Six personnes ont été arrêtées lundi dans les Yvelines dans le cadre de l’enquête sur l’attentat de Magnanville, au cours duquel deux fonctionnaires de police avaient été tués à leur domicile le 13 juin 2016, a appris LCI de source judiciaire.
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Attentat de Magnanville : six personnes, dont une policière, interpellées et placées en garde à vue
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La LICRA lors du procès de Nicolas Dupont-Aignan : « Peu importe s’il dit la vérité, ce n’est pas une défense valable ! »
LICRA : « Monsieur Dupont-Aignan n’est pas raciste, ce n’est pas le sujet. Le problème n’et pas ce que dit Monsieur Dupont-Aignan mais la façon dont il le dit. Peu importe s’il dit la vérité, ce n’est pas une défense valable ! ».
REQUISITOIRE : « Il faut interpréter le tweet en se mettant au niveau, à la portée du Français et de l’électeur moyen. 48% des Français sont racistes, j’en suis désolé. M. Dupont-Aignan parle d’invasion barbare et veut faire une France d’hommes blancs catholiques ».
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Zoom : Coupeurs de têtes et coupeurs de langues, le duo terroriste
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DEUX DJIHADISTES LOURDEMENT CONDAMNÉS PAR LA COUR D’ASSISES DE PARIS. NE NOUS RÉJOUISSONS PAS TROP VITE
Une peine de quinze ans de réclusion criminelle assortie d’une période de sûreté des deux tiers. C’est la sanction que vient de prononcer la cour d’assises de Paris à l’encontre de Mounir Diawara et Rodrigue Quenum, deux Toulousains partis faire le djihad en Syrie entre mai et août 2013.
Ces deux jeunes Français de 23 et 22 ans, issus des quartiers populaires de la ville rose, avaient rejoint les groupes Front al-Nosra et État islamique au sein desquels ils avaient pris part à des actions armées et s’étaient livrés à de graves exactions. Parmi les pièces à charge présentées lors du procès figurait une photo représentant Rodrigue Quenum brandissant une tête coupée. Si l’on ne peut qu’approuver le verdict rendu, après trois heures seulement de délibéré, par la juridiction parisienne, il faut néanmoins rester lucide. Tout d’abord parce que la peine encourue par ces meurtriers était de vingt ans, ce que les charges retenues justifiaient largement. Et qu’avec le jeu des aménagements de peine, une fois la période de sûreté terminée, ils retrouveront vraisemblablement rapidement la liberté.
Se posera alors la question du suivi de ces deux individus toujours dangereux, qui auront eu tout le temps voulu, en milieu carcéral, grâce à leur « aura » de combattants du prophète, de se radicaliser davantage, voire de faire des émules. Ensuite, parce que le signal envoyé aux autres revenants par cette sanction peut avoir un effet pervers. En effet, menacés de se retrouver en prison pour de nombreuses années, on ne peut exclure que les combattants de Daech, qui ont perdu la guerre au Levant soient tentés par la clandestinité et la poursuite du combat en Europe. Par ailleurs, un autre théâtre d’opération est déjà en train de prendre une nouvelle ampleur : celui de la bande sahélienne. D’ores et déjà, les militaires français engagés sur zone dans le cadre de l’opération Barkhane ont pu remarquer une nette augmentation du nombre des groupes terroristes, et donc des combattants qui les composent. Ils ont également observé une sophistication grandissante des armements et munitions utilisés par ces mêmes groupes, lesquels empruntent désormais des techniques de combat proches de celles utilisées en Irak et en Syrie. De là à imaginer une reconversion des djihadistes sur ce secteur, il n’y a qu’un pas que l’avenir devrait nous confirmer rapidement.
Enfin, ce message fort de fermeté envoyé par les juges ne doit pas faire oublier que c’est en premier lieu aux autorités politiques qu’il appartient de prendre toutes les dispositions nécessaires pour protéger les populations. C’est ainsi que les mesures de surveillance mises en œuvre dans le cadre de la lutte antiterroriste doivent être revues pour être adaptées à cette nouvelle menace des revenants, et à une future évolution inéluctable de cette guerre qui, aux dires des spécialistes, est appelée à se développer sur notre sol. Et cela commence par le fichage de celles et de ceux qui représentent potentiellement un réel danger pour la sécurité intérieure de notre pays. Les fiches S actuellement utilisées sont insuffisantes à préserver la paix publique, et les moyens mis en place pour en assurer le suivi sont notablement inefficaces. Sans doute faut-il, désormais, un fichage spécifique aux terroristes islamistes – qui pourrait être libellé « T » -, mais surtout, des mesures drastiques d’isolement et de neutralisation pour les individus concernés. Il est, en effet, inconcevable qu’un fiché S, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme islamiste, puisse circuler librement sur notre territoire. La cour d’assises de Paris nous montre le chemin. Suivons-le.
