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insécurité - Page 686

  • ALORS, POUR LE PETIT JULIAN, ON LES PREND, CES MESURES, OU ON REGARDE AILLEURS ?

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    Devant la mort révoltante de toutes ces victimes innocentes, et de ce petit Julian, je n’entends aucune grande voix dire : « Plus jamais ça ! »

    Les enseignements sécuritaires à tirer de ces attentats sont clairs et conformes à ce que cinq ans d’attaques islamistes en Europe nous ont appris.

    On découvre en effet que la cellule djihadiste de Catalogne se déplaçait comme elle le voulait entre le Maroc, l’Espagne, la France, la Suisse et la Belgique. Que la voiture de l’un de ses membres a même été flashée en région parisienne. Qu’elle avait été louée, comme toutes ces voitures-béliers qui sèment la terreur dans nos villes. Que ces mêmes terroristes s’étaient procurés plus de 120 bonbonnes de gaz. Avec leurs cartes de crédit. Sous leurs noms. Même pas besoin de se cacher. Même pas besoin de voler une carte de crédit ou une carte d’identité. Et ils avaient un compte bancaire bien approvisionné…

    Tout cela commande d’instaurer des contrôles, des interdictions, des restrictions fortes sur le commerce de ces biens qui sont des armes de destruction massive, sur certains déplacements, sur certains flux financiers. Louer une voiture, acquérir une bonbonne de gaz, des couteaux ne peuvent plus être des actes automatisés, anodins, et doivent faire l’objet d’un questionnement, d’une attention particulière, notamment pour certains « clients ».

    Ne parlons pas, non plus, de la facilité de déplacement des terroristes, avant comme après les attentats, entre le pays d’origine et toute l’Europe : certains sont d’ailleurs toujours introuvables. Et on nous a dit bien hâtivement que la cellule avait été démantelée alors que le sinistre conducteur de la fourgonnette n’a été neutralisé que lundi soir… Et l’on ne peut s’empêcher de penser que si des frontières dignes de ce nom, à la fois intra et extra-européennes, existaient encore, ils n’auraient pas nagé comme des poissons dans l’eau sur nos autoroutes en se payant le luxe d’être flashés…

    Quand je vois le degré de technologie atteint pour qu’on puisse me localiser, me contrôler, me surveiller dans mes déplacements, mes transactions, les sites Internet que je consulte, etc., je me dis que tout cela est possible. À condition de le vouloir.

    Si, depuis cinq ans, de jeunes catholiques français avaient tué des milliers de personnes innocentes, je suis certain que les catholiques français seraient sévèrement contrôlés dans leurs activités de location de voitures, de bonbonnes de gaz, dans leurs déplacements, dans leurs migrations saisonnières, dans leurs activités culturelles ou cultuelles. Et je suis tout aussi certain qu’en tant que catholiques français, nous accepterions de bonne grâce de nous conformer à ces restrictions de nos libertés nécessaires à la sécurité de tous.

    Alors, on les prend, ces mesures ? Nécessairement il y aura des restrictions de nos libertés, mais les groupes concernés, s’ils sont de bonne foi, les accepteront sans problème. Encore faut-il que nous ayons la ferme volonté de les demander et de les faire appliquer, avec pédagogie certes, mais avec détermination. Désormais, après Barcelone, nous sommes au pied du mur. L’impératif sécuritaire doit l’emporter. Voulons-nous, oui ou non, protéger nos enfants ?

    Car on aura beau nous raconter des histoires, on voit bien que tout n’est pas fait pour garantir notre sécurité. Parce qu’une maire de grande métropole, obnubilée par son idéologie d’extrême gauche, a refusé ici d’installer des plots en béton. Ou parce qu’un juge ou une loi permettront à des assassins de circuler comme et quand ils le veulent. Et la liste serait trop longue de toutes ces tolérances, ces démissions, ces complicités.

