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insécurité - Page 614

  • Gérard Depardieu au sujet des Algériens de Marseille : “ils ne pourraient pas se comporter comme ça en Algérie”

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    Gérard Depardieu était l’invité de l’émission Quotidien sur TMC, le 13 février dernier. Il a ainsi été question de Marseille, ville où l’acteur a tourné la deuxième saison de la série éponyme de Netflix.
    Gérard Depardieu en a profité pour évoquer le comportement des ressortissants algériens qui y vivent :
    Les Algériens qui vivent à Marseille ne pourraient pas se comporter comme ils se comportent à Marseille en Algérie. Jamais vous voyez un Algérien mal se comporter en Algérie parce qu’ils sont vite ramenés au respect par les anciens.
     
     

    Gérard Depardieu à propos des Algériens de Marseille : "ils ne pourraient pas se comporter comme ça en Algérie"

    https://fr.novopress.info/

  • Le ministère de la justice révèle le nombre de détenus étrangers en France

    6a00d83451619c69e201b8d2dab451970c-250wi.jpgLes double-nationalités ne sont pas comptabilisées.

    Sur 69 077 détenus au 1er février 2017, on compte 14 964 étrangers soit plus de 20% des détenus. Les nationalités les plus représentées sont :

    • algérienne 1 954
    • marocaine 1 895
    • roumaine 1 496
    • tunisienne 1 002
    • albanaise 551
    • portugaise 480
    • congolaise 427
    • espagnole 319
    • turque 301
    • surinamaise 271
    • néerlandaise 239
    • géorgienne 237
    • brésilienne 216
    • italienne 213

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Relaxe « surprise » de Bendaoud, par Franck Deletraz

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    9052-20180216.jpgUne chose est sûre : Jawad Bendaoud pourra remercier les gros médias. A force d’insister sur son interview surréaliste de novembre 2015, ses bouffonneries insupportables, et de le présenter comme une « petite frappe », ceux-ci auront en effet donné un prétexte à une justice noyautée par le Syndicat de la magistrature pour prononcer mercredi la relaxe de cet homme qui a logé les djihadistes responsables de la mort de 130 personnes lors des attentats de Paris.

    Conscient de sa dangerosité, le parquet – qui a immédiatement fait appel de cette décision – avait pourtant requis contre lui quatre ans de prison. Mais le tribunal correctionnel présidé par Isabelle Prévost-Desprez, estimant que l’enquête n’avait pas permis d’établir que Bendaoud avait conscience d’héberger des islamo-terroristes et que lui-même n’en était pas un, a décidé de le remettre en circulation dès mercredi soir. Tout comme Youssef Aït Boulahcen qui, bien que condamné à quatre ans de prison dont un avec sursis pour « non-dénonciation de crimes terroristes », a pu repartir libre, faute de mandat de dépôt délivré par le tribunal…

    Très en colère, la mairie de Saint-Denis, qui s’était portée partie civile dans cette affaire, a en tout cas fort justement dénoncé cette relaxe qui, a-t-elle souligné, « renvoie dehors un délinquant multirécidiviste dont les pitreries ne doivent pas masquer la réelle dangerosité ».

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 16 février 2018

    https://fr.novopress.info/209610/relaxe-surprise-de-bendaoud-par-franck-deletraz/

  • Jawad : un criminel en liberté - Journal du Jeudi 15 Février 2018

  • Volontaires et violeurs : le mythe des pures Ong s’écroule

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    Les Organisations non gouvernementales, à vocation humanitaristes et immigrationnistes, sont au centre du sandale qui a éclaté le 9 février dernier après la publication sur le Times d’un reportage accusant des dizaines de leurs volontaires d’abus sexuels au cours de leurs missions humanitaires et d’assistance dans différents pays en guerre ou en état d’urgence.

