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insécurité - Page 842

  • De l’Afrique du Sud à la Caroline du Sud, les Blancs, cernés, se battent pour leur survie

    Ces pages consacrées aux tentatives désespérées des plus lucides parmi les Blancs d'Afrique du Sud d'échapper à l'insondable chaos dans lequel leur pays a sombré, n'étaient pas achevées quand ont résonné à travers le monde les coups de feu de Charleston. Or le geste de Dylann Roof est loin d'être étranger à l'Afrique Australe. D'abord parce que le blouson qu'il arbore sur de nombreuses photos porte en réduction un drapeau afrikaner et celui de la Rhodésie. Egalement parce qu'il est rapidement apparu que depuis plusieurs mois le jeune homme avait créé un site Internet sur lequel il diffusait des photos de lui-même et les textes de ce qui est devenu son "Manifeste" Ce site portait une dénomination sans ambiguïté : < lastrhodesian.com >. Pour beaucoup l'expérience rhodésienne, qui ne dura que 14 ans, de 1965 à 1979,aura été la dernière étincelle d'une civilisation européenne en pleine déroute. 80 000 Blancs, cernés de toutes parts, confrontés à une guérilla menée par des dizaines de milliers d'adversaires soutenus par le monde entier, l'Afrique du Sud exceptée, montrèrent ce que le courage, la détermination et l'esprit d'entreprise étaient capables de faire face à la lâcheté, la pusillanimité et l'abdication. Il ne fait pas de doute qu'en plaçant son action criminelle sous les auspices d'une virgule de l'Histoire dont plus personne ne se souvient, il se lançait à lui-même un défi inaccessible. Sans doute importait-il que dans ce dossier sur l'incertitude plus que jamais dramatique à laquelle sont confrontés les Afrikaners de souligner que dans le parcours sanglant qui a mené Dylann Roof au-delà de son destin il y a ces dizaines de milliers de Blancs Sud-Africains massacrés. Pour lesquels des millions de Blancs dans le monde saignent. Et portent en eux une colère inextinguible envers les peuples qui participent à ces pogromes. Notre ami sud-africain Mike Smith (Mike Smith's political Commentary) pose quelques questions intéressantes sur Dylann Roof et sur la fusillade de l'Eglise Evangélique de Charleston. Il trouve en tout cas étrange la diffusion dans le monde entier de son blouson adomé de drapeaux rhodésiens et afrikaners. Lesquels, pour le commun des mortels, dont le cerveau est bourré de bobards médiatiques, sont des représentations lucifériennes du racisme et de la barbarie blanche, à un moment précisément où l'Afrique du Sud plongée dans un chaos inextricable, est le théâtre de réactions identitaires blanches inattendues. Or celles-ci avaient-elles besoin d'un supplément de haine médiatique reprise à tira vers la planète à vitesse électronique ?

