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insécurité - Page 765

  • Les Sans-nation et les Sans-peuple

    Il y a un extraordinaire paradoxe derrière la violence du débat sur la déchéance de nationalité que nous avons connu ces dernières semaines. On s’inquiète d’éventuels apatrides et on en affriquée tous les jours. Et treize à la douzaine.

    Le principal problème des sociétés européennes d'aujourd'hui, qui sont multi-culturelles de fait, c'est qu'un grand nombre des habitants qui composent ces États n'ont plus l'impression de faire partie d'un peuple et ne savent pas ce qu'est une nation. L'exemple vient de haut : depuis vingt ans, la l’hyper class internationale a pris l'habitude de considérer que ce qui se rapporte aux patries européennes est dérisoire et que n'existe au fond que la grande Europe, où les meilleurs, ceux qui ont réussi, sont avant tout des cosmopolites, des citoyens du monde, des Sans-nation et des Sans peuple.

    Certes, il y a eu quelques recrudescences imprévues du patriotisme, recrudescences particulièrement sensibles depuis les attentats de 2015. Le vote Front national est en lui-même un symptôme de ce que la Grande nation, comme on disait au XIXe siècle, ne veut pas mourir, sans fleurs ni couronnes, étouffée petit à petit par la réglementation bruxelloise. Si on met en route la machine à remonter le temps, il faut reconnaître que, malgré de tonitruantes déclarations contraires, c'est sous Nicolas Sarkozy, à l'époque où l'on avait cru bon de créer un ministère de l'identité nationale que cette identité nationale a été le plus mal comprise. Eric Besson, ex-socialiste, rallié à celui que l’on appelait « l'hyperprésident », avait déclaré à La Courneuve, au nom sans doute de ceux de sa caste : « La France n 'est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c 'est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n'y a pas de Français de souche, il n'y a qu'une France de métissage ». À la recherche de son identité, la France, par la voix d'un ministre chargé administrativement de cette identité, déclarait qu'elle n'était pas un peuple (il a fallu un ex-socialiste pour déclarer que le peuple n'existait pas), qu'elle n'était pas une langue (ne va-t-on pas tous parler anglais ?), qu'elle n'était pas une religion (il a suffi d'un siècle pour détruire le catholicisme français), qu'elle n'était pas un territoire, doué d'une âme prégnante, mais juste un espace, un hexagone... Le Français était l'inverse de tout cela, aucune identité d'origine ; il devait se considérer comme toujours déjà métissé. Son identité, voulait-on lui expliquer, c'est le mélange. Et l'agent du Mélange, c'est l'État, en particulier parce qu'il peut redistribuer à tous l'argent de ceux qui produisent et de ceux qui font.

    Cette perspective purement étatique est structurellement la nôtre. Eric Besson ne s'est pas trompé, même si, à l'époque, il avait éprouvé le besoin de faire un mea culpa après avoir offert cette page trop vraie au public. En réalité, il avait tout compris... Il avait dit, il avait avoué non pas ce que nous sommes mais ce que l'on veut faire de nous, à force dérègles, de normes et d'absence de transmission.

    Ce que l'on peut en conclure pour notre sujet ? La question de la déchéance de nationalité n'a aucun intérêt. Elle est plus formelle que réelle, plus juridique que vraiment identitaire. La question qui se pose n'est pas celle de savoir si l’on peut et si l'on doit déchoir de la nationalité française tel djihadiste qui n'a jamais eu la culture française et qui n'est français que pour l'administration internationale. La question c'est qu'en France nous sommes de plus en plus nombreux à vivre concrètement sans patrie. Il n'y a plus de références communes. Il n'y a plus de mœurs communes. La vie commune est constituée par une réglementation commune (réglementation scolaire, routière ou fiscale), que des consommateurs tous identiques, et donc idéalement

    déchus de leur identité, doivent respecter sous peine d'amende. Notre identité nationale, c'est en vivant dans cette société sans entrailles que nous en sommes déchus. Nous sommes déchus de notre culture commune, de notre foi commune,de notre langue commune (puisque l'État, par le biais de la réforme de l'orthographe veut se saisir de la langue). Nous sommes déchus aussi de notre mémoire commune, l'histoire n'existant plus que sous la férule de l'État enseignant. Si de plus nous étions, pour une raison ou une autre, juridiquement déchu de notre nationalité, ce serait bien l'occasion de parler de double peine.

