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insécurité - Page 615

  • L'infâme Bergoglio exige que les viols commis par les migrants ne soient pas rapportés par les média

    Jorge Bergoglio, l’actuel occupant du Vatican, a une nouvelle fois pris position en faveur de l’immigration clandestine musulmane.

    « Il y a quelques mois, j’ai vu sur un journal un titre sur une petite ville d’Italie qui disait : ‘Voici la ville où il y a eu le plus de viols cette année – je ne me souviens plus de la ville, ce n’est pas important – et 40 % des violeurs étaient des migrants‘ », a raconté le souverain pontife. « C’est une façon de ‘salir’ les migrants », a-t-il dit.

    Rapporter les faits constitue donc un sérieux obstacle à l’implantation de migrants musulmans en Italie et en Europe selon l’actuel pape, lequel est un fervent défenseur du remplacement de population.

    Source : http://breizatao.com

    http://www.thomasjoly.fr/2018/02/l-infame-bergoglio-exige-que-les-viols-commis-par-les-migrants-ne-soient-pas-rapportes-par-les-medias.html

  • Le 15h17 pour Paris, ne le ratez pas !

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    Voici une intéressante et pertinente tribune de Catherine Rouvier, [Boulevard Voltaire, 11.02] sur fond d'intelligence, de subtilité et d'humour, comme à son ordinaire. Catherine Rouvier, ici, se fait moralisatrice et son commentaire de ce qui est sans-doute un très bon film dont Guilhem de Tarlé nous parlera un prochain weekend, revêt un particulier intérêt social et politique. Catherine Rouvier a participé à quelques unes de nos réunions en Provence. Et nous en gardons un très bon souvenir ...  LFAR 

    1525524956.pngLes moralistes avaient disparu. D’Ésope à La Fontaine, ils avaient utilement émaillé notre littérature européenne, car leurs fables étaient des sortes de paraboles, racontant des histoires pour mieux faire comprendre l’inconvénient d’un défaut – jalousie, orgueil, avarice, paresse, gourmandise – ou les vertus d’une qualité – courage, générosité, travail, sobriété. C’était bien commode pour les rendre sensibles aux enfants que les longs discours ennuient.

    Les enfants d’aujourd’hui ont aussi soif de fables, de contes. Et l’audiovisuel – vidéo, film – en est un vecteur apprécié d’eux et efficace.

    Clint Eastwood n’a pas hésité. Pour illustrer la vertu de courage, pas besoin d’affabuler. Le récit était fourni. Les acteurs toujours vivants. Il fallait juste rejouer, remettre en scène cette soirée du 21 août 2015 où eut lieu l’attaque du Thalys, et remonter le passé des héros de l’histoire.

    Ce faisant, il a délivré un message principal : ne pas avoir peur, combattre même un homme armé pour sauver les vies qu’il entend supprimer, mais aussi quelques autres. L’un des « guys », Anthony Sadler, est noir et se sent un peu déclassé dans l’école ou il côtoie les deux autres : rebelle, il est perpétuellement puni. Les deux autres sont également des élèves jugés difficiles par une directrice qui impute tout naturellement leur violence au fait que leurs mères les élèvent seules.

    L’une d’elles aura le courage d’envoyer son fils, Alek Skarlatos, vivre avec son père pour qu’il se heurte à son autorité. L’autre donne à son fils, Spencer Stone – le grand costaud qui attaquera le terroriste en corps-à-corps -, une éducation religieuse. Chaque soir au coucher, il dit avec ferveur la prière de saint François d’Assise « Là ou est la haine, que je mette l’amour ». Il découvrira, un jour où il vend des hamburgers à un Marine, que s’engager dans l’armée, c’est « sauver des vies ». Il est trop gros, il se prend en main et perdra quinze kilos. Et lors de ses classes, il apprendra la survie en cas d’attaque. 

    Nos trois Californiens, restés amis malgré les séparations, se retrouvent pour un voyage en Europe. Après le Sud (Rome, Venise), ils ciblent Amsterdam, puis Paris. 

