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insécurité - Page 638

  • Au moins 20 morts dans une église américaine. Le tueur a été abattu. (MAJ)

    Les informations tombent au compte-gouttes : 

    "Une fusillade a fait dimanche plusieurs victimes dans une église de Sutherland Springs, à une cinquantaine de kilomètres au sud-est de San Antonio dans l'État américain du Texas, selon des médias américains citant la police locale.

    Le nombre de victimes et leur état n'était pas précisé à ce stade, mais des médias évoquaient plusieurs morts.  Il y a «plusieurs morts et plusieurs blessés», a déclaré Albert Gamez Jr, un responsable du comté de Wilson, cité par la chaîne ABC. Une porte-parole de l'hôpital Connally Memorial Medical Center, dans la ville de Floresville à proximité, a dit à Fox News que l'établissement avait reçu «plusieurs patients à la suite de la fusillade», sans en préciser le nombre. Selon le Dallas Morning News , un enfant de deux ans fait partie des blessés.

    L'auteur des coups de feu est mort, a indiqué la chaine locale KSAT12, citant la police et précisant que les tirs avaient commencé vers 11H30 locales dans la First Baptist Church de cette ville du sud des Etats-Unis. Selon la chaîne, un témoin a expliqué avoir vu un homme entrer dans l'église qui a ensuite commencé à tirer sur les paroissiens réunis pour un service religieux".
    21h25 : le bilan confirme au moins 20 morts. 
     

    Multiple victims have been reported dead after shooting at a Texas church in Sutherland Springs, suspect shooter has died.

    21h47 : le bilan grimperait à 24 ou 27 morts :  

    Live on @MSNBC right now, Wilson Co., TX commissioner Albert Gamez, Jr reports up to 24 dead in the church shooting in Sutherland Springs

    Le bilan final sera important car le tireur a ouvert le feu dans cette église baptiste pendant l'office (et non la messe comme on le lit ou l'entend trop souvent de la part de nos journalistes). 

     

    Ce qui vient de se passer au Texas n'est pas "une simple fusillade" mais un acte terroriste. Arrêtons de nous prendre pour des imbéciles!

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • «Colère de flic», Guillaume Lebeau raconte son quotidien à la Bac de Gennevilliers

    Dans son livre «Colère de flics», Guillaume Lebeau, un policier de la BAC de Gennevilliers, dresse un bilan mitigé de l’action politique en faveur des forces de l’ordre.

  • PUIGDEMONT, ABDELKADER MERAH : MÊME COMBAT, VOTRE LOI, JE M’EN BATS L’ŒIL ! (2)

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    Abdelkader Merah, le frère de l’assassin de Toulouse et Montauban, vit en France depuis 1982. Il a bénéficié, comme l’ensemble de sa famille, des avantages que notre pays accorde, en termes de protection des lois et d’assistance sociale, par exemple. En 2007, il se vantait de « vivre du RMI et du Coran ». Comme pour la plupart des membres de sa famille, sa présence en France, et sa nationalité française alors qu’il déteste notre pays, sont des contradictions vécues sans vergogne. Le seul à avoir échappé au mécanisme est le frère aîné, Abdelghani, qui résume en deux phrases le contexte familial : « Dans la famille, il y avait un terreau fertile à la haine » et « Cet islam sectaire, cet islam politique veut la mort de la France ». Ainsi donc, un îlot familial habité par la détestation de la terre d’accueil a pu s’insérer en France, passer par la case « délinquance » pour plusieurs de ses membres et finir par le crime terroriste, antifrançais et antisémite, suscité par le fanatisme islamique.

