insécurité - Page 619
-
Adrien Abauzit : "Comment peut-on être de Gauche ?"
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, insécurité, lobby 0 commentaire -
L’Arabie Saoudite de Mohammed ben Salmane, un risque mondial systémique
Si la Chine présente un danger systémique, suite à un déficit public intérieur de 10 % du PIB, à des entreprises en surcapacité de production trop endettées, aux crédits « pourris » de banques locales, avec de possibles explosions sociales à la clé, un deuxième pays représente un très grand risque : l’Arabie saoudite du jeune prince Mohammed ben Salmane.
Les médias économiques complaisants et d’un optimisme béat ne nous ont encore jamais dit pourquoi le prix du pétrole était subitement remonté à 68 dollars en janvier 2018. Il semble que ce soit pour des raisons géopolitiques en Arabie saoudite, car rien n’a changé du point de vue de l’offre et de la demande.
Au nom de la lutte anticorruption, Mohammed ben Salmane a fait arrêter du jour au lendemain, avec l’aval de son père, deux cents princes, ministres et milliardaires, pour les placer en détention dans les chambres du Ritz-Carlton à Ryad. Seuls ceux qui acceptent de renoncer à une part de leur fortune en exprimant des remords ne seront pas emprisonnés et déférés en justice. Mohammed ben Salmane espère ainsi récupérer cent milliards de dollars, soit 15 % du PIB saoudien.
Sont détenus le milliardaire Al-Walid ben Talal, première fortune du monde arabe et propriétaire du George-V à Paris, et Bakr ben Laden, détenteur du plus grand groupe de BTP d’Arabie saoudite. Mohammed ben Salmane joue donc le peuple, heureux de voir tomber des têtes princières, contre les élites, mais il s’agit en fait d’un coup d’État qui transforme le pouvoir, traditionnellement collégial en Arabie saoudite, en monarchie absolue. Gare à la réaction des familles princières, à un assassinat toujours possible ; de plus, le peuple n’est pas dupe de la prise de pouvoir par Mohammed ben Salmane.
L’économie en récession n’est pas saine ; l’électricité, la TVA et les carburants augmentent ; le chômage des jeunes (de 30 %) s’accroît, tout comme le déficit budgétaire, les inégalités et la frustration sociale. Le projet Neom de cité du futur de cinq cents milliards de dollars est complètement irréaliste alors qu’une réalisation semblable plus modeste au nord de Djeddah s’est révélée un « four » complet.
Mohammed ben Salmane s’en est remis complètement à Trump lors de sa dernière visite en lui promettant trois cent quatre-vingt milliards de dollars de contrats, dont cent dix milliards d’armement. Aujourd’hui, les Américains raflent tous les contrats, au lieu de 30 % précédemment, et les Européens (dont la France) n’obtiennent presque plus rien. Pour le pétrodollar menacé par le yuan-or chinois, ce sera donc quitte ou double pour l’Amérique ! Si Mohammed ben Salmane gagne son pari, le dollar se maintiendra ; s’il est renversé, le dollar commencera à chuter le jour même.
Mohammed ben Salmane s’en prend également au clergé conservateur strict, souhaitant un islam modéré ; il a fait arrêter des personnes influentes, mais gare encore à un fanatique assassin, ce qui ne manque pas dans le pays gardien de l’islam.
La politique agressive vis-à-vis de l’Iran, du Yémen, du Qatar et du Liban est très dangereuse. Mohammed ben Salmane est devenu un proche de Jared Kushner, le gendre juif de Trump, surnommé ironiquement « MBK » (« Mohammed ben Kushner »). On comprend mieux, ainsi, le pourquoi des attaques violentes et injustes de Trump contre l’Iran, soucieux de plaire à Mohammed ben Salmane afin de défendre le dollar et les juteux contrats en Arabie saoudite.
La seule bonne nouvelle, c’est que les femmes musulmanes ont enfin obtenu le droit de conduire dans ce pays moyenâgeux. La réalité, c’est que Mohammed ben Salmane a de nombreux opposants, aussi bien dans les élites et les familles princières que dans le peuple et les minorités chiites.