    La suite est connue, mais on la redécouvre plus précisément qu’on ne l’avait perçue alors. Chacun des trois jeunes gens, aidés d’un Anglais plus âgé, joue un rôle crucial. Il s’avère, en effet, que le tueur, Ayoub El Khazzani, avait sur lui assez de munitions pour « faire un carnage ». Livré à la police sur place, il est, depuis, en attente de procès, et son avocat voudrait « faire interdire le film », arguant d’une présomption d’innocence… sérieusement écornée, tout de même, par le fait qu’il a été pris en flagrant délit ! C’est ce qu’ont dû penser les juges, qui ont considéré qu’il s’agissait bien, dans le film, d’une reconstitution authentique.

    Alors, oui, les élèves difficiles peuvent être de la bonne graine. Et non, les mères abandonnées ne feront pas forcement de leurs fils des délinquants. Lors de l’attaque, la prière de saint François montera une fois encore aux lèvres du grand costaud prêt à donner sa vie, et ses dernières phrases y prennent un sens particulier : « C’est en donnant qu’on reçoit, c’est en pardonnant qu’on est pardonné, c’est en mourant qu’on naît à la vie éternelle. »

    Ne ratez pas le 15 h 17 pour Paris et emmenez-y vos enfants. Les moralistes sont de retour !  


    Docteur d'Etat en droit public, avocat, maitre de conférences des Universités
     
    http://lafautearousseau.hautetfort.com/
  • L’UNION EUROPÉENNE FINANCE LE TERRORISME AU KOSOVO

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    Il y a à peine moins de deux ans, le 9 mai 2015, plusieurs dizaines d’hommes armés, essentiellement venus du Kosovo, rentraient dans la ville de Kumanovo, dans l’Ancienne République yougoslave de Macédoine, pour attaquer la ville au nom du nationalisme albanais. Durant quasiment deux jours, les terroristes vont s’opposer aux forces armées macédoniennes dans un combat apocalyptique au feu nourri, en plein milieu de cette municipalité majoritairement slave et orthodoxe, qui est la deuxième la plus peuplée du pays.

    Au bout de 48 heures, les terroristes vont se rendre après un bain de sang où quatorze des leurs vont périr, ainsi que huit policiers macédoniens. Cette attaque surprise, d’ampleur inédite dans le sud des Balkans depuis les guerres de 1998 à 2001, se produisit comme par hasard le jour où le président macédonien Gjorge Ivanov avait bravé les ukases des atlantistes et osé se rendre à Moscou aux côtés de Vladimir Poutine pour célébrer le 70e anniversaire de la victoire sur la nazisme en 1945. Au Kosovo, les assaillants tués vont avoir droit à des funérailles en grande pompe et vont être considérés comme de véritables héros du nationalisme albanais.

    Les 37 terroristes survivants arrêtés, quant à eux, vont quasiment tous être condamnés à de lourdes peines de prison. En réaction à cette décision, le gouvernement autoproclamé du Kosovo a promis, fin 2017, de débloquer un fonds d’urgence de 219.000 € pour venir en aide aux familles des terroristes tués ou incarcérés. Saluons, au passage, le travail réalisé par le journaliste albanais Parim Olluri qui a largement médiatisé et condamné cette incroyable affaire de soutien au terrorisme et qui s’est fait beaucoup d’ennemis dans sa propre communauté. Outre le scandale, il est important de souligner que cette somme est considérable pour une petite région où le salaire mensuel moyen est de 365 €, 60 % des jeunes sont au chômage et 10 % de la population vit avec moins d’un euro par jour.