    C’est curieux, mais devant la mort révoltante de toutes ces victimes innocentes, et de ce petit Julian, je n’entends aucune grande voix dire : « Plus jamais ça ! »

    http://www.bvoltaire.fr/alorspour-petit-julian-on-prend-mesures-on-continue-a-regarder-ailleurs/

  • NE PAS SE TROMPER D’ENNEMI (2) : L’HÉRITAGE CALAMITEUX DE BARACK OBAMA

    Ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental.

    Faute de désigner clairement un ennemi, le mandat de Barack Obama a été calamiteux. Il a, en fait, rapatrié l’ennemi, en donnant la priorité au combat de l’Amérique contre elle-même, en privilégiant le progressisme à l’intérieur et donc la lutte contre le conservatisme sociétal et social, tout en prétendant exporter les valeurs américaines de tolérance à l’extérieur. Le conservatisme, voilà l’ennemi, tel est le slogan qui peut résumer son action et qui a tellement plu à notre microcosme national dont Macron est le fleuron. Cela a conduit à encourager la renaissance de l’islam et à imaginer sa compatibilité avec la démocratie lors du discours du Caire et à s’opposer systématiquement à la Russie qui, par un incroyable retournement, est devenue la championne du conservatisme, le paradigme du patriotisme identitaire. La pression à l’intérieur comme à l’extérieur pour que des droits soient reconnus en fonction de la pratique sexuelle, par exemple, restera une marque de l’ère Obama, que l’on considère davantage comme un signe de décadence au pays de Poutine.

    Les « principes de progrès, de tolérance et de justice communs à l’islam et aux États-Unis » évoqués par le président des États-Unis au Caire suffisent à souligner son degré d’ignorance ou de mauvaise foi. Rien, dans l’histoire de l’islam, ne vient étayer ce discours séducteur et mensonger. Depuis, les Occidentaux savent à quoi s’en tenir, puisque les islamistes font régner, partout où ils le peuvent, la régression, le fanatisme et la ségrégation entre hommes et femmes, croyants ou non-croyants. La haine et la violence barbare et sans limite qu’elle engendre désignent clairement l’ennemi : notre civilisation, sous ses deux formes pourtant très distinctes : chrétienne et hédoniste. Il faut être aveugle pour ne pas voir que nous sommes la cible. Malgré l’écrasement, bien tardif et poussif, de l’État islamique, le mal s’est répandu sous de multiples formes. Jamais l’image de l’hydre n’a été plus adaptée. Or, Washington s’est concentré avec mollesse sur une seule tête, pendant qu’il en nourrissait ou en caressait d’autres.

    Étrangement, ce combat qui se trompe d’ennemi se poursuit de plus belle, aux États-Unis, avec le soutien de la majorité des médias du monde occidental. Il s’accentue même depuis l’élection de Donald Trump. Celui-ci doit avoir une idée plus lucide de l’ennemi, mais il est obligé en permanence d’éviter les mines semées par son prédécesseur, et que renforcent parfois ses « amis » adeptes du politiquement correct. Obligé de communiquer prioritairement par les réseaux sociaux, il est constamment en butte à l’inquisition médiatique et à la mobilisation des organisations gauchistes, spécialistes des manifestations musclées. Harcelé continuellement par les soupçons sur les relations de son entourage avec la Russie dont on se demande bien comment elle aurait pu, si peu que ce soit, modifier le résultat des élections, il navigue à la godille, bombardant les Syriens un jour, suspendant l’aide aux rebelles le lendemain, et approuvant de mauvais gré de nouvelles sanctions contre la Russie le surlendemain. Le Congrès, pour une fois largement républicain avec un président du même parti, est loin de le soutenir. On se demande parfois si, dans les rédactions occidentales, et pour le microcosme qui définit et impose l’idéologie du politiquement correct, Trump n’est pas l’ennemi absolu, en tant que symbole vivant du conservatisme populaire, « élu des ploucs », pensent-ils très fort, tandis que l’islamisme ne serait que la conséquence passagère et excusable de tout ce que l’Occident a fait subir au reste du monde. À domicile, ce combat aveugle et suicidaire se pare du voile moralisateur de l’antiracisme. (À suivre.)

    http://www.bvoltaire.fr/ne-se-tromper-dennemi-2-lheritage-calamiteux-de-barack-obama/

  • QUELLE GUERRE ?

