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insécurité - Page 872

  • La soeur de Manuel Valls témoigne de l’enfer de la drogue

    Alors que son frère met en place des salles de shoot en France, Giovanna Valls témoigne contre l’enfer de la drogue :


    La sœur de Manuel Valls raconte l’enfer de la… par rtl-fr

    « Héroïne, hépatite C, prison, dans Accrochée à la vie, journal d’une renaissance, Giovanna Valls Galfetti, raconte ses années d’errance dans l’univers de la drogue. Un parcours chaotique qui contraste avec la réussite fulgurante de son frère, Manuel Valls.

    C’est à l’âge de 20 ans que Giovanna prend sa première dose d’héroïne. La décente en enfer est rapide. Soutenue par son entourage la jeune femme entame un sevrage à Barcelone. Mais 10 ans plus tard, elle rechute violemment. Les doses augmentent et son poids diminue jusqu’à atteindre 35 kilos. À l’âge de 40 ans, atteinte du VIH et de l’hépatite C, les médecins lui donnent deux semaines à vivre. Mais Giovanna résiste.

    Elle entame un exil au Brésil au sein d’une communauté. Petit à petit, l’ancienne toxicomane reprend des kilos et le virus de l’hépatite C diminue. Aujourd’hui, elle continue de vivre avec le VIH mais l’hépatite C a disparu. »

  • Sabatina James, musulmane convertie au catholicisme

    Aleteia raconte l'histoire de Sabatina James, une Pakistanaise de 31 ans convertie de l'islam au catholicisme. Une belle histoire, pleine d'espérance quant à la conversion des musulmans.

    Topic

    "La mise en garde de la communauté islamique, au sein de laquelle elle a grandi, est toujours présente en elle : chez les chrétiens il n'y a pas de personnes saintes, leurs églises sont vides et leurs maisons closes pleines. Mais les symboles catholiques l'attirent, l'image de Dieu qui choisit de souffrir sur la croix la bouleverse. Une première chose la frappe : la différence entre la crainte de Dieu professée par les chrétiens, basée sur l'amour, et la crainte de Dieu des musulmans, basée sur la peur. Son ami chrétien lui lit des passages de la Bible qui lui donnent paix et sérénité, comme jamais le Coran ne l'avait fait.

    Sabatina se souvient de ces jours-là : « Le Christ manifestait de la miséricorde envers les femmes adultères, alors que Mahomet permettait qu'elles soient lapidées. Plus je lisais le Coran, plus je sentais de la haine envers ceux qui étaient différents ; en revanche, en tant que chrétienne, je sens de l'amour envers ces personnes et je leur souhaite de recevoir le même amour que, moi, j'ai ressenti à travers Jésus ».[...]

    Rappelons à l'occasion de cette belle histoire le forum Jésus le Messie, dédié à la conversion des musulmans, qui se tiendra les 9 et 10 mai à ND de Grâce de Passy. Pour les inscriptions, c'est ici.

    Marie Bethanie

  • L’échec de la lutte antiterroriste

    Le dogmatisme de l’Occident nuit à l’efficacité de sa lutte contre les terroristes.

    Nous avons tous constaté l’augmentation du terrorisme islamiste ces dernières années, et l’échec des gouvernements occidentaux, aveuglés par leur propre arrogance, à l’éradiquer.

    Quel est le discours d’Al-Qaïda, de Daech, de Boko Haram ? Un islamisme extrême couplé à une haine de l’Occident. Ceci n’est en rien innovant, cette méthode a été souvent utilisée dans l’Histoire, de Hitler avec les juifs ou les bolchéviques aux papes avec les croisades. La désignation d’un ennemi « commun » permet d’unir la population, et sa diabolisation permet de justifier tous les excès.

    Force est de constater que cette méthode a marché, permettant au terroristes d’avoir suffisamment de fidèles pour oser espérer atteindre leur but inavoué : la création d’un califat sur les cendres des pays vaincus. Leurs batailles se livrent dans les États musulmans faibles ou fragilisés, proies plus faciles. Leurs cibles sont les militaires, les minorités, les « déviants », bref ce qui pourrait organiser une résistance à leur contrôle.

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  • Aurélie Châtelain méritait plus qu’une brève entre deux informations secondaires

    Son sacrifice a permis, grâce aux blessures infligées à son agresseur, de sauver des dizaines de catholiques assistant quelques heures plus tard à la messe dominicale dans une, voire deux églises de Villejuif !

    Les obsèques d’une Française moyenne ayant empêché une tuerie de dizaines de personnes sont moins cotées que celles de journalistes ayant péché leurs infos (voire pêché pour des infos) des dizaines d’années pour un hebdo ou sur le petit écran…

    Le 29 avril, La Voix du Nord titrait : « Obsèques d’Aurélie Châtelain : Caudry sera de nouveau unie ce mercredi. » Oui : Caudry, pas la France ! Même si ce n’est qu’une hypothèse que rien (aucune caméra de surveillance sur les lieux du drame), ni personne (et surtout pas son – présumé ! – meurtrier, l’Algérien Sid Ahmed Ghlam, certainement honteux qu’une jeune femme l’ait empêché de mener à bien sa « mission » !) ne pourra confirmer : la malheureuse Aurélie Châtelain s’est vraisemblablement défendue face à son agresseur qui lui a peut-être même crié « Allahou akbar » ? Sinon, comment admettre sérieusement que celui-ci se soit « accidentellement » blessé grièvement lui-même de deux balles ?