La dernière fois qu’un des deux premiers producteurs mondiaux de pétrole a connu un bouleversement politique interne, c’était en Iran en 1979 : cela a conduit au deuxième choc pétrolier.
Économiste
Ancien haut dirigeant d'entreprise
-
Un peuple ordinaire ne se transforme pas, du jour au lendemain, en peuple de violeurs
Le nouveau livre de l'historienne et l'islamologue Lina Murr Nehmé est consacré aux femmes dans l'islam. Le roi d'Arabie Saoudite condamne ses filles à mourir de faim. Les dirigeants de ce monde laissent faire. Des hommes, en plein Paris, traitent une actrice musulmane de mécréante et tentent de la brûler vive. Les passants ne la secourent pas. Un jeune homme torture à mort et tue sa voisine juive en criant « Allahou Akbar ». La presse tait le crime. Ce sont des mots, des discours qui sont à l'origine de ces crimes barbares. Pourquoi certains prédicateurs interdisent-ils, en France, aux musulmanes de sortir et de s'habiller à la française ? Pourquoi les prétendent-ils inférieures aux hommes ? Pourquoi demandent-ils aux hommes de les battre ? Quel rapport y a-t-il entre djihadisme, maltraitance des femmes et trafic de drogue en Occident ? Et pourquoi l'accroissement de la puissance des islamistes a-t-elle abouti, en Orient, à des viols collectifs publics, jusqu'à cent par jour au Caire ? Ce livre dévoile les conséquences tragiques de la prédication islamiste sur la vie des femmes. Extrait :
"le viol de l'esclave de sexe féminin passe pour un moyen "de rester chaste" pour un musulman, textes sacrés à l'appui. Le matraquage est tel qu'il confine au lavage de cerveau. D'où les agressions sexuelles et viols commis par des groupes d'hommes au Caire, à Cologne et ailleurs. Car un peuple ordinaire ne se transforme pas, du jour au lendemain, en peuple de violeurs. Il faut bien que quelqu'un lui ait dit que le viol des mécréantes ou des musulmanes libre-pensantes était une chose permis. Et non seulement permise, mais bonne, "pour les humilier", car "la possession d'une personne par une autre par le biais de l'esclavage a pour cause la mécréante, le combat contre Allah et son Apôtre," disent aussi les oulémas. Ils ne pourraient d'ailleurs pas justifier l'esclavage s'ils parlaient autrement.
Ces phrases, répétées par des prédicateurs ayant une très grande diffusion, ont fini par aboutir à l'esclavagisme de Daech et à la tragédie de milliers de femmes et de fillettes chrétiennes ou yazidies vendues au marché, avec la permission de les violer, même si elles étaient en très bas âge."
Et cet autre :
"L'Arabie Saoudite a aboli l'esclavage en 1962. Avant cette date, le plus grand marché aux esclaves du monde se tenait à La Mecque à l'époque du pèlerinage. On pouvait, non seulement y acheter des esclaves, mais aussi coucher avec des captives employées par leurs maîtres pour la prostitution - la vierge coûtant beaucoup plus cher au client que celle qui avait déjà servi !
En secret, le trafic d'esclaves existe toujours en Arabie. Ainsi les lieux saints de l'islam sont gardés par des esclaves châtrés (Zeghidour en a compté 36 en 1988). En outre, les employées de maison sont souvent violées comme les esclaves... par habitude."
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, insécurité, islamisme, lobby 0 commentaire -
La guérilla ethnique s’aggrave – par Guillaume Faye
FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)
Chaque année, pendant la nuit du Nouvel An, les incidents provoqués gratuitement par les ”jeunes” d’origine immigrée sont de plus en plus graves et s’apparentent à ce que Marine Le Pen a décrit dans un communiqué du 1er janvier 2018 : « ces scènes d’une rare violence viennent rappeler que perdure et s’amplifie dans notre pays, à côté de la menace terroriste, une insécurité confinant parfois à la guérilla urbaine ». Elle n’a pas osé désigner, politiquement correct oblige, l’origine des auteurs des faits. On lui pardonne, elle est tenue. De son côté, le ministère de l’Intérieur a reconnu que la soirée avait été « un peu chaude », mais que les festivités se sont globalement « bien passées » avec « très peu d’incidents ». Ah bon ?