    Mais je ne veux pas non plus verser dans le pessimisme le plus noir. Il est bien évident que cette situation difficile a son revers : ceux qui ont conscience d'appartenir à un peuple, quelle que soit leur origine, peuvent devenir français par la conscience, aujourd'hui comme avant-hier et sans doute mieux qu'hier. Comme dit le pape François, à l'époque archevêque de Buenos Aires : « La patrie est un don et la nation un devoir ». Et dans son premier entretien aux revues jésuites du monde en 2013, il explique ; « L'appartenance à un peuple a une forte valeur théologique. Dieu dans l'histoire du salut a sauvé un peuple. Il n'y a pas d'identité pleine et entière sans appartenance à un peuple ». Cette appartenance allait sans dire jusqu'ici. Aujourd'hui elle est devenue une tâche exaltante, un devoir sacré.

    Abbé G. de Tanoüarn monde&vie  24 février 2016

  • Immigration : 3 militants de Génération Identitaire condamnés à de la prison ferme

    6a00d83451619c69e201b8d1aeb2a3970c.pngSamedi dernier, 80 militants de Génération identitaire bloquaient des ponts à Calais. Lors de l'intervention des forces de l'ordre, ils se sont allongés sur les ponts en attendant d'être délogés. Ce qui a été fait, mais la police de Bernard Cazeneuve a voulu réprimer ces militants. Génération Identitaire dénonce le 2 poids 2 mesures du régime socialiste : "Suite à l’action de Calais où Génération Identitaire a occupé trois ponts afin d’en bloquer l’accès aux immigrés clandestins,trois de nos militants ont été condamnés à trois mois de prison ferme et à des amendes pour « faits de rébellion ». Heureusement, le juge n’a ordonné aucun mandat de dépôt, les militants identitaires dormiront donc auprès des leurs ce soir.

    Cette action symbolique a duré deux heures, avant que les forces de l’ordre ne délogent violemment nos militants. Au sol et non-violents, ces derniers ont été durement matraqués et gazés comme le prouvent les vidéos que nous avons publiées. Un policier a même avoué devant le tribunal avoir mis deux coups au visage d’un militant pendant son transport vers le commissariat.

    La sévérité de la justice socialiste contraste fortement avec sa clémence pour les casseurs d’extrême-gauche et les immigrés clandestins qui font tant souffrir Calais depuis des années."

    Michel Janva

  • Une journaliste dénonce les bobards autour de la disparition du vol MH370

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Le 8 mars 2014, le vol MH370 Malaysia Airlines a officiellement mystérieusement disparu. Ce Boeing 777 reliant Kuala Lumpur à Pékin transportait 12 membres d’équipage et 227 passagers, majoritairement chinois.

    La version officielle des événements vient de recevoir un cinglant démenti
    La journaliste Florence de Changy a mené pendant deux ans une enquête sur ce qui constitue l’une des disparitions les plus mystérieuses de l’aviation civile. Son livre, qui s’intitule Le Vol MH370 n’a pas disparu, sort aujourd’hui en librairie. Pour la correspondante du Monde à Hong Kong, la version officielle des faits, selon laquelle l’avion aurait disparu sans laisser de traces est « une insulte à l’intelligence humaine ».

