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insécurité - Page 640

  • AFFAIRE WEINSTEIN : LE BAL DES FAUX-CULS !

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    Je suggère, pour en finir avec l’hypocrisie et le féminisme misérabiliste, qu’on lance #Balancetapétasse pour faire pendant à #Balancetonporc.

    Allez-y, Mesdames, c’est le moment ! Vous toutes, starlettes refoulées, actrices en mal d’engagement, vieilles gloires oubliées… Allez-y, balancez vous aussi votre « porc » et peut-être retrouverez-vous un instant de notoriété en racontant au monde cette scène horrible qui, à votre insu, vous hante depuis tant d’années et vient de resurgir grâce à ce gros dégueulasse d’Harvey Weinstein.

    Depuis huit jours, la liste s’allonge. Ainsi, l’oubliée Florence Darel qui réapparaît ce lundi pour raconter au Parisien avoir éconduit le producteur en 1994, et qui confie : « Je me rends compte que ça m’a beaucoup perturbée et que depuis deux nuits, j’ai plein d’autres souvenirs qui remontent que j’avais soigneusement enterrés. »

    C’est à qui en aura le plus à raconter, preuve qu’on est en plein bal des faux-culs, tout comme on le fut avec notre gloire internationale, le monsieur du FMI : Dominique Strauss-Kahn.

    L’affaire est entendue : les hommes de pouvoirs sont des cochons. Et les hommes de grand pouvoir de grands cochons. Et donc, une fois de plus, une fois encore, les femmes ne sont que d’innocentes victimes contraintes de devoir tout accepter pour pouvoir respirer sur cette basse terre.

    Foutaise.

    Pour autant que je sache, toutes les petites starlettes en herbe qui oscillent du cul sur les plages de Cannes, se précipitent chaque printemps aux partouzes des magnats d’Hollywood, prennent leur ticket dans la file d’attente devant la chambre à coucher des réalisateurs et des acteurs en vue, de même que les grandes dames du cinéma qui acceptent les rôles les plus avilissants ne le font pas avec un flingue dans le dos. 

    Faut-il rappeler ce qui a valu la gloire à la jeune Léa Seydoux, dont la confession dans le Guardian a occupé les médias pendant trois jours ? C’est la Palme d’or, à Cannes, pour cette ode à l’homosexualité féminine (sorte de manuel pratique) qu’est La Vie d’Adèle, d’Abdellatif Kechiche. Une fois remportées la Palme d’or et la gloire qui va avec, Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos, son amante à l’écran, ont dénoncé les agissements épouvantables du cinéaste : « La plupart des gens n’oseraient même pas demander ce qu’il nous demandait et témoignent davantage de respect. »

    Pourquoi ont-elles accepté ?

    Pourquoi tant de ces jeunes femmes démarrent-elles dans le porno ? Pourquoi celles qui sont déjà « arrivées » acceptent-elles des scènes de sexe cru, de perversions, de sado-masochisme, de mutilations, comme l’a fait Isabelle Huppert dans La Pianiste de Michael Haneke ? Ou pire, Charlotte Gainsbourg dans Nymphomaniac, de Lars von Trier, en 2013. Une Charlotte Gainsbourg qui se complaît dans des rôles malsains et dont le mari Yvan Attal a fait, sur un plateau de télé, cette étrange confidence : « C’est bon, elle m’a fait la totale. » Il ajoute que c’est « un drame », surtout que « c’est parfois terrible », pour leurs trois enfants. Non seulement il accepte – il en fait même l’objet de deux films : Ma femme est une actrice, puis Ma mère est une actrice ! –, mais il dédouane son épouse, en fait en quelque sorte une irresponsable : Charlotte « ne se rend pas compte » de l’impact que cela peut avoir dans une cour de récréation, dit-il, ajoutant « mais je comprends qu’elle aille tourner avec Lars von Trier quand même. Même pour faire ça (sic), c’est quand même un des plus grands metteurs en scène qui soit et, du coup, on ne peut pas reprocher à sa femme d’aller dans ses films. »

    Comment faut-il appeler cela ?