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    Pieter Kerstens 

    Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Contre qui ? Combien ?

    Autant de questions auxquelles les responsables politiques répondent inlassablement et sans variante : « nous sommes en guerre contre le terrorisme ! ».

    De Nice à Londres, de Stockholm à Barcelone, en passant par Berlin, les tueries barbares se succèdent.

    On nous parle de voitures « folles » ou de camions « béliers ». Les conducteurs sont « déséquilibrés », sous l’emprise de médicaments ou alors totalement « bourrés ». La piste psychiatrique est maintenant systématiquement privilégiée…

    En conclusion, depuis 2 ans, de plus en plus de piétons sont des victimes malheureuses des accidents de la circulation.

    Mais, prudence, prudence, on doit absolument sanctifier le « Vivr’ensemble ».

    Il ne faudrait tout de même pas jeter de l’huile sur le feu… Et c’est pourquoi la mafia politico-médiatico-financière impose dès lors une langue de bois, alors que pour toutes ces tueries, les assassins sont dans une très large majorité des musulmans et que la comédie atteint le grotesque quand la presse Internet/TV /Radio nous diffuse les témoignages des voisins ou de la famille vantant les qualités (il était « si gentil », « travailleur », « sans problèmes », « timide ») de chacun des terroristes, sans que les journaux écrivent leurs prénoms : Saïd, Mohamed, Hassan , Abdeslam, Younes, Abdul ou Fayçal…

    Quand NKM avait prise une claque à Paris durant la campagne des législatives, TOUS LES MEDIAS se sont empressés de diffuser le nom, le prénom et l’adresse du coupable, qui a été jugé en 4ème vitesse : mais lui, ce n’était pas un rebeu !

    Les gouvernements nous prennent pour des imbéciles.

    Si tous ne s’en rendent pas encore compte, les électeurs restent chez eux, écœurés par les bassesses et la veulerie des pourriticards du « politiquement correct ».

    Une réaction des mougeons * n’est pas à exclure. Certains d’entre eux ouvrent lentement les yeux et découvrent que depuis des années nos gouvernants, nos politiques, nos institutions et la majorité de nos concitoyens font preuve de déliquescence morale, de décadence intellectuelle et d’un aveuglement prononcés.

    Une minorité grandissante estime nécessaire la restauration des valeurs ancestrales qui ont permis à l’Europe de diffuser sa culture et de défendre sa civilisation, par-delà les mers et au travers des siècles, à l’opposé de ce que l’on nous apprend.

    Un peuple qui se respecte, venge ses morts.

    Et ce n’est pas avec des pleurnicheries, des repentances, des fleurs, des devoirs de mémoires, des flagellations, des bougies, des culpabilisations et des doudous que l’on se débarrassera des fanatiques musulmans qui tuent nos enfants !

    *½ mouton ½ pigeon « En marche ».      

  • Attentats en Catalogne: la cellule neutralisée - Journal du Mardi 22 Août 2017

  • Terrorisme : l’inaction des dirigeants de l’Union européenne

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    Dénoncée par Nigel Farage, ancien leader de l’UKIP et chef de file de la campagne pour le Brexit, dans un entretien sur Fox News. L’inaction des dirigeants de l’Union européenne est responsable de la poursuite des actions terroristes dans l’UE revendiquées par l’Etat islamique. Ils se contentent d’affirmer leur « solidarité » face au terrorisme, « mais pas une seule fois nous n’entendons un seul dirigeant de l’Europe proposer quelque solution politique que ce soit ».

    « Ils sont toujours dans le déni parce qu’ils sont tellement gênés par le fait qu’ils sont à la racine de tout cela ». « Il y a un lien direct et une relation entre le nombre de personnes de religions et de cultures différentes que vous faites entrer et le nombre d’attaques terroristes ».