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Plus on tue au nom d’Allah, plus on combat l’islamophobie et plus on parle de l’islam en bien
Extrait d'un entretien d'Alexandre Del Valle, dans Valeurs Actuelles :
Que vous inspire l’attentat islamiste de Trèbes ?
L’attentat du 23 mars m’inspire deux réflexions. Tout d’abord, comme je l’explique dans mon livre, la chute de Dae’ch ne veut pas dire que la menace islamo-terroriste va s’estomper. L’ex-porte-parole de l’État islamique, Abou Mohamed al-Adnani, l’a lui-même parfaitement expliqué : « Ceux qui croient que la perte de territoires en Syrie ou en Irak signifie notre défaite n’ont pas compris que tant que la charia et le Coran progressent dans les coeurs des musulmans, nous serons vainqueurs. » Plus Dae’ch suscite des attentats, plus l’adhésion à l’idéologie islamiste progresse. La seconde observation est que nous avons assisté, avec l’attentat de Trèbes et le sacrifice de l’héroïque Arnaud Beltrame, à un “choc des martyrs” : ceux qui perdent leur vie pour la mort face à ceux qui meurent pour sauver des vies. Il s’agit là d’un échec imprévu pour Dae’ch, qui veut faire croire que seuls les cavaliers d’Allah sont capables d’offrir leur vie…
Vous évoquez la paranoïa : quelles sont les déclinaisons de la stratégie d’intimidation islamique qui fait l’objet de votre ouvrage ?
Pour mettre en oeuvre un plan d’islamisation mondiale de type suprématiste et irrédentiste, la première méthode, très efficace, est l’intimidation physique : par des assassinats ciblés, des actes terroristes, des attroupements ou des menaces de mort. La plus grande erreur de l’Occident consiste à croire que l’islamisme est un nihilisme : tuer au nom de l’islam est une stratégie élaborée par des cerveaux, souvent issus de milieux bourgeois comme Carlos ou Ben Laden, très conscients de leurs objectifs et il est erroné de réduire la stratégie très efficace du terrorisme à ses petits soldats aux profils marginaux. En réalité, l’action de terreur physique des “coupeurs de têtes” djihadistes est bien plus ample et efficace qu’on le pense : en effet, lorsque les “coupeurs de langues” ou “islamistes institutionnels” veulent faire taire ceux qui interpellent sources coraniques et chariatiques du djihadisme, leurs requêtes sont d’autant plus prises au sérieux par les mécréants que ceux-ci ont une épée de Damoclès terroriste au-dessus de la tête… La violence djihadiste introduit ainsi un effet de dissuasion et de persuasion extrêmement efficace. Comme le disait cyniquement Al Capone : « On peut obtenir beaucoup plus avec un mot gentil et un revolver qu’avec un mot gentil tout seul. » Ces fameux coupeurs de langues instrumentalisent, en effet, l’antiracisme et entretiennent au sein de la communauté musulmane un sentiment victimaire. Ils déclarent, par exemple, souffrir d’un racisme antimusulman d’État ! Cette double dissuasion explique le paradoxe selon lequel plus on tue au nom d’Allah, plus on combat l’islamophobie et plus on parle de l’islam en bien. D’ailleurs, depuis l’attentat de Charlie Hebdo, quels sont les caricaturistes qui osent se frotter à l’islam ? Quels sont les candidats qui traduisent les oeuvres de Salman Rushdie ?
Je constate empiriquement dans mon livre que, depuis les années 1990, plus on tue au nom de l’islam, plus celui-ci bénéficie de la sorte d’une publicité autour d’une civilisation et d’une religion sans tache, sans aucune remise en question des textes sacrés, qui pourtant clairement justifient le djihad. On s’empare ainsi de la volonté de “lutte contre l’amalgame” pour empêcher toute interrogation en ce sens. L’islam en tant que texte et les musulmans en tant que civilisation n’auraient aucun travail d’autocritique à faire. Au final, les attentats terroristes, qui devraient être l’occasion d’interpeller sur le totalitarisme islamiste, permettent de faire taire tout blâme. Les djihadistes sont de ce fait des génies en communication. [...]
