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insécurité - Page 594

  • Les Gaités de l’immigration mahométane : l’égorgement comme « Acte gratuit »

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    Bernard Plouvier

    Il paraît que « l’on n’arrête pas le progrès ». En Europe actuelle, on n’arrête surtout pas la sottise crasse, le crime abject.

    En ce début d’avril 2019, de « réchauffement climatique » (si, si !), les carabiniers italiens de Turin viennent d’arrêter un « réfugié » marocain ou comme l’écrivent les journaleux italophones collaborationnistes de l’immigration extra-européenne, un « Italo-marocain » (comprenne qui pourra), qui avait assassiné un honnête Italien « parce qu’il avait l’air heureux ».

    Ce pourrait être un gag. C’est hélas une triste réalité.

    Le 23 février, Saïd Mechaouat, 27 ans (en photo ci-dessus lors de son arrestation), égorge au couteau de cuisine, à Turin, un homme qu’il n’avait jamais vu : Stefano Lio, âgé de 34 ans. Saïd a été chassé par le nouvel amant de sa femme qui, elle-même, en avait assez des violences conjugales du disciple de Mahomet, celui-là qui a dicté (in coran, sourate 4) : « La femme désobéissante doit être battue » (et dans ce texte « saint », on évoque « les femmes », puisque le prophète autorise quatre épouses).

    Saïd est de très méchante humeur ! Saïd « a les nerfs » ! Saïd veut tuer : « Ce matin-là, j’ai décidé de tuer quelqu’un ». Sa religion lui interdit de tuer du mahométan, Oumma oblige. Il achète un couteau de cuisine et se poste en observateur sur le site bien connu des promeneurs : Murazzi, les quais le long du Pô, près du centre historique de Turin.

    Arrive un parfait inconnu, Blanc et qui sourit. « Quand j’ai vu ce type, j’ai décidé que je ne pouvais pas supporter son bonheur. Je l’ai choisi parce qu’il avait l’air heureux » (traduction de l’italien : une partie des journaux de la péninsule traite de l’affaire depuis trois jours).

    Le sieur Mechaouat est l’un de ces innombrables mahométans venus enrichir l’Europe de leurs prodigieuses capacités – rien qu’en France, ils seraient 8,5 millions, sans dénombrer les « incomptables », c’est-à-dire les clandestins et, en France, ce sont 260 000 clandestins qui ont pénétré chez nous en 2017 : même au ministère de l’Intérieur et des Cultes, l’on avoue que, depuis 2012, nos frontières sont devenues des passoires.  

    De l’assassinat comme « acte gratuit », c’est une chose que l’on connaît bien, du moins en littérature. Avant la Grande Guerre, l’esthète pédophile André Gide (pas encore nobélisé, il faudra une guerre de plus pour en arriver à ce sublime résultat) en avait tiré un livre, Les caves du Vatican, qui avait connu un tirage impressionnant.

    Il existe des ordures psychopathes et sociopathes dans tous les pays et toutes les races. Ceci n’a rien de spécifique à l’islam ni aux immigrés africains. On le reconnaît volontiers.

    Mais une excellente question se pose : pourquoi importer de la racaille venimeuse, alors que nous avons déjà notre lot de crapules autochtones et que les honnêtes citoyens sont sans défense devant ces ordures puisque l’on ne les exécute plus et qu’on les laisse sortir prématurément de prison « pour bonne conduite » ?

    Lorsque les Institutions ne protègent plus les citoyens honnêtes et laborieux, lorsque la gestion du Bien commun est mauvaise, il faut réformer les Institutions et chasser des apparences du pouvoir les mannequins qui ne font pas leur travail. Diriger un pays, ce n’est pas frimer devant les écrans ou dans les patronages de la Ripoublique (les « lieux de parole »).

    Administrer la Chose publique pour le Bien des contribuables est l’unique devoir des élus. S’ils n’ont pas compris cela, il faut les renvoyer à leurs occupations privées.  

    Hélas, le ventre est encore fécond de la Bête Immonde... et ce bestiau putride s’appelle « Sottise criminelle » des immigrationnistes.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/05/les-gaites-de-l-immigration-mahometane%C2%A0-l-egorgement-comme-%C2%A0-6141680.html

  • De la lutte intestine à la Guerre civile

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    Le nouveau préfet de police de Paris, Didier Lallement. La mission est claire : casser la rue.

    Les décisions macroniennes sont de plus en plus risquées. Jusqu’où ?

    Macron joue au chef. Comme un adolescent à la tête d’une bande. Il fait tomber des têtes ; c’est sa méthode.

