sous silence, durant toutes ces dernières années, les attentats islamistes en France, les crimes de Daech, le développement du communautarisme sur notre sol ? Un communautarisme, rappelons-le, qui ne doit pas être complètement un fantasme d’extrême droite, si l’on se souvient des propos de l’ancien protecteur lyonnais de Najat Vallaud-Belkacem – j’ai nommé Gérard Collomb – lorsqu’il quitta la place Beauvau en évoquant publiquement, en des mots à peine voilés, le risque de guerre civile en France.

    Madame Vallaud-Belkacem a donc la nausée. En découvrant ce tweet, j’ose à peine évoquer ce qui peut être ressenti par tous ceux qui ont un minimum de sens commun et prennent connaissance de ce tweet. C’est quoi, pire que la nausée ? Madame Najat Vallaud-Belkacem est bien la « digne » représentante de cette classe politique pour qui il ne fallait surtout pas nommer les choses pour ne pas faire d’amalgame, ne pas stigmatiser. On a du mal à réaliser qu’elle ait pu être au gouvernement de la France, cinq années durant, sans discontinuer. Madame Vallaud-Belkacem devrait rester dans l’édition. C’est sans doute là qu’elle fait le moins de mal.

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/attentat-de-christchurch-la-faute-a-la-presse-francaise-si-lon-en-croit-najat-vallaud-belkacem/

  • Avec Marine Le Pen, ce sera le chaos nous disaient-ils

    Avec Marine Le Pen, ce sera le chaos nous disaient-ils

    Tandis qu’Emmanuel Macron s’offre quelques jours à la station de ski de La Mongie (Hautes-Pyrénées), Paris connaît de sombres violences :

    Loïc Lecouplier, secrétaire national du syndicat de police Alliance estime que c’était prévisible :

    Nos indicateurs savaient aussi que les black blocs allaient venir ainsi que des gens de nationalités étrangères. On savait donc que cela risquait d’être très fortement agité.”

  • Allemagne: des crimes contre les migrants sont dissimulés pour «éviter de créer des préjugés»

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    Les autorités d’un district de l’Allemagne rurale ont dissimulé une longue liste de crimes de demandeurs d’asile, y compris le viol, les voies de fait et les abus sexuels sur enfants, afin de ne pas «susciter des préjugés», aurait-on allégué.

    Selon des chiffres internes de la police, 117 infractions pénales ont été commises dans des logements de réfugiés à Boostedt, dans le nord de l'Allemagne, au cours des trois derniers mois, et des migrants du tiers monde hébergés dans d'autres logements de la municipalité ont été répertoriés comme suspects de 23 autres crimes.

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  • Gilets Jaunes – Des policiers ne veulent plus suivre les “instructions illégales” et servir de police politique

    Le site Mediapart confirme que des instructions particulières et illégales ont été adressées à la police pour réprimer les gilets jaunes :

    Les officiers de police judiciaire d’un commissariat parisien dénoncent les « instructions illégales » de leur hiérarchie, en particulier lors des manifestations des « gilets jaunes ». Dans un mail que Mediapart a pu consulter, il est écrit que, sur ordre de la préfecture de police de Paris, les personnes interpellées doivent être systématiquement placées en garde à vue.

    Six officiers de police judiciaire (OPJ), soit la totalité du service de leur commissariat parisien, ont, en février et pendant plus d’un mois, interrompu leur activité pour protester contre les instructions « liberticides » que leur imposait leur hiérarchie, notamment lors des manifestations des « gilets jaunes ». Ils se sont mis, en alternance et parfois à tour de rôle, en arrêt de travail – certains le sont encore aujourd’hui.