On distingue cinq principaux pôles : les Frères musulmans, matrice de l’islamisme radical général ; la Ligue islamique mondiale, pilotée par l’Arabie saoudite, qui diffuse un islam wahhabite-salafiste ; la Turquie néo-ottomane, réislamisée par Erdogan ; l’islam indo-pakistanais, notamment l’association Tabligh ; et le Qatar. Ces pôles alimentent 80 % des instances de représentation de l’islam en Occident. S’ils ont l’air divisés, ils convergent toutefois dans l’Organisation de la coopération islamique (OCI), qui réunit 57 pays musulmans, et dans l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (Isesco),respectivement l’Onu et l’Unesco du monde musulman, qui se réfèrent notamment à une “Déclaration islamique universelle des droits de l’homme” opposée à celle des Occidentaux et qui pose le primat de la charia, laquelle doit à terme régner sur la planète. Ces organisations panislamiques uniques en leur genre et qui ont pour objectif avoué d’empêcher l’intégration des musulmans dans les sociétés non musulmanes (“désassimilation”) agissent de façon très efficace par l’argent et l’exercice de pressions au sein des instances internationales et onusiennes. Elles représentent donc une sorte de “superlobby suprématiste islamique mondial”, qui avance de façon subversive au moyen d’une stratégie victimaire visant notamment à pénaliser toute critique de l’islam sous couvert de lutte contre l’islamophobie. L’instrumentalisation de l’antiracisme, qui fait désormais de la critique d’une religion un nouveau racisme, notamment par le biais du Mrap, du CCIF ou des Indigènes de la République, comme on le voit en France, est ainsi la déclinaison d’un travail de sape d’ampleur planétaire qui a été méthodiquement planifié. [...]"
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La trahison : la preuve par Trèbes
Chronique de Paysan Savoyard
(n°196 – avril 2018)
En suscitant et en organisant l’invasion migratoire de l’Europe, la classe dirigeante nous trahit de façon délibérée. Aux naïfs qui n’en auraient pas encore pris conscience, l’attentat de Trèbes fournit à lui seul une triple démonstration.
- Faire venir des Radouane Lakdim par millions
Le terroriste né au Maroc a pu entrer et s’installer en France alors qu’il était enfant, en bénéficiant du droit au regroupement familial. Chaque année plus de 90 000 immigrés s’installent légalement en France pour « motif familial » (voir cette chronique).
Le droit au regroupement familial a été instauré dans le but d’alimenter l’immigration de masse. Rappelons que celle-ci a pour la classe dirigeante un double intérêt : casser les salaires et dégrader les conditions d’emploi d’une part ; augmenter le nombre des consommateurs d’autre part. L’arrivée massive des femmes grâce au regroupement familial à partir du milieu des années soixante-dix a ainsi permis aux employeurs de maintenir des salaires faibles dans les secteurs où elles sont venues occuper les emplois (nettoyage, maisons de retraite…).
Les bien-pensants considèrent ce droit au regroupement familial comme une nécessité morale. Signalons leur, premièrement, que ce droit a été posé par la classe dirigeante en 1975 sans que le peuple de souche ait jamais été consulté. Indiquons, deuxièmement, qu’aucun principe supérieur ne nous oblige à accueillir les immigrés séparés de leur famille : si les immigrés veulent se regrouper, il leur est loisible de le faire en rejoignant leur famille restée au pays.
Si les Français veulent mettre fin à l’invasion, il leur faudra mener vis-à-vis des familles originaires de l’immigration une politique en trois volets. Arrêter, premièrement, toute immigration nouvelle, en supprimant notamment le regroupement familial. Réserver, deuxièmement, les allocations et prestations sociales à la population de souche européenne afin d’inciter les immigrés et leur famille à retourner dans leur pays. Accorder, troisièmement, une aide financière incitative aux familles immigrées qui font le choix de remigrer.
- Donner la nationalité française à tous les Radouane, les Boubakar et les Fatoumata
Lakdim a bénéficié de la nationalité française. On la lui a donnée lorsqu’il avait quatorze ans. Rappelons que, comme lui, les personnes originaires de l’immigration obtiennent la nationalité française par centaines de milliers chaque année (soit à la naissance, soit par naturalisation ; voir cette chronique).
Cette politique d’attribution massive de la nationalité a un double fondement. Le premier est idéologique : la distribution de la nationalité est le reflet de la conception républicaine de la nation, constituée de citoyens censés adhérer aux mêmes « valeurs », indépendamment de leurs origines (voir cette chronique). La seconde motivation de la politique d’attribution massive de la nationalité est d’ordre tactique : en les transformant en Français, les immigrationnistes veulent rendre la présence des immigrés irréversible.
Si les Français veulent vivre et mettre fin à l’invasion, il leur faudra procéder à une opération générale de réexamen et de réattribution de la nationalité. La nationalité française ne serait réattribuée automatiquement qu’aux personnes dont les ancêtres sont Français ou Européens depuis plus de trois générations. Les immigrés non européens ne se verraient redonner la nationalité française que de façon exceptionnelle, pour services éminents rendus à la nation.
- Ne jamais expulser les Radouane, les Abdelkrim et autres Djibril, même quand ils sont délinquants, même quand ils sont islamistes
Lakdim était un délinquant, bien identifié comme tel, condamné plusieurs fois et incarcéré en 2016. Il était en outre un islamiste, bien identifié également, fiché et paraît-il surveillé. En dépit de cette double caractéristique déplorable, les autorités françaises ne l’ont ni expulsé ni déchu de sa nationalité.