    Nigel Farage a rappelé que l’Europe centrale et orientale est à l’abri des attaques terroristes de l’Etat islamique, car les gouvernements s’opposent aux quotas de migrants que tente de leur imposer Bruxelles. La Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie refusent d’accueillir les migrants islamiques d’origine africaine et proche-orientale qui réussissent à pénétrer dans les pays frontaliers de l’Union – Italie, Espagne, Grèce…

    Les Britanniques ont choisi le Brexit pour des raisons de protection et de sécurité :

    « En réalité, nous voulons contrôler nos frontières, non parce que nous en avons contre tel ou tel, mais parce que nous croyons avant toute chose au contrôle sensé des frontières. » « On peut dire que l’Union européenne a payé le prix politique fort à travers le Brexit ».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Quand le sage désigne la lune…

    Les Etats-Unis  détiennent  le triste record du nombre d’ homicides et des violences au sein des pays occidentaux, mais il y a des décès plus médiatiques que d’autres. C’est le cas avec  la mort d’une militante d’extrême gauche tuée à Charlottesville (Virginie) le 12 août. Un drame intervenu lors d’une contre-manifestation organisée par la nébuleuse antifa, notamment des membres des Black  Lives Matter, organisation très trouble  financée par le sinistre George Soros,  contre un rassemblement dénonçant la campagne visant à  déboulonner les statuts du (populaire) général  Lee.  Rassemblement au sein duquel, c’est vrai, étaient aussi visibles avec leurs panoplies folkloriques   quelques militants-provocateurs de groupuscules extrémistes, des suprémacistes blancs. Héros confédéré de la guerre de sécession, Lee est (était?) une figure suffisamment consensuelle -les amateurs  s’en souviendront- pour que  Général Lee  soit le surnom donné à la voiture flanquée du drapeau sudiste (une Dodge charger 1969) dans  la série télévisée à succès des années 80,  Duke of Hazzard (Shérif fais-moi peur) qui voyait  les deux cousins de la famille Duke au volant de leur bolide faire la nique au shérif du Comté de Hazzard dans l’Etat de Géorgie… Sud profond ou non, il est établi que le général Lee était tout sauf une brute sanguinaire pétrie de haine raciale comme l’ont rappelé fort justement Pierre Terrail sur boulevard voltaire ou encore un communiqué de l’Agrif.

    Invité de RTL matin  la semaine dernière, Bruno Gollnisch a été interrogé sur cet incident dramatique de Charlottesville. Il a refusé de hurler avec les loups,  de se servir de ce drame pour débiter les poncifs habituels, accabler Trump qui a eu le front de condamner toutes les violences d’où qu’elles viennent,  ou de ressasser les formules incantatoires  sur les abrutis de petits blancs et autres red neck qui n’ont pas voté pour Hillary Clinton… « Je condamne évidemment le meurtre. Je le condamne de la façon la plus claire qu’il soit »; pour autant « quand on connaît les faits, l’initiative des violences a appartenu aux contre-manifestants »  a  noté le député frontiste. « Mais je ne suis pas là pour arbitrer les conflits ethniques ou politiques extrêmement violents aux États-Unis», « J’essaye d’éviter à la France les problèmes que connaît la société multiculturelle, multiethnique et multiconflictuelle des États-Unis ! ».

    L‘amalgame est paraît-il un travers qui touche tous les mauvais esprits qui osent rappeler le lien entre immigration de peuplement et échec de l’assimilation, développement de foyers islamistes et de cellules djihadistes dans toute l’Europe. La  Finlande dans la ville de Turku avec une attaque au couteau le 18 août et, pire encore, l'Espagne la veille à Barcelone avec un véhicule fonçant dans la foule, viennent d’en payer le prix fort. Les  adversaires de l’opposition nationale et les progressistes de tout poil ne s’en privent pourtant pas.  Bel exemple en date,  la compilation  commise par Cécile De Sèze , «journaliste RTL », qui apprenait à ses lecteurs sur le site de la station qu’une même infamie, les mêmes relents nauséabonds  de la  bête immonde relient les défenseurs de la mémoire du général Lee à Charlottesville et les partisans Américains, Européens, Français  de la République  arabe syrienne, du  maintien au pouvoir de Bachar-el-Assad.