Tentative d’homicide filmée et diffuséeEssayons d’interpréter les faits d’agression en prenant du recul. À Champigny–sur–Marne, une bande de voyous, pas vraiment Français de souche, tente d’entrer dans un lieu où se déroule un réveillon privé, dont ils défoncent la porte. Appelée, la police les expulse. Mais deux policiers, un homme et une femme, se font isoler et cerner pendant l’émeute qui s’ensuit. Ils sont lynchés et tabassés par des dizaines de ”jeunes” (devinez leur origine…). La jeune policière, à terre, est rouée de coups de pieds, surtout au visage. La scène, insoutenable, est filmée au smartphone par un des agresseurs et les images, comme un exploit à imiter, seront diffusées sur les réseaux sociaux. Appelés en renfort d’autres policiers viennent les secourir. Deux voyous seulement ont été placés en garde à vue. Les deux fonctionnaires, gravement blessés, sont hospitalisés avec dix jours d’interruption de travail.
Ce sont des miraculés car l’intention de les tuer était manifeste. Patrice Ribeiro, patron du syndicat de policiers Synergie–officiers a analysé : « Cela témoigne de l’explosion exponentielle des violences perpétrées contre les policiers, avec une volonté homicide décomplexée. Cette scène de lynchage est digne des pays où les mœurs les plus barbares ont cours ». (1)Sans réponse judiciaires fermes, nous courrons à des drames ». Une autre attaque du même type, avec double agression a été perpétrée à Aulnay–sous–Bois contre des policiers. Il faut dire que l’État est objectivement complice des voyous, en dépit des communiqués pro–police tonitruants, martiaux, indignés et creux de ses plus hautes autorités –MM. Macron et Collomb, le ministre de l’Intérieur – qui n’envisagent pas une seconde de rétablir les peines planchers, abrogées en 2014, pour les agresseurs de policiers ! Bidon, mensonge et spectacle, au sommet d’un État qui est gouverné par des… [je vous laisse choisir le terme].
Essayer de tuer un policier si l’on est d’une certaine origine… est, objectivement, dans la France en décomposition d’aujourd’hui, nettement moins puni par des magistrats gauchisés que si, Français de souche, on tire sur un agresseur à domicile d’origine immigrée.
Aggravation constante des troubles du Nouvel AnMais tout va bien ! Cette même nuit de la Saint–Sylvestre 2017–2018, on a aussi vu 1031 véhicules incendiés, contre 935 l’année précédente, dont 250 en Ile–de–France, surtout évidemment près des zones où se concentrent des jeunes d’origine immigrée.
510 délinquants ont été arrêtés dans toute la France contre 456 fin 2016. (L’immense majorité est relâchée.) Il y eut aussi 10 policiers et militaires agressés et blessés par nos amis les ”jeunes”. Eh oui, ça augmente et ça augmentera. Soyez–en sûrs : pratiquement aucun des délinquants ne fera de la prison ou ne supportera la moindre amende. Les magistrats sont antiracistes…
Les agressions et émeutes de la nuit de la Saint–Sylvestre ont encore gagné en intensité par rapport à l’an passé et cette montée en puissance se poursuit chaque année depuis 10 ans. À Paris et dans la petite couronne (92, 93, 94), pendant la nuit du Nouvel An, 213 interpellations ont eu lieu contre 202 en 2016 ; 163 véhicules ont été incendiés contre 134 à la Saint Sylvestre 2016. On a enregistré 6 tirs de mortier contre les forces de l’ordre contre 2 en 2016.
