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insécurité - Page 616

  • Un système judiciaire et policier en pleine crise

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    9047-20180209.jpgChacun peut constater l’absence d’autorité flagrante dans notre République. Le faux principe de l’origine électorale de toute autorité n’en finit pas de produire ses conséquences délétères : comme la République nie la véritable autorité (celle qui vient de Dieu), ses représentants n’ont d’autre ressource que de diviser pour régner et asseoir leur pouvoir. C’est ainsi qu’on envoie, pour dégager les prisons en grève, les gendarmes mobiles qui houspillent les gardiens sous le regard goguenard des détenus.

    En fait la situation est tragique et notre président fait semblant de ne pas voir les pompiers assaillis dans leurs interventions sur les lieux des incendies, les médecins des urgences qui ne peuvent plus effectuer leurs missions que sous bonne garde et un pays au bord de la guerre intérieure.

    La justice elle-même, accablée de tâches et surtout croulant sous une avalanche de textes contradictoires qui protègent le criminel autant si ce n’est plus que ses victimes, est par définition inapte à faire régner l’ordre qui dépend essentiellement de la police et de la gendarmerie (la justice a une action essentiellement réparatrice). Or les chefs de l’une comme de l’autre n’ont pas l’autorité nécessaire pour rétablir un ordre de plus en plus problématique.

    Rappelons que, pour la seule année 2016, 14 gendarmes et 2 policiers ont perdu la vie dans leurs missions et que 9 846 d’entre eux ont été blessés plus ou moins grièvement.

    Pour les Français qui ont la mémoire courte, évoquons simplement le cas des deux CRS blessés à Paris lors des défilés des syndicats ouvriers du 1er mai 2017, dont l’un a été brûlé au 3e degré pour avoir été arrosé d’essence enflammée.

    Le sort des gardiens de prison n’est pas meilleur : 4 000 agressions environ se sont produites chacune des dernières années et leur vie est en danger tous les jours. Sans compter les prises d’otages du personnel (une dizaine par an).

    En outre, entre les détenus, il y a des rixes qui oscillent autour de 8 000 par an et qui vont jusqu’au meurtre (six en 2016).

    L’explication par la surpopulation carcérale n’est pas suffisante, même s’il y a 69 714 détenus pour seulement 59 165 places en décembre 2017 (cf. Prisons françaises ? L’état des lieux, Atelier Fol’Fer).

    Les dernières agressions du personnel pénitentiaire à Borgo, Mont-de-Marsan, Tarascon, Grenoble-Varces et surtout celle de Vendin-le-Vieil ont démontré l’inanité des moyens employés et la veulerie des syndicats politisés incapables de discerner les causes du désordre.

    Au quartier d’évaluation de la radicalisation (QER) de Fleury-Mérogis, on est très fier d’indiquer qu’on bénéficie de l’aide d’un iman pour répondre aux questions et objections de ces islamistes dont certains ont fait des études supérieures et qui ont appris par cœur le Coran et connaissent la sounna et les hadiths. Mais que répondre à des gens qui n’ont pas peur de la mort dans un pays dont la législation pénale est à ce point énervée qu’elle a aboli par une règle constitutionnelle la peine capitale (article 66-1 de la Constitution de 1958 et protocole additionnel n° 6 à la Convention européenne des droits de l’homme) ?

    Ce sont donc les gardiens de prison, les policiers et les gendarmes qui risquent leur vie, et le gouvernement est incapable de les protéger, par sa politique délibérée de désarmement face à un ennemi déterminé.

    Article repris du quotidien Présent

  • Reprendre le contrôle des zones de non-droit

    Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle

    Parmi les nombreuses formes que prend l’insécurité dans notre pays, les cités sensibles sont sans doute les plus préoccupantes en raison de l’accumulation des actes délictueux ou criminels qui y sont commis, mais aussi parce que c’est clairement l’autorité, voire la souveraineté, de l’État français qui y sont bafouées. Aussi Ligne droite estime-t-elle indispensable que notre nation reprenne le contrôle des zones de non-droit.