Il en est de même pour les centaines de milliers d’immigrés condamnés chaque année pour délinquance et pour les dizaines de milliers identifiés comme islamistes : alors qu’ils violent on ne peut plus gravement les lois les plus élémentaires de l’hospitalité, ces délinquants et ces islamistes originaires de l’immigration sont pourtant maintenus sur le territoire et conservent la nationalité française (le ministre Collomb a indiqué que seuls 20 islamistes avaient été expulsés en 2017 !).
Si les Français veulent vivre, mettre fin à l’invasion et redevenir maîtres chez eux, il leur faudra pendre trois mesures convergentes. Expulser les délinquants et les islamistes fichés, dès lors qu’ils sont étrangers ou naturalisés. Les placer tous en rétention avant leur expulsion. Déchoir les naturalisés de leur nationalité (en attendant l’opération de réattribution générale de nationalité évoquée plus avant).
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Ce n’est pas le nombre des immigrés présents en France, tout considérable et croissant qu’il soit, qui empêcherait les Français de procéder à une remigration massive s’ils en décidaient ainsi. Les Français de souche européenne, en effet, sont maîtres encore de tous les leviers : les rouages de l’Etat, l’armée, la police, les lieux de pouvoir économique…
Le drame de la France et de l’Europe est sa classe dirigeante : mondialiste et immigrationniste, elle trahit depuis près de soixante ans les intérêts vitaux des peuples français et européens. Au nom de l’édification d’un monde sans frontières, elle veut la disparition des sociétés et des nations européennes et la dilution des Européens dans une population renouvelée par l’immigration. C’est par l’éviction de cette classe dirigeante en situation de haute trahison que passe notre survie.
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LE SALAFISME EST UNE IDÉE, LA CRITIQUE DE L’IMMIGRATION UN CRIME ?
Mars dernier, le Premier ministre intervenait à l’Assemblée pour répondre aux questions des parlementaires sur les assassinats islamistes qui venaient d’être perpétrés dans l’Aude. Édouard Philippe répondit à ceux qui voulaient interdire l’islam radical, le salafisme. Il le fit avec componction, en s’appuyant, plein de dignité, sur la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, dont il cita l’article 10 : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi. » Et en tira la conclusion suivante : « On ne peut interdire une idée mais sanctionner les comportements qu’elle entraîne s’ils sont contraires aux lois de la République. »
Le chef du gouvernement se trompait ici par les deux bouts. D’abord, si une idée peut être interdite lorsqu’elle menace les lois de la République, alors le salafisme peut et doit être interdit, puisque le salafisme s’appuie sur le texte fondamental de l’islam, le Coran, et sur les pratiques initiales du prophète et de ses compagnons, relevés dans les hadiths. Il exige l’application des préceptes et l’imitation des modèles qui y figurent. Il est alors facile de montrer que le meurtre des mécréants, des chrétiens et des juifs, bref, de tous ceux qui résistent à la conversion et à la soumission, y est encouragé. L’infériorité de la femme, l’esclavage, la prise de butin, l’humiliation des vaincus, voire l’extermination des hommes et le partage de leurs femmes et de leurs enfants, sont manifestement tenus pour choses normales. Bref, il y a une totale incompatibilité entre ces idées et les lois de la République. Alors, le grand légiste de Matignon dira qu’il s’agit d’idées et non de comportements, frappé d’une curieuse amnésie qui lui fait oublier les horreurs commises par les djihadistes.
Mais ce qui rend ce discours grotesque ou odieux, c’est l’extraordinaire aveuglement qui conduit Édouard Philippe à prétendre, à propos du salafisme, qu’on ne peut punir une idée mais seulement des comportements, alors que l’évolution de plus en plus pernicieuse de la loi sur la liberté de la presse, non seulement permet de sanctionner les idées et ceux qui les émettent, mais autorise des associations à jouer le rôle de chiens de garde du système répressif de l’opinion qui a, ainsi, été instauré. C’est ainsi que Nicolas Dupont-Aignan s’est retrouvé, après beaucoup d’autres, devant les juges pour avoir osé parler « d’invasion migratoire ». Il risque une amende de 5.000 euros, avec sursis.
Il faut dénoncer vigoureusement cette aberration française qui, en l’occurrence, additionne cinq scandales. Premier scandale : il s’agit d’une opinion sur un fait objectif. Qu’un citoyen y soit opposé fait partie de la libre expression des idées dans une démocratie authentique. Deuxième scandale : le droit pénal doit être précis et ne pas laisser place à des interprétations tendancieuses. L’appel à la haine et à la discrimination est une formule déjà trop large, mais les magistrats se permettent de l’interpréter pour poursuivre des intentions cachées. Dire qu’il y a trop d’immigrés n’appelle nullement à la haine ni à la discrimination. C’est un constat. Troisième scandale : le terme « invasion » est une figure de style, ce que la caricature est au dessin. L’absurdité dans laquelle nous sommes tombés va nous conduire à défendre le dessinateur qui n’a pas de légitimité particulière, mais à condamner le représentant du peuple lorsqu’il force un peu le trait d’un discours : c’est le monde à l’envers. Quatrième scandale : Nicolas Dupont-Aignan est député. Le pouvoir actuel tente déjà de jouer de la démagogie antiparlementaire, mais en permettant à un fonctionnaire de justice de faire la leçon à un député sur ce qu’il doit dire, il ébranle un pilier essentiel de la démocratie. Cinquième scandale, enfin : les propos du parquet ne sont pas de nature juridique, mais politique. C’est ainsi que le procureur ose stigmatiser la critique parfaitement légitime d’un opposant politique envers la politique migratoire des socialistes. Il la dénonce, comme « reprenant tranquillement à son compte une théorie complotiste et raciste née dans le tréfonds de l’extrême droite » et considère qu’on doit la sanctionner pour « ne pas ouvrir les vannes à la parole raciste décomplexée ». C’est un condensé d’idéologie : les amalgames sémantiques, les termes volontairement péjoratifs, la discrimination politique. Tout y est.
