"Un homme de 49 ans de l’Etat de Victoria en Australie vient d’être jugé pour avoir abusé sexuellement de ses deux filles nées d’une mère porteuse étrangère. Il avait ramené les jumelles en Australie. L’homme, déjà condamné à 22 ans de prison pour avoir été reconnu coupable dans 37 affaires de pédophilie. Il avait commencé à abuser d’elles et à partager des films de mise en scène avec d’autres pédophiles depuis leur premier mois."
insécurité - Page 765
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GPA et pédophilie
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Journal du Vendredi 20 Mai 2016 : Terrorisme / Le ciel cible de choix
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Le SIEL aux côtés de nos forces de police - Alexandre Delport
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Un grand « frisson » libérateur
Vernet a publié un article sur le site de MM. Colombani et Attali, Slate.fr, consacré au succès rencontré par le candidat de la droite nationale autrichienne, Norbert Hofer du FPÖ, lors du premier tour de la présidentielle le 24 avril. Avec 35% des suffrages il fait la course en tête, loin devant le candidat des Verts, Alexander Van der Bellen (21%). « Les grands partis traditionnels, social-démocrate (SPÖ) et conservateur (ÖVP) qui se partagent le pouvoir depuis 1945, se sont effondrés. » A l’approche du second tour, le 22 mai, M. Vernet pointe l’impuissance des partis établis a endiguer la progression du populisme national en Autriche. « La crise des réfugiés a donné un élan inattendu au FPÖ. L’Autriche a accueilli 90.000 réfugiés en 2015, pour une population d’un peu plus de 8 millions » indique t-il . « Mais elle en a vu passer plusieurs centaines de milliers en route vers l’Allemagne, en raison de la culture de l’accueil prônée par Angela Merkel. Dans un premier temps, le chancelier autrichien, Werner Faymann (SPÖ), qui a démissionné le 9 mai 2016, a adopté la même politique que sa collègue allemande. Puis il a opéré un virage à 180 degrés » (« quotas de réfugiés », « fermeture des frontières », « réunion des États d’Europe centrale et des Balkans sans en référer à Bruxelles »), calquant son attitude sur celle du Hongrois Viktor Orban. » Ce raidissement, sous la pression du peuple autrichien dont le FPÖ est le porte-parole et le haut-parleur, loin de marginaliser les nationaux autrichiens, n’a fait que légitimer leur discours constate-t-il encore, selon l’adage bien connu qui veut que l’original soit préféré à la pâle copie.
Ce « succès incontestable pour le FPÖ » (…) fait passer un frisson d’angoisse dans l’Union européenne » ( comprendre au sein de l’oligarchie et de la technostructure bruxelloise, ce qui n’est pas la même chose !, NDLR), « où les partis populistes de droite ont le vent en poupe » souligne Daniel Vernet. Il voit se profiler l’obligation pour les partis du Système de transiger, de composer encore plus avant avec ce qui est désormais, de manière incontestable, la première force politique autrichienne, laquelle bénéficie qui plus est d’un très large soutien de la jeunesse.
Bref si « l‘Autriche a connu son 21-Avril » (lors du premier tour de la présidentielle), « tout laisse à penser que la mobilisation générale contre l’extrême droite qui avait permis à Jacques Chirac, quinze jours plus tard, le 5 mai, d’écraser Jean-Marie Le Pen au second tour de l’élection présidentielle de 2002 ne se reproduira pas à Vienne (…). Tout se passe comme si, avec ses 35% de voix, le FPÖ représentait la pensée dominante d’une majorité silencieuse qui, quand elle s’exprime, soutient les thèses populistes. Les sociaux-démocrates, en toute hypothèse, pourraient ainsi être amenés à codiriger le pays avec les nationaux (qui devraient de nouveau triompher aux législatives), comme c’est déjà le cas dans « la région du Burgenland actuellement dirigée par une coalition entre le SPÖ et le FPÖ. En 2000, une telle alliance avait déclenché les foudres de l’Union européenne, qui avait décidé un boycottage de l’Autriche. » Mais ça c’était avant… Une attitude d’ostracisme antidémocratique, notions-nous il y a un mois sur ce blogue, que les pontes bruxellois, acculés par la réveil des peuples de notre continent, n’oseraient plus affirmer aussi franchement, car ils n’en ont plus les moyens…
Sur le site Polemia, en octobre dernier, à l’occasion des élections municipales à Vienne, marquées par une forte poussée populiste, Vincent lefebvre s’appliquait à tirer des enseignements pour notre pays de cette assomption de la droite nationale. Le bouleversement de la carte politique, du rapport des forces y sont comparables sous certains aspects à ce que l’on voit en Autriche. Le FN est lui aussi, de fait, le premier parti en nombre de voix face aux coalitions, diverses et variées, pour freiner sa marche vers le pouvoir .
