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insécurité - Page 767

  • Allemagne : 369 signalements de terroristes parmi les migrants

    Voilà une information qui va affaiblir encore un peu plus la chancelière Angela Merkel. Mercredi, les médias allemands relayaient une information de la police fédérale (BKA), selon laquelle 369 signalements de terroristes potentiels avaient été reçus à ce jour, concernant des immigrants arrivés depuis l’été dernier. Sur ce nombre, 40 font actuellement l’objet d’une enquête. « Les services de sécurité allemands ont des informations qui permettent de penser que des membres et sympathisants d’organisations terroristes infiltrent les groupes de migrants de manière ciblée et organisée, dans le but de conduire des attaques en Allemagne », a expliqué un porte-parole de la police fédérale.

    Certains signalements de terroristes potentiels proviennent de demandeurs d’asile résidant dans les camps de réfugiés. Environ 60 % des immigrants arrivés depuis l’année dernière en Italie n’avaient pas de passeport ni aucun document permettant de les identifier, ce qui a grandement facilité l’infiltration de djihadistes de l’Etat islamique.

    Même certains leaders de la CDU d’Angela Merkel reconnaissent désormais le grave impact sur la sécurité nationale de l’accueil inconsidéré de ces immigrants clandestins majoritairement musulmans. Ainsi Wolfgang Bosbach, président de la commission des affaires intérieure du Bundestag, a prévenu après les révélations de la police fédérale : « Nous devons traiter les répercussions pour la sécurité très, très sérieusement, (…) les dramatiques attaques à Paris et Bruxelles nous avaient déjà fait prendre conscience de cela. »

    En janvier déjà, la police allemande avait parlé de « migrants » suspectés d’être des terroristes islamiques, mais ses chiffres étaient moitié moindres (213 signalements et 18 enquêtes en cours). Après l’annonce des nouveaux chiffres, la gauche a réagi, comme on pouvait s’y attendre, en appelant à éviter tout alarmisme. Mais il semble que les Allemands se laissent de moins en moins prendre à la propagande des grands partis politiques et des médias. Un nouveau sondage publié jeudi pour Infratest Dimap montre que 60 % des Allemands sont désormais d’accord avec le parti anti-immigration AfD sur le fait que l’islam ne fait pas partie de l’Allemagne, contre seulement 34 % qui estiment le contraire, comme la chancelière.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent n° 8608 daté du 14 mai 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Livres & Actualité • Éric Zemmour : Terrorisme et vieilles recettes

    Un expert en stratégie dénonce avec pertinence les insuffisances dans la réponse des autorités. Mais son réquisitoire tourne vite à la sérénade bien-pensante. Tel est du moins le point de vue qu'expose Eric Zemmour dans cette excellente recension du livre que publie François Heisbourg. LFAR 

    Il faut se méfier des experts. Pas seulement pour le style, souvent ampoulé et pédant. Mais leur science, incontestable, dans leur domaine d'excellence, les persuade qu'ils ont la même légitimité sur un terrain plus politique. Ils confondent science et idéologie et croient qu'ils assènent des connaissances alors qu'ils ne font que défendre des convictions.

    François Heisbourg n'est pas n'importe qui. Il est conseiller spécial à la Fondation pour la recherche stratégique; préside l'International Institute for Strategic Studies de Londres et le Centre de politique de sécurité de Genève. Il a participé à la rédaction des livres blancs sur la défense pour les trois derniers présidents de la République. Quand il aborde les attentats qui ont ensanglanté Paris en 2015, notre auteur sait de quoi il parle. La raison sans doute pour laquelle il parle aussi de ce qu'il ne veut pas savoir. François Heisbourg n'a pas l'habitude qu'on lui dise non. Il ne s'est visiblement pas remis du refus - par Manuel Valls - de convoquer une commission nationale - à l'exemple des Américains après le 11 septembre 2001 - pour tirer les leçons des attentats. Il a décidé de tenir sa convention nationale à lui tout seul. D'où ce livre.

    Son texte est bref, concis, efficace. Découpé sur le modèle des dix commandements, transformés en dix erreurs à éviter. Erreurs dont on a déjà commis la plupart ! Erreurs d'anticipation et de réaction. Il reproche ainsi à Sarkozy la fusion de la DST et des RG, qui a dépouillé notre police de ses informateurs de proximité. Il oublie seulement qu'il est plus facile pour un policier français d'infiltrer un parti politique ou un groupuscule gauchiste qu'une mouvance islamique qui repose sur les liens des fratries et de la religion.