Ce n’est pas du droit mais de la politique. En quoi est-ce un complot de voir la montée de l’immigration ? Est-il question de race ? De quel droit interdire aux idées d’extrême droite de s’exprimer ? La Justice a-t-elle le souci de protéger les Français ?
http://www.bvoltaire.fr/salafisme-idee-critique-de-limmigration-crime/
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Des militants d’extrême-gauche agressent des étudiants à l’Université (video)
Voici le véritable visage de l’extrême-gauche, qui se bat « pour la tolérance ». Des étudiants qui distribuent des tracts pendant le blocage de l’université parisienne de Tolbiac sont attaqués directement, car ils sont réputés de « droite ».
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MÉLINA BOUGHEDIR, CETTE CITOYENNE FRANÇAISE QUI RISQUE LA PENDAISON EN IRAK
On ne sait pas grand-chose de l’immense souffrance qui frappe les familles des victimes des crimes islamistes commis à Trèbes, Marseille, Nice, Paris, etc. On ne connaît déjà plus les noms de ces victimes, si l’on excepte le père Hamel et le colonel Beltrame. Des époux, des épouses, des parents, des enfants, condamnés à souffrir à vie parce qu’un jour, un djihadiste a décidé de frapper au hasard dans la foule immense. Et l’on remonte alors désespérément l’arbre terrible des causes, l’enchaînement des banalités qui conduit à la tragédie : s’il avait fait ses courses une heure avant, si elle n’avait pas raté son train, si…
Aujourd’hui, on apprend que Mélina Boughedir, une citoyenne française de 27 ans, mère de quatre jeunes enfants – dont un bébé âgé de moins d’un an -, devrait être rejugée en Irak pour terrorisme, alors qu’il y a un mois à peine, son retour en France était considéré comme imminent. La justice irakienne avait ordonné son expulsion après l’avoir condamnée pour entrée illégale sur le territoire irakien. Elle risque, aujourd’hui, la peine de mort par pendaison.
Cette jeune femme avait rejoint la zone irako-syrienne en 2015 avec son mari. Ce dernier, Maximilien Thibaut, était un radicalisé bien connu de la Justice et des services de renseignement français, notamment pour avoir fait partie de l’organisation Forsane Alizza, un groupuscule islamiste dissous en 2012. Maximilien Thibaut a probablement été tué durant la bataille de Mossoul. En février dernier, l’avocat de Mélina Boughedir, Me Vincent Brengarth (coauteur du livre Les Dérives de l’état d’urgence), déclarait à RTLque sa cliente (qu’il n’avait pas encore rencontrée !) « regrettait son départ » et qu’« elle était sous l’influence de son compagnon ». L’arbre terrible des causes prenait forme. Si elle n’avait pas été sous influence, si…
Le 8 juillet 2017, Mélina Boughedir avait été arrêtée à Mossoul avec ses quatre enfants par les forces irakiennes. Les trois aînés (huit, cinq et trois ans) furent rapatriés en France en décembre 2017, le nourrisson étant resté avec sa mère. Évidemment, on peut imaginer l’immense souffrance de ces jeunes enfants. Quelle va pouvoir être la vie de ces innocents ? Il faudrait être un barbare pour ne pas y penser une seconde. Il fallait y penser avant, diront des âmes moins compatissantes.
Leur mère devait donc être expulsée d’Irak. Mais voilà, la Justice irakienne vient de faire appel du jugement. Elle devrait maintenant examiner l’éventuelle participation de Mélina Boughedir à des activités terroristes. En février dernier, France Info relayait une information de l’agence américaine Associated Press : des sources irakiennes affirmaient que la Française avait appartenu aux brigades féminines de la police morale de l’État islamique. Cette brigade, créée en 2014, entièrement composée de femmes, avait pour mission de contrôler la bonne application de la charia et parfois de punir, par le fouet. Le Centre international pour la paix et les droits de l’homme (CIPADH) avait publié, en avril 2017, un focus sur cette brigade d’amazones voilées qui, à l’évidence, n’avait rien d’une gentille ligue de vertu. Cela explique peut-être pourquoi Mélina Boughedir, cette « femme au foyer » qui « n’avait pas participé à des actes de violence », selon son avocat, doit aujourd’hui rendre des comptes à la Justice irakienne.