Certes, écrivait avec raison M. Lefebvre, « deux différences majeures semblent opposer France et Autriche en matière politique, qui n’ont qu’une même origine : le mode de scrutin en Autriche (exception faite de la présidentielle, NDLR) est toujours à un tour, et laisse une place majeure à la proportionnelle, tout à l’inverse de la France. La conséquence est double (et là résident les deux différences) : il n’y a traditionnellement pas de bipolarisme politique, et les coalitions gouvernementales sont la règle. On a souvent pris le contre-exemple de l’Autriche pour expliquer qu’en France aucune place n’existait pour le Front National, troisième voie impossible, en raison du mode de scrutin majoritaire à deux tours. La deuxième différence (les coalitions) n’empêche pas non plus une convergence austro-française : dans les deux pays, la collusion entre les partis traditionnels de la droite et de la gauche est un sentiment populaire répandu. »
« On remarque, par ailleurs, empiriquement que le mode de scrutin n’influe que peu sur le vote. Ou plutôt l’obstacle que représente un mode de scrutin est davantage un frein pour de bons scores mais, une fois le frein usé, les résultats des patriotes sont en roue libre et peuvent grimper, grimper, jusqu’à évincer la droite classique (…). De même en France, le scrutin majoritaire pourrait bien se retourner finalement contre la droite classique, une fois que le Front National aura atteint un seuil de non-retour, et que Les Républicains auront fini de montrer au grand jour leurs contradictions internes.«
La campagne présidentielle française, précédée de primaires « à droite » qui s’annoncent sanglantes, ne manquera pas de révéler au grand jour lesdites contradictions, dans tous les domaines. M Vernet, cité plus haut, notait il y a quelques mois déjà, les failles existant au sein des Républicains dans le domaine de la politique étrangère, entre les atlantistes fanatiques d’un côté et, de l’autre, les partisans d’un rapprochement avec la Russie, à l’aune du conflit syrien notamment. « Lors du voyage de novembre 2015 à Damas, Nicolas Sarkozy avait qualifié Thierry Mariani et sa suite de gugusses. Une fraction des élus et personnalités de LR « s’opposent à toute une école de diplomates et de chercheurs qui avaient placé leurs espoirs dans les printemps arabes et avaient vu dans les manifestations des opposants en Syrie la promesse de la chute prochaine de la dictature baasiste. Nicolas Sarkozy et son ministre des Affaires étrangères Alain Juppé, puis François Hollande et Laurent Fabius à partir de 2012, ont tous misé sur le départ du pouvoir de Bachar el-Assad (…). Les critiques de cette politique (…) regrettent (aussi) les sanctions imposées à la Russie après l’annexion de la Crimée et la guerre en Ukraine. Soutenus à droite par François Fillon, ils voient en Vladimir Poutine un allié contre le terrorisme et contre l’État islamique. »
Au-delà des déterminantes problématiques géopolitiques (qui pèsent peu en France, on peut le regretter, sur les choix des électeurs), mais aussi sociales, économiques, européennes, autrement plus prégnantes dans le débat, la question identitaire, migratoire, sera centrale en 2017 affirme Bruno Gollnisch. Elle est aussi une ligne de fracture, au sein de la droite libérale. Nicolas Sarkozy s’escrime pour sa part, face à Alain Juppé, à convaincre les Français, comme en 2007 et lors de sa campagne de 2012, que cette fois, enfin, il a compris, il prendra en compte leurs aspirations dans ce domaine. Qui peut encore le croire ?
Peut être pas le collectif «NouS les jeunes», sachant que l’attachement à l’identité française est aussi affaire de symbole. Les médias rapportent ainsi que « la branche jeunesse des partisans de Nicolas Sarkozy » qui organise son lancement le 28 mai à Paris, a envoyé un SMS aux adhérents de LR pour participer à ce raout les invitant à « s’enjailler ». Les ploucs et autres provinciaux que nous sommes se sont donc saisis du nouveau Petit Robert pour y apprendre que ce terme est tiré de de l‘argot ivoirien, et qu’il signifie « faire la fête », « séduire… » Quelle bravitude dans la branchitude chez Nicolas, candidat de la France d’après…
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Pierre Cassen : une « Forteresse Europe » contre le danger islamiste
ierre Cassen est fondateur de Riposte Laïque, et fut co-organisateur, entre autres, de l’Apéro saucisson-pinard et des Assises internationales sur l’islamisation de nos pays. Il a animé de nombreuses manifestations et des rassemblements. Depuis plus de dix ans, il consacre l’essentiel de son combat à la lutte contre l’islamisation de notre pays et de l’Europe, et anime de nombreuses conférences, souvent tournées vers l’action. À ce titre, il revient de Prague, et répond aux questionsde Philippe Randa, durecteur d’EuroLibertés.