    L'assaut à Saint-Denis qui a suivi l'attentat du 13 novembre lui paraît disproportionné. Cela a pourtant tué dans l'œuf un autre massacre prévu.

    Et puis notre expert passe de la pratique à la théorie, des actes aux mots. Comment nommer l'ennemi ? Califat ou Daech. Heisbourg félicite Hollande de parler de Daech car « c'est le nom que Daech déteste ». Notre spécialiste ne se demande pas pourquoi on interdirait aux djihadistes - avec un mépris gourmet - l'autoproclamation d'un califat alors que notre propre Histoire regorge d'autoproclamations comme la déclaration d'indépendance américaine ou la République française de 1792. Dans la foulée, Heisbourg comme d'autres glosent sur le concept de « guerre » employé à foison par nos gouvernants. C'est alors que notre expert découvre ce qui est tu ou nié : « Bombarder Raqqa dans le cadre de la guerre contre Daech est une chose, mais quid de Molenbeek ou du « 93 » ? Y faire la guerre au sens militaire du terme - armée contre armée - serait absurde ; mais cela est pourtant implicite dans le discours non métaphorique sur la guerre à Daech puisque les forces que celui-ci lance contre nous sont « de chez nous » et frappent chez nous. La guerre serait donc aussi une guerre civile ? »

    Le livre alors change d'âme. Affolé par sa découverte, l'expert se mue en prédicateur. Aucun poncif, aucun lieu commun sur la France des Lumières et des droits de l'homme ne nous seront épargnés. L'esprit du padamalgam règne en maître sur notre maître.

    Heisbourg en appelle à l'esprit de la Résistance pour mieux renouer avec les réflexes pacifistes de la politique « d'apaisement » qui menèrent à la collaboration.

    La déchéance de nationalité promise aux djihadistes binationaux (à laquelle Hollande a dû renoncer) provoque l'ire de notre auteur. Tous les habituels arguments de la bien-pensance sont ressassés. Il n'est pas venu à l'idée de notre expert que si l'égalité sacro-sainte était bien rompue, c'était au bénéfice des binationaux qui ont deux nationalités. Abondance de biens ne nuit pas. Si une égalité devait être rétablie en ces temps de nécessaire rassemblement national contre l'ennemi, ce serait plutôt par la suppression de la binationalité qui obligerait chacun à choisir : partager le destin français ou pas.

    Heisbourg ridiculise l'éventuel rétablissement des frontières parce qu'on peut toujours les passer. Mais alors pourquoi interdire le vol et le meurtre puisqu'on peut toujours transgresser ces lois en volant ou en tuant ?

    Il condamne la « dérive » de l'état d'urgence au nom de l'État de droit. Et si c'étaient les dérives laxistes de l'État de droit qui avaient conduit à notre tragique situation ?

    Il reprend sans aucune distance l'antienne convenue sur « les discriminations au logement et à l'embauche » qui alimentent le « vivier de Daech ». Il est vrai que les millions de Français « de souche » qui végètent dans le périurbain deviennent tous trafiquants de drogue puis djihadistes, qu'Oussama Ben Laden était miséreux et que les frères Kouachi n'avaient pas bénéficié de tous les généreux bienfaits de la République sociale…

    « Ce seront toujours les peaux mates qui appelleront les contrôles d'identité un peu virils, les portes des maisons mal situées qui seront forcées à coups de bélier. » On croit entendre le refrain de la chanson parodique de Coluche : « Misère, misère, pourquoi t'acharnes-tu toujours sur les pauvres gens ? »

    Il nous explique avec des accents apocalyptiques que l'échec de Schengen serait un « retour à l'Europe d'avant l'Union européenne et une belle victoire pour les djihadistes qui ne rêvent que de nous voir renier nos valeurs et revenir sur nos réalisations ». On ignorait qu'Oussama Ben Laden avait fait campagne pour le non à Maastricht !

    Il refuse de voir que l'Union européenne est un handicap dans la lutte contre nos ennemis puisqu'elle a laminé les souverainetés nationales sans forger une souveraineté européenne.

