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insécurité - Page 638

  • Retour sur le procès des militants identitaires de Poitiers

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    Il y a cinq ans, 73 militants du mouvement “Génération identitaire” avaient occupé le toit de la mosquée de Poitiers - alors en chantier - pour dénoncer “l'islamisation du pays”. Cinq d'entre eux étaient ce vendredi au tribunal : un an avec sursis a été requis contre eux.

    Damien Rieu, vous aviez décidé de dénoncer l'islamisme en montant sur le toit d'une mosquée. Regrettez-vous la manière dont vous avez agi ce jour-là ?

    Ce 20 octobre 2012, nous avons réclamé un référendum sur les constructions de mosquées et l'immigration en France. Nous l'avons fait, en effet, en occupant pacifiquement le toit du chantier d'une mosquée dirigée par un islamiste. C'est une méthode un peu cavalière, mais c'était nécessaire pour médiatiser notre message. Quand on voit ce qui se passe aujourd'hui, les 250 morts du terrorisme islamiste et la submersion migratoire, notre seul regret peut être celui d'avoir eut raison trop tôt... et de ne pas avoir été suffisamment écoutés.

    Quelle était l'ambiance à ce procès ?

    Le procès a débuté avec nos déclarations. Nous avons fait des révélations explosives sur l'imam de la mosquée qui dirige un institut faisant la promotion du cheick Youssef-Al Qaradawi, un dangereux prédicateur islamiste recherché par INTERPOL et désormais interdit de séjour aux USA, au Royaume Uni et en France. Très concrètement, cet homme légitime les attentats suicides, la mise à mort des juifs et des homosexuels, la violence contre les femmes et a participé au financement d'Al-Qaïda. Aujourd'hui encore, quand on se rend sur le site internet de l'institut présidé par l'imam de la grande mosquée de Poitiers (Iesh.org), on trouve son nom inscrit en référence dans l'onglet "Conseils et fatwas"... L'imam a du se justifier devant le Tribunal, mais sa défense était désastreuse. Nous sommes ensuite passés à la question du jour, et la plus importante de ce procès : peut-on encore dénoncer l'islamisme en France ?

    Et quelle a été la teneur de ce débat ?

    Après avoir dévoilé le vrai visage de l'imam de Poitiers, nous avons donc eu un débat intéressant sur le droit de la liberté d'expression, en rappelant par exemple que Valeurs Actuelles avait été totalement relaxé en 2013 pour une Une bien plus dure que les slogans qui nous étaient reprochés. Nos avocats ont ensuite ridiculisé une à une les accusations grotesques de dégradations. À la fin, il ne restait plus rien... Si ce n'est peut être le sentiment que ce vendredi, c'étaient l'imam, l'UOIF et l'IESH qui auraient dû être sur le banc des prévenus.

    Ce procès était-il finalement pour vous une façon de militer ?

    Le CCIF et l'UOIF, parties civiles, ont voulu utiliser la justice pour faire interdire la critique de l'islamisme en brandissant notamment l'accusation d'islamophobie. Il n'y a pas de raison de se laisser faire, surtout quand on connaît leur vraie nature. Alors oui nous en avons profité pour rendre les coups un par un. Ce sont les islamistes qui tient en France, certainement pas ceux qui les dénoncent et dont nous faisons partie jusque dans ce tribunal.

    Un an de prison avec sursis, espérez vous un tribunal moins sévère que le ministère public ?

    Si le tribunal décide de nous condamner, il offrira une victoire symbolique à ceux qui veulent imposer la chariah dans notre pays. Il enverra également un signal terrible à toutes les victimes du terrorisme islamiste et à tous ceux qui risquent leur vie pour dénoncer cette menace dans notre pays. Je n'ose l'imaginer, d'autant que le dossier est complètement vide.

    Source Valeurs actuelles via Thomas Joly cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Société • Tariq Ramadan visé par une plainte pour viol et agressions sexuelles

    Le sujet est à la mode. Repris en boucle, incessamment, par tous les médias, sur un mode unique et ad nauseam. Quant aux militantes féministes et laïques, elles ne sont pas notre tasse de thé. Ces saintes-là ne sont pas de notre paroisse. Il n'empêche ! Que l'une d'entre elles ait déposé une plainte contre Tarek Ramadan pour viol et agressions sexuelles (au pluriel) a quelque chose de savoureux. Au moins pour l'instant, en attendant mieux. Que vaudra cette plainte, tiendra-t-elle ? En tout cas, Match a diffusé l'information hier en fin de soirée dans les termes qu'on va lire. Ah ! les bienfaits de « la libération de la parole » ! A suivre.   LFAR

    Vendredi, une femme a déposé plainte à l’encontre de Tariq Ramadan pour viol et agressions sexuelles.