    Aurélie ne s’est donc pas laissée faire ? C’est notre conviction. Malheureusement, elle en est morte. Mais son sacrifice a permis, grâce aux blessures infligées à son agresseur, de sauver des dizaines de catholiques assistant quelques heures plus tard à la messe dominicale dans une, voire deux églises de Villejuif !

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  • La France tente de faire la morale à l’Indonésie

    Après la tribune humaniste et pleine de bon sens de Philippe Bilger à propos de la condamnation à mort de Serge Atlaoui, voici celle de Yann Vallerie plus tranchée, à mettre en parallèle avec la proposition du premier ministre hongrois de rétablir la peine capitale :

    "Depuis des semaines, les médias occidentaux, main dans la main avec nos responsables politiques, se répandent en hurlements et en pleurs par rapport à l’exécution à venir de Serge Atlaoui, ce Français embastillé et condamné à mort en Indonésie en tant qu’associé à un trafic de drogue.Oui, la justice indonésienne a condamné à mort ce ressortissant français pour son implication dans un trafic de drogue à grande échelle, aux côtés de Nigérians, Australiens et d’un Indonésien (déjà exécutés).

    La justice indonésienne, représentante d’un peuple souverain, a tranché :« Je voudrais dire qu’une exécution n’est pas une tâche plaisante, mais nous devons l’accomplir pour sauver la nation du danger des drogues », déclarait M. Prasetyo, procureur général d’Indonésie.

    Si, en Occident, la consommation de drogue tend à se banaliser (on parle même d’ouvrir des salles de shoot dans les grandes villes françaises, Paris en tête), il ne faut pas oublier que c’est dans ces pays, d’Asie ou d’Amérique du Sud, que sont produites la majorité des drogues dures qui déferlent ensuite partout dans le monde, semant la mort sur leur passage.On peut, dès lors, comprendre que les trafiquants de drogue et leurs complices soient considérés comme des tueurs en série ; car c’est ce qu’ils sont, lorsqu’ils provoquent overdose, dépendance, déchéance humaine, mort sociale et physique.

    L’Indonésie leur applique donc une peine exemplaire ; une peine qui fait hurler les bonnes consciences ici, chez nous, dans un concert de protestations teinté de résidu de colonialisme : la France tente de faire la morale à l’Indonésie. Sur les réseaux sociaux, des millions d’Occidentaux éduqués aux droits de l’homme, à l’antiracisme, à la démocratie occidentale et aux Bisounours protestent, croyant sans doute qu’ils ont raison face à un des pays les plus peuplés du monde, ou qu’ils possèdent des droits et des devoirs sur des nations pourtant souveraines, pourtant plus importantes démographiquement que nos petits États d’Europe.

    Si Serge Atlaoui n’est pas exécuté désormais, et cela malgré la décision de la justice indonésienne, c’est probablement que la France, notamment, aura usé de subterfuges financiers pour arriver à ses fins. C’est que François Hollande, comme lorsqu’un chef d’État parvient à libérer des otages prisonniers dans le monde, aura pensé avant tout à sa cote de popularité qui pourrait grimper. Nos sociétés occidentales ont le don de transformer de petites frappes en héros, de gros délinquants en modèles à sauver. Serge Atlaoui est, aux yeux de la justice indonésienne, ce genre de grand délinquant. Et à ses yeux, il doit être exécuté. Quoi qu’en pensent nos belles consciences politiques, ces colons qui, ici en France, protestent contre la peine de mort en Indonésie, tout en armant ceux qui massacrent aujourd’hui les chrétiens d’Orient."

    Philippe Carhon

     

  • Chrétiens d'Orient : il faut absolument une protection militaire

    Me Trémolet de Villers déclare dans un entretien au quotidien Présent :

    P"Les chrétiens d’Occident commencent à se mobiliser très sérieusement. Avec des prières sur le plan spirituel. Et dans le domaine caritatif, en multipliant les aides financières et sanitaires. Toutefois, comme le rappelait l’un des patriarches avec lequel j’ai eu récemment l’occasion de m’entretenir : « Tout cela est bien, mais maintenant il nous faut une protection miliaire. » Je ne parle pas de reconquête. Mais simplement si, aujourd’hui, nous voulons protéger ces populations et faire en sorte que leurs filles ne finissent pas esclaves sexuelles des terroristes islamistes, après que leurs pères, leurs mères et leurs frères se sont fait égorger ou crucifier, eh bien il faut absolument une protection militaire. Nous en revenons à une nouvelle forme de chevalerie. De chevalerie moderne. Ce devrait être le souci principal des gouvernements occidentaux.Après le spirituel, il nous faut maintenant entrer dans le domaine temporel : politique et militaire. Je sens un frémissement d’indignation et d’impatience chez beaucoup de jeunes gens que je rencontre et qui me disent : « Ce n’est plus possible, on va s’engager. » Mais s’engager où ? Dans quelle armée ? Il faut qu’il y ait une réflexion et des décisions prises dans ce sens.