    Mais il est temps de conclure, impérieux et grandiloquent : « L'Histoire jugera durement ceux qui choisiront de persister dans l'incompétence et le contresens. » François Heisbourg a raison : l'Histoire jugera durement ceux qui ont choisi de persister dans l'aveuglément et le déni de réalité… 

    Comment perdre la guerre contre le terrorisme. François Heisbourg. Stock. 119p., 15 €.

    Eric Zemmour     

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • François Belliot - La guerre en Syrie la manipulation médiatique des médias français - Meta TV 2/3

  • Terrorisme : Présomption républicaine

    La république est présomptueuse. Elle pense déradicaliser les terroristes potentiels. Cela a été annoncé à grand renfort de trompes médiatiques.

    Radical, déradicalisation : c’est, au sens étymologique, arracher les racines. La question se pose donc de savoir si les intéressés ont des racines, ce dont on peut douter. Nés en France pour la plupart, ils s’inventent  en réalité des racines qu’ils supposent être celles de leur origine ethnoculturelle. En revanche leur structure psychologique est simpliste : une dose de fascination pour la violence, beaucoup de frustration, une eschatologie vague sur le retour du califat et l’illusion qu’ils se déterminent seuls alors qu’ils sont le jouet des puissances du théâtre de la guerre en Syrie : Turquie, Qatar et Arabie saoudite. Mais ils sont aussi le jouet des puissances occidentales qui sont allées chercher au Proche-Orient des succès militaires aventureux pour détourner l’attention sur leurs problèmes internes. Il suffit de considérer la gourmandise avec laquelle notre président de la République s’est emparé des attentats de 2015. Enfin, le terroriste potentiel se sent «  autre », étranger au pays où il est né : le rejet de l’altérité non islamique va chez lui jusqu’à la névrose.

    Echec prévisible

    Le résultat est prévisible : la « déradicalisation » sera un échec. On peut cesser d’être djihadiste, on peut difficilement modifier sa façon de l’être. La taqyia aidant, les  « travailleurs sociaux » créés à cette fin seront dupes de la dissimulation. D’ailleurs, nos radicaux  «  indigènes » ne le sont-ils pas toujours ? Voyez Jean-Marc Rouillan. L’assassin d’Action directe a déclaré que les petits gars du Bataclan avaient bien travaillé mais qu’ils auraient pu faire mieux… Nous ne savons pas si ce sinistre personnage, qui était en liberté surveillée, est retourné en prison. Dans son cas, on aurait tendance à soupçonner les juges de quelque indulgence. Car la vraie question est là. La déradicalisation étant vouée à l’échec, il faut incarcérer ou expulser. Seulement, les juges si prompts à traquer des arrière-pensées racistes chez le péquin lambda, ne peuvent agir contre les terroristes islamistes qu’en cas de passage à l’acte. Et pourtant, imaginons, ce qu’à Dieu ne plaise, qu’un militant d’extrême droite soit soupçonné de radicalisation… Pas besoin d’être Jérémie comme disait ce cher Brassens pour deviner le sort qui lui serait réservé !

    Impuissance du catéchisme républicain

    Nous baignons ainsi dans la plus totale hypocrisie. La marâtre républicaine a ses chouchous. Elle va servir à ces graines de radicaux un prêchi prêcha sur les fameuses mais introuvables valeurs de la république ! Catéchisme bien pauvre qui, précisément, sera de nature à renforcer leur radicalité puisque c’est justement ce moralisme à deux sous qui les révulse.

    En plus, le terrorisme étant totalement décentralisé, ses acteurs agissent de façon indépendante, aléatoire voire improvisée. Ils ne sont pas des soldats ou des militants d’un parti, construits sur la rationalité de la guerre idéologique ou militaire.  Inutile de vouloir les «  retourner » ou les «  convertir ». Les chances de conversion sont d’autant plus minces que la République n’a, en ce domaine, absolument pas les moyens de ses ambitions. Son corpus idéologique, proposé comme prix de la conversion, est trop faible, trop léger.

     Il reste une solution, mais celle-là n’appartient pas à la République. C’est la conversion de Dismas, le bon larron, au Golgotha : «  Ce soir tu seras avec moi en paradis ! ». Ce paradis n’est certes pas celui du Coran. Quant au paradis terrestre socialiste et républicain, nous avons déjà donné pour les lendemains qui chantent…   

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  • Les réfugiés chrétiens persécutés par les musulmans : cela se passe en Europe !