    Une plainte a été déposée vendredi à l'encontre de l'islamologue et théologien suisse Tariq Ramadan, notamment pour viol et agressions sexuelles, a-t-on appris auprès d'un des avocats de son accusatrice Henda Ayari, ancienne salafiste devenue militante féministe et laïque. Cette plainte a été déposée auprès du parquet de Rouen, dont relève le domicile de la plaignante, pour « des faits criminels de viol, agressions sexuelles, violences volontaires, harcèlement, intimidation », selon le document consulté par l'AFP. 

    Une révélation cachée dans son livre 

    Henda Ayari, 40 ans, présidente de l'association Libératrices, a indiqué vendredi sur sa page Facebook avoir été « victime de quelque chose de très grave il y a plusieurs années » mais n'avoir pas alors voulu révéler le nom de son agresseur en raison de « menaces de sa part ». Dans son livre « J'ai choisi d'être libre », paru en novembre 2016 chez Flammarion, elle a décrit cet homme sous le nom de Zoubeyr, narrant un rendez-vous dans sa chambre d'hôtel à Paris où cet intellectuel musulman venait de donner une conférence. 

    Il l’a « insultée », « giflée » et  « violentée » 

    « Par pudeur, je ne donnerai pas ici de détails précis sur les actes qu'il m'a fait subir. Il suffit de savoir qu'il a très largement profité de ma faiblesse », avait écrit Henda Ayari, assurant que quand elle s'est « rebellée », qu'elle lui a « crié d'arrêter », il l'a « insultée », « giflée » et « violentée ». « Je le confirme aujourd'hui, le fameux Zoubeyr, c'est bien Tariq Ramadan », écrit Henda Ayari sur Facebook. Selon Maître Jonas Haddad, l'un de ses conseils, « Henda Ayari n'avait pas envie de communiquer sur ce sujet, par peur ». 

    Aucune réaction de sa part 

    « Avec la libération de la parole à laquelle on assiste depuis quelques jours, elle a décidé de dire ce qu'elle a subi et d'en tirer les conséquences judiciaires », a-t-il poursuivi, interrogé par l'AFP. Tariq Ramadan n'avait pu être joint par l'AFP et n'avait pas réagi sur les réseaux sociaux en fin d'après-midi. Relativement populaire auprès d'une partie des fidèles musulmans, il est aussi très contesté, notamment dans les milieux laïques, qui voient en lui le tenant d'un islam politique. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Provocation de haine islamo-raciste dans Le Monde

    De Bernard Antony :

    6a00d83451619c69e201bb09cf255c970d-800wi.jpg"Le journal « Le Monde » a publié hier l’article d’un musulman subsaharien, Hamidou Anne, proclamant : « La France blanche, chrétienne, au risque de terroriser certains petits esprits, est finie. Terminée. »

    On est là dans le droit fil de la continuité de l’idéologie raciste anti-blanche d’Houria Bouteldja, présidente du PIR et de son « intellectuel » Saïd Bouamama, auteur principal du brûlot raciste « Nique la France ».

    Depuis des années, l’AGRIF, seule dans l’indifférence de la classe politique ou la complicité de certains, a porté plusieurs de leurs déclarations d’incitation caractérisée à la haine devant les tribunaux de Toulouse et de Paris.

    Elle a été en cette dernière affaire scandaleusement déboutée par la Cour d’appel de Paris. Mais la Cour de cassation vient de casser ce jugement de la cour d’appel de Paris et de renvoyer le procès devant la Cour d’appel de Lyon le 10 novembre.

    Pour ce qui est du camarade islamo-gauchiste Hamidou Anne, il est à observer que, tout comme Houria Bouteldja, il est un raciste non seulement anti-blanc mais également « anti-noirs chrétiens », dans le mépris des centaines de millions d’Africains chrétiens de plus en plus persécutés par l’islam jihâdiste. Aussi inculte ou négationniste qu’Houria Bouteldja ou que madame Obono, il se garde bien de considérer que le plus grand système de mise en esclavage de peuples noirs perpétué jusqu’à nos jours est le système arabo-musulman. La vérité, c’est que les racistes que sont Houria Bouteldja et Hamidou Anne veulent de l’éradication simultanée des blancs et des noirs chrétiens. L’AGRIF continuera à leur opposer la totale détermination du véritable antiracisme."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • I-Média#172 : Ultra droite la menace d'attentat qui fait pschitt

  • Une député du parti identitaire italien menacée d’une balle dans la tête par des migrants algériens

    « La parlementaire italienne a publié un article sur notre page. Une balle dans la tête… pour son bien ».