    Les lois de la République bafouées

    Dans ces quartiers qui portent bien leur nom, les lois de la République n’y sont en effet plus appliquées. Et pour cause, les services de l’État n’y pénètrent plus que très difficilement. La police, quand elle doit s’y aventurer, y entre en force. Les pompiers et autres services publics voient leurs véhicules régulièrement caillassés. Même les médecins y sont parfois agressés.
    Autant dire, dans ces conditions, que les voyous y règnent en maîtres. Ainsi le trafic de drogue dispose au sein de ces cités d’un terrain privilégié pour s’y développer presque au grand jour. Les bandes y sont nombreuses et agressives et la grande criminalité y trouve là ses appuis et ses auxiliaires. Quant aux habitants ordinaires, ils doivent subir des nuisances et des incivilités de toutes sortes ainsi que des vols et des agressions qui rendent leur vie quotidienne particulièrement éprouvante.
    Les femmes qui ne respectent pas la tenue musulmane traditionnelle sont par ailleurs soumises à un harcèlement incessant. Car, dans la plupart de ces cités, l’islam est aussi très présent et, à bien des égards, très menaçant. Beaucoup de ces zones de non-droit ont pu être qualifiées par des experts de califats localisés, c’est-à-dire d’enclaves islamistes que les djihadistes et autres aspirants terroristes utilisent comme zone de refuge, de protection et de soutien, selon le modèle de Molenbeek, la commune tristement célèbre des environs de Bruxelles.

    L’unité de la nation menacée

    Aussi ces zones de non-droit posent-elles un problème majeur. La République ne peut en effet pas tolérer que des portions de son territoire ne soient plus soumises à ses lois. L’accepter, ce serait d’abord faire l’aveu d’une faiblesse honteuse qui ne pourrait qu’inciter les voyous à aller toujours plus loin dans le défi aux autorités. Mais ce serait aussi remettre en cause le principe de l’unité de la République et s’engager sur la voie du communautarisme, voire de la partition de fait du territoire.

    Des solutions qui ne règlent rien

    Le Système l’a bien senti qui, au cours des dernières décennies, a tenté plusieurs initiatives pour esquisser des solutions au problème. Il y a eu la rénovation urbanistique consistant à détruire les tours pour bâtir des immeubles plus à l’échelle humaine. Mais, si ces opérations apportent en effet un mieux-être aux habitants les plus tranquilles, elles ne règlent nullement le problème des cités. Car celui-ci est lié aux racailles qui y résident et non aux murs qui les abritent. Nos gouvernants ont aussi imaginé de faire massivement appel à des animateurs en tout genre, relayés par des associations richement dotées et aidés de policiers de proximité. L’idée, qui est d’amadouer, d’éduquer et d’encadrer les voyous, a là aussi trouvé ses limites car, pourvoyeuse de beaucoup d’argent et de nombreux avantages, l’initiative a été en quelque sorte absorbée par le milieu des délinquants qui a pris ce qu’il y avait à prendre sans améliorer vraiment la situation.

    Le pouvoir à l’État, pas aux mafieux

    Ligne droite estime en conséquence que le moment est venu de changer de méthode et de recourir à l’autorité. Pour cela, les pouvoirs publics doivent comprendre qu’il s’agit pour les délinquants de ces quartiers d’une question de pouvoir et de rapport de force. Celui qui sera obéi est celui que l’on respecte parce qu’il est le plus fort et qu’il a de ce fait le pouvoir. Dès lors, la question est simple : qui a le pouvoir dans les cités : le mafieux, l’imam ou le préfet ? Pour rétablir l’autorité de l’État dans ces zones de non-droit, la seule solution est donc de lancer des actions de force pour y imposer à nouveau et durablement le pouvoir des représentants de l’État.