    « Selon le politologue Ziad Majed, spécialiste de la Syrie – et militant antinational de gauche ce qui n’est pas précisé ici, NDLR- (Bachar el-Assad) représente une figure, il est devenu le modèle de cette extrême-droite occidentale (…). Cette frange pense alors, selon le politologue, que le régime en place impose l’ordre et la stabilité face à des indigènes de couleur, de race inférieureL’extrême droite française est aussi concernée (…)  lors de la campagne présidentielle, Marine Le Pen avait déclaré dès le début du conflit syrien que contribuer à la chute de Bachar el-Assad, c’est permettre à l’EI de gouverner la Syrie. » Quant à  Jean-Marie Le Pen,  il  « louait déjà les qualités de l’héritier syrien (…).  Précédemment, il avait également regretté le temps où Kadhafi était à la tête de la Libye ou avait encore soutenu Saddam Hussein. (…).   Sylvain Crépon, spécialiste de l’extrême droite française et chercheur à Sophiapol -lui aussi un sociologue  juge et partie clairement marqué à gauche, NDLR- , explique qu’à la fin des années 1980, le Front National s’est posé  comme défenseur de l‘Occident chrétien  face au communisme. Quand le communisme s’est effondré, il a fallu trouver une nouvelle stratégie internationale et puiser dans les pensées de groupes qui développent la pensée du différencialisme culturel et s’opposent au métissage ».

    Ce mélange d’approximations, de raccourcis biaisés, de mauvais fantasmes, de duplicité intellectuelle et de simplisme bêta prêterait presque à rire s’il n’y  avait pas encore quelques lecteurs de bonne foi pour prendre pour argent comptant ce type d’élucubrations. Mais ce qui est une incontestable  réalité dont il faut se réjouir, c’est le recul constant de  l’Etat Islamique sur le terrain en Irak comme en Syrie ces derniers mois. Une  République arabe syrienne qui est en passe, fort du soutien déterminant  de ses alliés,  de gagner la bataille de sa survie face à l’hydre islamiste.

    Une dépêche de l’AFP rapportait notamment que si «6 millions de Syriens restent déplacés à l’intérieur du pays alors que plus de 5 millions ont trouvé refuge à l’étranger »,  « l‘Organisation internationale des migrations (OIM) a déclaré le 14 août que plus de 600 000 Syriens qui avaient quitté leur foyer en raison de la guerre, étaient rentrés chez eux entre janvier et juillet 2017 (…). En 2016, la moitié des retours avait eu lieu dans le gouvernorat d’Alep, et selon l’OIM, des tendances similaires ont été observées en 2017. La libération d’Alep en décembre 2016 et sa reprise aux terroristes de Daesh, ainsi qu’à d’autres forces rebelles djihadistes par les forces de l’armée syrienne, appuyées par l’aviation russe, a joué un rôle crucial pour le retour des déplacés au sein de la deuxième ville du pays. »

    Il faut aussi le noter, un certain nombre de vérités sur le conflit syrien finissent aussi par affleurer même dans les médias relayant habituellement la doxa officielle… et certaines hautes autorités morales ont été contraintes de lâcher du lest vis-à-vis de la propagande officielle. C’est (en partie) le cas de Carla Del Ponte ancienne présidente du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) et membre jusqu’à une date toute récente  de la  Commission d’enquête de l’ONU sur la Syrie,   qui a annoncé  le 6 août qu’elle allait en démissionner. Dans le journal helvétique Blick, Mme Del Ponte confie : « Je ne peux plus être dans cette Commission qui ne fait absolument rien ».  « Au début il y avait le bien et le mal. L’opposition du côté du bien et le gouvernement dans le rôle du mal », et si  le gouvernement syrien affirme t-elle a  « perpétré de terribles crimes contre l’humanité », désormais « tous en Syrie sont du côté du mal ». 