Mélina Boughedir va probablement bénéficier de la visibilité médiatique de son avocat, qui ne manquera pas d’essayer de faire pleurer dans les chaumières françaises. Pas certain qu’il y réussisse, la compassion de nos compatriotes allant plutôt, aujourd’hui, vers les malheureux qui n’ont pas eu le choix lorsque l’arbre terrible des causes s’est abattu sur eux.
http://www.bvoltaire.fr/melina-boughedir-cette-citoyenne-francaise-risque-pendaison-irak/
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ALEXANDRE DEL VALLE : « COUPEURS DE LANGUES, COUPEURS DE TÊTES - LES DEUX INTIMIDATIONS DE L’ISLAMISME »
Alexandre del Valle présente son nouveau livre La stratégie de l’intimidation – Du terrorisme jihadiste à l’islamiquement correct en exclusivité pour Boulevard Voltaire.
Il y démontre que, derrière la diversité des pays et des traditions musulmans, il y a une unité idéologique de conquête, un « objectif commun : désassimiler les communautés musulmanes d’Europe ». « Le génie de l’islamisme consiste, tout en dénonçant le djihadisme, à utiliser ce djihadisme comme un effet dissuasif qui fait que le “mécréant” va donner des exceptions, des circonstances atténuantes aux requêtes pourtant obscurantistes de l’islamisme. »
« Entre l’islam et l’islamisme, il y a plus une différence de degré que de nature. »
Vous sortez un nouveau livre La stratégie de l’intimidation aux Éditions du Toucan et de l’Artilleur. Vous tentez d’y d’expliquer comment l’islam grignote petit à petit l’Occident. Pourquoi avez-vous écrit ce livre ?
Certains veulent nous faire croire que non seulement l’islam n’a rien à voir avec l’islamisme, mais que le djihadisme lui-même n’a rien à voir avec l’islam et les islamistes.
Cette idée selon laquelle le djihadisme serait une réalité tout à fait autonome et délinquancielle est fausse et je le montre dans mes écrits.
On nous dit que d’un côté, il y a l’islam qui est une religion, qui peut être pacifique, neutre ou modéré, et de l’autre, l’islamisme, c’est-à-dire l’islam politique conquérant.
Les islamistes institutionnels, que ce soient les organisations transnationales comme la Ligue islamique mondiale ou les États qui ont pignon sur rue en Europe, comme l’Arabie saoudite, la Turquie, le Pakistan ou le Qatar, promettent un islam radical.
Leur but est la désassimilation des musulmans d’Europe, la non-intégration et la ré-islamisation de ces communautés musulmanes. Ce séparatisme islamique a pour but de constituer une sorte de 5e colonne, un noyau dur à partir duquel l’Europe sera conquise.
Mais ils ne sont pas explicitement terroristes. En Europe, ils avancent masqués. Ils masquent leurs doléances et leurs requêtes irrédentistes, suprémacistes et impérialistes derrière un discours victimaire. Ce discours est finalement très habile.
J’ai retrouvé des textes entiers de la Ligue islamique mondiale et de l’Organisation de la coopération islamique d’imams saoudiens, y compris le grand imam d’Arabie saoudite, qui incitent les musulmans à refuser les meurs des sociétés mécréantes, à islamiser l’Europe et à se plaindre de l’islamophobie pour désarmer les mécréants.Tous ces mouvements islamistes, que ce soient des États, des associations ou des organisations, semblent poursuivre un seul et même objectif commun, alors que le propre de l’islam est la division. Comment tout cela s’organise-t-il ?
Je parle de ces divisions dans mon livre. Il y a plusieurs pôles : les Turcs, les Saoudiens, les Frères musulmans, les Qataris, les Indo-Pakistanais… Ces pôles ont des agendas politiques différents.
Les Turcs veulent surtout s’occuper de leurs ouailles, afin que les Turcs ne s’intègrent pas, qu’ils restent turcs et qu’ensuite ils votent pour Erdoğan ou d’autres un jour. Les Marocains font pareil. Ils ne sont pas aussi modérés qu’on le dit au niveau extérieur. Ils entretiennent des communautés marocaines en leur disant de s’intégrer au niveau économique, tout en restant marocains et musulmans. Les Saoudiens veulent distiller l’islam salafiste pur, le wahhabisme, qu’on appelle aussi le salafisme. Les Frères musulmans ont une forme de salafisme qu’on appelle réformiste et qui est un peu plus habile.