    Le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, son directeur de cabinet, Pierre Gaudin, le directeur de la Sécurité de proximité de l’agglomération parisienne, Frédéric Dupuch, l’ont appris à leurs dépens. Motif invoqué de ces limogeages en série qui en annoncent d’autres plus discrets mais tout aussi violents : de graves dysfonctionnements dans la chaîne de commandement lors des manifestations du samedi 16 mars pour l’acte XVIII des Gilets jaunes. Ce discours aux « éléments de langage » convenus fut tenu dès le soir de ce même samedi, divulgué sur toutes les ondes et repris publiquement par le Premier ministre, Edouard Philippe, sur un ton sec et impérieux, officialisant les destitutions-sanctions, dès le lundi 18 mars. Sévérité foudroyante qui, devant les débris fumants des pillages qui avaient dévasté les Champs-Élysées, devait manifester clairement la droite et exigeante conscience des plus hautes autorités de l’État : l’ordre républicain n’était pas négociable.

    Hypocrite explication

    Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner ne se serait rendu compte de la gravité des faits que le soir du même samedi 16 mars vers 17 heures passées, après le saccage du Fouquet’s. Eh oui, ce n’est qu’alors, qu’il aurait compris que « ses instructions de la plus grande fermeté » n’avaient pas été exécutées, obligeant le chef de l’État, son ami, son patron, pour ne pas dire son parrain, à revenir de toute urgence de la station de ski des Pyrénées où il pensait s’offrir en toute tranquillité avec Brigitte, loin des Gilets jaunes, deux jours de détente bien méritée. Un sabotage, quoi, et qui expliquait tout ! « Un échec », avouait devant micros et caméras, avec la modeste ingénuité d’un truand repenti, notre Castaner national, lui qui se sent – il l’a fait savoir solennellement – toujours en service de haute vigilance, même au-delà de minuit, même au plus profond des boîtes de nuit, même après moult verres de vodka, même dans les bras câlins d’une jeune collaboratrice de ses précédentes fonctions.

    Se faire « avoir » comme ça, en pleine journée et dans l’exercice de ses fonctions ! Car il était bien à la manœuvre dès le matin place Beauvau avec son état-major, n’est-ce-pas ? Son propos mêlait l’indignation, l’amertume et le regret ; il sentait la plus scandalisée des sincérités ! Faut-il se souvenir que ce ministre hors norme, si avisé, a commencé sa carrière à 18 ans dans le poker-menteur, sa première spécialité et son premier gagne-pain, en même temps qu’au parti socialiste, ce qui s’accommode fort bien, y jouant comme dans un tripot avec ses petits camarades de la sociale ? Le PS du Midi de l’époque est un solide repaire…, tout comme celui du Nord, d’ailleurs : le truandage érigé en principe vital et en norme politique ! Faut-il aussi rappeler qu’il attrapa vite du galon dans le cours parallèle de ces deux genres d’activités avec leurs multiples ramifications qui se ressemblent tant, se recoupent et qui exigent le même talent, le même boniment et le même entrain ? Et, certes, notre Castaner n’en manquait pas.

    D’un côté il était lié au caïd du grand banditisme Christian Oraison, de la redoutable Dream Team, dit « le Grand Blond », abattu pour règlement de compte en 2008 à Manosque, – « mon grand frère, mon protecteur », avait-il déclaré publiquement non sans émotion, avec cette pudeur d’un ancien enfant de chœur qui cherche à exprimer sa reconnaissance ; et l’envie ne manque pas de s’interroger en quoi pouvait se cultiver une telle intimité. De l’autre côté, simultanément, il s’inséra vite dans l’appareil du parti, en commençant par l’UNEF à l’imitation de tant d’anciens grands pontes de ce socialisme justicier qui ont su y commencer leur petite fortune avant de parvenir aux sommets de la République ; et, toujours comme eux, il accéda donc dans la foulée aux cabinets ministériels qui lui ouvrirent la voie électorale et politicienne à laquelle il aspirait de tout son être. Et voilà, depuis deux ans, qu’au bout de ces itinéraires prometteurs il débouche enfin, et comme de droit, dans la macronie qu’il va diriger dès 2017 avec toute la confiance du patron qui est aussi – ne l’oublions pas – celui de Benalla ; et c’est de là qu’il s’élance sur la trace des Defferre et des Pasqua, à l’instar d’un Vidocq, jusqu’au poste de premier flic de France. Chapeau !