    Cela dit, en une sorte de contrepoint aux média haineux qui tentaient d'ajouter F abjection à l'horreur en montrant toute l'obscénité des racistes blancs n'hésitant pas à s'attaquer à une assemblée de prêcheurs réunis dans la maison de Dieu, Mike rappela un autre massacre perpétré le 25 juillet 1993, en Afrique du Sud. Ce jour-là quatre héros de la libération africaine appartenant à l'Azanian People's Liberation Army (APLA) mitraillaient une assistance de fidèles Blancs, dans une Eglise blanche d'un quartier Blanc du Cap, Kenilworth. Arrosant la foule au fusil d'assaut R4 et avec des grenades garnies de clous. La tuerie eût été décuplée si l'un des participants, Charl Van Wyk, armé d'un pistolet, n'avait fait feu sur les assaillants en blessant un et mettant les autres en fuite. Leur projet en effet était de faire sauter l'église dans laquelle se pressait un millier de fidèles. Il y eut 11 morts et 58 blesses. Les terroristes n'en étaient d'ailleurs pas à leur coup d'essai ayant déjà à leur tableau de chasse au moins trois autres attaques de civils Blancs et 13 morts. En tout l'APLA est créditée de 22 morts et de 120 blessés graves. Une majorité des terroristes de cette organisation furent intégrés dans l'armée sud-africaine. Les criminels furent tous amnistiés par la Commission Vérité et Réconciliation du curé Toutou, la même mafia qui maintient toujours derrière les barreaux depuis 22 ans Clive Derby-Lewis et Janusz Walus. Lesquels n'avaient fait qu'abattre le secrétaire du Parti Communiste, Chris Hani, action ponctuelle qui visait un ancien chef de l'organisation terroriste Umkhonto We Sizwe, créée par Mandela. On peut douter que Dylann Roof soit libéré dans les 5 ans, lui ! On rappellera à cette occasion les commentaires dont les membres de la Commission osèrent accompagner leur décision d'accorder l'amnistie aux terroristes : « l'acte lui-même consistant sur les ordres de l'APLA/PAC à attaquer spécifiquement des cibles civiles fut une grave violation des droits humains et de la loi humanitaire interne ». Etaler ainsi son racisme en ne donnant pas plus d'importance à des victimes sous prétexte qu'elles sont Blanches est d'un cynisme d'autant plus intolérable que cette Commission Vérité et Réconciliation est considérée comme un modèle de Justice Internationale par la tyrannie mondiale orwelienne qui domine notre temps.

     

    Jim REEVES. Rivarol du 25juin 2015

  • Le soutien aux chrétiens d'Orient à la Une

    Du Figaro :

    F

    Michel Janva

  • En Catalogne, émeutes africaines et Blancs agressés

    Des affrontements entre clandestins et policiers ont eu lieu mardi dans la station balnéaire catalane de Salou suite à la mort d’un ressortissant sénégalais, qui a sauté d’un immeuble lors d’une opération de police contre les vendeurs de produits contrefaits.

    A 2’10 cela tourne même aux agressions contre les Blancs.

     

  • Un jeune blanc abattu par un policier aux Etats-Unis et personne n’en parle

    D’après une autopsie indépendante commandée par la famille, Zachary Hammond, âgé de 19 ans a été tué par balles dans le dos.

    « La mort de l’adolescent s’est produite une semaine après que Samuel Dubose, un autre jeune homme, a été abattu dans les mêmes circonstances, en essayant d’écraser l’agent de police Raymond Tensing qui a répondu par un tir en légitime défense. Outre le fait que cette histoire s’est produite dans l’Ohio, ce qui distingue les deux cas est que Samuel Dubose était noir, tandis que Zachary Hammond est blanc. Après la publication des images de l’interpellation mortelle, l’officier de police Tensing a été accusé d’assassinat.

    Si l’assassinat de Dubose a attiré l’attention au niveau national, celui de Hammond n’a presque pas été mentionné. Selon the Los Angeles Times, le nom de Dubose a été mentionné dans plus de 43 000 tweets pendant la période entre le 26 juillet et le 4 août alors que celui d’Hammond n’est apparu que dans 289 messages pendant la même période.

    Bland, l’avocat de la famille trouve qu’une telle différence est «très inquiétante». «Un adolescent blanc désarmé qui a perdu la vie par la faute d’un policier trop zélé est égal à un adolescent noir désarmé qui a perdu la vie par la faute d’un policier  trop zélé», a-t-il dit à the Los Angeles Times.

    Alors que Raymond Tensing a été accusé d’assassinat, la police de Seneca refuse de publier les résultats de l’autopsie ou de donner le nom de l’agent, ce qui est étonnant. »

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Vous avez aimé Paris-Gaza, vous aimerez Gaza plage

    L'an dernier, des manifestations (sympathiques au regard des LMPT...) avaient lieu à Paris :

    G

    Europalestine et une dizaine d'autres organisations ont annoncé le lancement d'une opération baptisée "Gaza Plage", qui se tiendra jeudi de 12 heures à 21 heures entre le pont Notre-Dame et le pont au Change.