Chacun a des tactiques différentes et des orientations différentes suivant les pays. L’objectif commun consiste à désassimiler les musulmans d’Europe d’origine étrangère qui sont devenus français, italiens, anglais ou autres. Après une première génération qui allait vers l’assimilation, la paranoïa islamique et confessionnelle qu’on leur transmet va les déconnecter de la société mécréante et leur faire croire que même dix générations après, rien que le fait d’être d’origine musulmane les exclura de cette société mécréante foncièrement hostile.
C’est une stratégie extrêmement habile. Dans mon livre, j’appelle cela le génie de l’islamisme.
J’avais créé l’expression « coupeurs de langues » en 1997 dans Le Figaro Magazine. Je désignais ainsi ceux qui veulent nous empêcher de parler en nous traitant d’islamophobes. Je reprends cette expression en sous-titre du livre.
Mais qu’ils soient coupeurs de langues ou coupeurs de têtes, c’est-à-dire ceux qui tuent pour intimider physiquement et créer une sidération, les deux participent de la stratégie de l’intimidation. Ce sont deux formes d’intimidation physique et psychologique.
Al Capone disait : « Une requête, un conseil, c’est bien, mais avec une arme, c’est beaucoup plus efficace. »
Des islamistes institutionnels qui apparemment n’ont rien à voir avec le djihad disent à nos hommes politiques : « Vous devriez prendre des mesures contre Charlie Hebdo, contre des revues laïques ou chrétiennes mécréantes ou contre des lois qui interdisent le voile. » Ils se plaignent qu’ainsi nous stigmatisons les musulmans, ou que nous blasphémons, et que tout cela relève de l’islamophobie. À chaque fois que ces organisations émettent ce genre de requêtes, elles savent très bien, tout en condamnant le djihadisme, que le djihadisme est une épée de Damoclès qui rend beaucoup plus convaincante leur requête.
Imaginez un curé qui va demander au nom d’un collectif contre la christianophobie d’arrêter de stigmatiser les chrétiens. Pourquoi cela n’a-t-il pas beaucoup de force ? Pourquoi, lorsqu’on parle du racisme, dit-on toujours « l’islamophobie, l’antisémitisme, le racisme anti-noirs » et ne parlons-nous jamais du racisme antichrétien ou anti-blancs ? Derrière ceux qui demandent de condamner le racisme anti-blancs ou la haine antichrétienne, il n’y a pas cette épée de Damoclès ni d’effet dissuasif. Les chrétiens ne font peur à personne. En revanche, l’islam fait peur à tout le monde. Le génie de l’islamisme consiste à utiliser le djihadisme, tout en le dénonçant, comme un effet dissuasif qui fait que le mécréant va donner des exceptions, des extraterritorialités et des circonstances atténuantes aux requêtes pourtant explicitement obscurantistes et suprémacistes de l’islamisme.Est-ce que ces deux islams différents seraient les deux faces d’une même pièce ?
Je dirais qu’il y a une différence de degré mais pas de nature entre ces deux islams.
La vraie séparation de nature apparaît entre un islam orthodoxe qui a une facette islamiste radicale et un islam libéral réformiste qui est jugé totalement hérétique.
L’islam orthodoxe est celui qui n’a jamais réformé les textes de violence, de haine et d’intolérance contenue dans la deuxième partie du Coran qu’on appelle le Coran de Médine et dans la charia. Cet islam orthodoxe a deux facettes : un islam orthodoxe institutionnel avec l’Arabie saoudite, et les Frères musulmans, qui sont très interpénétrés. Par exemple, à l’université d’Al-Azhar soi-disant moderne et tolérante, on trouve beaucoup de Frères musulmans. L’islam orthodoxe sunnite est un tout qui n’accepte pas l’autocritique et qui n’a jamais remis en question les sources légales de la violence sacrée de l’islam. C’est là que puise le djihadiste pour légitimer et déculpabiliser son acte barbare. Depuis le Xe siècle, lorsqu’il y a eu le blocage des écoles juridiques de l’islam, beaucoup de musulmans voulaient réformer l’islam. Même au XXe siècle, il y a eu plusieurs tentatives de réformer l’islam, mais l’islam orthodoxe a toujours refusé.
C’est pour cela que les djihadistes et les islamistes radicaux ne sont pas les seuls à excommunier les musulmans réformistes, puisque l’université Al-Azhar du Caire, en Égypte, a elle-même excommunié la totalité de tous les musulmans qui proposaient un islam rationnel qu’on appelle le mutazilisme. Le mutazilisme est un islam qui propose d’utiliser sa raison et de considérer le Coran comme créé par l’homme afin de pouvoir l’interpréter. Tous les adeptes de cette école juridique ont été excommuniés. C’est une école de croyants qui utilisent aussi la raison, qui veulent prendre une distance sur les textes de l’époque de Mahomet.