    Depuis le mois de novembre, Collomb s’étant judicieusement esbigné, c’est donc lui qui fait face à la révolte des Gilets jaunes. On sait suffisamment comment des groupes de casseurs s’en mêlèrent sans que jamais il ne fut apparemment possible de les cerner ni de les empêcher de nuire pour permettre aux Gilets jaunes de manifester selon le droit. Dès le mois de décembre, après les incidents de l’Arc de Triomphe, Castaner peut donc amalgamer dans son discours officiel casseurs et Gilets jaunes, prenant les dispositions en conséquence et justifiant la répression avec tous les moyens, dont les lanceurs de balles de défense (LBD 40) – il en a même expliqué l’usage aux enfants des écoles ! – et les grenades à effet de souffle, dites de désencerclement (GLI-F4). Le but politique était si évident que personne, ni à droite ni à gauche, ni surtout dans la police, n’en était dupe.

    Vers la guerre contre le peuple

    Que s’est-il passé le 16 mars ? Véritablement ? Laurent Nuñez, le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, ancien préfet des Bouches-du-Rhône, ancien directeur général de la Sécurité intérieure (DGSI) qui, lui, est un professionnel de l’ordre public et placé, d’ailleurs, à cet effet à ce poste pour pallier les carences de Castaner, a prétendu fournir des explications, mais, à bien les écouter, c’était sans vraies précisions. Il paraît que l’enquête est en cours pour évaluer le niveau des défaillances. En fait, en bon fonctionnaire qui se veut efficace, il couvre son ministre, l’autorité politique et, au-dessus, Emmanuel Macron.

    « Des instructions de retenue » auraient été données aux forces de l’ordre au rebours « des directives offensives » du ministre. Frédéric Dupuch a fait circuler une note – sans même en référer au préfet de police, précise-t-on – engageant à un usage plus modéré des LBD, ce qui, en soi, étant donné les risques graves encourus, les nombreuses blessures et plaintes ainsi que les condamnations sans appel des instances supranationales, se comprend parfaitement. Et d’autant plus que la direction de la Sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) avait créé après le 1er décembre les détachements d’action rapide (DAR) à qui revenaient les interpellations sur le tas et la sécurité des manifestations. Il y avait ainsi deux centres opérationnels. Soit. C’était une garantie de pondération ; et il y avait un commandement unique qui restait sous les ordres de Beauvau et de l’Élysée. Mais l’Élysée et Beauvau ne veulent plus qu’une seule machine unifiée de répression et il faut donc mettre au pas la grande maison de la Préfecture de Police qui a ses structures, ses habitudes et ses logiques qui lui viennent de son histoire et de sa connaissance des situations. La crise permet donc à Macron – et à Castaner sous ses ordres – de régler la question de la sécurité et de l’ordre public comme sont réglées toutes les autres questions de finances, de politique, de société : tout pouvoir entre les mains de l’exécutif en la personne du président de la République. C’est simple… et c’est fou.

    La nomination de Didier Lallement, l’ancien préfet d’Aquitaine, comme préfet de police de Paris correspond exactement à cette politique. L’homme est connu pour son tempérament et son ambition. Ce sera le tout répressif. Et la mobilisation des soldats de l’opération Sentinelle – malgré les dénégations macroniennes – relève de la même conception, dans la grande tradition républicaine de la Révolution, des Cavaignac, des Thiers, des Clemenceau, ce dernier étant invoqué par Castaner et Macron comme le modèle. Pourquoi pas le 6 février 34 ?

    La liquidation de Delpuech sans fioriture satisfait en outre l’assouvissement d’une vengeance froide de l’Élysée ; il était, en effet, l’un des rares témoins devant la commission d’enquête du Sénat sur l’affaire Benalla à n’avoir pas menti sous serment pour couvrir l’Élysée et à avoir dénoncé « des copinages malsains ». Une telle indépendance méritait sa sanction !

    Et le samedi 16 mars ? Ceux qui ont observé la manifestation ont parfaitement remarqué dès le matin 11 heures les groupes de black blocs avec leurs accoutrements cagoulés caractéristiques, leurs drapeaux rouges et noirs, leurs slogans propres se revendiquant de l’anticapitalisme. À Saint-Lazare, à Saint-Augustin, rue La Boétie, à Saint-Philippe du Roule, ils étaient distincts de la foule des Gilets jaunes, en tête ou en queue. Ils n’étaient pas 1 800 comme l’affirme Castaner. Quelques centaines, tout au plus. Il fallait les arrêter, eux et eux seuls, à ce moment-là. Ce n’était rien du tout.

    L’opération n’a pas été faite. Beauvau commandait. Une fois les Champs-Élysées gagnés, les black blocs étaient les maîtres. La préfecture n’y pouvait plus rien ; elle ne pouvait que chercher à limiter la casse dans Paris.