    Sur le site de RT Michel Raimbaud, ancien ambassadeur de France,  estime que Mme Del Ponte « est loin d’adopter une approche équitable à l’égard de Bachar el-Assad et de son gouvernement, reprenant les poncifs ou mensonges des révolutionnaires et de leurs parrains occidentaux ou islamistes. Il est étonnant que cette femme de haut vol soit si obtuse, après six ans et demi d’une tragédie dont la véritable nature, les mobiles et objectifs, sont affichés par les agresseurs de la Syrie avec tant de cynisme (…).  Je suis frappé de constater que madame Del Ponte, membre d’une commission onusienne censée être impartiale, partage apparemment sans réserve la position des responsables et intellectuels occidentaux. Elle est venimeuse concernant Bachar el-Assad, chef d’un Etat agressé, qui défend la souveraineté, l’intégrité et l’indépendance de son pays ; elle est aveugle et sourde face aux voix venant de Syrie. »

    Reste que Mme Del Ponte admet cependant dans son entretien dans la presse suisse que «l’opposition (au gouvernement de Bachar el-Assad)  n’est désormais composée que d’extrémistes et de terroristes ». Une prise de conscience (partielle) dont  elle fit également  preuve  en admettant  l’utilisation de gaz sarin par les terroristes islamistes en Syrie en 2013. Quelques années auparavant , en 2008,  dans un livre coécrit avec Chuck Sudetic, un américain d’origine croate, Carla  Del Ponte,  avait aussi pris à  rebrousse-poil  le discours dominant en accusant  les chefs Albanais duKosovo, les islamo-mafieux de l’UCK, de s’être livrés, entre autres monstruosités,  au  trafic d’organes prélevés sur des prisonniers serbes. Certes, à  l’époque où elle poursuivait de sa vindicte  les méchants serbes, relevait alors Bruno Gollnisch, Mme Del Ponte était « une vraie pasionaria dans sa traque et sa condamnation acharnée des patriotes serbes et croates alors que demeure une impunité plus que douteuse des criminels de guerre et mafieux bosniaques ou albanais. »

    D‘impunité  il est encore question aujourd’hui affirme Michel Raimbaud quand il souligne que Carla Del Ponte  « n’évoque aucunement l’urgence de traduire devant les tribunaux tous ceux qui, en Occident ou en Orient, dans les cercles d’influence et les rouages de l’Etat profond de leurs pays respectifs, ont conçu, financé, soutenu, armé les opérations de déstabilisation, de destruction et de mise à mort en Syrie comme tant d’autres pays. » Nous savons en effet que l’élimination  de la République arabe syrienne avait été planifiée et décidée par des commanditaires d’un tout autre calibre que les décérébrés sanglants des milices islamistes qui occupent le devant de la scène médiatique.  Quand le sage désigne la lune, l’idiot regarde le doigt…

    https://gollnisch.com/2017/08/22/sage-designe-lune/

  • ON REGARDE BARCELONE… ET ON OUBLIE SAINT-DENIS !

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    1 lance-roquettes anti-char, 3 pains d’explosif, 2 fusils à pompe, des munitions de 12 et 9 mm, 40 kg de résine de cannabis, des gyrophares et des gilets pare-balles.

    C’était jeudi dernier, le 17 août, le jour où le fascisme islamiste a frappé sur les Ramblas de Barcelone et à Cambrils, monopolisant totalement l’attention et les médias.

    L’horreur une fois encore, la folie criminelle, la guerre civilisationnelle, mais surtout les images qui font vendre, l’immédiateté des reportages qui n’en sont pas, « l’information en continu » qui ne s’attache qu’au spectaculaire, à l’émotion qui fouaille les ventres et les cœurs mais se garde bien de parler à la tête.

    En réalité, dans ces moments de pseudo-communion, l’information n’existe simplement plus. La réflexion encore moins. Ça évite d’établir entre les faits des liens qu’on pourrait juger « dérangeants ». Ainsi a-t-on passé sous silence ou presque la saisie qui a eu lieu ce jeudi 17 août à Saint-Denis, en banlieue parisienne, dans la cité Jacques-Duclos qu’on dit gangrenée par le trafic de drogue, en omettant que celui-ci est aussi le terreau où prospèrent les islamo-délinquants.