    Persécutés au Moyen-Orient, les chrétiens orientaux qui fuient les massacres, les réductions à l’esclavage et les égorgements des fous d’Allah, des combattants au drapeau noir ne trouvent pas la paix en Europe ! Ils se retrouvent soumis aux persécutions, moins meurtrières, mais persécutions tout de même, dans les fameux camps de « réfugiés » contrôlés et habités en majorité par les mahométans. !

    Insultes, vexations, coups, menaces de mort, 90% des réfugiés chrétiens y sont confrontés dans les centres d’hébergement et d’accueil, selon une enquête menée en Allemagne par l’ONG Open Doors Germany qui a présenté un rapport à Berlin au titre significatif :« Persécutions des chrétiens en Allemagne ». Les différentes associations de défense des droits humains parlent de 40 000 réfugiés chrétiens soumis aux persécutions dans les camps. Selon le responsable de l’association, Markus Rode, ces chiffres ne sont que « la pointe émergée de l’iceberg ».

    Parmi les épisodes cités, celui des chrétiens qui ont refusé de prendre part à des prières collectives imposées par les musulmans dans les centres  ont été menacés.  Selon Paulus Kurt du Centre allemand pour les Chrétiens d’Orient, certaines familles ont décidé de repartir dans leur pays d’origine à cause de ces persécutions actives en Europe. Et d’après, Karl Hafen ,de l’International Society for Human Rights, des chrétiens qui ont fui l’État islamique à Raqqa, ont retrouvé leurs persécuteurs syriens à l’intérieur des camps de réfugiés.

    Malheureusement, à cause des autorités politiques et religieuses qui veulent imposer aux peuples européens le Grand Remplacement au nom d’une nouvelle humanité plus belle, plus bonne, plus tout, ces persécutions systématiques de chrétiens par les musulmans, non plus en terre d’Islam mais en terre chrétienne, sont trop souvent enterrées. 

    Pourtant c’est une véritable persécution des chrétiens orientaux qui existe bel et bien dans les camps de réfugiés en Allemagne et certainement dans tous les centre d’accueil disséminés dans toute l’Europe.  Mais le dire, l’écrire, en parler, c’est porter atteinte au bien-fondé de l’idéologie multi-culturaliste, multi-religieuse, multi-ethnique défendue par tous les humanitaristes et philanthropes modernes, pape François en tête…

    Les utopies sont terribles !

    Francesca de Villasmundo

    http://www.occhidellaguerra.it/germania-profughi-cristiani-perseguitati-nei-campi/

    http://www.secoloditalia.it/2016/05/i-profughi-musulmani-fanno-violenze-sui-profughi-cristiani-allarme/

    http://www.dw.com/en/german-activists-decry-attacks-on-christian-refugees-in-asylum-centers/a-19244927

    http://www.medias-presse.info/les-refugies-chretiens-persecutes-par-les-musulmans-cela-se-passe-en-europe/54246

  • Général Pinard-Legry : « Il faut traiter les agresseurs de soldats en ennemis »

    MINUTE-2770-Couv.jpegLe général Henry Pinard-Legry, interviewé par l’hebdomadaire Minute sur les attaques répétées contre les militaires français sur leur propre sol, estime qu’« il faut traiter les agresseurs de soldats en ennemis », et non pas comme des criminels de droit commun – quand ils ne sont pas déclarés « irresponsables au moment des faits » comme l’islamiste qui avait tenté d’égorger un militaire à La Défense.

    Extrait de cet entretien avec le président de l’Association de soutien à l’armée française (Asaf) :

    « Minute » : Les agressions contre des militaires se multiplient. Quelle est votre réaction ?

    Général Henri Pinard-Legry : Sur le fond, c’est logique qu’on s’en prenne aux soldats de l’opération Sentinelle. Certains partent en Syrie et en Irak, d’autres s’attaquent à des soldats français en mission sur le territoire national.

    Le vrai problème est le suivant. Les agresseurs de soldats seront jugés pour coups et blessures, comme n’importe quel voyou. Pourtant, il faut les traiter comme des ennemis, puisque nous sommes en guerre. Mais, comme il n’y a pas eu de déclaration de guerre, on ne peut pas les juger dans le cadre d’un tribunal spécial comme collaborateur, par exemple. On a en face de nous un ennemi qui agit en ennemi. Il faut donc un traitement et un cadre juridique adapté.