    Il appartient au Sénat de poursuivre ses enquêtes. C’est pourquoi la Chambre haute est devenue l’ennemi N°1 de l’Élysée. Macron a réussi à instituer une violente lutte intestine, jusqu’au sein même des institutions. Gare à toutes les guerres civiles qui peuvent se déclencher dans le désordre généralisé qui s’installe. Ce n’est pas son grand débat ni sa lettre aux citoyens d’Europe, ni ses sermons indéfinis, y compris aux intellectuels, qui changeront quoi que ce soit à un mauvais rapport de force qu’il a érigé en système de gouvernement. Plus personne en Europe ne le prend au sérieux, pas même les Allemands qui l’ont clairement signifié ! Le peuple français dans ses profondeurs ne le supporte plus, dût-il gagner les élections européennes par subterfuge. Lui et son Castaner feraient bien d’y réfléchir à deux fois. Il serait temps de mettre fin à l’expérience avant le désastre.   

    Hilaire de Crémiers

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/04/03/de-la-lutte-intestine-a-la-guerre-civile-6141260.html

  • 20 ans après l’intervention de l’Otan en ex-Yougoslavie, quelles leçons pour aujourd’hui ?

  • Clarifications

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    On doit à Emmanuel Macron et à ses ministres plusieurs clarifications importantes.

    Je ne parle pas de ses envolées lors du débat avec les intellectuels, où les « externalités climatiques négatives » rejoignaient les « impacts négatifs d’un système productif » annihilant sans doute le « pouvoir d’évaluation des politiques publiques », ce qui était d’ailleurs sans gravité car « le phasage tel qu’il a été décidé crée une primauté de la fonction présidentielle » dans une « maïeutique à ciel ouvert » (merci à Slate pour son compte rendu).
    On l’aura compris, il s’agissait moins là de clarifier les choses que de les emporter dans l’empyrée des concepts et en même temps de les poser comme soubassements d’une nouvelle civilisation. Vaste programme. Non, la clarification c’est la manière dont le président de la Ve République a définitivement montré que ses institutions ne servaient à rien. La démocratie représentative a vécu, et sans doute la démocratie elle-même. Voilà plusieurs semaines, plusieurs mois que le Parlement assiste sans bouger à l’organisation d’une consultation directe des Français où les représentants ne servent à rien, sinon à parfois réserver les salles. Chaque corporation s’est emparée du Grand Débat pour y participer ou le décliner en version Medef ou Beaux-Arts, un peu comme ces cuisiniers médiatiques qui revisitent la blanquette, et le président lui-même s’est affranchi joyeusement de la règle qu’il avait posée en cannibalisant les réunions où personne ne parle sinon lui, ses ministres lui servant de porteurs d’eau, et en faisant en sorte que les journaux ne parlent que de ses performances puis de ses possibles arbitrages puis du rythme et des séquences de son quinquennat. Le magicien a fait disparaître les représentants et éclipsé le peuple, bravo l’artiste !

    La démocratie représentative a vécu 

    Bruno Le Maire est admirable de constance. À chaque fois que l’Union européenne retoque ses projets fiscaux, sociaux et industriels, il l’accuse d’être une institution aveugle et sourde, insensible aux mouvements du monde et impuissante à s’adapter, refusant tout à la fois de comprendre les enjeux nationaux et d’assurer la défense des intérêts européens – ce qui est logique puisqu’il la suppose incapable de les discerner et de les définir. Les européistes, de leur côté, avec la même constance, expliquent que l’Union européenne protège, défend, et enrichit puis se dépêchent, les uns de ne pas acheter à Arianespace ses vols spatiaux, les autres de ne pas acheter les armes françaises, tous de ne pas taxer les GAFA et ils appellent la France à ne pas traiter ses manifestants comme des Vénézuéliens moyens. Alors Bruno Le Maire explique que les nations sont souveraines puis appelle à voter aux Européennes pour empêcher les nationalistes de défendre les intérêts nationaux et pour empêcher les populistes de réformer l’Union européenne. Quant aux éditorialistes de France Culture, ils expliquent que voter aux Européennes signifie voter contre Marine Le Pen et pour Macron, achevant eux aussi de nationaliser ce scrutin international. Utiles dévoilements des perspectives dans laquelle chacun considère l’Union.