    Voilà donc ce qui justifie 5 h 30 de scènes sado-maso avec une Charlotte Gainsbourg. Allons-y pour le cliché ! Un film raccourci en deux fois deux heures pour « répondre à une problématique de durée tout d’abord mais également à un souci de censure car les scènes de sexe les plus explicites ont été enlevées ». Mais néanmoins montrées intégralement à la Berlinale, qui s’en est fait une gloire.

    Bref, tout ce beau monde du cinéma et des médias dansant aujourd’hui au bal des faux-culs, je suggère, pour en finir avec l’hypocrisie et le féminisme misérabiliste, qu’on lance #Balancetapétasse pour faire pendant à #Balancetonporc. Il me semble que l’égalité des sexes y gagnerait.

    http://www.bvoltaire.fr/affaire-weinstein-bal-faux-culs/

  • Viol et harcèlement sexuel : quand Hollywood plaisantait sur le comportement d’Harvey Weinstein

    Le fondateur du studio Miramax puis de la société de production Weinstein Company, Harvey Weinstein, est accusé de viol par trois femmes et de harcèlement sexuel par de nombreuses actrices, mannequins et employées. C’est le New York Times qui a révélé ces accusations dans une enquête publiée le 5 octobre.

    Mira Sorvino, Rosanna Arquette, Gwyneth Paltrow, Angelina Jolie, Emma de Caunes et Judith Godrèche ont décrit des avances sexuelles insistantes formulées par le puissant producteur, souvent dans une chambre d’hôtel.

    Le 8 octobre, le producteur de 65 ans a été licencié de sa propre maison de production, The Weinstein Company. La direction a assuré ne pas avoir été au courant de ses comportements envers les femmes, mais le New York Times a affirmé qu’elle avait eu connaissance depuis 2015 des accords financiers passés avec trois ou quatre actrices pour qu’elles ne parlent pas.

    Des agissements qui semblaient bien connus, ainsi que le démontrent les humoristes Tina Fey et Seth MacFarlane.

  • Des policiers devenus islamistes

    14/10/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Si la pratique d’une religion est tout à fait possible pour un policier, il n’est cependant pas tolérable qu’elle puisse nuire à son métier, voir qu’elle rende le gardien de la paix potentiellement dangereux.
    C’est à cet effet qu’a été créé en 2015 le FSPRT (Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste).
    Aujourd’hui, ils seraient « une trentaine » à faire l’objet d’une attention particulière. Une « cellule spéciale » de l’IGPN (la police des polices), créée en 2016, est chargée de les surveiller de près. Il s’agit aussi d’aider les chefs de service à identifier « les pratiques religieuses des agents qui sont incompatibles avec l’exercice de leur mission » ou qui « heurtent le principe de neutralité et de laïcité du service public », tout en respectant le droit des fonctionnaires d’exercer leur religion.

    Comment faire pour déceler la radicalisation ?

    Pour cela, il est nécessaire d’appliquer une certaine surveillance sur les forces de l’ordre, d’anticiper. Il ne s’agit donc pas de retirer des responsabilités à un fonctionnaire sous prétexte qu’il mange hallal, mais de trouver des critères objectifs de radicalisation. Aussi, sur les trente fonctionnaires suspectés, une vingtaine, d’entre eux présentent une « pratique religieuse un peu dérangeante » et une petite dizaine se trouvent en contact avec des réseaux salafistes identifiés.

    Quelles sont les possibilités légales suite aux soupçons qui s’exercent sur ces policiers ?

    Les dispositions de la justice sont en pleine évolution sur ce sujet, dans le cadre du projet de loi antiterroriste. Le gouvernement a déposé un amendement début septembre à l’Assemblée, qui demande que l’on puisse rapidement muter, voire radier les fonctionnaires chargés de missions de sécurité, si une enquête administrative conclut à leur radicalisation. Seront concernés les policiers, gendarmes, militaires, douaniers et le personnel pénitentiaire.

    https://fr.novopress.info/207946/des-policiers-devenus-islamistes/

  • Les voyous bienaimés du monde actuel

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    Bernard Plouvier

    Durant l’entre-deux-guerres, et reprenant l’exemple de quelques littérateurs du XVIIIe siècle, certains romanciers « progressistes » vantaient les charmes de canailles de droit commun en plus de ceux des terroristes de l’action politique. Mais la morale avait ses exigences et dans le cinéma noir d’Hollywood, comme dans les chefs d’œuvre français et italiens des années 1950 et 60, le bon l’emportait (de justesse) et le méchant mourait, parfois avec le sourire.