Cela montre bien qu’entre l’islam et l’islamisme, il y a plus une différence de degré qu’une différence de nature. La vraie opposition entre modérés et radicaux se joue dans la différence entre l’islam orthodoxe et l’islam libéral qui est jugé totalement hétérodoxe, voire hérétique.Vous notez dans votre livre une volonté permanente de l’Occident de rehausser l’image de l’islam, notamment avec les mythes de ce que devrait la science à l’islam, notamment. S’agit-il d’un syndrome de Stockholm généralisé ?
C’est effectivement un syndrome de Stockholm généralisé. La deuxième partie du livre porte sur le mythe fondateur de l’islamiquement correct. Il repose sur le mythe fondamental de l’Andalousie et de la science. Le mythe de la soi-disant Andalousie extrêmement tolérante des trois religions où l’islam est à la fois tolérant et multiculturaliste avant l’heure. C’est un mythe absolu. On sait aujourd’hui que l’Andalousie n’a fait que recopier ce qui a été élaboré à Bagdad. À l’époque de l’Empire abbasside au IXe siècle, les musulmans mutazilites, qui avaient une vision éclairée de l’islam et qui ont été condamnés, ont fait venir des Grecs. Ces Grecs ont pris des manuscrits à Byzance qu’ils ont fait traduire par des chrétiens d’Orient. Les grands spécialistes de la science arabe savent parfaitement que ces scientifiques et ces philosophes n’étaient jamais des musulmans orthodoxes. Ils étaient en général juifs, perses ou chrétiens. La grande majorité étaient des chrétiens araméens. Puisqu’ils parlaient l’araméen, ils avaient réussi à apprendre l’arabe facilement. Comme ils étaient byzantins, ils connaissaient également le grec. Cela leur a permis de traduire du grec à l’arabe de nombreux textes. La quasi-totalité étaient de confession chrétienne. En revanche, ceux qui étaient musulmans l’étaient très superficiellement. En général, ils étaient excommuniés ou considérés comme des mécréants, comme Avicenne ou Averroès.
Ce mythe vise à culpabiliser l’Occident et à le rendre redevable vis-à-vis du monde musulman, mais aussi d’un empire califal qui pourtant a conquis l’Occident.
Être nostalgique de l’Andalousie et de la Sicile islamiques est une façon de dire que c’était mieux lorsque vous nous occupiez.
C’est aussi le mythe fondateur de nombreux musulmans irrédentistes et de nombreux pôles de l’islamisation qui prétendent, pour justifier l’islamisation de l’Europe, que l’Espagne, la Sicile et les Balkans étaient islamiques. Finalement, c’était merveilleux, car à l’époque l’islam était supérieur à l’Occident.
Le mythe apparemment sympathique antiraciste de l’islamiquement correct est un mythe qui vise à nous rendre nostalgiques d’une époque où nous étions colonisés. Lors des attentats commis à Barcelone en 2017 et en 2004 à Madrid, les revendications d’Al-Qaïda ou de Daech sont très explicites. L’idée est de pousser les musulmans à conquérir l’Europe et de commence par l’Espagne, qui appartenait au califat. Le mythe de l’Espagne musulmane éclairée est dangereux. Il donne un carburant qui légitime l’irrédentisme et le colonialisme islamique.Comment sortir de cette dialectique « Si tu veux la paix, soumets-toi » ?
En refusant la soumission. Il est vrai que, pour cela, il faut un peu de courage. Il ne faut pas avoir peur. D’ailleurs, ce ne sont pas les islamistes qui sont les plus virulents aujourd’hui, mais les islamo-gauchistes. Le rouge soutient le vert. Quand on critique les sources coraniques de l’islamisme, beaucoup de musulmans sont parfaitement conscients et sont prêts à l’entendre, à condition évidemment de le dire avec respect, sans stigmatiser les gens. Ceux qui sont les plus virulents sont les forces de gauche, d’extrême gauche et du politiquement correct.
Ces gens détestent l’Occident. Les forces de la repentance et de la culpabilisation ont une haine de l’Occident et voudraient le détruire dans une logique d’expiation des péchés commis par le passé lorsque nous étions colonisateurs ou croisés.
Ces islamiquement corrects de gauche, d’extrême gauche bien-pensant empêchent aujourd’hui de parler. Il faut faire l’inverse, c’est-à-dire réhabiliter l’amour de notre civilisation et rappeler que le christianisme n’a pas fait que de mauvaises choses. Même quand on n’est pas pratiquant, on peut comprendre que sans l’Église, il n’y aurait pas eu les universités. Nous ne serions même pas alphabétisés sans l’Église.
Nous pourrions parfois ne pas voir que le côté négatif de notre passé, mais aussi le côté positif. Réhabiliter l’amour de soi est la meilleure thérapie face à ceux qui prônent la haine de soi et qui sont en fait, consciemment ou pas, les alliés objectifs des islamistes conquérants. Sans la haine de soi des islamo-gauchistes et des bien-pensants, qu’aurait l’islam en Europe ? Absolument rien !http://www.bvoltaire.fr/coupeurs-de-langue-coupeurs-de-tetes-deux-intimidations-de-lislamisme/