    Cela est d’autant plus ahurissant que le Kosovo ne doit sa survie qu’au soutien militaire et financier de Bruxelles et de Washington. Depuis 1999, le Kosovo a reçu de ses mentors 4,5 milliards d’euros, soit plus d’argent par tête d’habitant que l’Europe avec le plan Marshall, et l’Union européenne s’est d’ailleurs engagée sur un plan de subvention de 645,5 millions d’euros du Kosovo entre 2014 et 2020. L’accord de stabilisation et d’association signé entre l’Union européenne et le Kosovo stipule que « l’Union européenne continuera à aider le Kosovo à avancer sur la voie européenne grâce au processus de stabilisation et d’association, politique conçue par l’UE pour stimuler à la fois la coopération avec les pays des Balkans occidentaux et la coopération régionale ». Les contribuables français et européens seront heureux de savoir que cela signifie également que leurs impôts serviront à soutenir l’extrémisme albanais qui continue de tuer et de déstabiliser la région qui, aujourd’hui, plus que jamais, peut retomber dans la guerre.

    http://www.bvoltaire.fr/lunion-europeenne-finance-terrorisme-kosovo/

  • Comment les djihadistes sont-ils jugés en Syrie ?

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    Le reportage va au-delà de l’illustration. Il a valeur d’expertise. Les reporters racontent leur expérience du terrain.

    Découvrez “Profession reporter” dédiée à la question suivante : “Comment les djihadistes sont-ils jugés en Syrie ?”.

  • Le réveil d’une activiste gauchiste pro-réfugiés : « pour l’Allemagne, c’est déjà trop tard »

     

    Rebecca Sommer a fondé en 2012 l’association d’aide aux réfugiés Arbeitsgruppe Flucht + Menschen-Rechte (AG F+M). A la fin de l’été 2015, cette artiste, photographe et journaliste auteur de documentaires applaudissait la décision d’Angela Merkel d’ouvrir en grand les frontières de l’Allemagne aux « réfugiés » bloqués en Hongrie, malgré l’effet de pompe aspirante que cela devait créer.

    « A ce moment-là, je voulais aider chaque personne et je croyais vraiment que tous ces gens fuyaient un enfer et se trouvaient dans la détresse la plus absolue », a expliqué l’activiste allemande dans une interview publiée par l’hebdomadaire conservateur polonais  Do Rzeczy  le 15 janvier dernier à qui elle à parlé de son réveil face à la réalité.

    En 2015, son ONG comptait près de 300 bénévoles qui donnaient des cours d’allemand aux nouveaux arrivants. Si elle dit aujourd’hui n’avoir jamais été en faveur d’une immigration illimitée, avant sa prise de conscience la militante des droits de l’homme Rebecca Sommer n’en était pas moins très attirée par l’apport multiculturel de cette immigration de masse, comme le montre cet article publié en décembre 2015 par un journal berlinois et repris sur le site de l’ONG AG F+M.

    Les agressions sexuelles de Cologne ont marqué le début du réveil des bénévoles

    La prise de conscience de cette représentante typique des activistes droits-de-l’hommistes bien ancrés à gauche date de la Saint-Sylvestre 2015 à Cologne. Elle a bien dû reconnaître à ce moment-là, ainsi qu’elle l’avoue sans détour au site anti-islamisation polonais euroislam.pl, que les comportements des agresseurs nord-africains et moyen-orientaux de Cologne s’inscrivaient tout à fait dans la culture musulmane des nouveaux arrivants qu’elle avait elle-même rencontrés jusqu’ici : « C’est le moment où je me suis dit : “Rebecca, tu dois maintenant mettre le holà, ne serait-ce qu’en tant que militante pour les droits des femmes.” »

    Auparavant, se justifie Rebecca Sommer, « Je croyais que [leur] vision moyenâgeuse allait changer avec le temps […] mais après avoir vu ces situations se répéter et avoir observé ce qui se passait autour de moi, bénévole, j’ai dû reconnaître que pour ce qui est des réfugiés musulmans, ils ont grandi avec des valeurs totalement différentes, ils ont subi un lavage de cerveau depuis l’enfance et sont endoctrinés par l’islam et n’ont absolument pas l’intention d’adopter nos valeurs. Pire encore, ils nous regardent, nous les infidèles, avec dédain et arrogance. »