    Près de 500 policiers et gendarmes vont être mobilisés jeudi à Paris pour assurer la sécurité de l'opération "Tel-Aviv sur Seine".

    Michel Janva

  • Signe des temps : des vendeurs à la sauvette frappent des policiers

    Avant, les vendeurs à la sauvette détalaient devant un uniforme (d’où leur nom) ; maintenant, ces délinquants (probablement clandestins) frappent les policiers.

    La scène a été filmée au Jardin des Tuileries (quartier chic de Paris). On peut y voir plusieurs policiers de la DOPC tenter d’interpeller des vendeurs à la sauvette.
    Mais ces derniers ont décidé de ne pas se laisser faire.

    http://www.contre-info.com/

  • Tel-Aviv, son sable, ses bobos, sa Seine, ses policiers...

    Une affaire qui en dit long sur l'état du pays :

    • une menace réelle menant des "plus radicaux"... mais sans les nommer...
    • des politiques qui ne veulent pas assumer une annulation
    • ...mais qui, en plein mois d'août, demandent le renfort de 300 policiers et gendarmes supplémentaires

    La menace est désormais prise «très au sérieux» : la journée «Tel Aviv sur Seine», prévue jeudi à Paris, inquiète la préfecture de police et les équipes d'Anne Hidalgo, qui travaillent à la mise en place d'un dispositif renforcé pour sécuriser l'événement.

    4 unités des forces mobiles (CRS et gendarmes mobiles) seront dépêchées en renfort à Paris. Ce qui représente plus de 300 policiers et gendarmes de plus ce jour-là, soit un quasi doublement du dispositif classique élaboré par les unités dépendant des commissariats locaux. Le premier adjoint PS à la mairie de Paris, Bruno Julliard, dénonce... mais qui dénonce-t-il ?

    «Nous n'annulerons pas cette manifestation car ce serait donner raison aux plus radicaux».

    Côté policier, une petite inquiétude pointe :

    «Est-il bien judicieux de maintenir ce type de rassemblement quand on voit ce qui s'est passé à Sarcelles l'été dernier; c'est assez sensible».

    «Dans les milieux de la sécurité, tout le monde pense instantanément au climat d'antisémitisme qui avait mis cette ville du Val-d'Oise à feu et à sang en juillet 2014.»

    Quant au maire de Paris, elle se la coule douce loin de là avec l'argent des parisiens :

    H

    Michel Janva

  • Viols en hausse, comme l’immigration

    Un viol toutes les quatre minutes est commis en France !

    Le Figaro nous apprend que le nombre de viols dénoncés aux autorités a progressé de 18 % en cinq ans, en France, et de plus de 20 % pour les mineures. Et le quotidien d’annoncer que cela représenterait 33 viols par jour, soit une agression sexuelle toutes les quarante minutes. Certains pourraient dire qu’on est bien loin des 300 viols quotidiens, annoncés dans ces colonnes par Laurent Obertone. Sauf que l’enquête reconnaît également qu’à peine 10 % d’entre eux font l’objet d’une plainte. C’est donc une confirmation des chiffres donnés par l’auteur de La France Orange Mécanique, et signifie donc que c’est un viol toutes les quatre minutes qui est commis en France !

    Naturellement, les statistiques ethniques étant interdites dans notre pays, l’enquête ne précise pas l’origine des agresseurs, et pas davantage celle des agressées. Il suffit pourtant de se pencher sur quelques exemples, venus d’autres pays, pour se faire une petite idée. En Grande-Bretagne, à Rotherham, de 1997 à 2013, 1.400 adolescentes d’origine britannique ont été abusées sexuellement par des prédateurs majoritairement pakistanais, avec le silence complice des autorités et des travailleurs sociaux.