    La dictature de la richesse sans frontière et sans frein 

    Bernard-Henri Lévy considère, dans un journal belge, que le vote des populistes n’est pas à prendre en compte, les adversaires de Trump considèrent que l’enquête qui le blanchit ne prouve rien, les partisans du remain considèrent qu’ils ont raison contre le référendum et qu’il faut donc empêcher le Brexit par tous les moyens légaux ; tous sont démocrates. Démocrate comme Macron qui considère que les Français n’ont pas le choix et pose l’alternative « le chaos ou moi » – alors que le chaos et moi serait plus macronien et plus juste, à considérer les rues. La démocratie ne se confond ni avec la république, ni avec les formes républicaines, ni avec le pouvoir. Voilà l’ultime et la plus nécessaire clarification. Ceux qui détiennent la puissance ne veulent pas que son usage soit limité : les journaux doivent être plus puissants que les faits, la justice doit se plier aux ordres, le peuple ne délègue aucun pouvoir, il doit faire preuve de son allégeance à des intérêts supérieurs que seule l’élite comprend.
    « Les pauvres sont faits pour sentir, les riches pour comprendre et en abuser raisonnablement », disait Marcel Aymé dans son Confort intellectuel. C’était avant. Maintenant que les riches sont au pouvoir, ils réclament d’abuser déraisonnablement de leurs privilèges et ils réclament qu’on les acclame : qu’on proteste, qu’on les suspecte, qu’on les contredise, qu’on les déteste leur est insupportable. La dernière liberté dont jouissait le peuple, ils méditent de la lui enlever. Car le pouvoir n’est pas synonyme de consensus ou de dialogue, surtout quand il vise à établir la dictature de la richesse sans frontière et sans frein.  

    Philippe Mesnard

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/04/02/clarifications-6140802.html

  • Les Black Blocs, ces enfants de bourgeois qui se donnent des frissons

    Les Black Blocs, ces enfants de bourgeois qui se donnent des frissons

    Samuel Pruvot a enquêté pour Famille chrétienne sur les Black Blocs. Une source du ministère de l’Intérieur lui indique :

    «Ces jeunes sont en général issus des classes moyennes ou supérieures. Ils sont instruits et ils ont les moyens de se déplacer à l’étranger pour commettre leurs méfaits. »

    Nos dirigeants politiques ont-ils pris conscience des dangers ?

    «Ils ont pris la décision de dissoudre certains groupes d’extrême droite, mais ils font preuve d’un certain laxisme avec l’ultragauche. Il est temps pour eux de s’attaquer à ces groupuscules nocifs et toxiques qui constituent le vivier de recrutement des black blocs. Certains pensent encore, à tort, qu’il faut que jeunesse se passe… »

    Jacques de Guillebon ajoute :

    «Refusant les voies du parlementarisme comme celles qu’offre la société – famille, école, Église –, assimilées à des instruments de domination, il ne leur reste plus que cette voie-ci. » «Ayant moi-même, jeune, participé à ce type de manifestations, alors contre la mondialisation, je conçois la fièvre qui peut saisir le manifestant et quelle jouissance il y a à détruire des “symboles du capitalisme”. Mais là, c’est de toute évidence organisé, voulu, planifié, et c’est le fait d’enfants de bourgeois qui se donnent des frissons. »

    https://www.lesalonbeige.fr/les-black-blocs-ces-enfants-de-bourgeois-qui-se-donnent-des-frissons/

  • Algérie : quel avenir après Bouteflika ? – Journal du mercredi 3 avril 2019

     
    Algérie : quel avenir après Bouteflika ?

    Alors que le président algérien a annoncé sa démission, plusieurs scénarii se dégagent pour l’après Bouteflika. En cas de transition douloureuse ou de désordre généralisé, la France pourrait être la première victime d’un effondrement de l’Etat algérien.

    Actes anti-chrétiens : la déferlante

    Le nombre d’actes anti-chrétiens explose en France dans une relative indifférence. Alors que certains politiques commencent à s’intéresser à la question, les causes du mal semblent profondes et la réponse politique complexe.

    Surpopulation carcérale : La France, championne d’Europe

    Avec plus de 71 000 prisonniers au 1er mars, la France est toujours championne d’Europe de la surpopulation carcérale. Alors que le gouvernement a promis de s’attaquer à ce fléau, le nombre de détenus affole une nouvelle fois les compteurs et la réforme de la justice ne devrait pas changer la donne.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/algerie-quel-avenir-apres-bouteflika-journal-du-mercredi-3-avril-2019

  • Un centre sicilien pour immigrés servait de base à la mafia nigériane

    Un centre sicilien pour immigrés servait de base à la mafia nigériane

    Ce n’est pas par la presse immigrationniste de gauche (pléonasme) que l’on apprend cela :

    Le centre de Mineo était une base d’opérations pour la mafia nigériane. Mais aucune trace de la nouvelle dans les journaux – 10 arrestations de fugitifs en France et en Allemagne avec la circonstance aggravante d’association de malfaiteurs de type mafieux. Leur base était le centre sicilien pour migrants. On en parle dans Il Giornale, Libero, Verita et QN. Zéro dans La Reppublica, Il Corriere, La Stampa, Messagero etc… Ce doit être parce que la dernière circulaire de la bien-pensance impose de reclasser cette histoire de mafia nigériane en « fake news inventée par les xénophobes ».