    Des opérations de remise en ordre

    Concrètement, l’idée consiste à effectuer des opérations spéciales de remise en ordre, au cours desquelles le quartier ciblé est investi par d’importantes forces de police qui s’y installent à demeure et en contrôlent les entrées et les sorties. Présentes au moins pendant trois mois, elles ont pour mission de permettre à tous les services de l’État de normaliser la situation. Les clandestins et les délinquants étrangers sont interpellés et aussitôt expulsés. Les trafiquants sont arrêtés et incarcérés. Des fouilles systématiques sont effectuées pour y découvrir les caches et saisir la drogue et les armes. Les fauteurs de trouble sont mis à l’écart et les étrangers parmi eux voient leur permis de séjour supprimé. Les familles indésirables sont reléguées hors de la cité. La liste des locataires est revue pour, le cas échéant, rééquilibrer la population des résidents en offrant des logements à des familles sans histoire au détriment des locataires à problèmes.

    Une aide pour les quartiers apaisés

    À l’issue de l’opération, le quartier est confié à un réseau serré de gardiens appartenant à un corps supervisé par l’État et recrutés parmi les jeunes retraités sous-officiers de l’armée. Formés à gérer les situations à risque par des méthodes psychologiques ou par le recours à la force, ces gardiens qui seraient présents nuit et jour auraient pour mission de gérer les incivilités et d’éviter que les trafics ne se reconstituent. Ils seraient au quotidien les représentants permanents de la puissance publique. Une fois apaisés, les quartiers en question pourraient alors bénéficier d’une assistance sociale privilégiée chargée d’aider les jeunes à trouver une formation ou un emploi, à favoriser l’animation de la vie locale et à susciter l’intégration à la nation française.

    Une loi d’exception

    L’opération de reprise en main des cités serait légalement encadrée par une loi spéciale dérogatoire du droit commun. La situation étant exceptionnelle, elle justifierait en effet des mesures hors normes. Les cités seraient ainsi prises en charge les unes après les autres et gageons que ces manifestations d’autorité contribueraient progressivement à rétablir sur le terrain le rapport de force légitime, celui grâce auquel ce sont les voyous qui ont peur de la police et non l’inverse.

    Ligne droite 08/02/2018

    https://www.polemia.com/reprendre-le-controle-des-zones-de-non-droit/

  • AFFAIRE MENNEL IBTISSEM/THE VOICE : BENJAMIN CASTALDI RELAIE-T-IL DES « FAKE NEWS » ?

    L’affaire Mennel, du prénom de cette jeune candidate à « The Voice » sur TF1, dont on a exhumé des tweets outranciers (voir notre article ici), ne cesse de faire des vagues.

    Dernier épisode : une chroniqueuse de « Touche pas à mon poste ! », méconnaissant vraisemblablement l’envergure des tweets de la jeune chanteuse, accuse Benjamin Castaldi de « relayer les fake news de la fachosphère ». Regardez la réaction de ce dernier : 

    http://www.bvoltaire.fr/affaire-mennel-ibtissem-the-voice-benjamin-castaldi-relaie-t-fake-news/

  • Armée : 295 milliards € en 7 ans - Journal du Jeudi 8 février 2018

  • Éric Zemmour : “Il n’y a plus que des guerres contre le terrorisme !”

    Depuis quinze jours, une offensive de l’armée turque est lancée sur le territoire syrien contre les Kurdes. Le président Recep Tayyip Erdogan affirme lutter contre le terrorisme. Met-il en danger ses alliances ?

    Pour Éric Zemmour, “il n’y a plus que des guerres contre le terrorisme !” :

    Encore une guerre au terrorisme ! Mais pas celle de George W. Bush contre Al-Qaïda après les attentats du 11-Septembre. Ni celle qu’achève en ce moment la coalition occidentale contre Daesh. Pas celle non plus que mena Poutine contre les terroristes tchétchènes. Ou encore celle que conduisent, sans faiblir, les Israéliens contre les “terroristes” du Hamas ou du Hezbollah.

    C’est au tour désormais du Turc Erdogan de lancer une offensive d’envergure contre les “terroristes”. Des “terroristes” kurdes qui ne sont terroristes que parce qu’ils luttent pour l’indépendance de leur pays, le Kurdistan, occupé et partagé entre l’Irak, la Syrie et la Turquie. Des terroristes kurdes qui, jusqu’à présent, étaient les fers de lance du combat contre les “terroristes” de Daesh.