    Ont donc été saisis, nous dit Le Parisien : un lance-roquettes antichar et trois pains d’explosif tolite, deux fusils à pompe, des munitions de calibre 12 et 9 mm, 40 kg de résine de cannabis, de l’argent liquide, des gyrophares de police et des gilets pare-balles. Deux hommes de 30 et 40 ans ont été mis en examen et écroués pour trafic d’armes et de stupéfiants.

    Le bailleur, Plaine Commune Habitat, qui gère cette cité (et plus de 18.000 logements sur le département), écrit dans un communiqué avoir « à maintes reprises » alerté la préfecture sur « la situation grave » de cette cité, loin d’être un cas isolé à Saint-Denis. L’un de ses gardiens, récemment embauché, a été entendu dans cette affaire et l’on rappellera qu’un camion en provenance d’Espagne et transportant 500 kg de cannabis avait été intercepté par les douanes en novembre dernier alors qu’il entrait dans un local municipal de Saint-Denis…

    On peut, certes, se rassurer en feignant de croire que crime organisé et terrorisme sont des univers distincts, mais tout démontre le contraire. Nos terroristes « français » sont, sans exception aucune, des individus passés par la délinquance et le banditisme, et les jeunes qui se radicalisent en prison n’y sont pas arrivés en se trompant de porte avec les cours du soir.

    L’arsenal saisi jeudi n’était peut-être destiné qu’à attaquer des fourgons blindés ou faire exploser des guichets bancaires, mais rien n’est moins sûr. Et même dans cette hypothèse, on sait que l’argent des trafics finance le terrorisme de par le monde.

    Saint-Denis, l’une de ces cités radieuses de la France communiste d’après-guerre, est aujourd’hui un véritable abcès, un membre gangrené de la République française. C’est là que s’est achevée la cavale de Chakib Akrouh et d’Abdelhamid Abaaoud après les tueries des terrasses et du Bataclan en novembre 2015. Là où Salah Abdeslam, l’organisateur et dernier survivant du commando, avait déposé ses troupes à l’entrée du Stade de France.

    Un Salah Abdeslam qui conserve son mutisme face à la justice et dont le retour dans l’actualité n’intéresse curieusement pas les médias français, à l’exception du journal Ouest-France qui a rapporté l’information publiée par le quotidien hongrois Magyar Idök. On savait, à ce jour, qu’Abdeslam avait rapatrié depuis Budapest les trois auteurs de la tuerie du Bataclan qui arrivaient de Syrie. On apprend, aujourd’hui, qu’il aurait en fait rapatrié treize personnes en tout, des terroristes « infiltrés dans la zone Schengen par la frontière entre la Hongrie et la Serbie, dissimulés parmi les flots de migrants ». Mais le plus gênant, qui explique sans doute ce silence pudique des médias, c’est que « le réseau pourrait aussi avoir profité de l’assistance involontaire des nombreux bénévoles qui venaient en aide aux migrants : Salah Abdeslam a séjourné à deux reprises dans l’appartement d’un membre d’une organisation humanitaire ».

    Mais, chut ! En France, on ne critique pas les ONG.

    http://www.bvoltaire.fr/on-regarde-barcelone-on-oublie-saint-denis/

  • Lutte contre l'immigration : les ONG déchantent face aux succès des Identitaires