    Il faut que les chrétiens d’Orient en train d’être massacrés obtiennent l’appui militaire qu’ils attendent de nous. On ne peut plus se contenter de leur dire : « On prie pour vous et on vous envoie de l’argent. »

    Michel Janva

  • Terrorisme : le FN juge que le pouvoir «n'est pas à la hauteur de la menace»

    Pour les frontistes, les «communications» du gouvernement tentent de dissimuler un «manque de volonté politique réelle».

    Un cautère sur une jambe de bois. C'est la conclusion cinglante tirée par les frontistes face aux annonces du gouvernement concernant les menaces terroristes pesant sur la France. Lorsque Manuel Valls affirme, jeudi sur France Inter, que «cinq attentats» ont été déjoués sur le territoire depuis janvier, le FN considère qu'il cherche simplement les moyens de répondre à l'inquiétude des Français sans apporter réellement de solutions concrètes. Le projet de loi sur le renseignement prévoyant des mesures de surveillance accrues en serait une parfaite illustration, selon le Front national. «C'est un prétexte pour réduire les libertés fondamentales mais sans prendre aucune mesure significative pour améliorer la sécurité», dénonce Nicolas Bay, le secrétaire général du FN. Il ne voit aucune décision, par exemple, en faveur d'une «maîtrise des frontières» ou de «l'expulsion des délinquants étrangers.»

    Qu'il s'agisse de Sid Ahmed Ghlam, l'Algérien de 24 ans soupçonné de préparer des attentats et arrêté dimanche, ou des frères Kouachi, auteurs des attentats de janvier contre Charlie Hebdo, Nicolas Bay considère qu'il n'y a aucun problème de «renseignements». «Ils étaient parfaitement identifiés comme étant liés à des filières djihadistes, insiste-t-il, et cela révèle, une fois encore, qu'aucune mesure n'a pu être prise en amont pour empêcher ces risques.»

    «Donner le sentiment d'agir»

    Si le premier ministre admet la réalité d'une menace n'ayant «jamais été aussi importante», les frontistes eux, ne sont «pas étonnés». Ils pensent que les avertissements de l'Etat islamique se confirment. «C'est une véritable stratégie s'appuyant sur des connexions prêtes à agir mais le plus incroyable est que celles-ci, parfaitement connues et parfois même déjà condamnées par la justice française, ne suscitent aucun acte concret» ajoute Nicolas Bay, pour qui la «volonté politique» est plus en défaut que les outils du renseignement.

    Au FN, on croit enfin que le pouvoir mutiplie les déclarations sur le sujet pour «donner le sentiment d'agir» mais sans être capable de dissimuler une «réelle faiblesse» face aux enjeux. «Il n'est pas à la hauteur de la menace», accuse-t-on en rappelant, au passage, un courrier de Jack Lang, directeur de l'Institut du Monde arabe, adressé à Manuel Valls en novembre, dans lequel il estimait le nombre de détenus de culture musulmane dans les établissements pénitentiaires à «près des deux tiers de la population carcérale». Selon les frontistes, il semble «évident» qu'une partie de cette population est aujourd'hui prise en mains par des éléments radicaux au cœur des prisons françaises. «On lance des opérations de désensibilisation, on crée des numéros verts, etc. mais face à nous, s'inquiète enfin Nicolas Bay, il existe des combattants extrêmement déterminés, financés et armés. Et il est complètement illusoire de croire que des mesurettes pourraient avoir le moindre impact.»

    Source: 

    http://www.lefigaro.fr/politique/2015/04/23/01002-20150423ARTFIG00202-terrorisme-le-fn-juge-que-le-pouvoir-n-est-pas-a-la-hauteur-de-la-menace.php

    Via

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukAlFkFVZVLFERmWH.shtml

  • Djihadisme: une autre interpellation inquiétante à Marseille – Réseaux islamistes

    Alors que des éléments de plus en plus évidents montrent que le terroriste islamique, Sid Ahmed Gham, assassin d’Aurélie Châtelain,  était loin d’être un loup solitaire, la BAC de Marseille semble avoir mis la main sur un autre terroriste islamique à Marseille.

    Selon La Provence qui révèle l’affaire,

    « Samy A., 30 ans, a été interpellé ce mardi vers 4 heures du matin sur l’avenue Mendès-France dans le 8e arrondissement de Marseille. Les fonctionnaires de la Bac ont procédé à son contrôle alors qu’il retirait de l’argent, une capuche sur la tête et des lunettes de soleil sur le nez. Rapidement, les policiers ont constaté que cet homme était recherché dans le cadre d’une enquête pour vols et usages de cartes bleues. En perquisition, l’affaire a pris une tout autre tournure quand les enquêteurs ont découvert une trentaine de cartes bleues, une vingtaine de téléphones portables mais aussi et surtout des ordinateurs ainsi que des ouvrages et documents relatifs au djihad et même au financement de potentiels départs en Syrie. » (Source)

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