    Tout le monde est terroriste, chacun à son tour. La guerre tout court n’existe plus. Il n’y a plus que des guerres contre le terrorisme. Les diplomates en perdent leur latin. Ou plutôt leur anglais.

  • ALEXANDRE DEL VALLE : « LES DJIHADISTES FRANÇAIS QUI VONT REVENIR VONT CONTINUER À NUIRE »

    Que faire des djihadistes français désirant rentrer en France ? La France doit-elle intervenir pour ses ressortissants qui seront condamnés à mort ? Est-il vrai qu’il est impossible de s’assurer de la sincérité du repentir d’un djihadiste ? Que va-t-il se passer lorsque sortiront de prison les djihadistes arrivés en fin de peine ?

    Alexandre Del Valle tente de répondre à ces questions.

    Que faire des jihadistes français qui désirent rentrer en France ?

    La question est très compliquée. Deux questions se posent. La première, la loi permet-elle de les condamner une fois rentrés ? Et la seconde, devons-nous les aider à rentrer ?
    Il y a ceux qui sont en train de rentrer et qu’on ne peut pas empêcher de rentrer. On va devoir les traiter. On ne pourra pas les mettre trente ans en prison. Dans un pays démocratique, on ne peut pas mettre quelqu’un en prison sans preuve manifeste de ses actes.
    Ceux pour qui nous avons une connaissance de leurs actes parce qu’ils ont été attrapés par les Kurdes, par les forces syriennes, irakiennes, ou autre, et qui nous sont remis par la Justice ou que l’on veut réclamer, là c’est un autre problème. Soit ils seront jugés sur place et certains seront même condamnés à mort. Dans ce cas-là, des forces de la culpabilisation et du multiculturalisme vont dire que c’est scandaleux de les laisser se faire tuer là-bas, même légalement. Soit, nous arrivons à les rapatrier et nous aurons des éléments pour les juger. Mais, pourrons-nous rapatrier des gens qui auront commis sur places des délits extrêmement graves ou des homicides? Les pays qui attraperont des jihadistes qui ont coupé des têtes ne les laisseront pas partir en France.
    On va donc retrouver soit des gens extrêmement rusés que nous ne pourrons pas déradicaliser, soit des gens contre lesquels nous n’aurons pas assez de preuves pour les mettre hors d’état de nuire. Et nous ne pourrons pas les déchoir de leur nationalité s’ils n’ont pas au moins une double nationalité.

    La Garde des Sceaux a néanmoins déclaré que si une condamnation à mort était prononcée contre un ressortissant français en Irak ou chez les Kurdes, la France interviendrait…

     

    Je ne suis même pas sûr qu’elle le pense. Aujourd’hui, le grand drame depuis la fameuse loi Badinter qui avait été votée suite à une plaidoirie de Badinter. Il disait « même un violeur ou un type qui a fait quelque chose de monstrueux ne mérite pas la peine de mort ».
    On est encore aujourd’hui dans cette optique. On n’est pas prêt de revenir en arrière.
    Au moment de l’abolition de la peine de mort, on disait que même un violeur d’enfant ou l’être le plus abject ne méritait pas la mort. Je ne vois pas aujourd’hui qui que ce soit faire marche arrière. C’est presque quelque chose d’aussi puissant que l’avortement.
    Aujourd’hui, on ne peut pas revenir ni sur l’abolition de la peine de mort ni sur l’avortement.
    On est donc condamné à l’hypocrisie. Je suis persuadé que cette ministre de la Justice, de même que les ministres de l’Intérieur, des affaires étrangères et même le président de la République, même s’il le pense comme Hollande l’avait d’ailleurs dit en privé, doivent probablement se féliciter s’il y a des exécutions extras judiciaires sur place soit par nos missiles, soit par des gouvernements locaux. Mais, en fait, il ne faudra pas que cela se sache.
    En revanche, s’il y a une condamnation légale à mort qui est prononcée dans ces pays, nous serons pratiquement obligés de faire croire qu’on veut leur rapatriement et qu’on veut commuer leur peine de mort en autre chose. Sinon, cela voudrait dire qu’on légalise le retour de la peine de mort. On est donc condamné à être hypocrite et à laisser faire tuer des jihadistes ou à les tuer nous-mêmes par des missiles sans aucun jugement et sans que cela soit officiel. Ce sera des accidents, des dommages collatéraux ou à notre insu.