    Une douzaine de citoyens nigérians, tous fugitifs en Italie et considérés comme appartenant à une organisation criminelle qui opérait depuis quelque temps en Sicile, ont été arrêtés en France et en Allemagne […] ils sont tenus pour responsables, sous diverses formes, d’association de type mafieux, association visant le trafic illicite de drogue, de violences sexuelles et de violences sexuelles en groupe. Selon les enquêtes de l’équipe mobile de Catane et de Sco, ils appartiennent à une organisation criminelle nigériane disséminée dans divers pays européens et non européens, d’une matrice sectaire appelée ‘Vkings’ ou ‘Supreme Vikings Confraternity’. Tous les dix auraient fait partie de la cellule sicilienne qui opérait à Catane et dans la province et qui avait sa base dans la centre de Mineo. Dans ce centre, selon l’enquête, il y a eu plusieurs fois des affrontements avec d’autres groupes afin de maintenir la prédominance parmi les communautés étrangères. […]

    Il était dans le « Cop » (Conseil des professeurs), l’un des principaux organes de la secte secrète. Il révèle les rites, les hiérarchies et les affaires du dôme noir. Il est maître du trafic de drogue – de la cocaïne à la marijuana, échangée avec les Albanais -, de la prostitution et du trafic humain, du clonage de cartes de crédit et de la falsification de documents. Des hommes de la rue et des cols blancs. Machette et iPhone. Les dirigeants sont généralement des immigrants légaux. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/un-centre-sicilien-pour-immigres-servait-de-base-a-la-mafia-nigeriane/

  • Enfants du djihad : quand la France perd leur trace – Journal du vendredi 29 mars 2019

     

    Enfants du djihad : quand la France perd leur trace

    Des centaines d’enfants de djihadistes sortis des radars français. Le secrétaire d’Etat, Laurent Nuñez, a avoué jeudi que la France était sans nouvelle d’une bonne partie des enfants qui ont évolué sur la zone irako-syrienne…

    Mineurs isolés étrangers : la plaie de la Capitale

    Depuis la crise migratoire de 2015, plusieurs milliers de prétendus mineurs isolés étrangers ont investi les rues de Paris. Cambriolages, vols et violences rythment leur quotidien et l’appareil judiciaire peine à endiguer le phénomène.

    Le gouvernement à l’assaut des contrats courts

    Alors que le nombre de CDD de moins de trois mois explose, le gouvernement planche sur une réforme pour mettre un terme à cette pratique jugée trop coûteuse. Les entreprises et les demandeurs d’emplois pourraient bien être mis à contribution pour régler la crise de l’assurance chômage.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/enfants-du-djihad-quand-la-france-perd-leur-trace-journal-du-vendredi-29-mars-2019

  • Xavier Raufer : « Chasse aux Roms en Seine-Saint-Denis : on ne nous informe pas sur les agresseurs ! »

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    Des rumeurs d’enlèvement d’enfants ont provoqué de violentes scènes de chasse à l’homme contre la communauté rom, en Seine-Saint-Denis.

    Pour Boulevard Voltaire, Xavier Raufer analyse ce fait divers inquiétant, survenu dans des « quartiers hors contrôle ».

    Une rumeur véhicule que des Roms auraient enlevé des enfants, conduisant à une véritable chasse aux Roms et à des lynchages par des habitants de quartiers dits « sensibles ». De quoi s’agit-il ?

    Ce que je dis ne concerne, bien entendu, pas tous les Roms. Certains vivent de petits boulots à droite et à gauche, mais une minorité parmi eux est criminalisée et vit de rapine. Il m’arrive, à Paris, d’être le témoin d’une scène étrange où des hommes et des femmes descendent d’une camionnette blanche, immatriculée en Roumanie, et prennent ce qui se trouve à leur portée, des vélos par exemple, et disparaissent avec. J’imagine que tous les vélos en question ne leur appartiennent pas…

    Il est possible que, faisant par hasard une allusion libidinale à une jeune habitante du quartier, comme ils ont l’habitude de le faire, les frères de cette jeune habitante se soient émus. Nous vivons dans un contexte qui a peu à voir avec la société qui est la nôtre. C’est un système encore assez largement tribalisé dans lequel la horde entière protège tous ses enfants.

    Si la jeune habitante revient en disant qu’un Rom lui a mal parlé, alors tous les frères et les cousins se coalisent, foncent sur les malotrus et leur cassent la figure. Ils font cela régulièrement avec les flics, les gendarmes, les élus municipaux et les pompiers. Je ne vois pas pourquoi ils se priveraient de le faire avec les Roms. Pour les habitants de ces quartiers, ce sont des envahisseurs, c’est leur quartier et on n’a pas à regarder leur sœur de travers.
    On est un peu dans un contexte XVIIIe siècle en ce qui concerne les mœurs. C’est très exactement cela qui s’est passé.