Vous venez de participer dans les locaux du Parlement tchèque à « une initiative européenne de lutte contre l’invasion migratoire et l’islamisation de nos pays »… Qui l’a organisée ? Quels étaient les participants ?
Cette initiative a une histoire. Nous avons rencontré Tatjana Festerling, porte-parole de Pegida Allemagne qui revenait d’un entretien à TVLibertés, grâce à l’entregent de Jean-Yves Le Gallou. Le contact entre elle, Christine Tassin et moi a été excellent, et Tatjana nous a demandés si nous serions d’accord pour venir à Prague, le 13 mai, afin de participer à une réunion de résistants européens. C’est le genre de proposition qui ne se refuse pas, et nous nous sommes donc rendus disponibles.
L’initiative avait lieu au cœur du Parlement tchèque. Les rôles avaient été répartis entre le parti tchèque Usvit (Aube pour la Démocratie directe), qui compte huit députés, et Pegida Allemagne, qui est la tête de pont de la Résistance européenne, surtout à Dresde, d’où est issue Tatjana. La volonté était de créer une structure européenne, « Forteresse Europe », avec tous ceux qui avaient envie de se lancer dans cette aventure. Au total, pour le moment, quatorze pays, majoritairement de l’Est, mais aussi, outre les Allemands, les Anglais, les Espagnols, les Italiens, les Autrichiens et nous, les Français. Notre pays était représenté par Christine Tassin et moi, au nom de Résistance républicaine – Riposte Laïque, et par Karim Ouchikh, président du SIEL (Souveraineté, identité et libertés). Après que chacun a pu prendre la parole, les organisateurs ont proposé à chaque représentant national de signer une pétition s’opposant à la logique des quotas de migrants imposés par l’Union européenne. L’objectif annoncé est de recueillir 1 million de signatures pour contraindre l’UE à ouvrir un débat parlementaire sur cette question. Nous avons respecté cette première initiative, privilégiant le cadre unitaire. Pour nous, l’essentiel était qu’un outil européen se mette en place, et donc que des actions communes, au niveau Vieux Continent, puissent se développer au plus vite. Avec la force militante de Pegida Allemagne aux commandes, et le savoir-faire de chaque pays représenté, il y a un potentiel prometteur, et nous sommes heureux d’avoir été conviés à cet événement.
Les pays d’Europe de l’Est sont-ils confrontés de la même manière que ceux de l’Ouest aux invasions migratoires et comment appréhendent-ils le danger djihadiste ? Craignent-ils des attentats similaires à ceux qui viennent de frapper la France et la Belgique récemment ?
Il y avait deux mondes, effectivement, ce vendredi, dans le Parlement européen. Les pays de l’ouest de l’Europe, déjà fortement islamisés, et les pays de l’Est, qui ne sont pas du tout confrontés à cette situation, mais ne veulent surtout pas y être. D’où la pétition pour refuser les quotas. Les pays de l’Est, à ce jour, ne vivent absolument pas dans la crainte d’un attentat. Certains pensent que seul l’Est pourra sauver la culture européenne, et que l’ouest est mal parti, même s’ils sont solidaires de nos combats. Par contre chose inquiétante, nous avons entendu le témoignage d’un militant de l’Usvit, qui a raconté au public l’offensive d’une jeune collégienne musulmane voilée dans une école, à Prague, et les nombreux soutiens dont elle bénéficie, scissionnant la société tchèque. C’est Creil, 27 ans après…
Quelles sont vos impressions sur la République Tchèque après votre séjour ?