    C’est le souhait formulé contre la présidente du parti identitaire italien Fratelli d’Italia(FDI, Frères d’Italie) Giorgia Meloni sur la page Facebook HaRaGa Dz, point de repère pour des dizaines de milliers d’Algériens qui aspirent à arriver illégalement en Italie.

    Le post écrit en arabe, traduit par le système de traduction de Facebook, se réfère à la dénonciation fin septembre faite par Giorgia Meloni sur sa propre page du réseau social concernant l’existence de ce profil Facebook HaRaGa Dz sur lequel les Algériens, tous des hommes jeunes, organisent leur entrée clandestine en Italie et postent des photographies victorieuses et enthousiastes de leur traversée sur les canotspneumatiques.

    Madame Meloni soulignait dans son message que ce profil HaRaGa Dz, de fait, se moque de l’Italie, de ses lois et de ses institutions :

    « Depuis que le ministre Minniti [ ministre de l’Intérieur italien, ndlr] a été en Algérie pour parler de la question des débarquements directs de plus de 1 000 Algériens sur les côtes du Sulcis et de la province de Cagliari depuis le début de l’année, les arrivées d‘Afrique du Nord en Sardaigne se sont multipliées »

    et elle avait ajouté que

    « l’on a aussi découvert, grâce à un journal internet local, qu’il existe un une page Facebook où les Algériens organisent les voyages et postent leur traversée. Des excursions ! » 

    « Dommage, avait été alors le commentaire de Giorgia Meloni, que quand ils arrivent en Italie, la majeur partie est arrêtée et dénoncée pour vols à l’arrachée, volstrafic et agressions. Dans ce cas ils obtiennent ce qu’ils veulent : un papier de renvoi de l’Italie qui leur consent de prendre le bateau pour Civitavecchia, Gênes ou Livourne et de disparaître sur notre territoire. »

    « Fratelli d’Italia demande de manière ferme le blocus naval et le rapatriement immédiat de ces gens qui ne fuient pas d’une guerre et ne demandent même pas la protection internationale parce qu’ils savent ne pas y avoir droit mais mettent en danger la sécurité de nos concitoyens »

    avait été la conclusion de la présidente de FDI qui, pour cette demande politique et le rappel du respect des lois italiennes, se voit maintenant menacer de mort.

    Francesca de Villasmundo 

  • En quatre ans, 100 millions d’euros pour la « déradicalisation » !

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    Stop aux subventions hors de contrôle : entre 2014 et 2017, il y a eu plus de 100 millions d’euros “d’annonces budgétaires” pour la prévention et la prise en charge des personnes radicalisées.

    Face au risque terroriste, l’État a débloqué des sommes colossales pour tenter de « déradicaliser » les potentiels terroristes… Les sénatrices Esther Benbassa (EELV) et Catherine Troendlé (LR) se sont penchées sur ces dépenses dans un rapport d’information de juillet 2017.

    Des individus ont monté un véritable business avec le risque terroristeempochant un tas d’argent public.

    Pour la prévention de la radicalisation, l’État, par le biais du fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD), a dépensé 8,5 millions d’euros via des subventions à des associations en 2015 et 2016.

    Les sénatrices avancent que des associations, sans forcément avoir les compétences pour « déradicaliser », se sont engouffrées dans cette brèche afin d’obtenir de « nouvelles ressources financières, leur budget subissant la réduction drastique des subventions publiques » !

    A titre d’exemple, le Centre de prévention des dérives sectaires liées à l’islam (CPDSI), association présidée par la très controversée Dounia Bouzar, aurait reçu près de 795 000 euros pour « s’occuper » de 285 jeunes entre le 24 avril 2015 et le 25 août 2016. A sa sortie de prison, Farid Benyettou, l’ancien mentor des frères Kouachi (auteurs de l’attentat de Charlie Hebdo en janvier 2015) a été salarié par cette association subventionnée.