    Mais tout le monde savait que l’on était en pleine fiction. C’était, bien sûr, avant la révolution des mœurs des années 1968-80, où la démagogie, l’inflation, puis le chômage de longue durée ont permis à une tourbe de propagandistes de créer un authentique renversement des valeurs morales. Bon gré, mal gré, nous sommes contraints de survivre dans la société qui en a résulté : niaise, stupide et dépourvue d’équité.

    Le type actuellement le plus répandu de ces voyous bénéficiant de l’absurde sympathie des faiseurs d’opinion publique, ce sont les casseurs, vandales, pyromanes des cités de non-droit qui, parfois, s’offrent le luxe de faire goûter leurs débordements aux habitants des quartiers riches. Très vite, les maîtres de la société globalo-mondialiste comprennent le message et inondent d’argent les meneurs.

    Depuis les années 1980, un contrôle d’identité entraînant une crise d’hystérie d’un ou de plusieurs immigrés d’Afrique noire ou maghrébine, la tentative d’arrestation d’un honorable délinquant de cette mouvance qui ameute voisins et amis, la mise hors d’état de nuire d’un assassin d’agent des forces de l’ordre entraînent de façon quasi-automatique une fiesta, durant laquelle flambent les poubelles et les voitures, éclatent les vitrines et les abris-bus, sont dévastés des immeubles publics ou privés.

    Sont indispensables à la compréhension de l’actuelle dinguerie sociétale les commentaires des hommes, femmes et autres individus inclassables des media consensuels. Le point de départ de l’émeute devient automatiquement une « provocation », mot qui tend à remplacer la classique « bavure » et cette substitution n’est pas anodine. Défendre la société est presque devenu un délit, voire un crime lorsqu’un agent de l’ordre public fait un usage – généralement tardif et à bon escient – d’une arme.

    Lors des manifestations de soutien aux émeutiers, une fois terminée la phase active de destructions et de pillages, les « crétins utiles » de l’immigration-invasion, elle-même indispensable à l’entretien d’une forte consommation intérieure, beuglent les ritournelles d’où n’est jamais absent l’adjectif – dépourvu de sens, hors l’Italie des années 1920-1945 – « fasciste »… à prononcer Fâââchiste, comme le font les nouveaux crétins utiles du grand capital.

    Car si « Lénine » et « Trotski » eurent leurs idiots utiles, l’économie globale et la mondialisation des vies politique et sous-culturelle – ce qui revient à dire : la Finance cosmopolite et vagabonde – a ses crétins utiles, mais sous faux pavillon. On fait beugler, contre les forces de l’ordre et les trop rares populistes, des éclopés du marxisme, des dinosaures de la lutte des classes, trop stupides pour comprendre qu’ils détruisent les fondements de leur petite vie et de leurs croyances vieillottes.

    Les actuels « Antifa », sectaires et violents, sont devenus les plus fidèles soutiens autochtones des politiciens vendus – stricto sensu – à cette fameuse Finance que combattaient les Antifa des années 1930 sq., d’ailleurs aussi stupides et fanatiques que les hordes actuelles, manipulées par de très astucieux démagogues (généralement très fortunés).

    C’est d’ailleurs une constante : les populistes, chefs et militants, proviennent de milieux modestes, où les notions de travail, de famille et de patrie sont honorées, tandis que les chefs socialistes, communistes et apparentés – le terme Antifa remplace celui de marxiste, terni par l’effondrement ridicule des sanglantes dictatures de ce bord – proviennent pour l’essentiel de la bourgeoisie riche et volontiers cosmopolite… « Staline », de souche authentiquement prolétarienne, a suffisamment pesté contre ces transfuges de la richesse, qui l’agaçaient au plus haut point, pour qu’on s’en souvienne.

    Voyous extra-européens de banlieues et de cités de non-droit, voyous Antifa : autant de délinquants et de rebelles dont les exploits sont vantés par les media globalo-mondialistes et fort peu inquiétés par une Justice plus que jamais prosternée devant le « veau d’or ».

    À quand la sympathie affichée envers les tueurs d’allah ? Elle ne saurait tarder, dans le cadre de la diabolisation des mouvements populistes européens, ceux-là mêmes qui représentent l’unique espérance des autochtones à forte conscience éthique.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les réponses du Pouvoir au terrorisme islamiste : spectacle, commémoration et déni !