    Les médias ont fait preuve d’une prudence extrême pour qualifier ce fait divers. On ose imaginer leur réaction si une bande de Blancs d’extrême droite s’était amusée à faire une chasse aux Noirs ou aux Arabes. On imagine, d’office, les réactions de la classe médiatique. Pourquoi cette prudence ?

    On n’est pas dans la prudence, on est dans la censure à 100 %. J’ai lu tous les articles qui parlaient de cette affaire. Le vocabulaire est éloquent. Un individu, c’est un homme, donc ce n’est pas politiquement correct. Une personne, c’est merveilleux. À la fois, ça anonymise et c’est féminin. Ça a toutes les qualités du monde.
    Quand vous lisez les grands médias d’information ou les sites d’information, il n’y a absolument aucune espèce d’information sur les agresseurs et sur les lyncheurs. Il n’y a rien. Seule une dépêche de l’agence Reuters – ils sont peut-être un peu moins coincés de ce côté-là. Cette dépêche dit que « dans les banlieues, des bandes sont intervenues à l’encontre des Roms ». Je vous l’ai dit tout à l’heure et cela ne fait absolument pas l’ombre d’un doute.
    Je connais un certain nombre de policiers et de magistrats de terrain. Ils me disent que la bande de la cité X ou Y a l’habitude de vendre du cannabis ou des objets volés au marché aux voleurs. Ils servent aussi, le cas échéant, de milices islamistes quand il faut protéger, ou au contraire attaquer des gens qui ne sont pas de leur goût. Ces gens-là sont descendus dans la rue et s’en sont pris à des gens qui étaient censés avoir kidnappé des enfants.
    Qu’ils volent des bicyclettes ou qu’ils pillent les poubelles, pourquoi pas. D’ailleurs, ils le font. Je n’ai pas l’impression que la crainte du kidnapping d’enfants pour faire de la chirurgie ou leur enlever les organes ou pour la prostitution soit une crainte médiévale…

    Nous ne faisons pas partie des médias « mainstream », mais nous avons été étonnés de ne pas voir cette question-là se poser. Est-ce une preuve de la libanisation de la société française ? On revient, comme vous l’avez évoqué, à des phénomènes de guerres tribales.

    C’est simple. On nous chante la même chanson depuis trente ans.
    Les quartiers perdus de la République, la reconquête des quartiers de la République… Depuis le rapport Bonnemaison, jusqu’au moment où Mitterrand a été élu, on nous chante la même chanson. Toujours est-il que les quartiers en question sont hors contrôle !
    Au moment où on a fait le premier décompte de ces quartiers, il y en avait une petite centaine. Chaque année, nous en avons de nouveaux et, maintenant, nous en avons plus de 700. On y retrouve vente de drogue, contrôle sur ces quartiers et règlements de comptes entre malfaiteurs, c’est-à-dire tout ce qu’on voit quotidiennement dans l’actualité.
    Dans un quartier, une maison avait été squattée par les Roms. Cela ne plaisait pas aux jeunes du coin, alors ils les ont virés. Là, d’un seul coup, ils sont passés au stade supérieur. Quand on est hors la loi, quand on est hors du système légal stricto sensu, l’échelle des peines est extrêmement limitée. C’est une échelle avec deux barreaux, « Je vous casse la gueule ou je vous tue ». Naturellement, les jeunes en question n’ont pas la capacité de donner une contravention à qui que ce soit ou même de mettre quiconque en prison, ils vous cassent donc la figure une première fois pour montrer leur mécontentement. Ensuite, ils vous tuent.
    Une fois de plus, tout cela est normal quand on laisse une telle situation se développer. Il ne faut pas s’étonner qu’ultérieurement, des exactions comme celles-ci s’y commettent.

    Le président de la République actuel, monsieur Macron, a commencé vaguement du bout des lèvres à faire semblant de s’intéresser à l’affaire des politiques de la ville et des quartiers sensibles. Il utilise tous les euphémismes pour éviter de parler de quartiers hors contrôle et de racailles déchaînées. On voit ce que cela donne. Il a très vite dédaigné tout cela et a envoyé monsieur Borloo à ses chères études. Tout ce que disait monsieur Borloo n’était pas idiot. Il faut, prioritairement, remettre de l’ordre dans ces quartiers et ensuite mettre à disposition des maisons pour les mamans, pourquoi pas. Il faut rétablir l’ordre. Tant que l’ordre ne sera pas rétabli dans les quartiers, il y aura des exactions, comme à Grenoble ces derniers temps.