    Après les volontaires d’Oxfam, de Save the Children, de Christian Aid, c’est au tour des purs et durs de Médecins sans frontières d’être accusés d’agressions et d’abus sexuels. L’année dernière, la puissante ONG a enregistré 24 cas d’abus, en grande partie au sein du personnel. Mais il n’est pas exclu que cela regarde aussi le personnel local en zone de guerre ou d’urgence. MSF admet également que deux cas impliquent directement « des patients ou membres des communautés » dans lesquelles elle intervient.

    MSF, la moralisatrice, qui apporte par milliers les migrants en Italie, qui avait refusé l’été dernier de signer le code de bonne conduite destiné à mieux contrôler les sauvetages en mers mis en place par le ministère de l’Intérieur italien, qui dénonçait les viols dans les camps de détention en Libye comme si c’était la faute de l’Occident pas assez ouvert et accueillant, ne fait plus autant la fière aujourd’hui… L’image de l’ONG bien proprette, imbattable pour donner des leçons de morale et d‘humanitarisme aux pays européens envahis, se fane à vue d’œil…

    Au cours de l’année 2017, MSF qui compte 40 000 volontaires, a reçu 146 dénonciations pour abus de pouvoir et agressions sexuelles. Si ce chiffre n’est pas spécialement élevé, c’est quand même un comble pour une ONG qui fait de l’esprit humanitaire un impératif moral et demande de l‘argent aux gens au nom de sa réputation d‘intégrité et de sa vocation absolue à venir en aide aux autres, et tout spécialement aux « migrants ».

    MSF se vante aujourd’hui de « transparence » en diffusant les informations, sur une seule année, la concernant. Or le siège de Paris ne l’a fait qu’après le scandale de plus en plus abyssal qui frappe Oxfam et sort au grand jour malgré un système de silence et de protection.

    Un système qui est en train de s’écrouler sous les coups de butoirs de la dénonciation publique devenue la nouvelle valeur à la mode d’un monde nihiliste schizophrène, qui a envoyé balader les lois naturelle, divine et morale, seules capables de dompter les passions humaines, pour ériger toutes les déviances sexuelles en suprême acte de liberté individuelle, tout en se posant en redresseur de tort face au mal sexuel…

    Cette culture de la dénonciation, venue de la puritaine protestante Amérique, qui consiste à mettre au pilori sur la place publique en jetant en pâture sur les réseaux sociaux tout un chacun est, disons-le, abjecte et vulgaire. Mais nous ne pleurerons pas sur bien de ces hommes, femmes et aujourd’hui ONG, tous très politiquement et sexuellement corrects, frappés de plein fouet par cette « vertu » de la délation, fausse ou vraie. Ils étaient les premiers à en user et abuser pour discréditer leurs adversaires incorrects…

    Francesca de Villasmundo

  • FRANÇOIS HOLLANDE A BEL ET BIEN HONORÉ À L’ELYSÉE L’AUTEUR D’UN APPEL AU MEURTRE

    On est stupéfait que l’absolution de François Hollande ait couvert tardivement à l’Elysée, dans l’indifférence générale, le jour de son pot de départ, les paroles criminelles chantées par Black M dix ans plus tôt « Je crois qu’il est grand temps que les pédés périssent, coupe-leur le pénis, laisse-les morts sur le périph ». Une présidence capable d’honorer le crime sous les lambris ne rassure personne, pas plus qu’un Président qui déclare qu’un fiché S est un « bon garçon malgré des trucs radicaux »

    http://www.bvoltaire.fr/francois-hollande-a-bel-bien-honore-a-lelysee-lauteur-dun-appel-meurtre/

  • CE NE SONT PAS LES HABITANTS QU’IL FAUT RECONQUÉRIR, CE SONT LES CRIMINELS QU’IL FAUT ÉLIMINER

    prison.jpg

    Il semblerait qu’au lendemain de la présentation de la « nouvelle » police de sécurité du quotidien par le ministre de l’Intérieur, un certain nombre d’élus aient été déçus de n’avoir pas été retenus pour expérimenter ce dispositif. Il est vrai que c’était certainement une bonne occasion de voir arriver dans leurs villes quelques policiers supplémentaires – vraisemblablement ponctionnés ailleurs au détriment d’un autre élu -, et de recevoir quelques centaines de milliers d’euros dans le cadre d’une politique publique qui se révélera, au final, aussi inefficace que les autres. Il fallait donc passer en premier, avant que le dispositif, à brève échéance, ne meure de sa belle mort.