    Le journaliste David Thomson a déclaré dans Le Figaro qu’il était impossible de s’assurer de la sincérité du repentir d’un jihadiste…Partagez-vous cette opinion ?

    Quelqu’un qui a étudié la pensée islamique, sans même forcément avoir été sur place, sait qu’il y a toujours eu la fameuse takia des chiites. La takia vient du chiisme, ce n’est pas sunnite. C’était un principe de survies en milieu hostile.
    Chez les sunnites, cela s’appelle la ruse de guerre.
    On peut aller très loin dans le mensonge quand c’est dans le but d’étendre ou de protéger l’islam ou du jihad qu’il soit offensif ou défensif. Sur ce point, il y a une très grande tradition et qui est difficile à déradicaliser. Ce droit au mensonge absolu peut aller jusqu’à jurer le contraire de ce qu’on est, avoir l’air rasé, fumeur de joints, buveur d’alcool, mangeur de porc. Une fille peut faire croire qu’elle est devenue tout à fait opposée au voile. La fameuse jihadiste bretonne d’origine alsacienne König récemment arrêtée par les Kurdes fait croire qu’elle est devenue moderne. Elle a jeté volontairement son voile en disant qu’elle ne demande plus à être voilée. Elle est en train de pratiquer une ruse de guerre et prépare son atterrissage en France. Elle pourra dire lorsqu’elle sera interrogée par les juges en France « Déjà là-bas, j’avais demandé à enlever mon voile dès que j’ai été libéré par les kurdes, car lorsque j’avais mon voile, j’étais prisonnière ».
    Ils ont une capacité à mentir que tous les spécialistes connaissent, le droit de la ruse absolue.
    Cela explique l’attitude du double jeu des terroristes soi-disant déradicalisés, mais aussi le double jeu d’un Tariq Ramadan ou des islamistes soft qui font croire qu’ils sont pour la laïcité et pour la République. Ils signent même des tribunes avec Edgar Morin en disant « vive la laïcité » , alors que toute leur idéologie, celle des Frères musulmans, est tournée contre la laïcité.
    Dans l’islamisme jihadiste comme dans l’islamisme soft, les deux étant islamistes, je ne parle pas des musulmans modérés, il y a cette tradition de duplicité et de ruse de guerre qui n’est pas un péché dans cette mentalité puisque c’est pour le bien de l’extension de l’islam.

    Il y a deux dangers latents. Ceux qui ont été emprisonnés avant le départ et ceux qui l’ont été à leur retour.
    Que va-t-il se passer lorsqu’ils sortiront de prison ?