Nous ne sommes restés que trois jours, et ne pouvons prétendre avoir tout vu de la réalité tchèque, n’étant demeurés qu’à Prague. On voit que la capitale est toujours une ville européenne. Les élèves que nous avons croisés dans les rues sont tous blancs, et par ailleurs paraissent fort bien élevés, et respectueux des enseignants. Naturellement, le centre-ville, autour du Pont Charles, est superbe. Gros point noir, les tags. J’avoue ne pas comprendre que dans une ville aussi touristique, ils soient aussi omniprésents, y compris sur la façade du musée Kafka (voir photo). Peut-être un Jack Lang tchèque ? Vous ne vous sentez jamais menacé, sur le qui-vive, ce qui est loin d’être le cas dans nombre de capitales d’Europe de l’Ouest, Paris en premier. On peut manifester librement à Prague. Nous avons vu un groupuscule nationaliste, un samedi, jour des 700 ans de la naissance du Roi Charles IV, tenir une réunion en plein centre-ville, à cinquante personnes. Pas de policiers, pas de gauchistes, pas de racailles. Il n’y a pas de chômage de masse, et il paraît y avoir du travail pour tout le monde. Nous avons vu de nombreuses usines en activité avec des hautes cheminées envoyant leur fumée dans le ciel, preuve qu’il y a toujours des ouvriers dans ce pays… et pas trop d’écolos ! Le salaire moyen tourne entre 800 et 1000 euros. La situation française passionne beaucoup les Tchèques, admirateurs de notre pays, et désespérés qu’il soit devenu un des maillons faibles de l’Europe. Ils cherchent à comprendre ce qui nous arrive, et paraissent décidés à ne pas se laisser envahir, ni islamisés.
Source EuroLibertés cliquez ici
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Alain Juppé, responsable de l'échec de la libération des moines de Tibihirine ?
Il y a 20 ans, le 21 mai 1996, le GIA annonçait avoir égorgé les moines de Tibihirine. C'est l'occasion de rappeler le rôle trouble joué par celui qui veut être aujourd'hui candidat à la présidentielle.
Alors que Marc Trévidic, le juge d'instruction en charge de l'affaire des moines de Tibhirine, avait officiellement saisi trois ministères français d'une demande de levée du secret-défense, l'ancien ministre de l'Intérieur, Charles Pasqua a évoqué les cafouillages franco-français dans la gestion de l'affaire.
L'ancien ministre de l'Intérieur accuse pratiquement l'ancien Premier ministre, Alain Juppé, d'avoir fait échouer une tentative sérieuse d'obtenir la libération des 7 moines de Tibhirine. Charles Pasqua, qui n'était plus ministre de l'Intérieur au moment de l'affaire des moines, raconte qu'il avait été contacté par Jean-Charles Marchiani, préfet du Var et ancien des services secrets français, qui lui a affirmé disposer des contacts nécessaires pour mener des négociations avec les preneurs d'otages islamistes et que ces derniers étaient prêt à discuter d'une éventuelle libération des religieux. Il rappelle qu'à la même période les «terroristes avaient fait passer un message à l'ambassade de France qui allait un peu dans le même sens». Charles Pasqua dit en avoir parlé au président français Jacques Chirac qui a donné son feu vert. Marchiani qui, à l'époque, n'était plus dans les services secrets a «pris les contacts nécessaires d'une part avec les services algériens et aussi, me semble-t-il, avec les preneurs d'otages». Les choses «semblaient se développer normalement», indique l'ancien ministre de l'Intérieur jusqu'à l'intrusion d'Alain Juppé. Celui-ci, «énervé d'apprendre que Jean-Charles Marchiani» a fait une déclaration publique qui a complètement fait capoter l'entreprise. -
Se faire un flic, par Caroline Parmentier
Le jour même où les policiers manifestaient en France contre la haine anti-flics, deux d’entre eux ont échappé de justesse à une tentative de meurtre.
Mercredi vers midi, 150 individus encagoulés et masqués font irruption aux cris de « Flics, porcs, assassins » et « Tout le monde déteste la police » place de la République où se tient le rassemblement des policiers. Ils sont repoussés à coup de fumigènes.
Un peu plus loin, quai de Valmy, une quinzaine d’entre eux s’en prend alors très violemment à un véhicule de police dont ils défoncent les vitres. Les deux occupants : une gardienne de la paix et un adjoint de sécurité de la compagnie du périphérique qui reviennent de mission, sont frappés à coups de poing, de barres de fer et de tuyaux et parviennent à sortir in extremis tandis que les assaillants jettent un engin incendiaire à l’intérieur du véhicule qui s’embrase entièrement. Cet acte de terrorisme se passe toujours « en plein état d’urgence ».