    Des réfugiés « arrogants » selon Rebecca Sommer

    Dans son interview pour le site euroislam.pl, l’activiste pro-réfugiés précise que le mépris pour les modes de vie occidentaux et pour les femmes ne concerne pas que les musulmans pratiquants, mais la majorité de ceux qui ont grandi au sein de la culture musulmane. Elle parle aussi de sa grande déception quand elle s’est aperçue comment un groupe de « réfugiés » qu’elle avait personnellement aidés et qu’elle croyait être ses amis pratiquaient avec elle la taqqiya. « Je me suis brutalement aperçue que ces gens que j’avais aidés, qui mangeaient, buvaient, dansaient et riaient avec moi, qui ne priaient pas, qui n’allaient pas à la mosquée, qui ne respectaient pas le ramadan, qui se moquaient de la religion et des personnes profondément religieuses, ne m’appelaient pas autrement que « la stupide putain allemande » quand ils mangeaient ma nourriture et se reposaient dans mon jardin. » Elle reconnaît toutefois qu’elle avait été prévenue par des Arabes et des Kurdes arrivés eux aussi récemment en Allemagne justement pour fuir l’oppression musulmane.

    Rebecca Sommer affirme ne pas être un cas isolé, que de nombreux autres bénévoles ont aussi eu cette même prise de conscience tardive et qu’il y a beaucoup moins de bénévoles prêts à travailler avec les nouveaux arrivants aujourd’hui en Allemagne. Elle reconnaît aussi que, par leur nombre, ces immigrants musulmans sont une menace pour le mode de vie des Allemands, et que cela va empirer avec le regroupement familial.

    L’activiste Rebecca Sommer connaît personnellement des personnes qui s’apprêtent à émigrer d’Allemagne vers la Pologne pour fuir l’insécurité

    Elle a d’ailleurs confié à l’hebdomadaire polonais Do Rzeczy connaître personnellement des Allemands qui s’apprêtent à émigrer en Pologne parce qu’ils en ont assez, et elle a ajouté : « Si la Pologne et la Hongrie ne cèdent pas sur cette question, vous pouvez devenir des pays vers lesquels s’enfuiront certains Allemands et Français. Vous pouvez devenir des îlots de stabilité en Europe. »

    Des îlots de stabilité mais aussi de démocratie, car Rebecca Sommer constate aussi que la démocratie n’existe plus vraiment en Allemagne. Son réveil sur ce plan date également de l’épisode de Cologne, quand les médias n’ont pas pris la défense de la société allemande mais sont au contraire devenus partie intégrante d’un système malade, et quand la police, sous la pression des dirigeants politiques, a cessé d’informer les citoyens. Et la nouvelle loi allemande qui oblige les réseaux sociaux à bloquer les contenus prétendument haineux a accentué la censure. C’est ainsi que, quand la militante des droits de l’homme a voulu dénoncer des conversions forcées à l’islam en Indonésie, son compte a été bloqué. Ce n’est d’ailleurs sans doute pas un hasard si c’est à des médias polonais qu’elle se confie aujourd’hui, car quel média allemand accepterait-il de publier de tels propos ?

    Le réveil d’une gauchiste pro-réfugiés face à l’islam

    Le problème, pour Rebecca Sommer, c’est aussi que les Allemands ne cherchent pas du tout à imposer leurs propres normes aux nouveaux arrivants. « Nous avons un énorme problème avec la gauche et les Verts » pour qui « il n’y a pas de culture allemande ». Cette Berlinoise n’ose plus sortir seule pour la Saint-Sylvestre et elle a déjà été agressée cinq fois par des hommes parlant l’arabe !

    Elle pense que pour l’Allemagne, c’est déjà trop tard, et elle compte émigrer pour sa retraite. L’islam politique est déjà présent partout, y compris au gouvernement, dans les partis politiques, dans la police et dans les écoles, et avec le regroupement familial des millions d’immigrants musulmans supplémentaires vont venir. Dans la capitale allemande où elle réside, des quartiers entiers sont déjà dominés par la communauté musulmane qui forme une société parallèle.

    « Tous ceux qui vivent à Berlin et s’occupent des immigrants voient ce problème. La seule exception, ce sont ceux qui ne veulent tout simplement pas le voir parce qu’ils sont adeptes d’une idéologie et sont aveugles et sourds à la réalité », conclut Rebecca Sommer dans son entretien avec Do Rzeczy.