    Ce sont donc 15 « quartiers de reconquête républicaine » qui ont été retenus pour 2018. 15 autres devraient venir s’ajouter en 2019. Oui, mais voilà, il se trouve que les 15 quartier ciblés cette année sont loin d’avoir été oubliés dans le passé. Ainsi retrouve t-on les quartiers « Gros Saule » et les » Beaudottes » à Aulnay-sous-Bois et Sevran, « le Neuhof » à Strasbourg, « Les Tarterêts » à Corbeilles-Essonne, « La Mosson » et « La Paillade » à Montpellier, « Les quartiers nord » à Marseille, « Ousse-des-bois » à Pau, ou « Le Mirail » à Toulouse. Et 7 autres villes qui ont déjà, au cours de ces dernières années, largement bénéficié des finances publiques sans que la moindre amélioration à la sécurité quotidienne n’ait été apportée. Il s’agit donc bien là d’un puits sans fond que le contribuable français s’apprête à alimenter à nouveau.

    Mais au-delà de la gabegie financière qui s’annonce, c’est bien le cœur même de ce dispositif qui est contestable. D’abord, parce qu’il repose sur un constat volontairement erroné. Ainsi est-il décrit comme ayant vocation à réconcilier les habitants (de ces quartiers) avec leur police. Or, tout le monde sait que les policiers et les habitants ne nourrissent aucune animosité réciproque. Et comme le souligne le boxeur Patrice Quarteron, issu de ces quartiers, « que c’est une minorité bruyante et violente qui se fait entendre à la place des gens honnêtes, et que si un habitant ose parler à quelqu’un d’extérieur, son appartement va brûler« … « Ceux qui ne veulent pas d’emmerdes se taisent« . Et son constat est implacable : « Ces trafiquants font régner la terreur et beaucoup d’enfants ont peur. » Alors, il ne faut pas se tromper d’objectif. Ce ne sont pas les habitants qu’il faut reconquérir, ce sont les criminels qu’il faut éliminer, et ce combat ne se gagnera pas à coup d’opérations médiatiques.

    Ensuite, parce qu’aujourd’hui, nos policiers (nationaux et municipaux), nos gendarmes et nos pompiers sont au bord de la rupture. Ils n’ont plus confiance. Ils portent encore les stigmates de « l’affaire Théo » qui a vu 4 policiers, à Aulnay-sous-Bois justement, que l’on savait dès le départ innocents des faits qu’on leur reprochait, lâchés par leur hiérarchie. Jetés aux chiens par les élus et le gouvernement, président de la République en tête. Une honte pour notre démocratie et notre République. Et c’est à eux que Macron, l’ancien ministre de l’Économie de Hollande, complice cette trahison, demande un « profond changement de méthode » ?

    Mais ne serait-ce pas plutôt à tous ces donneurs de leçons de changer de méthodes ? D’assumer enfin les responsabilités pour lesquelles les Français les élisent. D’avoir le courage de défendre les plus faibles contre les terroristes et les délinquants. De soutenir en toutes circonstances leurs policiers et leurs militaires. De cesser enfin, de gaspiller l’argent public pour des causes perdues d’avance du fait de leur lâcheté. Là serait sans doute la vraie réforme à entreprendre !

    http://www.bvoltaire.fr/ne-habitants-quil-faut-reconquerir-criminels-quil-faut-eliminer/

  • Le festival des violences gratuites - Journal du mercredi 14 février 2018