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  • Terrorisme : le vrai danger

    Une seule forme de racisme, en France, s'exprime en toute liberté et impunité : le racisme antiflic.

    Le dommage en est aggravé par une situation de menace terroriste qui requiert la cohésion de la société aux côtés de ceux qui défendent nos libertés sur le terrain.

    On apprenait, en effet, le 8 août le renvoi en correctionnelle de 8 militants d'extrême gauche, accusés dans une sombre affaire de sabotages de lignes TGV en 2008. Personnalité centrale du groupe, Julien Coupat est soupçonné par la police d'avoir corédigé en 2007 un petit essai intitulé "L'Insurrection qui vient". Il dément formellement cette participation. Son éditeur déclare imperturbable : "Julien n'a jamais fait partie du comité d'auteurs, qui m'a demandé un anonymat que je respecte. Le pointer ainsi du doigt est une pure construction policière participant à l'intoxication générale de l'opinion publique".

    Or, cette affaire douteuse, se trouve diversement interprétée, évidemment, selon qu'on se réfère au "Monde" ou au "Figaro". Mais elle va donner l'occasion à tous les professionnels du dénigrement des forces de l'ordre de se déchaîner contre la DCRI, ce service clef dans la lutte contre le terrorisme étant entaché aux yeux des socialistes de son acte de naissance sous le quinquennat précédent.

    Car tout le dossier dont on imagine qu'il peut alimenter une certaine chronique renvoie à la fois à ce type d'énigmes et de faux-semblant.

    D'un côté on observe des policiers de la DCRI. Nouvelle organisation, elle était apparue l'année même des attentats, pour fusionner les anciens Renseignements généraux et la DST. Or, pour des raisons que l'on ignore les affirmations de ces policiers paraissent assez fragiles face à une défense combative et pugnace. Elle est soutenue par des journalistes braqués contre toutes les formes de répression. Maladroitement, les policiers sont amenés à rester barricadés derrière le Secret Défense, ce qui autorise toutes les suppositions. Une pièce de la procédure semble pourtant rocambolesque : une nuée de policiers aurait ainsi suivi la Mercédès du couple de Julien Coupat, qui ne se serait rendu compte de rien, la nuit du sabotage, qui ne nie pas avoir été sur les lieux, niant seulement sa participation aux faits…

    Le système de défense adopté par les gauchistes et leurs avocats consiste à faire déclarer illégales les procédures de l'enquête, une balise ayant été placé "illégalement" sur le véhicule. La défense déposera plusieurs plaintes qui aboutiront à l’ouverture d’une instruction pour "atteinte au secret des correspondances" et "atteinte à l’intimité de la vie privée." On aurait en effet découvert dès avril 2008 au Magasin général de Tarnac un dispositif d’écoutes. Ce type de défense permet parfois sans doute de ne pas être condamné, mais cela ne rend pas les accusés moins suspects.

    De l'autre côté en effet les gauchistes du groupe, rattaché à la mouvance dite anarchiste-autonome, multiplient des déclarations qui ressemblent fort à des fanfaronnades, légitimant, à leur tour, les soupçons du parquet. Dans la nuit du 7 au 8 novembre, le couple de Julien Coupat et sa compagne Yildune Lévy justifie sa proximité de l’une des lignes, dans un village perdu de Seine-et-Marne, fort éloigné du village de Tarnac en Corrèze, par un très convaincant : "On a fait l’amour dans la voiture, comme plein de jeunes."  (1)⇓ Ouais. Ils sont quand même un peu plus âgés que Roméo et Juliette.

    Le parquet souhaitait que l'on parle d'entreprise terroriste. "La finalité terroriste du groupuscule ne saurait être nuancée par l’absence de victimes humaines". Car l’article 421-1 du code pénal dispose que "les atteintes aux biens" constituent des actes de terrorisme, dès lors qu’elles ont "pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur." Or, le livre "L'Insurrection qui vient" est très explicite quant à cet objectif.