    On peut opposer deux visages de femmes, de mères, musulmanes, chacune à leur manière : Latifa Ibn Ziaten, la mère d’un des parachutistes assassinés, et Zoulikha Aziri. La première incarne l’assimilation, la volonté d’être en France comme les Français, et peut-être même plus qu’eux, en aimant le pays avec ferveur et en souhaitant que ses fils le servent. Elle regrettera la décision en demi-teinte des juges en considérant que la France fait preuve de naïveté lorsqu’elle applique avec retenue ses règles juridiques à des ennemis acharnés qui lui font la guerre. La seconde est la mère de l’assassin, qui se disait fière de son fils « qui avait mis la France à genoux ». Elle a eu recours, comme Abdelkader, à la « taqiya », la dissimulation, c’est-à-dire cette conception typiquement musulmane du « pieux mensonge », lorsqu’elle s’est exprimée à l’audience. La famille, et l’islam haineux qui l’a pénétrée, sont au-dessus de la France. Abdelkader le dira avec arrogance : il n’obéit qu’à Dieu, et non aux lois des hommes. Échange de courriels entre Abdelkader et Mohammed lorsque ce dernier est au Pakistan, alors que la mère dit que le frère aîné ignorait où se trouvait son frère ; visite d’Abdelkader et non de Mohammed chez la mère le jour où y parvient la réponse d’une des victimes : la complicité des deux frères était étayée par des faits. En ne les retenant pas, les juges, drapés dans leur fierté professionnelle, ont ignoré la nature du problème. Il y a, en France, des noyaux de gens qui y vivent en voulant lui faire la guerre. Ce ne sont pas des délinquants, des criminels, mais des ennemis infiltrés, des traîtres qui doivent subir les peines les plus lourdes. Celui qui a vécu à l’abri de nos lois doit en sentir le poids à proportion de sa trahison, lorsqu’il les trahit.

    Une démocratie exige qu’on obéisse aux lois que l’on peut critiquer et remettre légalement en cause. Elle ne peut et ne doit tolérer qu’on les ignore ou qu’on les brise par la violence.

    http://www.bvoltaire.fr/puigdemont-abdelkader-merah-meme-combat-loi-men-bats-loeil-2/

  • L'expert islam de l'Intérieur soutenait Tariq Ramadan jusqu'au bout

  • Procès Merah : des peines gravement insuffisantes, par Francis Bergeron

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    Merah-Présent-naïfs.jpgLe pire a été évité. Le pire aurait été l’acquittement, cet acquittement demandé par la défense au motif que le frère du tueur et l’armurier du tueur n’avaient ni l’un ni l’autre utilisé personnellement le pistolet-mitrailleur qui a tué sept innocents, dont trois jeunes enfants, et grièvement blessé deux autres personnes. Or il y avait un risque d’acquittement.

    La décision de la cour, jeudi soir, se situe grosso modo entre la sanction réclamée par le procureur et l’acquittement. L’acquittement aurait été une décision gravissime. Dans certaines banlieues où Mohamed Merah est considéré comme un héros, cela aurait donné lieu à des cris de joie. Inversement, une condamnation à la hauteur de ce qui avait été demandé par le parquet aurait sans doute entraîné quelques émeutes.

    Abdelkader Merah, la tête pensante, l’inspirateur des crimes, écope de 20 ans de prison, dont une peine de sureté des deux tiers. Il sera donc libre dans 14 ans. L’ami du tueur, Malki, celui qui a fourni le gilet pare-balle et l’arme de guerre, est condamné à 14 ans de prison. Il sera libéré dans 9 ans, selon toute vraisemblance.

    Ce sont d’assez fortes peines, par les temps qui courent, qui sont des temps de laxisme. Mais comme l’évoquait le président Trump, à propos du terroriste de New York, seule la peine de mort est à la hauteur de ce type de crime.

    Jugement mi-chèvre mi-chou, donc. Malki, « l’armurier » de Merah, a annoncé qu’il ferait appel. Abdelkader, le doctrinaire, n’a pas encore choisi. [Le parquet a également fait appel, estimant que la justice « n’avait pas tiré toutes les conséquences juridiques des faits qui lui étaient soumis », notamment pour avoir acquitté Abdelkader Merah de l’incrimination de « complicité d’assassinats », note de Novopress].

    Ce verdict laisse un goût amer chez les parents des victimes : « Cette décision est un renoncement de la justice. Je suis sous le choc » (l’avocat de Loïc Liber, un militaire désormais tétraplégique à vie). « Le verdict est d’une sévérité incroyable pour les proches des victimes » (l’avocate de la famille d’un parachutiste assassiné). « Nos enfants, eux, ont pris perpétuité » (un membre de la famille des enfants exécutés).

    La parole la plus importante, celle que nous devons retenir à tout prix, est venue de la mère du premier militaire assassiné.