La nouveauté c’est que, maintenant, les agressions et les incendies de véhicules gagnent Paris intra-muros. Les ”jeunes” s’enhardissent. À 20.50 h sur les Champs Élysées les gendarmes mobiles ont arrêté sept individus qui jetaient des canettes pleines dans la foule dans l’intention de faire des victimes. Les auteurs de cet acte d’hostilité, de guérilla ? Des immigrés clandestins…afghans. Un employé du Fouquet’s a été blessé à l’arme blanche en s’interposant dans une bagarre. Dans le XIe, une serveuse de bar a été victime d’une agression sexuelle.
Partout, dans la banlieue parisienne, selon un rapport du ministère de L’Intérieur, violences et agressions ont été d’un niveau nettement supérieur à l’an passé. Pour se dégager de guet–apens, notamment à Stains (93), la police a dû utiliser des lanceurs de balles de défense et des grenades. Des guet–apens ont aussi eu lieu à Sevran, à Houilles. À Clichy, ce sont les chauffeurs de bus qui ont été agressés. Toujours par la même population… Ce qui démontre que le niveau de la ”délinquance” est dépassé et que le seuil de la guérilla est franchi. Dans le reste de la France, le niveau de violence de la Saint–Sylvestre a suivi la même progression qu’en région parisienne.
Selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), le nombre de violences « à dépositaire de l’autorité publique » (policiers, gendarmes, militaires, etc) a triplé en 30 ans, de 10.000 en 1995 à 32.000 en 2016. C’est la France qui est visée par ces symboles et il s’agit bien d’une logique de guerre intestine par des agresseurs qui s’envisagent comme des envahisseurs. Le nombre de policiers blessés en mission est passé de 4.197 en 2008 à 5.767 en 2016, avec une forte hausse récente de ceux blessés par arme, 430 en 2015, 687 en 2016.
Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a fait cette déclaration qui laisse rêveur : « J’étais à Champigny hier. Quand on voit ces grandes barres, on se dit qu’il y a un aspect totalement inhumain qui ne peut générer que de la violence ». Ridicule. Dans les années soixante, quand seuls des Français de souche habitaient ces ”grandes barres”, tout était calme.
Taire et censurer la réalité des faits
Cette délinquance en bandes ethniques organisées est un prélude, un préparatif à une guerre civile ethnique d’agression, dont la corrélation avec l’islamisme est claire. C’est évidemment une des conséquences du laxisme migratoire total qui règne depuis un demi–siècle. La classe politique et les dirigeants français taisent ou travestissent les faits. Aucun média n’a osé révéler l’origine des auteurs des agressions – des ”chances pour la France ”. La totalité des agresseurs et des émeutiers du 31 décembre, comme à chaque épisode semblable (ce que savent bien les services de police qui ont ordre de ne jamais le mentionner dans leurs rapports), était d’origine maghrébine et surtout africaine. Leurs motivations sont non seulement crapuleuses –pillages et vols culturellement ataviques – mais aussi antifrançaises, c’est–à–dire racistes et politiques, avec l’islam en embuscade. Les grands médias, dans notre pays de très relative ”liberté de la presse”, (35e rang mondial sur 180 pays selon Reporters sans frontières) sont lourdement dissuadés de révéler la vérité sur l’origine ethnique des auteurs des exactions précitées. Ce qui est stupide, puisque tout le monde sait qui pille, vole, parasite, trafique, agresse, assassine, viole, incendie et éventuellement pose des bombes et égorge à l’arme blanche.
La lucidité de G.W Goldnadel
La réponse pénale n’est pas à la hauteur. Les voyous d’origine immigrée se sentent totalement impunis. 100.000 peines de prisons ne sont pas exécutées chaque année. Et pas plus l’actuelle Garde des Sceaux , pas plus que la calamiteuse Taubira n’envisage de créer de nouvelles places de prison.