    La désinformation aurait été orchestrée par les gouvernements eux-mêmes
    On a d’abord tenté par voie de presse de faire porter la responsabilité au pilote, invoquant par exemple des problèmes conjugaux ou des motifs politiques. Le Premier ministre malaisien avait ainsi évoqué un acte délibéré, invoquant un prétendu parcours irrégulier de l’appareil laissant croire à un détournement, sans la moindre preuve.

    Plus étrange encore, les recherches ont commencé dans l’Océan Indien alors que l’avion a disparu au-dessus de la mer de Chine
    Dans le même temps, la presse chinoise publiait une dépêche concernant une demande d’atterrissage en urgence de la part de l’appareil, qui aurait été captée par une base américaine située en Thaïlande. Mais la dépêche fut ensuite retirée sans jamais recevoir de confirmation. La journaliste estime pourtant qu’elle n’a pas pu être inventée…

    Le ministère vietnamien de la Défense avait pour sa part annoncé connaître le lieu et l’heure exacts du crash
    Des débris avaient même été retrouvés, avant que les Américains déclarent que ceux-ci n’avaient rien à voir avec le vol MH370. Malgré ces informations, les recherches n’ont jamais été poursuivies en mer de Chine. L’attention du public a été détournée vers l’Océan Indien.

    http://fr.novopress.info/

  • L’industrie pharmaceutique belge travaillait avec un baron de la drogue mexicain

    Belgique – Le parquet fédéral veut poursuivre sept entreprises pharmaceutiques belges suspectées d’avoir fourni à un baron de la drogue mexicain des substances utilisées pour fabriquer des millions de pilules de méthamphétamine.


    L’industrie pharmaceutique belge complice d’un baron de la drogue mexicain?

    http://www.medias-presse.info/lindustrie-pharmaceutique-belge-travaillait-avec-un-baron-de-la-drogue-mexicain/50730

  • Des Syriens responsables et coupables de la mort du petit Aylan

    Stupéfaction dans le camp psychopathe auto-flagellateur ! Voilà une info qui mérite d’être soigneusement… tue.
    Ces jours-ci, deux informations relatives aux invasions migratoires, ne changeant pas spécialement la donne en tant que telles, mais parfaitement tues (sauf omission) dans les médias français et méritant, à ce titre, d’être soulignées. Débarquant de Mars, et prenant connaissance des derniers développements de l’actualité, j’ai bêtement cru que la mort du petit Aylan aux portes du paradis européen n’était due qu’à l’écœurante indifférence des gouvernants et habitants de ce dernier, et que la honte les accompagnerait, ainsi que leurs descendants, jusqu’à la fin des temps…

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  • Incertitudes autour des négociations politiques pour la Syrie

    NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Plus d’une semaine après le cessez-le-feu, la situation syrienne reste incertaine
    Le cessez-le-feu tient bon pour le moment, offrant un répit aux combattants et aux civils syriens. Dans ce climat relativement apaisé, les acteurs internationaux espèrent pouvoir animer des négociations décisives entre le gouvernement et l’opposition afin d’arriver à une solution politique acceptable pour la Syrie. Allant dans ce sens, Moscou avait même évoqué la possibilité d’une solution fédérale au problème syrien. Mais ces négociations sont, pour le moment, loin d’être une certitude pour tous les acteurs en jeu.

    L’opposition freine des quatre fers face à ces négociations
    Si les représentants du gouvernement syrien ont annoncé leur présence aux négociations, la question est plus épineuse du côté de l’opposition. En effet, si le porte-parole du Haut comité des négociations, la structure qui rassemble les acteurs clefs de l’opposition et de la rébellion, a annoncé qu’ils seraient présents à Genève dès vendredi pour les négociations, c’est pour mieux être contredit quelques heures plus tard par le coordinateur général de cette même structure.
    Pour ce dernier, la décision est loin d’être prise et le HCN va « évaluer la situation dans les prochains jours et prendre la décision adéquate ». Dans cette optique, une délégation du HCN doit rencontrer à Genève dans les prochains jours l’équipe chargée de surveiller le bon déroulement du cessez-le-feu.