    Écoutez bien ce qu’a dit Latifa Ibn Ziaten [ci-contre] : « On est trop naïf en France. Il faut qu’on se réveille pour protéger notre pays, pour protéger nos enfants. »

    Car le problème de cette décision, c’est qu’elle ne créera pas l’indispensable cordon sanitaire autour des tueurs islamistes. Aider un tueur en série, en l’armant, en le formant, en le cachant, peut certes coûter quelques années de prison, mais pas plus. Comme pour un casse qui a mal tourné. Or ce procès était l’occasion de couper les assassins de leur base arrière, de les précariser, de faire d’eux des parias dans leur propre milieu, ceux que l’on fuit à tout prix, et que l’on dénonce à la police.

    C’est ce qui fait dire à Marine Le Pen que ce verdict est « dérisoire et incroyablement laxiste eu égard à la gravité du contexte ». À droite, d’autres voix se sont élevées aussi contre cette relative clémence.

    Oui, « on est trop naïf en France. Il faut qu’on se réveille ». C’est une question de survie pour le pays.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • PUIGDEMONT, ABDELKADER MERAH, MÊME COMBAT : VOTRE LOI, JE M’EN BATS L’ŒIL ! (1)

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    Deux affaires apparemment sans rapport entre elles posent cependant des questions analogues. M. Carles Puigdemont n’entend pas se soumettre à la justice espagnole, car il prétend être le chef d’un État imaginaire – la Catalogne – qui l’aurait élu avec une légitimité, redoublée selon lui par un référendum, telle qu’il a pu proclamer son indépendance. On n’insistera pas sur la faiblesse de l’argumentation. Il a été élu par une courte majorité de 73 voix sur 135, issues des deux partis qui s’étaient unis et sont arrivés en tête lors des dernières élections, et d’un groupe d’extrême gauche. L’ensemble ne représentait que 47,8 % des suffrages. Son mandat ne comprenait aucunement le pouvoir de provoquer un référendum non constitutionnel. Celui-ci, interdit par le Tribunal constitutionnel, s’est déroulé dans des conditions rocambolesques. Moins d’un électeur sur deux s’est rendu aux urnes, et le résultat « soviétique » de 90 % en faveur du oui ne fait que conforter les doutes sur les méthodes employées.

    Après de multiples circonvolutions et circonlocutions, Puigdemont a fui le pays pour se réfugier en Belgique afin d’échapper à la Justice. Soufflant le chaud et le froid tour à tour, il avait auparavant signé une déclaration d’indépendance évidemment dénuée de la moindre valeur juridique, laissé le gouvernement espagnol appliquer légitimement l’article 155 de la Constitution et prendre donc en charge l’administration catalane, dissoudre le Parlement régional et annoncer de nouvelles élections. Il aurait pu engager ces deux derniers points lui-même et, ainsi, témoigner de sa volonté de se remettre en situation de débattre dans le cadre légal.

    Il a choisi le pire : camper sur une position sans fondement légitime et privée de toute reconnaissance extérieure pour dénoncer l’opération « politique » menée contre lui par Madrid sous la forme gouvernementale et judiciaire. Réfugié à l’étranger, il se dit en butte à une vengeance du pouvoir central camouflée en décision de justice, puisqu’un mandat d’arrêt européen a été lancé contre lui après qu’il se fût soustrait à la convocation des juges. C’est une inversion de la vérité et de la réalité qui sont l’une et l’autre claires. D’un côté, il y a la Constitution, l’application de la loi et le fonctionnement normal de la Justice et de l’autre, il y a une aventure politique qui veut ignorer l’État de droit, en prétendant inverser les rôles. M. Puigdemont s’est fabriqué une bulle idéologique qui l’isole de la réalité de l’Espagne et de l’Europe.

    En relisant à son profit le Criton de Platon, il apprendrait que Socrate a voulu obéir jusqu’à la mort aux lois qui l’avaient nourri et élevé. Bien sûr, l’ex-président catalan dira que les lois espagnoles ne sont pas les siennes. Il oublierait alors que son élection, l’autonomie déjà considérable de la Catalogne et la grande liberté dont il a mésusé n’ont été possibles que dans le cadre de la Constitution de 1978. Cette ingratitude, ce « coup d’État » n’ont donc aucune légitimité. Le politique, c’est lui, le droit, c’est Rajoy.