    Lire l’article sur Reinformation.tv

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    http://grandfacho.com/reveil-dune-activiste-gauchiste-pro-refugies-lallemagne-cest-deja-tard/

  • Daval/Darmanin, le grand écart du procureur Schiappa

    Si le néo-féminisme est à géométrie variable, la justice ne l'est pas par Paul Bensussan

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    Marlène Schiappa a adopté des postures contraires dans les affaires Daval et Darmanin. Si le néo-féminisme est à géométrie variable, la justice, elle, ne l’est pas.

    La guerre des sexes que nous annoncions au début du séisme de l’affaire Weinstein semble bel et bien déclarée. Alors que l’islamologue Tariq Ramadan vient d’être placé en détention provisoire à la suite de dénonciations de viols par deux plaignantes, Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, mis en cause pour des faits que la plaignante qualifie de viol par surprise, se voit renouveler « la confiance et la solidarité » du président de la République, du Premier ministre, et de l’ensemble des membres du gouvernement. Incluant Marlène Schiappa, secrétaire d’État auprès du Premier ministre, héraut de l’égalité entre les femmes et les hommes, qui s’indignait hier encore de « l’impunité des crimes sexuels en France ».

    Lire la suite sur Causeur

  • La plainte contre Nicolas Hulot pour « un fait de viol » avait été déposée par Pascale Mitterrand

    Suite à des révélations de l’Ebdo, Christine Le Crom, procureur de la République de Saint-Malo, a confirmé jeudi soir dans un communiqué qu’une plainte pour « un fait de viol » avait bien été déposée en 2008 contre Nicolas Hulot mais classée sans suite, pour ces actes qui remonteraient à 1997, quand Pascale Mitterrand avait 20 ans.

    C’est donc Pascale Mitterrand, petite-fille de François Mitterrand et fille de Gilbert, qui est à l’origine de la plainte déposée en 2008 contre Nicolas Hulot mais « elle n’a jamais souhaité médiatiser » l’affaire révélée par la presse, a-t-elle affirmé vendredi dans un communiqué transmis par son avocat.

    « Le nom de Madame Pascale Mitterrand a été associé contre son consentement à une tempête médiatique visant Monsieur Nicolas Hulot. Elle-même et sa famille ne cautionnent en aucune manière la publicité » donnée à cette affaire, écrit-elle dans ce communiqué transmis par Me Michel Dufranc, bâtonnier du barreau de Bordeaux et avocat de la famille.

    « Elle n’est en aucune manière à l’initiative des révélations qui sont à l’origine de la médiatisation actuelle » de cette affaire révélée par l’Ebdo, qui n’avait pas dévoilé son identité, ce qu’a toutefois fait dès jeudi soir Le Parisien sur son site Internet.

    « Elle a dit dès le départ aux journalistes de l’Ebdo qu’elle ne souhaitait pas cette médiatisation, mais elle n’avait aucun pouvoir de s’y opposer« , a expliqué Me Dufranc. Elle souligne d’ailleurs dans son communiqué que depuis le dépôt de sa plainte en 2008, elle n’a « sous aucune forme, réactivé celle-ci, ni auprès de son protagoniste, ni auprès de quiconque. »

    Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique, a démenti ces rumeurs « ignominieuses » de harcèlement sexuel le visant révélées en Une de l’Ebdo et le Premier ministre, Edouard Philippe, l’a assuré de son « soutien ».

    http://www.medias-presse.info/la-plainte-contre-nicolas-hulot-pour-un-fait-de-viol-avait-ete-deposee-par-pascale-mitterrand/87403/

  • VIDÉO TERRIFIANTE. FACE À FACE AVEC UN EXÉCUTEUR DE L’ÉTAT ISLAMIQUE

    Cette vidéo est extraite d’un documentaire de la BBC.

