Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 838

  • Bon sang, mais c’est bien sûr ! Le véritable danger, c’est l’islamophobie !

    L'agression militaire musulmane eut lieu trois siècles avant la première croisade, point de départ considéré habituellement, implicitement, par un stupéfiant tour de passe-passe historico-chronologie, du conflit entre le christianisme et l'islam.

    « Le véritable danger n’est pas le djihadisme, mais l’islamophobie. » À l’heure des comptes, il se trouvera bien une officine « anti-phobique » pour asséner quelque obscénité que ne renierait pas le premier petit malfrat venu, confronté aux images de vidéo-surveillance de son méfait au commissariat du coin. « Vous reconnaissez-vous sur les images ? », lui demande le préposé à l’ordre public chargé de prendre la déposition. « Non », lui répond le petit malfrat avec un aplomb que ne renierait pas l’officine en question, ici, le Collectif contre l’islamophobie en France.

    L’auteur musulman de la première décapitation référencée en France vient en effet d’adopter ce système de défense au bénéfice de sa religion. S’étant de notoriété publique « radicalisé » au contact de milieux « salafistes », précédemment dans le collimateur, à cet effet, des instances de renseignement français, affichant la tête de sa victime entre deux drapeaux de type « État islamique », notre psychotique perturbé vient ainsi de nier toute motivation religieuse à son acte.

    Lire la suite

  • SOS Racisme – La récupération en action ou comment parler d’extrême droite à propos du Français décapité en Isère

    Dans un communiqué de presse intitulé « l’abjection en action » daté du 26 juin, l’association SOS racisme revient sur le sort du chef d’entreprise décapité par son employé Yassin Sahli en parlant de « délire de la pureté » et de « sang versé. » 

    Pour le sang versé, il n’est pas de doute que celui de la victime l’a bien été, mais on ne voit pas bien de quel délire de la pureté il saurait être question de la part de l’auteur présumé des faits, celui-ci ayant pour objectif de faire sauter un site classé SEVESO et étant peu loquace depuis sa mise en examen. 

    On commence à entrevoir le rapport mis en avant par les potes en lisant la suite gloubi-boulguesque du communiqué qui n’hésite pas à amalgamer la droite patriotique et le djihadisme: « Au milieu de l’extrême droite nationaliste et de l’extrême droite djihadiste, il existe un espace – précieux – à défendre et à étendre : celui du vivre ensemble, de la liberté, de l’égalité et de la fraternité. » 

    Notre malheureux compatriote venant de participer au vivre ensemble en testant la liberté de se faire égorger dans la fraternité, à quelle extrême droite nationaliste l’association fait-elle référence et quelle confusion essaye t-elle d’induire en utilisant à des fins partisanes le funeste sort de la victime ?

    Quant à qualifier des djihadistes d’extrême droite, il y a peu de chance que ces fanatisés se reconnaissent sur cet échiquier politique, mais que n’écrirait-t-on pas pour servir sa bouillie ?

    http://www.medias-presse.info/sos-racisme-la-recuperation-en-action-ou-comment-parler-dextreme-droite-a-propos-du-francais-decapite-en-isere/34191

  • "Les prochains auteurs d’atrocités sont des voisins, des collègues de bureau"

    Ex-juge, Alain Marsaud est député Les Républicains. Il a dirigé le Service central de lutte antiterroriste à Paris. Il déclare à La Tribune de Genève :

    "[...] Nous sommes face à une guerre totale que nous livre le terrorisme et elle va durer longtemps. Nous assistons à une surenchère dans l’horreur. C’est ainsi la première décapitation en France et en Europe

    L’Etat islamique est-il en cause?

    Je ne pense pas que l’Etat islamique a commandité cet attentat, pas plus que celui de la mosquée de Koweït. L’Etat islamique revendique certains attentats par opportunisme.Par contre, du côté des auteurs, nous assistons à des phénomènes d’imitation. Après la décapitation, il y a des fortes probabilités que le prochain stade de l’horreur sera l’attentat à la voiture piégée. Une technique de terreur très utilisée dans les pays en proie à la violence terroriste. Nous devons rester extrêmement prudents.

    Votre discours est très inquiétant?

    Oui, nous sommes entrés dans une période d’une grande violence. Nous avions connu jusqu’à maintenant un terrorisme politique d’état. Il nous suffisait, je me permets cette simplification, d’entrer en contact avec le sponsor du terrorisme et de négocier avec lui , ou faire pression, pour abaisser la menace. Aujourd’hui, nous ne savons même pas à qui nous adresser. Les djihadistes ne répondent à aucune logique si ce n’est à celle de la terreur motivée par l’imitation lors de passages à l’acte imprévisibles.