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    Médecins sans frontière (MSF) vient de suspendre ses opérations de sauvetage des immigrés en mer Méditerranée suite à une circulaire des autorités libyennes qui veulent restreindre l'accès à leurs eaux internationales aux navires étrangers. Ce document crée une très vaste zone maritime dans laquelle les bateaux étrangers n'ont plus le droit de naviguer sans autorisation. Les ONG qui collaborent à l'invasion de l'Europe sont donc particulièrement touchées par cette circulaire.
    Dans le même temps, le C-Star, navire affrété par des militants identitaires luttant contre l'immigration en Méditerranée, est reparti après cinq jours de blocage en face de la Tunisie. Il avait simplement arrêté ses moteurs pour résoudre un problème technique.
    Bloqués depuis dimanche dernier au large de la Tunisie, où des pêcheurs et un puissant syndicat s'opposaient à leur ravitaillement, les militants du C-Star étaient sortis jeudi soir de leur silence. "Notre bateau à été ravitaillé, tout va bien, il retourne sur zone", a lancé Clément Galand, militant français à bord. 
    Le C-Star navigue au large de Zouara, dans l'ouest de la Libye. Le C-Star, un navire de 40 mètres qui bat pavillon mongol, a été loué à Djibouti par le groupe "Génération identitaire". A bord, des militants allemands, français, italien et autrichien, financés grâce à un appel aux dons sur internet qui a récolté plus de 215 000 dollars depuis mi-mai, entendent s'assurer que les immigrés secourus dans les eaux internationales au large de la Libye soient reconduits en Afrique. Ils révèlent aussi les pratiques scandaleuses des ONG, qui collaborent au trafic d'êtres humains
    La semaine dernière, ils ont appelé deux navires d'ONG présents au large de la Libye à quitter la zone. "Vous agissez comme un facteur incitatif pour les trafiquants d'êtres humains", ont-ils dénoncé par radio. 
    Cette initiative est baptisée "Defend Europe". Dans un communiqué, l'association indique : 
    "Defend Europe fait actuellement la Une des médias italiens : reportage dans les journaux télévisés, émissions de radios, articles dans la presse écrite… Notre impact est énorme dans un pays frappé de plein fouet par les activités des ONG et des passeurs d’immigrés clandestins. 
    Dans le même temps, une partie de la gauche activiste italienne nous accuse d’avoir joué un rôle dans l’immobilisation du Juventa, ce navire de l’ONG Juggend Rettet’s, pris la main dans le sac il y a une semaine, en train d’échanger des informations avec des passeurs tout en embarquant des clandestins. Hier, nous avons intercepté un échange radio entre le Golfo Azzuro de l’ONG Open Arms et la marine italienne. Cette dernière ayant remarqué que le Golfo Azzuro était entré dans les eaux libyennes pour récupérer des clandestins lui interdisait de remonter vers les ports italiens. Suite à quoi, nous nous sommes mêlés à la conversation pour dire à l’équipage du Golfo Azzuro qu’il n’était plus le bienvenu au large des côtes de Libye
    Enfin, une autre bonne nouvelle ! Médecins sans frontières qui refuse de signer la charte proposée par l’Italie aux ONG prévoyant notamment la présence d’un policier à bord, lance un cri d’alarme : les campagnes engagées récemment contre les ONG portent un coup très dur à ses finances. MSF parle d’une « chute verticale des dons, une véritable catastrophe sur le plan financier qui risque d’entraver notre action ». Moins d’actions des ONG, c’est moins de clandestins, et donc en bout de chaîne une baisse du chiffre d’affaires des réseaux de passeurs." 
  • Attentats en Catalogne : le puzzle prend forme - Journal du lundi 21 août 2017

  • Lutte contre le terrorisme : la Pologne montre la voie

    6a00d83451619c69e201bb09ba6fa2970d-800wi.jpgPendant que nos autorités condamnent "fermement" sans annoncer de mesure ferme, éteignent la Tour Eiffel et allument des lumignons, le ministre polonais de l’Intérieur Mariusz Blaszczak déclare :

    «Chez nous en Pologne, nous n’avons pas de communautés musulmanes, pas d’enclaves qui constituent une base naturelle pour le développement des terroristes islamistes. Nous faisons tout notre possible pour que notre pays soit en sécurité et ne voulons pas accueillir de migrants».

    Le ministre a estimé que ces événements tragiques résultaient du «choc des civilisations», en ajoutant qu’il n’y avait pas, selon lui, de façons efficaces de lutter contre ce phénomène.

    «La seule possibilité pour l’Europe est de fermer la porte».

    L’homme qui a poignardé à mort deux personnes vendredi à Turku, dans le sud-ouest de la Finlande, est un demandeur d’asile marocain de 18 ans. CQFD.

     par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/08/lutte-contre-le-terrorisme-la-pologne-montre-la-voie.html