    M. Puigdemont n’est qu’un symptôme de l’anarchie rampante dans le vieux monde occidental qui consiste à inverser la pyramide des valeurs, en donnant à l’individu et ses caprices plus d’importance qu’au bien de la Cité, en attribuant aux communautés et aux groupes de pression plus de pouvoirs qu’à l’État, en accordant à toute contestation plus d’autorité morale que n’en possède la loi. Il faut souhaiter, pour le bien de l’Espagne et pour celui de l’ordre et du droit, que les indépendantistes, qui veulent s’emparer d’une région qui ne leur appartient pas, habitée par de nombreux Espagnols, catalans ou non qui ne le désirent pas, soient largement battus le 21 décembre prochain.

    http://www.bvoltaire.fr/puigdemont-abdelkader-merah-meme-combat-loi-men-bats-loeil-1/

  • Guillaume Lebeau : un flic en colère - Journal du Vendredi 03 Novembre 2017

  • Les fanatiques du gender passent à l'action criminelle

    6a00d83451619c69e201b7c92ff9fe970b-800wi.jpgL’incendie de la gendarmerie de Meylan a été revendiqué par un groupe de femmes en lutte contre le genre… Dans un communiqué, elles osent écrire :

    "Nous avons ciblé les voitures privées des flics, au détriment des quelques sérigraphiées, parce qu’on avait envie de s’attaquer plutôt aux individus qui portent les uniformes qu’à leur fonction, plutôt à leurs biens personnels qu’à leurs outils de travail. Nous pensons que les rôles existent parce qu’il y a des personnes pour les remplir. Si derrière l’uniforme il y a un humain, c’est à lui que nous avons cherché à nuire.

    Au lendemain de l'incendie, le procureur de la République avait souligné que « cet acte visait non pas les locaux et bureaux de la gendarmerie, mais bien les véhicules et les familles ».

    Autre extrait du communiqué de ces taré.e.s :

    "Nous ne voulons pas être définies par les particularités de nos corps mais bien par ce qui résulte de nos choix, nos éthiques et nos actes. Même si on aimerait détruire le genre, ça nous fait du bien de se retrouver aussi entre personnes qui partagent les même ressentis, qui vivent dans leur chair ce que signifie d’être assignées meufs, et qui ont la même envie de s’en défaire. Ensemble, on se prouve qu’on est capable de poser des actes sur nos idées, et qu’on a besoin de personne d’autre que nous même pour le faire. On prépare nos revanches pour toutes les fois ou l’on s’est découragées en se persuadant que l’on était pas capables, qu’on avait pas les compétences, pas la force, pas les moyens, pour désamorcer cette logique qui nous fait repousser à toujours plus tard le moment d’exprimer nos colères et nos désirs. Nous avons concrétisé cette envie de revanche en nous organisant pour attaquer la gendarmerie de Meylan."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Terrorisme : Donald trump veut restreindre l'immigration

    Le président des États-Unis ne s’embarrasse pas du politique correct qui nous ronge en Europe :

    6a00d83451619c69e201b8d2ba4727970c-250wi.jpg""Je viens juste d’ordonner à la Sécurité intérieure de renforcer notre programme de vérification déjà extrême. Etre politiquement correct, c’est bien mais pas pour ça !". Donald Trump a posté ce tweet, ce mercredi matin à 2h26 (heure française), peu après l’attentat islamiste à New-York, près du site du World Trade Center. Sayfullo Saipov, un jeune Ousbek, au volant d’une camionnette, a tué huit personnes et en a blessé 11 avant d’être blessé lui-même par la police. Des témoins l’ont entendu crier Allah Akbar. Le tueur était arrivé aux Etats-Unis en 2010. Il bénéficiait d’une carte verte. Il était chauffeur chez Uber. Autre tweet du président américain : "Nous ne devons pas permettre à l’Etat islamique de revenir ou d’entrer dans notre pays après l’avoir vaincu au Moyen-Orient et ailleurs. Assez !". En France, c’est une politique inverse qui est suivie par Emmanuel Macron. En ressort une grande naïveté, qui ne peut qu’inquiéter. En dépit des attentats islamistes qui frappent le pays - Laura et Mauranne, assassinées à Marseille, étant les dernières victimes - l’état d’urgence a été levé ce 1 er novembre. Le dispositif arrêté par la nouvelle loi sur la sécurité intérieure, publiée mardi, maintient certaines protections. Elles resteront néanmoins en deçà de celles que permettait l’état d’urgence. Il était en en vigueur depuis les attentats de novembre 2015. Lors de son discours à la Sorbonne, fin septembre, le chef de l’Etat s’était fait également l’avocat de l’accueil. "Faire une place aux réfugiés est notre devoir commun", avait-il déclaré en s’engageant à renvoyer ultérieurement, sans dire comment ni sur quels critères précis, les déboutés du droit d’asile.