    [...] Si un individu répond à un certain nombre de marqueurs par rapport aux profils estimés dangereux, on décide de le surveiller, de le suivre ou de l’arrêter. Dans l’affaire de l’Isère, le suspect avait fait l’objet d’une fiche S qui avait été ensuite désactivé, car il n’y avait pas d’élément qui permettait de poursuivre sa surveillance.Nous devons en être conscients, les prochains auteurs d’atrocités sont des voisins, des collègues de bureau ou de Pole emploi motivés par l’islam radical. On ne résout pas ce problème avec une loi.

    Vous adhérez à la thèse de la guerre de civilisation?

    Nous sommes bien au-delà de ce qu’avait imaginé Huntington. Nous n’avons pas de problème avec les musulmans, nous avons un problème avec cette partie de l’islam qui fait la guerre au reste du monde. Mais je suis atterré quand je constate que, vendredi dernier, dans toute la communication officielle, personne n’a prononcé le mot islam. Mais ce ne sont pas les Témoins de Jéhovah, les hindouistes, les juifs ou les bouddhistes qui nous menacent! Ne pas nommer les choses, c’est déjà une partie du problème."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Il va y avoir des déménagements en Creuse

    Entre avril 2014 et mai 2015, 4 091 personnes ont été signalées comme étant en voie de radicalisation djihadiste en France. Telles sont les données recueillies par le Centre national d'assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR). Et voici la carte de ces signalements :

    CIo8GCLUwAEVdGZ

    Michel Janva

  • Du bon usage du terrorisme, ou la « doctrine Fabius »

    Elevée à la dimension d’une crise planétaire depuis l’ascension fulgurante du prétendu « Etat islamique », la crise syrienne a fait l’effet d’un révélateur chimique. Des protagonistes de cette conflagration majeure, elle dissipe peu à peu les faux-semblants en projetant une lumière inaccoutumée sur leurs stratégies les plus retorses. Dernière en date des supercheries dont la politique occidentale est coutumière : la transformation supposée de la branche syrienne d’Al-Qaida en respectable organisation combattante.

    Le Front Al-Nosra, lit-on dans la presse française et internationale, se « normaliserait », il oscillerait désormais « entre terrorisme et pragmatisme ». Son affiliation revendiquée à Al-Qaida, son idéologie haineuse et sectaire, sa pratique répétée des attentats aveugles frappant civils et militaires ? Ce seraient de lointains souvenirs. Cette mutation génétique vaudrait à l’organisation jihadiste concurrente de « l’Etat islamique », en somme, un véritable brevet de respectabilité.

    Ainsi la diplomatie occidentale accomplit-elle des miracles : elle fabrique des terroristes modérés, des extrémistes démocrates, des coupeurs de tête humanistes. Nous fera-t-elle découvrir, demain, des mangeurs de foie philanthropes ? Comme par hasard, cette opération concertée de blanchiment du Front Al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaida, se déroule au moment même où cette organisation conforte son hégémonie politique et militaire dans le nord de la Syrie. La prédestinant à jouer un rôle majeur au lendemain de l’effondrement attendu de l’Etat syrien, ce succès lui vaut les faveurs particulières des puissances occidentales et régionales qui ont juré la perte du régime baassiste. Peu importent alors le coût humain et le prix politique de ce consentement anticipé à l’instauration en Syrie d’un pouvoir ultra-violent, sectaire et mafieux : la chute de Bachar Al-Assad est un jeu, nous dit-on, qui en vaut la chandelle.

    En dépit de déclarations hypocrites qui n’abusent personne, le terrorisme jihadiste remaquillé pour les besoins de la cause rend ainsi des services inespérés à la vaste coalition anti-Assad. Bien sûr, cette connivence des Etats occidentaux et des monarchies pétrolières avec les rejetons frelatés d’Al-Qaida a d’abord une signification politique inédite. Elle signe en effet la réinscription simultanée des deux avatars contemporains du jihadisme transnational dans l’agenda stratégique occidental. En clair, la destruction du régime baassiste, objectif numéro un de l’axe Riyad-Paris-Washington, est non seulement une fin qui justifie tous les moyens, mais la perspective d’un Etat jihadiste incluant Damas fait partie de ce plan stratégique. Il est vrai que cette alliance reconduite avec le terrorisme présente aussi un avantage inattendu qui doit son importance à la conjoncture militaire. Elle rend possible, en effet, la prise en tenailles de l’armée loyaliste syrienne par les combattants de « l’Etat islamique » à l’est et ceux du Front Al-Nosra au nord. [....]

    La suite dans Oumma

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Du-bon-usage-du-terrorisme-ou-la

  • [Communiqué] INCAPABLES !