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    Michel Geoffroy, essayiste, contributeur régulier de Polemia.com

    ♦ En France « on n’a pas de pétrole mais on a des idées ». Voyez l’exemple du terrorisme islamiste.

    Car en France on a réussi à faire disparaître les terroristes : on a seulement affaire à des « attaquants », des « hommes menaçants » (1) et surtout à des « déséquilibrés » ayant tous des « antécédents psychiatriques ». Ce qui permet, les pauvres, de les hospitaliser d’office sans enquête policière. Et hop, plus de terroristes !

    De même on n’a pas de terroristes qui écrasent les gens avec leurs véhicules comme l’a recommandé Daesh : on a seulement des « camions-fous » ou des « véhicules » qui percutent des abribus ou foncent sur des policiers et des militaires. Des sortes d’accidents de la route, en quelque sorte.
    On est vraiment très forts en France !

    En France il n’y a pas de djihadistes

    On n’a pas de djihadistes non plus en France, même quand les terroristes crient Allah est grand en arabe, conchient les « mécréants » ou se promènent avec « un ouvrage de vulgarisation religieuse » (2). Ni même lorsque Daesh revendique l’attentat, comme à Marseille la semaine dernière.

    Car on ne nous la fait pas, à nous autres Français : on ne se laisse pas prendre au piège des apparences ni à la propagande de Daesh !

    Ainsi que le déclare si bien le président (3) du Conseil français du culte musulman, ces individus « n’ont aucune once de proximité avec les valeurs que prône l’islam, religion de paix universelle ».

    D’ailleurs tous les médias et les ministres sont unanimes : il ne faut pas faire d’amalgame entre islam, islamisme, islamisme radical et terrorisme. Ni tomber bien sûr dans « l’islamophobie » maladive. Car les « attaquants » se sont radicalisés tout seuls, en allant sur Internet.

    Internet : voilà la source du terrorisme !

    L’islam salafiste et l’environnement familial n’ont aucune responsabilité dans leur passage à l’acte violent. Ce sont des loups solitaires, même lorsqu’ils ont des complices. Et puisque l’islam n’a aucun rapport avec ces « attaques », la police et les juges s’interrogent gravement sur les « motivations » forcément « floues » de ces individus : elles ne peuvent être que psychiatriques, finalement. CQFD !

    En France on a une excellente police

    Il faut dire que la France a une excellente police. La preuve : après chaque attentat le gouvernement tient toujours à féliciter les forces de l’ordre ! (*)

    Ainsi on ne dit pas que la police et les services de renseignement n’arrivent pas à identifier les terroristes pour les empêcher de passer à l’acte. Non : cela ne serait pas du tout correct.

    On nous explique au contraire que les auteurs d’attentat étaient « inconnus des services de renseignement » (4) ou « non fichés S », ce qui est nettement plus valorisant, n’est-ce pas ?

    La faute aux médias

    Les médias sont aussi la cause de ces attaques : les pauvres « attaquants », sans doute frustrés, veulent certainement que l’on parle d’eux au Journal de 20 heures.

    C’est d’ailleurs pourquoi la députée (5) Brigitte Kuster a déposé une proposition de loi visant àinterdire de « diffuser, de quelque manière que ce soit, le nom de famille et l’image des personnes physiques poursuivies pour un acte de terrorisme ou ayant été jugées coupables d’un acte de terrorisme ».

    Encore une preuve du génie français : il suffit de censurer l’information pour faire disparaître les terroristes !

    Redevenons sérieux, hélas

    Face au terrorisme islamiste, le Pouvoir se réfugie dans le spectacle, la commémoration et le déni, pour tenter de masquer son impuissance.

    Car, en Europe de l’Ouest, il est désormais impuissant à surveiller les frontières, à empêcher l’immigration clandestine, à censurer la propagande islamiste, à lutter contre la délinquance comme de mettre hors d’état de nuire préventivement les terroristes potentiels, même lorsqu’ils sont « connus des services de police »… puisque la plupart d’entre eux ont commencé dans le grand banditisme et la délinquance.