Le seul à avoir osé dire la vérité sur le lynchage du capitaine de police et de la gardienne de la paix a été l’avocat Gilles–William Goldnadel, dans Le Figaro du 3 janvier 2018 («Lynchage des deux policiers à Champigny : nommons les faits »). Il laisse entendre tout d’abord ce qu’aucun journaliste apeuré (pléonasme) n’a osé mentionner, mais ce qui est parfaitement visible dans les vidéos de l’agression : les auteurs étaient tous de jeunes Noirs. Il estime que l’agression était à caractère raciste anti–Blancs et anti–Français. Et enfin, il accuse les médias et le système politique de dissimuler ces évidences, avec leur utopie totalement échouée du ”vivre ensemble ”.
Il écrit : « Cette haine sauvage des policiers français n’est pas issue mystérieusement d’une génération spontanée ». Il dénonce la complicité des intellocrates et des médias, de Mathieu Kassovitz et de Médiapart (le site d’Edwy Plenel) avec les agresseurs et les émeutiers. Comme d’ailleurs chez Le Monde, Libération, France Télévision et Radio France, le tropisme masochiste collaborationniste ou sympathisant avec tout envahisseur – nazi est un mal français. Du nazisme à l’islam, on adore. La vulgate ”antiraciste” (attention, pas le racisme anti–Blancs, autorisé) règne sans entraves.
GWG remarque : « les jeunes en groupe déchaînés semblaient habités d’une impression d’impunité. Je ne suis pas le plus mal placé pour écrire qu’elle est largement fondée. […] Ces jeunes de Champigny –sur–haine sont manifestement issus de l’immigration ». Il évoque « le bacille de la haine des policiers français mais celui tout bonnement de la France prétendument raciste. Et du racisme, parlons–en à la fin. On n’entend guère ce mot à propos du lynchage de Champigny. Or supposons un instant, dans une autre affaire, dix Blancs s’acharnant sur deux Noirs à terre ». La médiatisation et l’indignation seraient énormes. Deux poids, deux mesures
Quand le Noir Théo, voyou délinquant, avait prétendu avoir été ”violé” par les matraques de policiers, Hollande, (le président de la République !) était allé le visiter à l’hôpital. Antiracisme oblige. Ni Macron ni son ministre de l’Intérieur n’ont visité à l’hôpital la jeune policière tabassée par des Noirs et qui a échappé de peu à la mort. GWG s’interroge : « il n’est que temps de questionner le racisme anti–Blanc, le racisme antifemme et le racisme antipolicier qui sévit dans les quartiers. Sans trembler ».
En réalité, le point de non–retour est atteint. Jamais, l’utopique ”vivre ensemble” ne pourra s’installer. Jamais l’”insertion” ou l’”inclusion” (nouvelle lubie) ne pourront se réaliser. Jamais la haine raciste et jalouse de la France – et des autres peuples européens comme des Juifs– ne pourront s’éteindre dans populations en augmentation numérique constante. La guerre civile ethnique se profile de plus en plus clairement. Et pourtant, ce que nous voyons se dérouler aujourd’hui est bien peu de choses et ressemble à des échauffourées par rapport aux affrontements gigantesques qui se préparent.
https://fr.novopress.info/209313/la-guerilla-ethnique-saggrave-par-guillaume-faye/#more-209313
-
Gérald Darmanin, un ministre accusé de viol
Des membres du gouvernement et de la majorité ont pris la défense dimanche du ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, visé par une plainte pour viol jugée “embarrassante” pour le gouvernement par une ex-ministre PS.
Après une première plainte mi-2017, classée sans suite, cette affaire a rebondi samedi avec l’annonce par le parquet de Paris de la réouverture d’une enquête pour des faits présumés datant de 2009, contestés catégoriquement par l’intéressé.
Selon le quotidien Le Monde, la plaignante, âgée de 46 ans, ancienne call-girl, accuse M. Darmanin de lui avoir en fait miroiter à l’époque son appui auprès de la Chancellerie dans une affaire judiciaire, en échange de faveurs sexuelles.