    Avec le nouvel attentat commis sur notre sol par des musulmans fanatiques, connus de nos services de renseignement, l’incurie de nos politiques dans la gestion de notre pays éclate une fois de plus au grand jour. Il ne faut pas compter sur le pouvoir en place pour analyser et tirer des enseignements de cet attentat : François Hollande, dans une de ces formules creuses dont ses conseillers ont le secret, propose de "porter des valeurs" (? !), valeurs qu’il ne précise pas mais qui doivent être celles qui nous ont menés jusqu’à l’horreur d’aujourd’hui.

    Nous ne nous lasserons pas de répéter que la cause des attentats est à rechercher dans la mise en place d’une politique étrangère déplorable (principalement au Proche et au Moyen Orient), dans une immigration incontrôlée et incontrôlable, dans une justice complaisante ainsi que dans la destruction de tous les repères traditionnels de notre société. La nation, l’éducation, la famille, l’histoire, la chrétienté, le bien commun, voilà les valeurs qu’il aurait fallu porter ! L’Action française assure aux victimes et à leurs familles sa profonde sollicitude et appelle les Français à ne pas céder à la peur mais à exiger des partis et gouvernants, passés, présents et à venir, qu’ils reconnaissent leurs erreurs et mettent enfin tout en œuvre pour protéger le peuple qu’ils sont censés servir et non pas asservir ! Nous appelons les Français à manifester leur douleur et leur colère légitimes face à l’incompétence, la lâcheté et l’inaction !

    Action française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-INCAPABLES

  • Les soldats étrangers désormais les bienvenus en Ukraine

    Le président ukrainien, Piotr Porochenko, a signé une loi, autorisant l'accès de troupes étrangères au territoire ukrainien pour assurer des "opérations de maintien de la paix".

    Piotr Porochenko a signé une loi "sur l’autorisation d’accès et les conditions de séjour des forces armées de pays tiers sur le territoire ukrainien". Le document régit les questions liées aux opérations internationales sur le territoire ukrainien et élargit les raisons permettant de laisser entrer des forces armées étrangères, annonce le service de presse du gouvernement ukrainien.

    Rappelons, que cette loi a été adoptée par la Rada suprême (parlement ukrainien) le 4 juin. La loi dispose que l'objectif du séjour des forces armées doit être "de soutenir l'Ukraine en menant une opération de maintien de la paix et de sécurité à sa demande, suite à une décision de l'ONU ou de l'UE".

    De plus, cette loi interdit la participation des pays "qui ont déclenché un conflit armé contre l'Ukraine".

    Cette loi va à l’encontre des accords de Minsk II qui devraient permettre un cessez-le-feu.

    http://fr.sputniknews.com/international/20150626/1016735459.html#ixzz3eFtjiRP2

  • Maison squattée à Rennes. Dix bénévoles évacuent les détritus chez Maryvonne

    Ils sont venus de toute la Bretagne pour donner un grand coup de balai dans la maison de Maryvonne à Rennes. Les squatteurs ont laissé un véritable taudis insalubre. 
    Lorsque l'avocate des squatteurs déclarait en juin que ses clients avaient « retapé une maison à l'abandon », elle n'avait sûrement pas mis les pieds au 94 rue de Châtillon à Rennes. En effet, avant de devoir quitter les lieux ceux-ci ont entièrement vandalisé la maison de Maryvonne Thamin. 
    Ce samedi, la dizaine de bénévoles n'ont pas été trop nombreux pour évacuer les détritus de toutes sortes qui encombraient l'habitation. 
    Pas habitable avant des mois 
    Des planches cloutées, des papiers gras, des vêtements, des sacs poubelles, des immondices à la pelle. On trouve de tout dans le pavillon squatté pendant dix-huit mois. Les murs ont été copieusement tagués, souvent avec des insultes à connotation politique. 
    Il faudra plus d'une journée aux bénévoles, venus surtout du Morbihan, pour rassembler et sortir les encombrants de la maison. "Nous n'appartenons à aucune formation politique, explique Sophie, de Lorient. Nous voulions apporter une réponse citoyenne concrète en venant ici aujourd'hui." 
    Les travaux ne font que commencer. La maison de Rennes ne sera pas habitable avant des mois. Les dégradations de toute nature sont trop importantes. 

  • Syrie : contre-attaque d’Etat Islamique à Kobané

    Après plusieurs semaines de petits revers pour Daesh, l’État Islamique lance des offensives dans plusieurs villes stratégiques de Syrie, dont Kobané. Selon Euronews, les récents efforts de la coalition pourraient être ruinés.

    http://www.contre-info.com/

  • Sentinelles du 24 juin 2015

    La police politique :

    Michel Janva