    On fait un peu attention parce que l’angoisse des médias est terrible. Il y a deux sortes de gentils qui se sont affrontés et qui se cassent la gueule les uns les autres. Ces victimes de l’exclusion et du racisme devraient s’adorer les unes les autres et être sous la houlette d’une espèce d’abbé Pierre métaphysique. Au lieu de cela, ils s’entre-tuent. Cela ne va pas du tout. Ne sachant pas quoi dire, ils ne disent rien, et surtout pas la réalité.

    Est-ce cette réalité qui fait buggerle logiciel idéologique de ces gens-là ?

    Bien entendu. D’autant plus que, comme je l’ai déjà dit cent fois, la situation de ces médias est très mauvaise. Ils nous racontent ce qu’ils veulent. Vous passez, en vingt ans, d’abonnement papier à 250 euros à des abonnements électroniques à 30 euros. À la fin, vous avez moins d’argent. De plus, la pub ne suit pas derrière, parce que ces médias sont moins lus.
    Qui a envie de lire la Pravda ? Personne !

    Plus il y a du politiquement correct, moins les gens lisent ces journaux-là et trouvent d’autres moyens pour s’informer. Je peux vous dire que mes enfants n’ont jamais acheté un de ces journaux. Ils s’informent autrement. Lorsque je leur pose des questions, ils savent les choses. Les jeunes générations savent autant que la génération d’avant. Manque de bol pour Le Monde, ils ne le lisent plus. Quant à Libération, si l’État ne l’arrosait pas de millions et de millions d’euros chaque année, cette lamentable publication aurait déjà disparu depuis des années.

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/214112/xavier-raufer-chasse-aux-roms-en-seine-saint-denis-on-ne-nous-informe-pas-sur-les-agresseurs/#more-214112
  • Lynché comme un rom en banlieue…, par Etienne Defay

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    Ce fait divers est un condensé de toutes les polémiques et de tous les débats. Depuis le début de la semaine, une rumeur a enflé sur les réseaux sociaux : des personnes identifiées comme des roms sont soupçonnées de tentatives de kidnapping dans certaines villes du 92 et du 93 comme Colombes, Nanterre ou encore Montfermeil.

    Cette polémique, née on le rappelle d’une rumeur, a eu des répercussions dans le monde réel puisque deux roms circulant dans une camionnette blanche ont été lynchés par une bande de « jeunes » à Colombes. Une série d’actions punitives qui aura entraîné l’interpellation de 19 personnes en l’espace de 24 heures. Problème : ces accusations sont totalement infondées. A tel point que la préfecture de police s’est empressée de communiquer pour alerter sur cette fake news.

    Le commissaire de Clichy-sous-Bois/Montfermeil (Seine-Saint-Denis), David Moreira, avait adressé lundi un message aux communes de son secteur, que certaines ont diffusé sur leur site internet, appelant à la « prudence car une certaine psychose commence à s’installer ». En effet, les expéditions punitives se multiplient. Ainsi, à Bobigny, la communauté rom confie « vivre dans la peur ». Des voitures de police font régulièrement des rondes entre les camps pour rassurer les populations qui y vivent mais la peur reste tenace. La crainte du gendarme n’a plus vraiment cours dans ces zones.

    Certaines communautés roumaines ou bulgares s’organisent donc et des tours de garde sont instaurés dans les campements et autour des roulottes. Venant principalement des Balkans, les roms, pudiquement appelés « les gens du voyage » connaissent une immense difficulté d’intégration que ce soit dans l’est de l’Europe ou à l’ouest. Cette communauté est en fait connue pour son taux de criminalité extrêmement élevé. Vols, cambriolages, enlèvements… De quoi provoquer une cohabitation explosive dans les zones qu’ils habitent d’autant plus aisément lorsque cette cohabitation se fait avec des populations non intégrées. Nous en voulons pour preuve la curieuse gestion de cette information par les médias « mainstream ». Les mots employés sont curieusement prudents et objectifs, aucune condamnation morale n’est prononcée comme si à Bobigny et dans d’autres territoires perdus de la République, le racisme était légal et parfaitement intégré dans la norme et les codes sociaux.

    On n’ose imaginer si quelques Français blancs s’en étaient pris à des compatriotes d’origine africaine. Il y aurait eu (et à juste titre) une condamnation nationale, des manifestations, des excuses publiques et nous en passons. Mais ici, la justice morale ne frappe pas. Emplie d’indulgence pour une violence qu’elle excuse au nom de la différence. Comme si l’exigence qu’elle a envers les siens n’était pas de mise avec ces populations. Et cela s’appelle du racisme. Bienveillant, inclusif, mais du racisme quand même.

    Etienne Defay

    Article paru dans Présent daté du 27 mars 2019

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