    Pour les soldats, quelle riposte est possible ?

    Cette question pose le problème des conditions d’emploi des armées sur le territoire national et des limites de l’utilité de la présence des militaires. Sur le moment, c’est toujours compliqué de riposter avec un Famas au milieu d’une foule. D’où la réflexion en cours : est-ce qu’on doit utiliser les militaires comme des vigiles ? Est-ce que ce n’est pas du « gaspillage » d’utiliser les militaires comme simples supplétifs des forces de sécurité ?

    Je crois, au contraire, qu’il faut identifier les domaines de compétences dans lesquelles les armées pourraient compléter le travail des forces de sécurité intérieure. C’est une question d’optimisation de la ressource.

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  • Face aux allogènes, la police viennoise conseille aux femmes de se teindre les cheveux en brun

    Après avoir été volée et tabassée par quatre Afghans, une jeune autrichienne est allée porter plainte. C’est à cette occasion que la police lui a donné des conseils avisés.

    Jugez plutôt : « Après l’attaque, ils (la police) m’ont dit que les femmes ne doivent pas être seules dans les rues après huit heures du soir. Ils m’ont donné un autre conseil, que je colore mes cheveux en noir et que je ne m’habille pas de manière aussi provocatrice ».

    Plutôt que de lutter contre la délinquance allogène, c’est donc à nos femmes de changer leur comportement pour éviter les agressions.

     

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  • Journal du Mardi 10 Mai 2016 : Terrorisme / L’Allemagne récolte la tempête

  • Un mort et trois blessés dans une attaque islamiste près de Munich

    MUNICH (NOVOpress) : Un homme est mort et trois autres ont été blessées au petit matin à la gare de Grafing, près de Munich, par un homme qui a crié « Allah Akbar » avant de les poignarder.

     

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  • AUTISME, DOGMES, MENSONGES & UTOPIES

    Pieter Kerstens, notre correspondant à Bruxelles

    Durant des décennies, le Royaume-Uni avec l’IRA et l’Espagne avec l’ETA ont connu un terrorisme ayant pour obectif essentiel l’avènement d’Etats indépendants.

    Si les attentats commis par ces deux organisations avaient pour cibles des objectifs militaires dans leur grande majorité, nombreux furent les civils, victimes innocentes de tueries ou d’explosions aveugles dont le but était de mettre en péril les institutions des états.

    La France a été confrontée elle aussi à d’innombrables attentats durant la période 1956-1963 lors de la guerre d’Algérie et ensuite 30 ans plus tard à ceux commis par le FIS et le GIA.

    On ne peut donc pas prétendre que ces Etats et leurs gouvernements successifs ignorent les causes et les conséquences du terrorisme, d’autant plus que les services de renseignements, de l’armée et de la police avaient été mobilisés de longues années contre ce fléau. En outre, et depuis longtemps, différents systèmes de protection et de sécurité ont été installés dans le domaine public.

    Tout ceci n’a pas empêché les attentats de Madrid à la gare Atocha en 2004, ni ceux du métro de Londres en 2005, capitale qui comptait plusieurs dizaines de milliers de caméras.

    Le mensonge et la crédulité s’accouplent pour former l’opinion

    Alors, malgré ces mesures prétendues « sécuritaires », la France a vécu les assassinats de Mohammed Merah en 2012, puis à Bruxelles ce fut la tuerie du musée juif par Medhi Nemmouche en juillet 2014, ensuite le massacre de Charlie Hebdo à Paris en janvier 2015, suivi de différents assassinats en province, pour aboutir au vendredi « noir » 13 novembre 2015 à Paris qui totalisa 130 victimes et des centaines de blessés.

    Pourtant, des dizaines de milliers de policiers, CRS et militaires étaient mobilisés par les plans « Vigipirate » et « Sentinelle », sans compter les milliers de vigiles chargés de fouiller les sacs et colis suspects. Et que dire de la multitude de caméras installées partout entre 2005 et 2015 ? Tout ça pour ça ?

    Le point d’orgue de cette succession macabre fut atteint le 22 mars 2016 à Bruxelles avec les attentats à l’aéroport et dans le métro : 35 morts et plus de 300 blessés, dont 25 sont toujours en soins « intensifs ».