Dès l’annonce de la réouverture de l’enquête, Matignon a fait savoir samedi à l’AFP que le ministre, ancien membre de LR passé à LREM, conservait “toute la confiance” d’Edouard Philippe. L’entourage du Premier ministre avait précisé que “M. Darmanin a été d’une totale transparence vis-à-vis des faits”.
Interrogé en janvier sur franceinfo sur sa réputation de “dragueur lourd”, M. Darmanin avait reconnu “avoir pu être léger” dans ses relations avec les femmes, “avoir envoyé des SMS un peu lourds”.
Quatre militants et militantes féministes ont lancé une pétition afin de demander à Édouard Philippe de démettre de ses fonctions Gérald Darmanin.
-
Zoom - Richard Labévière : la reconquête d'Alep et la Russie
Lien permanent Catégories : actualité, géopolitique, insécurité, international, islamisme 0 commentaire -
Rappel : Laurent Obertone : « Tous les pays hétérogènes ont une criminalité très forte »
Tout d’abord, avez-vous subit des pressions, avant ou après la publication de votre livre ?
Essentiellement après. Mais elles sont sans importance : les réactions des lecteurs, en particulier des victimes, des policiers et des premiers témoins de l’insécurité, sont très favorables. Mon but est de dire la vérité, pas de ménager ceux qui ont intérêt à la dissimuler. Le terrorisme intellectuel ne gagnera pas.Comment appréhendez-vous le fait que, dans une vidéo officielle récente, Marine Le Pen fasse l’éloge de votre livre ?Ce qui m’importe est qu’on parle de mon livre. Je me demande plutôt pourquoi la plupart des médias et des politiciens refusent d’en parler. L’insécurité n’a pourtant rien de politique… Assurer la sécurité des honnêtes gens est un des devoirs essentiels de la société. Non seulement ce devoir n’est plus assuré, mais il devient périlleux de le faire remarquer.Avez-vous envisagé la récupération politique et comment comptez-vous la gérer ?J’espère que le sujet sera « récupéré » par tous ceux que la réalité criminelle intéresse. Pour l’instant, beaucoup de citoyens… très peu de médias et de politiciens.À présent, parlons du contenu de votre livre. Vous vous référez fréquemment à des anthropologues pour appuyer vos propos. Votre grille de lecture de l’insécurité diffère nettement de l’idéologie officielle dont vous refusez le misérabilisme. Pourriez-vous résumer votre analyse sociologique de ce phénomène ?Pour synthétiser, la violence est normale, c’est une règle évolutive, et nous sommes le produit d’une longue lutte pour la survie des plus adaptés. L’ultraviolence qui secoue notre société est le choc entre une société moraliste (la nôtre), qui a renoncé à sa violence normale, et la tribalisation de groupes – souvent issus de l’immigration – dont la violence (encouragée) envers les autres groupes est un moteur identitaire.Quels sociologues, anthropologues, ethnologues sont, selon vous, les plus aptes à nous faire analyser la situation actuelle ?Paradoxalement, ce sont des éthologues qui expliquent le mieux la situation. Nous ne devons pas oublier que des règles biologiques nous animent. En France, les « experts » médiatisés ont souvent un siècle de retard : pour eux le social détermine tout. Ils s’interdisent même de considérer l’éventualité de différences culturelles entre groupes d’individus, par peur d’être lynchés médiatiquement. La plupart des sociologues médiatiques sont là pour psychanalyser la violence et lui inventer des causes dénuées de toute réalité, comme je le montre dans mon livre.Comment expliquez-vous la lâcheté et l’inaction des journalistes et des pouvoirs en place ?Dans notre pays s’est développée une sorte de compétition morale, qui consiste à aller toujours plus loin dans l’excuse du criminel et l’oubli des victimes, et donc dans l’encouragement de la barbarie et dans la négation de la réalité. Cette morale hors-sol, devenue incontournable (il faut suivre le groupe pour ne pas en être exclu), offre un bon statut (du pouvoir), à peu de frais, car il est facile d’en assimiler les contours : il suffit de tenir un discours