    C’est bien le politiquement correct, dont s’est affranchi le président américain, qui lie les mains du président français. A l’évidence, la menace salafiste reste sous-évaluée par les pouvoirs publics. Lundi, sur RTL, le ministre de l’Intérieur a reconnu que seules 11 mosquées salafistes avaient été fermées (et certaines vont rouvrir) alors que la France en compte plus d’une centaine. Gérard Collomb a confirmé également que sur les 250 djihadistes déjà revenus en France après avoir combattu en Irak ou en Syrie, 110 sont en liberté, même s’ils sont suivis par la DGSI. Il est à craindre que les demandes de rapatriement de nombreux autres combattants islamistes encore sur place ne soient entendues par ce gouvernement, qui se veut exemplaire dans la défense des droits de l’homme. Or ces droits ne sont évoqués par les égorgeurs et autres barbares, qui redoutent la justice locale, que pour être violés ultérieurement par leurs bénéficiaires. Le procès Merah, qui s’achève demain, a montré le gouffre entre la contre-société salafiste qui s’est installée dans les cités et la République bonasse qui continue de ne rien voir. Celle-ci n’a toujours pas compris qu’une guerre avait été déclarée contre elle, au nom d’un islam porteur d’un projet de société. Contrairement à ce que dit Macron, ce ne sont pas les crises sociales ni le réchauffement climatique qui motivent les terroristes, mais la haine de la France et de l’Occident. Oui, Trump a tout compris."

    Dans un autre tweet, il a tout simplement demandé la condamnation à mort du terroriste : 

    NYC terrorist was happy as he asked to hang ISIS flag in his hospital room. He killed 8 people, badly injured 12. SHOULD GET DEATH PENALTY!

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Procès de Thomas Joly le 9 novembre : il répond à Riposte laïque

    889579626.jpgCe jour, nous avons rencontré Thomas Joly, secrétaire du Parti de la France, qui, comme d’autres patriotes, paraît avoir quelques soucis avec la justice de son pays…

    Riposte Laïque : Vous êtes le secrétaire du Parti de la France, présidé par Carl Lang. En dehors de cela, que pouvez-vous dire de vous, afin que nos lecteurs vous connaissent davantage ?

    Thomas Joly : Je suis fonctionnaire de l’Éducation nationale, j’ai 41 ans, je suis marié et père de 3 enfants, je pratique la boxe anglaise pour entretenir la forme et je consacre une grand part de mon temps libre à mes activités politiques ! Engagé en politique depuis l’âge de 19 ans (au Front national à l’époque), je n’ai eu de cesse de lutter contre la colonisation migratoire et l’islamisation de notre pays qui, si elles ne sont pas stoppées et inversées, se révéleront mortelles pour notre peuple et notre civilisation lorsque nous ne serons plus qu’une minorité sur notre propre sol.

    Riposte Laïque : Vous voilà donc convoqué le 9 novembre prochain, au tribunal correctionnel de Beauvais. Qu’avez-vous donc fait de si grave ?

    Thomas Joly : J’ai commis le crime abominable d’avoir illustré des articles de mon blog dénonçant la barbarie de l’État islamique avec des photos de la décapitation de Hervé Cornara par l’islamiste Yassin Salhi, ainsi que celle de James Foley décapité par l’État islamique. Je suis convoqué devant le tribunal correctionnel de Beauvais le 9 novembre prochain pour une soi-disant « diffusion de message violent accessible à un mineur », prétexte trouvé par le procureur pour me poursuivre. A savoir que j’ai passé six heures en garde à vue, le 19 février 2016, pour ce motif et que j’ai été convoqué à trois reprises par la gendarmerie pour ces mêmes faits.

    Riposte Laïque : Quelle est votre réaction, devant ce procès ?