    Mais comment expliquer cette litanie de massacres d’innocents civils, alors même que ni l’armée ni la police présentent en tous lieux n’ont pu empêcher ceux-ci ?

    A quoi servent toutes ces caméras, yeux virtuels de Big Brother ?

    Quel fut le rôle des services de renseignements et d’espionnage ? Où est donc resté le principe de « précaution » ?

    A posteriori, on pourrait dire : « Police partout, sécurité nulle part ! » et un observateur attentif de l’évolution de la délinquance et de la criminalité de conclure : « la Justice baisse les bras, la Police ferme les yeux… »

    Niqabs, burqas, qamis et tutti quanti

    On remarquera que les assassinats, les tueries et les attentats commis ces dernières années en Espagne, au Royaume-Uni, en France et en Belgique (où 23 suspects sont encore dans la nature) ont été revendiqués au nom de « Allah le Tout-Puissant ».

    Pas de revendication pour l’indépendance de la Catalogne, de l’Ecosse, de la Bretagne ou de la Flandre…

    Ces massacres sont destinés à répandre la terreur parmi les populations décadentes, afin qu’elles fassent pression sur leurs gouvernements respectifs pour faire cesser les actes hostiles et les campagnes militaires en terre d’ISLAM.

    Et la réponse à ces attentats, des ministres qui nous gouvernent, se résume à des marches imbéciles au nom de « Charlie », à des attroupements de moutons en larmes, aux dépôts de gerbes répétitives, à des manifestations graphiques et à l’implantation de milliers de bougies (face au temple bruxellois du capitalisme apatride)… Toutes sortes d’expressions de peuples en déclin, soumis et incapables de sursaut, car décérébrés et manipulés par un Pouvoir impotent et incompétent.

    Une nation qui se respecte, venge ses morts et ne pleurniche pas !

    On ne fait pas la guerre en dentelle, ni avec des Kleenex

    Cela fait déjà de nombreuses années que des criminologues et des experts du terrorisme rédigent des notes de synthèse à l’usage des ministres et des administrations en charge de la sécurité publique. Des milliers de rapports ont été transmis depuis les attentats du RER en 1995. Différents diagnostics ont été établis. Des décèlements précoces et des « modus operandi » ont été proposés.

    Malgré tous ces avertissements, les Pouvoirs (de droite ou de gôche) n’en ont pas tenu compte, ont opéré des bouleversements dans les services concernés, ont multiplié les strates administratives et opérationnelles au point d’en arriver –en France comme en Belgique- à un véritable mille-feuille pour ce qui concerne la sécurité intérieure, impliquant des dizaines de hauts responsables pour chaque réunion majeure.

    Et ces politiciens abrutis voudraient maintenant créer un organe regroupant l’ensemble des 28 pays d’Europe, ce qui pour un Etat-Major ayant « déclaré  la guerre à DAESH », reviendrait à convoquer des centaines de participants pour chacune de leurs palabres ! Les djihadistes doivent en pleurer de rire.

    Ces pourriticards n’ont pas pu, pas su ou pas voulu anticiper, prévenir et déjouer ces massacres, dont le sang tache leur conscience. Leur suffisance n’égale que leur impéritie.

    Les terroristes ont de beaux jours devant eux, d’autant plus que la majorité des chefs d’Etats et de gouvernements européens évoluent encore dans leur bulle droits-de-l’hommiste, persuadés que les chimères multiculturelles de la société du « Vivrensemble » et du « Padamalgam » sont l’alpha et l’oméga de notre société ! Totalement déconnectés de la réalité, ces éminences qui nous dirigent nous conduisent vers le chaos et un choc sanglant de civilisations.

    Il est grand temps de porter le fer et le feu dans les tanières de l’Islam des wahhabites et des takfiristes, de rétablir l’ordre public dans les Zones de Sécurité Prioritaires et de stopper l’immigration/invasion.

    Il n’est pas trop tard pour modifier une législation inadaptée à l’état de guerre et de réinstaurer une Cour de Sûreté de l’Etat.

    Il est urgent de réactiver des services de contre-terrorisme et de rétablir la peine de mort.

    Sinon, on n’en terminera pas avec le cancer islamiste qui propage ses métastases de plus en plus mortelles au fil du temps qui passe.

    La mort pour les assassins. La vie pour les innocents !

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