    Il y a ceux qui vont sortir, parce qu’ils ont pris des peines courtes. D’un point de vue du droit, on ne peut pas faire autrement. Aucun chef d’accusation ne permet de susciter ou motiver trente ou quarante ans d’emprisonnement. On ne peut pas faire autrement sauf si on essaie de les éliminer sur place ou d’empêcher qu’ils reviennent.
    Nous allons donc avoir un potentiel, même s’ils ne reviendront pas tous, de revenants entre 700 et 2000 pour la France et entre 3000 et 5000 pour l’Europe. Certains vont continuer le jihad toute leur vie et d’autres sont déjà allés en Libye, en Irak ou au Yémen en partant de Syrie.
    En revanche, ceux qui vont revenir vont continuer à nuire. C’est une certitude, c’est comme les violeurs d’enfants, la plupart récidivent.
    D’autres sont frustrés et enragés comme des bêtes, car ils n’ont pas pu partir. On les a préventivement emprisonnés, on leur a mis des bracelets ou on les a empêchés de partir. Lorsqu’ils sont mineurs, on les a mis hors d’état de nuire. On a empêché leur départ vers la Turquie et vers la Syrie en coopération avec les polices européennes et turques.
    Aujourd’hui, on a les revenants enragés qui veulent continuer le combat pour compenser les pertes territoriales de Daech en Syrie ou en Irak et ceux qui ne peuvent pas revenir, car ils n’ont pas pu partir. Ceux-là ils sont encore plus enragés parce qu’ils étaient prêts à agir et on les a frustrés. Ils sont dans des prisons surpeuplées en contact de délinquants. Je vous laisse imaginer ce que devient un être humain qui sort d’une prison où il faut se battre tous les jours pour survivre, pour ne pas se faire brûler à la cigarette, se faire piquer son repas ou se faire violer dans les douches.
    Je ne veux pas faire le gauchiste ou le politiquement correct, mais c’est une question d’humanité.
    Les prisons en France, c’est pratiquement Midnight express. C’est absolument l’horreur pour certaines d’entre elles. La personne que vous mettez dedans ressort bien pire.
    Nous sommes donc absolument certains que les revenants ou les pas revenants qui n’ont pas pu partir sont des bêtes enragées qui vont récidiver et continuer à œuvrer à la radicalisation d’autres personnes en plus de mettre en œuvre leur propre radicalisation.
    Les psychosociologues en face de qui on les met pour les déradicaliser sont désormais totalement discrédités. Prenez Dounia Bouzard par exemple, elle a été bernée par la fille dont elle se vantait d’avoir œuvré à la déradicalisation. La déradicalisation est un échec total. Malheureusement, je ne vais pas faire l’apologie de cette voix, mais je vais vous dire ce que pense un général algérien que j’ai écouté récemment sur la radio publique algérienne:  «  un bon terroriste est un terroriste mort ».
    C’est un peu ce que pensent les Russes. Je ne dis pas que c’est ce que je préconise et ce que je pense. On ne peut pas le faire, car nous sommes dans un État de droit.
    Mais aujourd’hui, la meilleure chose est assurément qu’ils ne reviennent pas.

    http://www.bvoltaire.fr/djihadistes-francais-revenir-continuer-a-nuire/

  • TF1 A BEAU FAIRE LA DANSE DU VENTRE, MENNEL IBTISSEM, LA CANDIDATE VOILÉE DE THE VOICE, A BIEN SOUTENU DES ISLAMISTES

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    J’imagine la scène d’ici. Dans l’IGH (c’est comme ça qu’on appelle la tour centrale de l’immeuble du Point-du-Jour à Boulogne, quand on bosse chez TF1), les réunions de crise doivent succéder aux crises de nerfs. Comment en est-on arrivé là ? Comment la première chaîne de France (et la plus grosse d’Europe) a-t-elle pu se retrouver à mettre en avant une certaine Mennel Ibtissem, laquelle s’est répandue durant des mois sur les réseaux sociaux en y tenant des propos aussi controversés que « Les vrais terroristes, c’est notre gouvernement » (1er août 2016) ou en retweetant des publications de Barakacity, organisation islamique dont le fondateur – fiché par la DGSI – refusa, un jour, de serrer la main des femmes sur un plateau de Canal+.

    Comment TF1 peut-elle maintenant gérer cette affaire ?

    Toute la première partie de la saison de « The Voice » est enregistrée, en boîte, « prête à diffuser ». Qu’en fait-on ? On ne peut pas faire disparaître la gênante demoiselle d’un coup de montage magique, comme on le fit avec « Incroyable Talent » sur M6 pour effacer Gilbert Rozon. Il aurait fallu y penser plus tôt. Maintenant, la France l’a vue…

    Le piège qui s’est refermé sur TF1 est celui du politiquement correct et du sacrifice à la coolitude : une jolie voilée, c’est tellement inclusif ! La diversité aux yeux bleus, c’est tout bénef, non ?