égalitaire et progressiste. Qu’on soit artiste, journaliste, universitaire, souvent magistrat, cette morale est quasi-indispensable pour réussir une carrière. Tant que cette morale si facile à adopter sera concrètement bénéfique, il n’y a pas de raison pour que ces gens y renoncent. Problème : cette morale hors-sol ne peut survivre qu’à condition de nier la réalité de plus en plus violemment.Qu’est-ce qui fait que la presse locale relate plus les nuisances des criminels et des délinquants que la presse nationale ?La presse locale a une obligation de vérité. Si elle ne relate pas les faits que les gens constatent, ils cesseront de la lire. La presse nationale en revanche peut se permettre de ne plus vivre de ses lecteurs, tant elle est subventionnée (et déficitaire), par quantité de manières, pour occuper l’espace informatif, donner l’illusion que la presse plurielle existe encore et que notre démocratie se porte bien. Ces journalistes sont des fonctionnaires. Ils peuvent donc continuer à nier la réalité, c’est même leur rôle essentiel.Pensez-vous, comme Xavier Bébin, que la construction de nouvelles prisons serait salutaire d’un point de vue judiciaire et économique, les condamnations permettant de juguler le coup de la délinquance ?Cela permettrait d’avoir un effet immédiat, en se donnant simplement les moyens d’appliquer la loi. Mais il faut également s’interroger sur la pertinence de vouloir à tout prix, plus tôt que plus tard, une société ethniquement hétérogène, ce que la France et les pays européens n’ont jamais été. Je montre dans mon livre que tous les pays hétérogènes ont une criminalité très forte (entre autres désagréments), contrairement aux pays homogènes.Quelles solutions préconisez-vous ?Mon analyse n’étant pas politique, je m’en tiens à mes constats. Pas assez de prisons, échec du laxisme, faillite morale, État incapable d’assurer la sécurité de nos concitoyens, dégâts de l’hétérogénéité… Résoudre ces problèmes est une autre étape, qui ne peut pas être abordée sans prise de conscience populaire. Mon livre est là pour ça.Pour finir, quelle est votre position sur la peine de mort. Aurait-elle selon vous un effet dissuasif en entraînant une baisse de la criminalité ?L’objectif premier de la justice n’est pas tant la dissuasion que le fait de faire payer au condamné le prix de son crime. Aujourd’hui, un prisonnier joue toute la journée à la Playstation, coûte très cher à la société… et est relâché souvent rapidement, même pour des crimes très graves. Plus les peines sont courtes, plus le taux de récidive réelle est élevé… La peine de mort existe bel et bien : notre société, parce qu’elle refuse de condamner des coupables, condamne des innocents à croiser leur route.Laurent Obertone est journaliste diplômé de l’École de Lille. Après avoir travaillé pour un hebdomadaire français, il s’est consacré à l’écriture d’un livre sur l’explosion de la violence et l’ensauvagement de la société : « La France orange mécanique » (Éditions RING, 2013)
Source -
Le gouvernement veut sauver les djihadistes "français" détenus en Irak et en Syrie
... si ceux-ci sont condamnés à mort. En effet, dimanche 21 janvier, une djihadiste allemande a été condamnée à mort par la justice irakienne. Trois "Françaises", jugées pour des faits similaires, risquent la même peine. Réaction de la Garde des Sceaux :
"(...) Bien entendu, s'il y avait une question de peine de mort, l'Etat français interviendrait en négociant avec l'Etat en question"
Ce sont les gardiens de prison qui vont être contents. Ils devront s'assurer que ces djihadistes disposent bien d'un téléphone fixe dans leur cellule et si possible d'une télévision...
-
Éric Zemmour : “La prison est devenue une extension du domaine de la banlieue”
Le gouvernement a décidé de sanctionner par des retenues sur salaire les surveillants de prison qui se sont mis en grève.
Pour Éric Zemmour, les matons subissent en réalité ce que subissent dans certains quartiers les pompiers caillassés ou les profs insultés.