Une enquête pour « tentative d’homicide volontaire » a été ouverte. Quatre agresseurs âgés de 19 à 21 ans ont été interpellés. Trois d’entre eux avaient fait l’objet de la part de la préfecture de police de Paris d’une interdiction de paraître dans les manifestations en raison de leur violence. Mais ces arrêtés ont été cassés par le tribunal administratif. La justice administrative a en effet suspendu mardi neuf arrêtés sur dix émis par le préfet de police. Ces magistrats n’ont sans doute pas supporté que l’on empêche les bons militants antifascistes d’aller cogner ces porcs de flics.
De Jean-Jacques Bourdin sur RMC à 20 Minutes, les journalistes ont chaudement salué le « sang froid » et la maîtrise de ce policier qui, alors qu’on l’attaque, qu’on le frappe et que l’on manque de le griller vif, n’a pas fait usage de son arme de service et se contente de parer les coups courageusement. Ils auraient été les premiers en effet à crier à la bavure, si l’un des petits barbares avait pris une balle dans l’orteil.
Alors que la voiture de police était en train de brûler, une pancarte en carton « Poulets rôtis, prix libre » a été déposée sur le sol à quelques mètres du véhicule par les casseurs. Pourquoi se priveraient-il ? Puisque jour après jour on continue comme ça : dans l’impunité la plus complète, la violation quotidienne de l’état d’urgence, les rues de nos villes saccagées par les milices d’extrême-gauche, et les arrêtés contre les tueurs de policiers cassés par la justice.
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent n° 8611 daté du 20 mai 2016
http://fr.novopress.info/201149/se-faire-flic-caroline-parmentier/
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Intervention de Marion Maréchal-Le Pen sur la prorogation de l'état d'urgence
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Eric Zemmour : « Les Black Blocs ont rencontré les racailles »
Sur RTL ce matin, Eric Zemmour a analysé la recrudescence des violences contre la police. « On dit souvent que l’amour est près de la haine : les policiers après d’autres pourront l’attester. Il y a dix-huit mois, on leur jetait des fleurs, les femmes leurs sautaient comme aux cous comme des libérateurs et même un vieil anarchiste comme Renaud se surprenait à embrasser un flic ! La police était Charlie et tout le monde aimait la police. Dans la rue désormais, les manifestants crient à l’unisson : “Tout le monde déteste la police !“ On leur lance des harpons de pêche ! Des boules de pétanque avec des rasoirs ! On jette des mortiers ! Des conteneurs de bouteilles en verre ! […] On veut casser du flic. Faire mal. Au risque de tuer. »
Selon Eric Zemmour, « c’est Nuit Debout qui a tout changé. La place de la République est devenue un champ de bataille. On renoue avec la tradition des violences révolutionnaires. On brise les façades des banques, on met le feu aux voitures de luxe. A force de parodier Mai 68, il était inévitable que le mouvement redécouvre son slogan le plus inepte et le plus scandaleux : “CRS SS“. »
Le chroniqueur rappelle que, en Mai 68, « De Gaulle avait alors lancé à son Premier ministre : “Pompidou, tirez dans les jambes !“ […] Dans sa jeunesse, on envoyait l’armée à cheval contre les manifestants. Ceux-ci n’hésitaient pas à attaquer au couteau leurs montures. Il y avait souvent des morts, comme le 6 février 1934. »
Or « Pompidou et son préfet de police, Maurice Grimaud, avaient pris l’exact contrepied des instructions du général. Cet humanisme bienfaisant s’est retourné depuis contre l’Etat. L’humanisme est pris pour de la faiblesse. Les violences se sont enhardies. Depuis la mort de Malik Oussekine dans une manifestation contre la loi Devaquet en 1986, la hiérarchie policière et tous les gouvernements de droite comme de gauche vivent dans la hantise de la bavure. »
Résultat : « Les forces de l’ordre sont sur la défensive. Les consignes de retenue les paralysent. La peur a changé de camp. L’Etat d’urgence ne change rien, l’état d’urgence ne sert à rien. Dans la bataille, les jeunes gauchistes ultraviolents venus de toute l’Europe côtoyent les troupes fraîches venues des banlieues : les Black Blocs rencontrent les racailles. Chacun reste dans son domaine d’excellence : les uns détruisent les symboles du capitalisme, les autres pillent et volent – font leurs courses ; les uns dénoncent la société de consommation, les autres veulent consommer à tout va. La convergence des luttes est un mythe d’intellectuel : leur seul point commun est la haine de la police. »
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Journal du Jeudi 19 Mai 2016 : Terrorisme / Les djihadistes infiltrent les aéroports