    Dans le collimateur du HCN, on retrouve la trêve et le rôle de Bachar Al Assad
    Parmi les raisons invoquées par l’opposition pour freiner ces négociations on retrouve bien sûr le rôle de Bachar Al Assad dans la Syrie post-conflit. En effet, là où l’opposition et ses soutiens saoudiens réclament tout bonnement un gouvernement de transition où Bachar Al Assad n’aurait aucun rôle, les autres acteurs sont moins catégoriques.

     

    http://fr.novopress.info/

  • Le responsable militaire de l’EI aurait été « droné » par les américains

    Abou Omar al-Chichani (Abou Omar le Tchétchène), nom de guerre de Tarkhan Batirashvili est un djihadiste géorgien, chef militaire de l’État islamique.

    Il aurait été visé par une frappe aérienne de la coalition, a indiqué mardi un responsable américain qui n’a pas pu préciser le sort du jihadiste.

    « Omar al-Shishani a été visé » par une frappe en Syrie, a indiqué cette source sous couvert de l’anonymat.
    Cette source n’a pu préciser si Omar al-Shishani avait trouvé la mort dans le bombardement, ni où ce raid aérien s’était déroulé précisément. Le succès des opérations d’élimination des jihadistes est parfois difficile à établir avec certitude par les services de renseignement américains, faute de présence américaine sur le terrain.

    Omar al-Shishani, connu pour son épaisse barbe rousse, est considéré comme l’un des plus hauts, voire le plus haut responsable militaire du groupe EI. L’administration américaine offrait 5 millions de dollars pour des informations fiables sur lui.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Reportage sur les islamistes en prison : « Les prophètes de l’ombre »


    Dans la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis, Jean-Charles Doria a obtenu l’autorisation exceptionnelle de filmer, dans leur cellule, des fondamentalistes qui se réclament de l’Etat Islamique. Il a également posé sa caméra dans la cour de promenade, où les mentors recrutent leurs disciples, et a suivi la prière aux côtés de l’imam officiel de la prison, qui tente de remettre dans le droit chemin les détenus prêts à basculer. Quant aux surveillants, qui luttent eux aussi contre le prosélytisme et la radicalisation, ils semblent parfois bien démunis face à la force de persuasion de ces « prophètes de l’ombre ».

    http://www.contre-info.com/

  • Viols d’enfants à Calais : les volontaires tirent la sonnette d’alarme

    Sept garçons, âgés de 14 à 16 ans, auraient été traités par des volontaires médicaux après avoir été victimes d’agressions sexuelles au cours des six derniers mois dans la Jungle à Calais, rapporte le quotidien britanniqueThe Daily Mail.

    Après un nouveau cas, qui serait survenu ces derniers jours, des militants tentent d’alerter l’opinion sur la problématique de ces milliers de jeunes migrants orphelins qui sont en proie à tous les types d’abus.

    La situation semble particulièrement inquiétante à Calais, où sont entassées plus de 3 800 personnes qui ont l’espoir de gagner la Grande-Bretagne.

    Un porte-parole de l’organisation Save The Children, qui tente de s’attaquer à cette problématique, a déclaré : « Nous savons que les enfants non-accompagnés, qui sont plus de 400 dans le camp et des milliers répartis sur tout le continent, sont les plus vulnérables des vulnérables. »

    « Ils font face à l’exploitation sous différentes formes, y compris l’exploitation sexuelle, souvent dans les mains de gangs criminels. Save The Children l’a constaté en Italie, en Grèce et, malheureusement, à Calais aussi », ajoute le travailleur humanitaire.

    Fin janvier, la police européenne Europol évoquait le chiffre d’au moins 10 000 enfants livrés à eux-mêmes sur le continent et dont on a complètement perdu la trace.

    Source

    http://www.contre-info.com/viols-denfants-a-calais-les-volontaires-tirent-la-sonnette-dalarme