    L’association Syrie Prévention Familles a perçu 90 000 euros de subventions en 2015 et 2016, et en aurait envoyé une partie à des djihadistes en Syrie…

    Le centre expérimental de prévention, d’insertion et de citoyenneté (CPIC) situé au château de Pontourny (Indre-et-Loire) a coûté 2,5 millions d’euros. Ouvert à titre expérimental en septembre 2016, il a été fermé moins d’un an après sa création. S’adressant à « des jeunes gens volontaires et triés sur le volet », ce centre magnifique avec salle de sport, grand jardin, cours d’informatique, n’a accueilli que 9 pensionnaires.

    Par exemple, Mustapha S., profitant d’une permission de sortie, a été interpellé alors qu’il tentait de partir pour le djihad en Syrie… Le château de Pontourny est totalement vide depuis février 2017, tout en finançant – avec vos impôts – le salaire de 40 personnels !

    Le rapport préconise dix mesures, notamment de ne financer que les structures « dont les compétences seraient démontrées ». C’est bien le minimum pour les contribuables qui paient un lourd tribut pour un système de déradicalisation qui a montré ses failles…

    Pour Contribuables Associés, toute subvention au-delà de 5 000 euros doit être systématiquement contrôlée avec publication des comptes et rapport du commissaire aux comptes. C’est la proposition qu’Eudes Baufreton a martelée sur RMC, dans l’émission d’Eric Brunet, du 4 octobre 2017 (ci-dessous).

    Texte repris de Contribuables associés

    https://fr.novopress.info/208059/en-quatre-ans-100-millions-deuros-pour-la-deradicalisation/

  • Antifas : est-ce qu’il faudra des morts ?, par Caroline Parmentier

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    8970-20171020.jpgFace à la résurgence violente de l’extrême gauche, Emmanuel Macron pouvait difficilement faire moins que de promettre lors de son discours aux forces de l’ordre de « punir sévèrement » les groupuscules activistes. Mais quand ? Ces promesses de fermeté ont déjà été faites au plus fort de la colère des policiers. Et jamais tenues.

    Alors que le chef de l’Etat a rappelé que ces actions avaient tout à voir avec le crime et rien à voir avec la politique (comme l’islamisme avec l’islam en somme) et que leurs auteurs seraient « systématiquement recherchés, identifiés, et condamnés », les exactions continuent. Dans la plus grande indulgence et complaisance médiatique. Ou carrément avec le soutien intellectuel des idéologues comme dans Le Monde ou Médiapart.

    Malgré les 363 policiers et gendarmes blessés lors des émeutes contre la loi Travail en 2016, les soutiens aux antifas ont pu défiler en toute quiétude il y a quelques jours en scandant des appels au meurtre :

    « Première, deuxième, troisième voiture brûlée, on aime tous les grillades de poulet ». 

    « Les images de fonctionnaires en flammes ou de leurs véhicules incendiés ne peuvent être oubliées », a déclaré le président aux policiers, avouant que les agressions contre les policiers et gendarmes « se poursuivent ». Comme ce fut encore le cas avec l’attaque des casernes de gendarmerie le 21 septembre dernier à Grenoble et Limoges revendiquée sur le site d’extrême gauche indymedia, régulièrement utilisé par ces organisations. « Quelle que soit l’issue du procès, on continuera à s’en prendre à la police et à la justice. Notre hostilité est un feu qui se propage », assurent les rédacteurs du texte.

    Lors d’une manifestation «Ni Le Pen ni Macron» le 27 avril dernier, un motard de la police avait dû sortir son arme pour ne pas être lynché à mort par la « gauche révolutionnaire » en pleine action. Ses agresseurs ont été jugés. Quatre des cinq prévenus ont été condamnés à des peines de 9 mois à 12 mois de prison ferme… aussitôt aménagées sous le régime de la surveillance sous bracelet électronique.

    Alors que les policiers n’ont cessé de réclamer des condamnations « dissuasives » face aux véritables tentatives de meurtre dont ils sont la cible revendiquée, les peines modérées prononcées il y a une semaine dans le procès des brûleurs de flics antifas sont elles aussi bien parties pour se transformer en aménagements de peine. On va très vite retrouver les frères Bernanos dans les manifestations…

    Rappelons que lors du procès, les manifestations de soutien aux prévenus et les tentatives d’intimidation des magistrats aux cris de «Tout le monde déteste la justice » et « Mort aux flics » n’ont cessé de perturber les audiences. 

    Les faibles condamnations contre les agresseurs du député FN Ludovic Pajot et l’indifférence médiatique et politique qui a entouré cette affaire (nous sommes les seuls dans la presse à l’avoir interviewé à ce jour) vont à l’inverse des mesures de fermeté annoncées. Emmanuel Macron n’a pas eu un mot pour le benjamin de l’Assemblée nationale. On imagine s’il s’était agi d’un député de gauche tabassé par un « extrémiste de droite ». 