    Alors TF1 et la prod de « The Voice » ont bien essayé le bonne vieille méthode du petit père Joseph : on efface ! Ainsi ont été effacés dans l’urgence son compte Facebook personnel et son compte Twitter. C’est bien peu connaître le Net que de se fourvoyer dans de telles pratiques : tout avait déjà été capturé ! Et les captures, c’est comme les petits pains et les poissons, ça a tendance à se multiplier à une vitesse de folie. Résultat : les reflux gastriques de Mennel Ibtissem pullulent sur les réseaux.

    Par exemple, le 15 juillet 2016, le lendemain de l’attentat islamiste de Nice, la future candidate de « The Voice » tweetait sous le mot-dièse #PrenezNousPourDesCons en ironisant sur le fait que le terroriste (mot qu’elle entourait de guillemets !) avait sur lui sa pièce d’identité.

    « The Voice » est non seulement une émission très regardée, mais les dégâts perdurent bien après la conclusion de la saison : le lauréat est auréolé d’une aura qui lui donne une force d’influence majeure auprès d’une certaine jeunesse qui part aisément à la dérive. Ériger en idole une islamiste au cerveau broyé (le correcteur de Boulevard Voltaire va encore me dire que je fais un pléonasme), c’est un jeu dangereux.

    Deux questions restent maintenant en suspens :

    – N’y a-t-il personne, chez TF1, qui consulte les profils des candidats avant de les mettre en lumière ?
    – Que va faire TF1 ?

    Sur sa page Facebook professionnelle, qui a remplacé son profil personnel effacé, Mennel Ibtissem ne publie maintenant – taqiya aidant – que des appels à l’amour entre tous les êtres…

    Ben tiens, #PrenezNousPourDesCons.

    http://www.bvoltaire.fr/tf1-a-beau-faire-danse-ventre-mennel-ibtissem-candidate-voilee-de-the-voice-a-bien-soutenu-islamistes/

  • Touche pas à mon cosmétique

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    LA CHRONIQUE DE PHILIPPE RANDA

    C’est un usage courant dans les magasins et on n’y fait plus guère attention ; certains articles attirent la convoitise bien plus que d’autres, soit pour leur prix (foie gras, alcools, disques, etc.), soit pour leur facilité de vol (piles) et sont exposés « sous clé ».

    Aux États-Unis, les « produits cosmétiques pour Afro-américains » sont particulièrement prisés d’utilisateurs qui ne semblent pas tous enclins à les acquérir contre monnaie sonnante et trébuchante. D’où la directive d’un magasin de la chaîne de supermarchés Walmart, à Perris, de les enfermer dans une armoire vitrée pour éviter la tentation à certains.

    Une occasion rêvée pour les professionnels de l’anti-racisme : l’avocate Gloria Allred, célèbre pour ses engagements en faveurs des droits civiques, a en effet déposé une plainte pour discrimination, arguant que les autres cosmétiques étaient, eux, en accès libre… et donc, qu’une cliente n’avait pas l’obligation d’« être escortée jusqu’à la caisse avec les produits pour pouvoir les acheter. »

    Selon maître Gloria Allred, « ces pratiques discriminatoires perpétuent des stéréotypes raciaux selon lesquels les Noirs seraient des voleurs… »

    Le groupe Walmart se défend en indiquant que « certains articles de soins sont soumis à des mesures additionnelles de sécurité » et que chaque responsable de magasin prend ses décisions en se basant sur des statistiques concernant les objets les plus concernés.

    On imagine tout de même que pour les dirigeants de ce groupe, l’argent d’un client n’a pas davantage d’odeur que de couleur ethnique…

    Devront-ils à l’avenir se laisser détrousser au nom du douteux slogan « pas d’amalgame », désormais brandi à tort et à travers pour le plus grand profit de certains ?