    D’abord le spectacle rituel

    Après chaque « attaque meurtrière » (6), voilà donc que défilent sur place ministres et élus, flanqués d’un essaim de conseillers, sous l’œil des caméras. Sans parler des cohortes de policiers, préfets et militaires. C’est devenu un rituel : après chaque attentat, la débauche d’officiels et de moyens policiers.

    On serait aux Etats-Unis, on aurait en plus le carrousel des hélicoptères, sur fond de sirènes hurlantes, comme dans les séries télévisées. En France on a les girophares et les policiers en cagoule et gilet pare-balles : du plus bel effet devant les caméras, surtout la nuit !

    Mais quel dommage que toutes ces belles forces n’apparaissent qu’après

    Ce spectacle du pouvoir et de la sécurité ne trompe que les gogos et certainement pas les islamistes ni leurs complices. Car ce spectacle remplit la même fonction que le traditionnel défilé militaire du 14 juillet : persuader le bon peuple qu’il est bien défendu et le rassurer sur la « détermination » du gouvernement à éviter le renouvellement de ces « drames ».

    Le 14 juillet 1939 fut ainsi un très beau défilé militaire…

    Ensuite la commémoration

    La commémoration des victimes des attentats a beaucoup été utilisée en 2015 : pleurons tous ensemble les morts que nous n’avons pas su empêcher ! Badges « Je suis quelque chose », minutes de silence, drapeaux en berne et bougies de rigueur.

    Mais la manipulation a fait long feu depuis qu’à Nice la foule s’est mise à siffler les officiels.

    Aujourd’hui les commémorations se font donc plus discrètes et si possible hors de la portée des Français.

    Et surtout le déni

    Reste le déni. Il fonctionne à plein, en particulier en France.

    On tronçonne la réalité comme on coupe des comprimés pour les avaler plus facilement.

    On nous explique même désormais qu’on pourrait être un islamiste radical sans être forcément un terroriste en puissance et, par conséquent, qu’un islamiste serait quelqu’un de tout à fait fréquentable finalement. La sodomisation des coléoptères va donc bon train, à grands renforts d’experts médiatiques et autres chercheurs au CNRS. Les prédicateurs salafistes et leurs adeptes peuvent donc dormir tranquilles.

    Le Pouvoir, à défaut de mettre hors d’état de nuire les terroristes, déploie ainsi des trésors d’inventivité pour essayer de cacher la dure réalité de la guerre de civilisation qui frappe l’Europe.

    Un attentat dans le métro de Londres devient ainsi un « incident terroriste » (7) pour le journal Libération et la tentative de tuer à coups de couteau un agriculteur de Lot-et-Garonne au cri de « Allah est grand » devient un simple « fait divers ». Et malheur à celui qui montrerait des photos des crimes des terroristes de l’Etat Islamique : il se rendrait coupable de « diffusion d’images violentes » ! On ne sait pas censurer les prêches haineux des islamistes mais au moins on sait censurer la représentation de la vérité.

    « Cachez ce djihad que je ne saurais voir » nous disent les Tartuffe du Pouvoir, relayés aimablement par tous les médias de propagande et les officines immigrationnistes.

    Empêcher de poser les questions qui fâchent

    Le déni n’empêche évidemment pas les terroristes de terroriser.

    Mais il permet d’éviter les questions qui fâchent. Et au premier chef celle de la responsabilité des politiciens qui ont semé le chaos en Libye ou en Syrie, qui ont ouvert toutes grandes les portes de l’Europe aux djihadistes mélangés aux immigrants clandestins, qui ont encouragé le communautarisme et qui font en permanence des risettes électoralistes à l’islamisme.

    Le déni cache non pas tant le terrorisme islamiste que la complicité des oligarchies occidentales dans la catastrophe qui s’abat sur l’Europe.

    Mais le déni, comme la novlangue, trompe de moins en moins les victimes : les Européens.

    Michel Geoffroy 6/10/2017

    Notes :

    1. Le Parisien du 17 septembre 2017.
    2. Le Télégramme de Brest du 24 août 2017.
    3. Ahmet Ogras est un… Turc.
    4. FR3 après l’attaque contre des piétons à Marseille.
    5. Les Républicains.
    6. Comme l’écrit en novlangue le journal Le Monde pour évoquer l’attentat de Marseille.
    7. Le 15 septembre 2017.