    Thomas Joly : Il s’agit clairement d’un procès politique destiné à faire taire ceux qui dénoncent l’invasion afro-musulmane et la barbarie terroriste pratiquée au nom de l’Islam par des fanatiques sanguinaires. De plus, le chef d’accusation choisi est pour le moins cocasse lorsque l’on sait que les médias ont diffusé jusqu’à la nausée la photo du cadavre du petit Aylan échoué sur une plage afin de promouvoir l’arrivée massive de clandestins en Europe, que dès le plus jeune âge nos enfants ont droit à des cours détaillés sur la Shoah, que dans les écoles primaires des exercices de confinement sont discrètement organisés afin de préparer les enfants à l’éventualité d’un attentat islamique (requalifié en novlangue administrative « cas de risque majeur ») au risque de les traumatiser. Ce qui dérange le gouvernement et son représentant du Ministère public, c’est que, comme eux, je pense que « nous sommes en guerre contre le terrorisme » mais moi je désigne clairement l’ennemi et j’incite nos autorités à véritablement mener cette guerre ! Et celle-ci ne pourra commencer qu’en expulsant du territoire la plupart des extra-européens islamisés qui se comportent en conquérants et dont la majorité a une bienveillance suspecte avec les terroristes. Les rares fois où des musulmans sont descendus dans la rue suite à des attentats, c’était pour demander avec arrogance de ne pas faire d’amalgame avec l’Islam et de dénoncer l’islamophobie – pourtant légitime – des Français… J’invite ceux qui le souhaitent, et le peuvent, à venir me soutenir lors de ce procès inique, l’audience se déroulera jeudi 9 novembre à 8 h 30 au Palais de justice de Beauvais (20, Boulevard Saint-Jean).

    Riposte Laïque : Vous n’avez pas ménagé vos critiques, depuis la création du Parti de la France, contre la direction du Front national et sa présidente, Marine Le Pen. 6 mois après la présidentielle, quel est votre regard sur la situation du FN, et plus largement sur le camp patriotique ?

    Thomas Joly : Marine Le Pen est une véritable calamité pour la droite nationale. Elle n’a strictement rien retenu de son fiasco de la Présidentielle, alors même qu’elle bénéficiait de conditions historiques pour prendre le pouvoir ou au moins s’en approcher (attentats islamiques, crise des migrants, rejet de la classe politique du Système, chômage de masse). Lors de sa dernière prestation sur France 2, elle a continué sur la même ligne gaucho-souverainiste, qu’elle a toujours partagée avec son ex-lieutenant Philippot, et n’a pas pu s’empêcher d’avoir un petit mot ému pour nos « compatriotes musulmans » ;sûrement pensait-elle aux 92 % de mahométans qui ont voté Macron au 2nd tour de la Présidentielle ? Je crois qu’il n’y a rien à attendre du Front national tant que Marine Le Pen sera à sa tête ; le problème n’était pas Philippot, c’est elle. En outre, il est fort probable qu’elle subisse assez prochainement les foudres de la justice et qu’elle soit inéligible pour 2022, sans compter que le Front national, qui touche pourtant des millions de subventions publiques, est en quasi-faillite. Le camp national doit se réunir sur l’essentiel : le refus de la colonisation migratoire et de sa conséquence inéluctable : l’islamisation de notre société et l’instauration, à terme, de la charia.

    Riposte Laïque : Quel est votre regard sur les six premiers mois de gouvernement de Macron ?

    Thomas Joly : Même s’il fait mine de bousculer les codes établis, Emmanuel Macron est le digne successeur de ses prédécesseurs. Il gère le déclin économique et social ainsi que le chaos ethnique, un peu comme un liquidateur judiciaire, sauf que là il s’agit de notre Nation. Européiste, social-démocrate, immigrationniste, acquis à toutes les dérives sociétales, il n’y a rien à attendre de cet individu, pur produit de l’engeance systémique.

    Riposte Laïque : Quels sont les prochains projets du Parti de la France ?

    Thomas Joly : Le Parti de la France entend poursuivre la reconstruction du camp national avec tous ceux qui ne souhaitent pas voir la France mourir et notre peuple disparaître. Nous avons encore le droit de rester nous-mêmes, de ne pas vouloir que notre pays soit un déversoir pour toute l’Afrique et que l’appel du muezzin remplace les cloches de nos églises, n’en déplaise à nos pseudo-élites apatrides bien peu attachées à notre terre ancestrale du fait de leurs racines nomades.

    Propos recueillis par Pierre Cassen cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/