    EueiLibertés cliquez ici

  • ITALIE : UNE JEUNE FILLE DÉMEMBRÉE COMPTE MOINS QUE LES « MIGRANTS »

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    Le 31 janvier dernier, deux valises contenant le corps démembré d’une jeune fille de 18 ans, Pamela Mastropietro, étaient retrouvées sur le bord d’une route de la province de Macerata. Ayant préalablement été nettoyée à l’eau de Javel et une partie de ses organes génitaux manquants, les causes de la mort et une éventuelle violence sexuelle sont encore à déterminer. Ce que l’on sait, c’est qu’elle fut mutilée, découpée en morceaux et abandonnée comme de vulgaires ordures dans un fossé.

    Ce que l’on sait, c’est qu’Innocent Oseghale, le clandestin nigérian de 29 ans arrêté pour homicide volontaire, profanation et dissimulation de cadavre, ne devait plus se trouver sur le territoire italien, étant mêlé à des activités de trafic de drogue et son permis de séjour ayant expiré.

    Silence total des institutions de la République italienne.

    La colère s’exprime uniquement sur Internet, dernier espace de liberté en voie de restriction grâce à la fallacieuse lutte contre les « fake news » (qui n’est rien d’autre qu’une tentative de museler les canaux d’information et d’opinion qui échappent à la pensée unique). 

    Samedi 3 février, Luca Traini, un jeune homme de 28 ans de Macerata, ouvrait le feu sur une foule d’immigrés subsahariens, blessant grièvement six d’entre eux. Il est actuellement aux arrêts, avec l’accusation de « tentative de massacre aggravée par la finalité de racisme » et port illicite d’arme.

    Il serait banal, presque usant, de réitérer que, face au foisonnement de meurtres, viols et agressions de la part des migrants envers les autochtones qui les accueillent, qu’à cause des privilèges et de l’impunité dont ils jouissent souvent, un tel acte d’auto-justice était plus que prévisible.

    Tel n’est pas le sujet ici. Le sujet, c’est le tintamarre, outrageant, dérangeant, déplacé qui a eu lieu après. Car la réaction, tant attendue, du clan politico-médiatique est arrivée. Non lors de la découverte du corps dépecé de la jeune fille ou de l’arrestation de son boucher présumé. Non. L’indignation a été déclamée dans toute sa théâtralité lorsqu’un petit Blanc a tiré sur des immigrés : le ministre de l’Intérieur Marco Minniti se déplace aussitôt sur le lieu de la fusillade, rencontre les force de police, ordonne « une réponse ferme » ; le Premier ministre Paolo Gentiloni réunit une conférence de presse déclarant que « l’État sera particulièrement sévère envers quiconque alimente une spirale de violence » ; les intellectuels prennent le haut du pavé, accusant Matteo Salvini, de la Ligue du Nord, d’être le « commanditaire moral » de la fusillade.

    Mais pas un mot sur les moyens à mettre en œuvre afin d’éviter que des criminels, qu’ils soient trafiquant d’êtres humains, de drogue, assassins, violeurs ou de pauvres « victimes de mauvaises habitudes culturelles » (comme ils aiment à les voir), ne s’installent chez nous.

    Tant pis pour les autres Pamela, qui feront les frais de ce choc culturel en acte, en attendant que la magie occidentale qu’ils imaginent les transformant en « citoyens bien intégrés » ne porte ses fruits. Ce qui n’arrivera, de toute façon, jamais à l’intérieur de sociétés communautaristes comme les nôtres, où ils accéderont au confort matériel sans avoir à changer une once de ces mêmes « mauvaises habitudes culturelles ».

    http://www.bvoltaire.fr/italie-jeune-fille-demembree-compte-migrants/

  • Démonstration de force à Cottbus (All) : plusieurs milliers de manifestants défilent contre la violence des migrants, la manifestation pro-migrants réunit à peine 600 personnes

    La manifestation contre la violence des migrants :

     

    dw.com

    http://www.fdesouche.com/949611-demonstration-de-force-a-cottbus-all-plusieurs-milliers-de-manifestants-defilent-contre-violence-migrants-manifestation-pro-migrants-reunit-a-peine-600-personnes