    (*) Voir image : la compassion et les félicitations du ministre !!!! (ndlr)

    https://www.polemia.com/les-reponses-du-pouvoir-au-terrorisme-islamiste-spectacle-commemoration-et-deni/

  • Martine Aubry refuse d’armer la police municipale de Lille

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    11/10/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Lors du conseil municipal de Lille vendredi dernier, Martine Aubry, maire de la ville, a de nouveau affiché son opposition à l’armement de la police municipale. Les élus FN avaient déposé une motion réclamant que les policiers municipaux soient armés. Martine Aubry a avancé qu’armer les policiers municipaux en ferait « des cibles, face à des bandes » !

    L’écologiste Jérémie Crepel l’a apuuyée, dénonçant la prise de position du groupe FN, qui était – pour une fois ! – soutenu par les élus LR, UDI et divers droite. Parlant de « rêves de shérifs et de cow-boys » (sic), Jérémie Crepel a ajouté :

    « Il est indécent de tenir un discours pro‑armes à feu après la tuerie de Las Vegas, indécent d’instrumentaliser les peurs par démagogie ! »

    Lille restera donc avec 120 policiers municipaux désarmés pour environ 230 000 habitants…

    https://fr.novopress.info/

  • #QuaiDeValmy Vitrines brisées, poubelles renversées: la tension ne risque pas de redescendre

  • Djihadistes à Fresnes : l’attentat stoppé in extremis, par Caroline Parmentier

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    8964-20171012.jpgUn converti de 22 ans qui devait sortir de prison mardi et un Camerounais de 28 ans ont été stoppés in extremis par l’anti-terrorisme, alors qu’ils projetaient un attentat islamiste depuis la prison de Fresnes où ils étaient incarcérés. Ils ciblaient entre autres des policiers et des surveillants de prison qu’ils ont dû tout particulièrement rêver d’égorger jour après jour.

    On savait déjà qu’ils avaient des portables, qu’ils étaient connectés avec l’extérieur, qu’ils circulaient parfois librement dans les couloirs, qu’ils pouvaient se faire la belle à un rythme effréné lors de balades à vélo, on apprend maintenant que les détenus radicalisés ont le loisir de monter en prison des « groupes de combattants » de l’Etat islamique en vue de passer à l’acte dès leur prochaine sortie !

    Les deux djihadistes étaient connus pour leur radicalisation en prison et incarcérés pour des faits de droit commun. Le meneur camerounais, lié à un tueur de l’EI en Syrie, était suivi depuis fin 2016 par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Il a confirmé aux enquêteurs qu’il comptait bien commettre un attentat et qu’il était un disciple de l’Etat islamique.

    Il y a deux ans, lors d’un parloir, les surveillants de Fresnes avaient trouvé sur lui des clés USB contenant des journaux et des vidéos de propagande djihadiste faisant l’apologie des crimes de l’EI. Il avait alors été placé quelques mois à l’isolement, puis remis en détention classique (aucune autre solution n’est prévue dans ce cas-là) parce qu’il n’avait plus manifesté de prosélytisme qu’il continuait bien évidemment de pratiquer « en lousdé » et qui a abouti à l’embrigadement du détenu français de 22 ans. Condamné à quatre ans pour braquage et tentative de meurtre, ce dernier devait sortir de détention mardi et commettre un attentat préparé et téléguidé depuis la prison. La DGSI a été alertée par des écoutes incidentes sur la remontée de filières djihadistes. Un téléphone a été retrouvé dans la cellule des radicalisés.

    Dans les établissements de région parisienne, où sont concentrés les 250 à 300 profils terroristes islamistes les plus dangereux, « les détenus radicaux ne font que ça toute la journée : échafauder des plans » décrit un cadre de l’administration pénitentiaire au Figaro. En 2016, la tentative d’égorgement d’un surveillant d’Osny au sein de la vitrine des expérimentations de déradicalisation françaises avait arrêté net le beau projet. Depuis, le gouvernement n’a aucune solution et n’a pris aucune mesure. Ce sont des centaines de radicalisés nourris, logés, réchauffés et entretenus par nos soins et nos impôts qui menacent de sortir à plus ou moins long terme et de massacrer d’autres Mauranne et Laura.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 12 octobre 2017

    https://fr.novopress.info/