    Après la chasse aux DRH dans le Bois de Boulogne, l’attaque du local de l’Action Française à Marseille. Ce sont les militants d’extrême gauche qui ont attaqué la réunion royaliste mais c’est le siège de l’AF qu’il est question de fermer parce que son existence trouble l’ordre ! Il faudra peut-être songer à interdire l’Action Française. 

    Les militants ultra-violents de l’extrême gauche seraient 2 000 en France, selon les policiers, qui qualifient la menace de « sérieuse ». Cinq squats d’activistes sont recensés en Ile-de-France, dans l’est de la capitale, notamment à Ménilmontant où, le soir de l’élection d’Emmanuel Macron, quelque 700 casseurs étaient prêts à en découdre. Personne n’est encore allé les déloger ni démanteler leurs réseaux.

    Caroline Parmentier

    Article et dessin de Chard
    parus dans Présent daté du 20 octobre 2017

  • Projet d'attentat de l'ultradroite : c'était du bidon

    Il n'a pas fallu attendre longtemps pour que le ministre de l'Intérieur l'avoue :

     
     

    Projet d'attentat de l'ultradroite : "Ce n'était pas la bande la plus sérieuse qu'on ait arrêtée ces derniers temps" @gerardcollomb

     

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La police du quotidien: un air de déjà vu - Journal du Jeudi 19 Octobre 2017

  • Le scandale Weinstein éclabousse désormais les LGBT

    Balançons les porcs :

    "Le voile semble également se lever sur un fléau encore moins médiatisé: celui du traitement réservé aux (très) jeunes acteurs à Hollywood. Un phénomène certes moins endémique que le système sexiste, mais particulièrement tabou. Et soumis lui aussi à la culture du silence.

    «L'industrie du showbiz est probablement le milieu où les adultes ont le plus de liens directs et inappropriés avec les enfants au monde», déclarait Corey Feldman, ex-enfant star américain connu pour son rôle dans The Goonies. Récemment interrogé sur Harvey Weinstein, l'acteur a rappelé avoir dénoncé, depuis plusieurs années déjà, de nombreux cas d'abus sexuels sur de jeunes garçons à Hollywood. En allant jusqu'à parler de pédophilie. 

    Ces allégations, il les illustre par sa propre histoire et celle de son feu-meilleur ami - et compère à l'écran dans la série The Two Coreys - Corey Haim. L'acteur est décédé d'une pneumonie sous fond de surdose de drogues en 2010. Dans une interview accordée au Hollywood Reporter en 2016, Corey Fieldman raconte avoir subi des agressions sexuelles à maintes reprises dans le cadre de sa carrière d'acteur. Dont un viol, à l'âge de 15 ans, par un manageur employé par son propre père. Corey Feldman assure: «J'ai été molesté et passé d'homme à homme», comme un certain nombre d'autres enfants. Avant de révéler que son ami Corey Haim avait quant à lui été violé à l'âge de 11 ans seulement. Et ne s'en était jamais remis.

    Elijah Wood, l'acteur phare du Seigneur Des Anneaux, a lui aussi osé parler, en qualifiant Hollywood de repaire de "vipères". Il confie, pour sa part, avoir été protégé par sa mère, qui l'avait empêché de se rendre aux soirées mondaines Hollywoodiennes au début de sa carrière. S'il réfute avoir avoir subi de tels sévices, il sous-entend que tous ses collègues n'ont pas eu cette chance.

    Journaliste proche de l'alt-right, le très controversé Milo Yiannopoulus s'était lui aussi exprimé, en 2016, sur ces rapports malsains : dans un podcast, il décrivait un milieu rongé par la drogue, dans lequel certains grands noms de l'industrie avaient des rapports sexuels avec des garçons bien plus jeunes qu'eux. Chose qu'il refusait lui-même de condamner.

    Si peu de noms circulent encore, quelques réalisateurs ont été publiquement pointés du doigt. Parmi eux, Bryan Singer, le réalisateur de la saga X-Men, qui aurait pris part à de sulfureuses soirées privées auxquelles des magnats d'Hollywood conviaient les jeunes pousses du cinéma ou de la télé. En 1997, il avait d'ailleurs été traîné en justice pour avoir contraint des mineurs à se doucher nus en parallèle du tournage d'Apt Pupil. En 2014, il avait cette fois été accusé d'avoir abusé sexuellement d'un jeune homme de 17 ans."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html