    Âmes sensibles s’abstenir.

    http://www.bvoltaire.fr/video-terrifiante-face-a-face-executeur-de-letat-islamique

  • Les ratés de la mixité sociale dans l’Est parisien

    Plus de dix ans après l’avoir quitté, la journaliste Géraldine Smith revient dans le 11e arrondissement de Paris. Un quartier toujours prisé des bobos et autres hipsters, mais où l’islam intégriste prospère.
    « Bobo  », « classe créative  », « branchés  »… Chacune de ces expressions recouvre une réalité un peu honteuse, celle de milieux mi-intellos, mi-artistes, conscients des enjeux politiques et sociaux de ce monde, mais qui, plutôt que de les affronter directement, préfèrent faire un pas de côté, en s’imaginant que des solutions esthétiques suffiront pour les apaiser. Ils investissent par exemple des quartiers populaires, croyant venir ajouter aux « United Colors of Benetton  ». Ils fréquentent des cafés à la mode, où l’on mange forcément bien parce que bio, et croient ainsi aider à réaliser les promesses d’une République fraternelle et solidaire, alors qu’ils viennent en fait profiter du repli communautaire pour s’inventer un monde à eux. 
    Au fil du temps, la bonne conscience bobo ne tient toutefois pas le choc de la réalité. Dans son ouvrage sur la difficile coexistence communautaire rue Jean-Pierre-Timbaud, la journaliste Géraldine Smith ne se décrit pas elle-même comme bobo, même si elle reconnaît qu’elle trouvait « très cool  » d’habiter un quartier aussi bigarré. Après avoir élevé ses deux enfants à proximité, elle revient, plus de dix ans après, dans un quartier où l’islam intégriste et les petits vendeurs de drogue prospèrent, où la République n’arrive plus à intégrer ses enfants, et où les incivilités seraient devenues insupportables. Ces retrouvailles se font alors que c’est précisément ce Paris-là qui est devenu une scène d’attentats, en 2015. 
    On croise amis et connaissances, parents d’élèves, directeurs d’école publique ou privée, cafetiers, mais aussi les enfants laissés à eux-­mêmes, les dealers, les mamans voilées, les boulangers musulmans qui servent les femmes en dernier… 
    Avec son époux, Stephen Smith, ancien journaliste au Monde, Géraldine Smith a déjà fait paraître un ouvrage, Noir et français  ! (Ed. du Panama, 2006), sur la tentation identitaire qui traverse la communauté noire de France. Elle propose maintenant... 

  • Les femmes allemandes se rebellent contre les violences des migrants

    Les Allemandes  lancent leur #MeToo contre les violences faites aux femmes par les migrants !

    Les alarmes de poche, qu’on peut acheter pour se défendre, ont une puissance de 120 décibels. C’est le nom que ce nouveau mouvement de femmes en Allemagne a choisi pour alerter l’opinion sur les viols et les meurtres qu’elles subissent en provenance des étrangers.

    is a new initiative by a group of German women who refuse to stay silent about migrant rape, violence and terrorism.
    We bet this won’t get even 1% of the attention that got.
    Let’s get this hashtag trending! https://www.defendevropa.org/2018/migrants/migrant-crime/120db-true-metoo-a-hashtag-fight-migrant-violence-abuse-women/ 

    #120dB: German Women Speak Up Against Migrants Violence, Abuse and Terrorism - Defend Europa

    German women are finally speaking up against the violence, rapes, and terrorism brought in by open-border policies and Islamic immigration. #120dB is the hashtag chosen by these brave women, the real...

    defendevropa.org 

    La vidéo a été visionnée plus de 60 000 en cinq jours, et a généré plus de 800 commentaires. Dans le film, neuf jeunes femmes accusent les pouvoirs publics de ne rien faire pour les protéger :

    « Nous ne sommes pas en sécurité quand nous allons courir, quand nous sortons, quand nous revenons tard. Vous le savez, vous avez ouvert les frontières et nous en sommes le prix. Mais nous ne sommes pas des esclaves, pas des trophées de guerre. »

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/les-femmes-allemandes-se-rebellent-contre-les-violences-des-migrants/87326/