Les prisons françaises sont surpeuplées non parce que la justice est plus sévère, mais parce que la délinquance a explosé et que l’État a refusé de construire des places de prison.
Les matons subissent en réalité ce que subissent dans certains quartiers les pompiers caillassés, les flics rôtis comme des poulets dans leurs voitures, les profs insultés et molestés, les facteurs agressés, les bibliothèques incendiées. La prison est devenue une extension du domaine de la banlieue.
-
ET MAINTENANT, UNE MÈRE QUI REFUSE DE DÉNONCER LE VIOLEUR DE SA FILLE PARCE QUE MIGRANT…
L’histoire s’est passée en Suède.
Il y a ceux qui n’éprouvent aucune haine quand des terroristes tuent leurs êtres chers.
Il y a celles qui commencent par ne pas dénoncer leur(s) violeur(s) de crainte de déclencher une campagne anti-migrants et qui, après s’y être résolues en incriminant, au premier abord et mensongèrement, un compatriote, s’excusent auprès de tous les réfugiés de tout le mal qu’elles leur ont causé (Allemagne 2016), mais pas auprès des Allemands.Il y a, maintenant, des mères de famille qui se refusent à dénoncer le violeur de leur petite fille de 12 ans parce qu’elles ne veulent pas qu’il soit expulsé. L’histoire s’est passée en Suède.
Elle a 45 ans, vit séparée du père de ses enfants, qui se partagent entre les deux domiciles. Fin 2016, elle prend à demeure un migrant âgé de 18 ans. Un mois après son arrivée, ils deviennent amants. À la lecture de l’article du Daily Mail, on comprend que, rapidement, le migrant se lassant sans doute de ses ébats avec une cougar, tourne son attention sur de la chair plus fraîche. Dosmohammadi « aime les câlins mais les câlins mènent à des baisers sur ses joues un peu trop près de la bouche », racontera plus tard la fillette, selon le rapport d’enquête.
Un soir que les ex-tourtereaux avaient bu tous les deux, la mère quitte le salon, laissant sa fille seule avec son ex-amant. L’occasion était trop belle et le voilà qui passe à la vitesse supérieure. Il passe ses mains sous sa robe, sous ses sous-vêtements et touche ses parties génitales. La gamine se rebiffe et raconte la scène à sa mère. Sa réaction ? Motus et bouche cousue. Ne manquerait plus que les autorités renvoient son protégé en Afghanistan !
Forcément très ébranlée par les comportements obscènes et de sa mère et du migrant, c’est quatre jours plus tard que la gamine, prenant son courage à deux mains, racontera à sa sœur, qui elle-même racontera à leur père ce qui se passe chez maman. Le père, lui, portera plainte.
On en est donc arrivé là. À ce que des Européens, abrutis d’idéologie immigrationniste, en viennent, en ne bronchant pas quand leurs compatriotes sont assassinés au nom d’Allah, en ne dénonçant ni leur migrant violeur ni celui de leur enfant, à choisir la perpétuation d’actes criminels à la protection des leurs. Il paraît que c’est cela, « l’humanité d’abord »…
La sentence pour l’amant migrant afghan ? Trois mois de prison avec sursis (il l’a promis-juré, il ne recommencera plus à caresser les petites filles), 15.000 couronnes de compensation (1.528,95 euros, qu’il ne versera très probablement jamais), cent heures de service communautaire. Et, âgé de 19 ans depuis les faits, « il n’est plus autorisé à vivre dans une maison pour mineur ». Autrement dit, il passe le balai et fait les poussières dans une maison pour majeurs. Avis aux amatrices…
Et la mère de la petite fille ? Est-elle poursuivie pour mise en danger de la vie de son enfant ? Est-elle déchue de ses droits parentaux ? Les associations féministes l’ont-elles traînée dans la boue et, tambour battant, ont-elles mené campagne sous hashtag #balancetonmigrant ? On connaît la réponse.
http://www.bvoltaire.fr/mere-refuse-de-denoncer-violeur-de-fille-migrant/