    Cependant la juge d'instruction spécialisée en a décidé autrement et elle a écarté l'hypothèse.

    On se demande quand même dans tout cela qui tient le rôle des pieds nickelés. Car un point à souligner c'est aussi que "l'entreprise terroriste" qu'on a cherché à décrire n'a guère abîmé que quelques caténaires de la SNCF. Reconnaissons que l'Europe a connu pire.

    Reconnaissons aussi que le vrai terrorisme auquel la France doit faire face est d'une autre nature : mais le racisme antiflic que l'on va voir déployer, une fois de plus, pourrait fort bien faciliter la tâche des assassins islamistes, dont l'extrême gauche, une certaine presse et une certaine avocasserie se trouvent une fois de plus les alliées, au moins objectives.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1.  cf. Le Monde.fr en ligne le 7 mai 2015
  • Pédocriminalité : un témoignage accable Edward Heath, ancien Premier ministre britannique

    La police des polices britannique a annoncé lundi étudier les allégations d’un ancien policier prétendant qu’une enquête sur des abus sexuels sur enfants aurait été enterrée car elle aurait pu toucher l’ancien Premier ministre britannique Edward Heath (photo ci-contre).

    « La Commission indépendante sur les plaintes à l’encontre de la police (IPCC) va enquêter sur des allégations concernant la gestion par la police de Wiltshire d’une plainte sur des abus sexuels sur enfants déposée dans les années 1990 », indique la police des polices britannique dans un communiqué publié lundi. « Il est présumé que des poursuites pénales n’ont pas été menées à terme lorsqu’une personne a menacé de révéler que Sir Edward Heath pourrait avoir été impliqué dans des crimes concernant des enfants », poursuit l’IPCC.

    En plus d’étudier l’abandon de ces poursuites, « l’IPCC va examiner si la police de Wiltshire a ensuite pris des mesures pour enquêter sur ces allégations » (faites à l’encontre de M. Heath), indique encore le communiqué, alors que l’affaire faisait les gros titres de la presse britannique mardi.

    Appel à témoin

    Premier ministre conservateur du Royaume-Uni entre 1970 et 1974, Edward Heath a vécu plusieurs années à Salisbury, dans le Wiltshire, et est décédé en 2005.

    Suite à l’ouverture de l’enquête de l’IPCC, la police de Wiltshire a lancé lundi un appel à témoin, appelant « toute personne ayant des informations pertinentes pouvant nous aider dans nos enquêtes ou toute personne qui croit avoir été une victime » à se faire connaître.

    « Le procès ne s’est jamais tenu »

    Selon Sean Memory, haut responsable de la police, « il y a allégations selon laquelle un procès devait se tenir dans les années 1990 et il y a ensuite eu une information reçue par la justice mettant en cause Sir Ted Heath pour abus sexuels sur enfants ». « Le procès ne s’est jamais tenu », a poursuivi Memory.

    « Nous nous félicitons de l’enquête lancée par la police du Wiltshire, nous croyons sincèrement qu’elle blanchira le nom de Sir Edward et nous coopérerons pleinement avec la police », a de son côté réagi lundi la fondation de Sir Edward Health, à laquelle l’ancien Premier ministre avait laissé sa propriété à Salisbury.

    D’autres enquêtes sur des accusations anciennes de pédophilie sont en cours au Royaume-Uni sur la base de déclarations à la police mettant en cause quelque 260 personnalités publiques, dont 76 politiciens. L’ex-animateur vedette de la BBC Jimmy Savile a été notamment accusé d’avoir agressé sexuellement plusieurs dizaines de victimes.

    Le mois dernier, une vaste enquête publique indépendante impliquant des responsables politiques et des institutions publiques dans les années 1980-90 a ainsi été ouverte.

    Source: E&R

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/pedocriminalite-un-temoignage-accable-edward-heath-ancien-premier-ministre-britannique_140085.html#more-140085