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insécurité - Page 875

  • “Jean-Luc Mélenchon, est-ce que les intégristes catholiques tuent les humoristes ?”

    Samedi dernier dans l’émission Les grandes questions sur France5, Jean-Luc Mélenchon emploie de nombreuses circonlocutions pour ne pas prononcer le mot d’islamistes ou encore moins de musulmans, à propos des tueries des frères Chérif et Saïd Kouachi et d’Amedy Coulibaly du 7 au 9 janvier.

    Eliette Abecassis lui pose alors la question “Est-ce que les intégristes catholiques tuent les humoristes aujourd’hui ?” et ajoute “Il s’agit bien de l’intégrisme musulman”.

    http://fr.novopress.info/181647/jean-luc-melenchon-ce-les-integristes-catholiques-tuent-les-humoristes/

  • Christiane Taubira est-elle toujours ministre de la Justice ?

    Impassible. Intouchable. Imperméable aux événements. Incapable de la moindre remise en cause.

    Fort de la (relative) confiance retrouvée des Français, ce gouvernement s’agite et se bouge. C’est très net. On apprend ainsi que 80 fouilles viennent d’être menées dans des cellules d’islamistes radicaux. Et qu’ont-elles permis de découvrir ? Des téléphones portables, des cartes SIM, des clés USB. Notamment chez quelques « cerveaux » du terrorisme islamique, comme Djamel Beghal, mentor des frères Kouachi et de Coulibaly.

    RTL.fr parle de « saisies hallucinantes », et de « découvertes qui interrogent ». C’est bien cela. On hallucine et on s’interroge.

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  • La haine monte…mais d’où vient-elle ?

    Lundi soir à Cracovie (Pologne), le cinéaste engagé Steven Spielberg et créateur de la Fondation de la Shoah, aux côtés du président du Congrès juif mondial Ronald S. Lauder, a fustigé « les efforts qui montent pour bannir les Juifs d’Europe ». Le même jour à Prague (Tchéquie), le président du Congrès juif européen, Moshe Kantor, estimait que « la communauté juive d’Europe est très proche d’un nouvel exode ». Selon des statistiques qui viennent d’être divulguées par le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), le nombre d’actes antisémites aurait doublé (+101%) en 2014 par rapport à 2013 (851 actes antisémites répertoriés l’année dernière, contre 423 l’année précédente). Le nombre d’actes avec violences physiques serait ainsi passé de 105 en 2013 à 241 en 2014, soit une augmentation de 130%.Un climat anxiogène, que l’attentat sanglant commis par l’islamo-délinquant Coulibaly contre l’hypermarché casher de la Porte de Vincennes ne fait que renforcer. Les antisémites s’en réjouissent peut être mais cela fait aussi les «affaires» de Benjamin Netanyahou et l’Etat israélien: plus de 7000 juifs ont quitté la France en 2014 pour faire leur  Alyah (« montée ») vers l’Etat hébreu.

     Le gouvernement israélien a d’ailleurs annoncé officiellement que, pour la première fois, la France fournit le plus gros effectif, à l’échelle de la planète,  devant les Etats-Unis et la Russie, de l’émigration vers Israël. L’Agence juive prévoit que ce sont 10 000 juifs venus de France qui s’installeront en Israël en 2015. Une force d’appoint non négligeable dans le combat démographique, la guerre des ventres qui opposent aussi Israéliens et Palestiniens…

     Selon le Crif, « cette tendance confirme bien malheureusement la persistance, voir le renforcement des préjugés antisémites en France, parfois leur radicalité croissante qui fait qu’on passe de l’insulte à la violence, de la violence au terrorisme ».

     Certes, tout aussi controversé que le Crif de Roger Cukierman, Abdallah Zekri, Président de l’Observatoire National contre l’Islamophobie, dénombrait de son côté, depuis les attentats des 7 et 9 janvier derniers, 116 actes anti-musulmans , dont 28 actions contre les lieux de culte et 88 menaces,  soit une hausse de 110 % par rapport à janvier 2014.

    Ce qui est cependant certain, et il faudrait être bien aveugle ou partial pour le nier, c’est que le vivre-ensemble est de plus en plus (particulièrement)  problématique, entre les communautés juives et musulmanes sur notre sol, dans les zones où les populations  maghrébines, musulmanes, sont majoritaires.

    Le phénomène n’est pas si nouveau mais il s’est accentué. Cela a entraîné le départ de très nombreuses familles juives des banlieues plurielles,  trajectoire qui est aussi suivie par  des familles de gaulois, d’européens,  voire d’immigrés, chassées de certains territoires perdus de la République par la violence, la tiers-mondisation de leur environnement, ou une manière de vivre qui n’est pas la leur…C’est cela la réalité de cet apartheid dont Manuel Valls impute la responsabilité aux méchants Français…

     Il est tout aussi évident que ce sont dans les établissements scolaires babélisés que l’enseignement de l’histoire officielle s’avère le plus difficile. Cela est vrai notamment pour l’histoire des religions, et donc de la foi mahométane, de certains épisodes de notre histoire conflictuelle avec l’islam, de la colonisation, ou encore  celle de la seconde guerre mondiale et de la Shoah. Cette dernière est  assimilée à de la propagande sioniste par des jeunes arabo-musulmans, chez qui les idées révisionnistes circulent assez largement et rencontrent un véritable écho.

     Le site du quotidien  La Croix en faisait état hier, «un certain nombre de professeurs doivent, depuis des années, faire face à des contestations ou à des provocations à connotation antisémite quand ils abordent cette partie du programme (le dernier conflit mondial, NDLR) ». « Le président de la République  avait promis, le 21 janvier, qu’à l’école,  aucun incident  ne serait laissé  sans suite»  et « Najat Vallaud-Belkacem souhaite des sanctions, des suites éducatives  en cas de perturbation de l’enseignement de la Shoah. Mais, poursuit-elle, la fermeté ne saurait suffire (…), le fait d’avoir inscrit l’holocauste dans les programmes n’a pas toujours permis de vaincre ce que la ministre appelle  le relativisme et la perte de repères  observés chez un certain nombre d’élèves. Beaucoup d’élèves ne sont pas perméables à ces enseignements,  s’inquiète Najat Vallaud-Belkacem. Le défi (…) est  d’éveiller leur humanité, résume-t-elle » car  « enseigner la Shoah est  une responsabilité qui augmente au fur et à mesure que les voix des témoins disparaissent… ».

     Dans ce contexte, François Hollande est aujourd’hui avec les présidents allemand Joachim Gauck et ukrainien Petro Porochenko,  le secrétaire américain au Trésor Jack Lew, ou encore les familles royales belge et néerlandaise, à Auschwitz (Pologne) dans la cadre de la commémoration du 70ème anniversaire de sa  libération par l’Armée rouge. Le président Vladimir Poutine, n’a pas été officiellement invité c’est pourquoi la Russie est représentée par le chef de l’administration présidentielle Sergueï Ivanov.

    M. Hollande l’a répété ces dernières heures, il entend profiter du climat pour brider un peu plus la liberté d’expression de tous les Français, en renforçant les sanctions contre le racisme et l’antisémitisme (dont les définitions ambiguës laissent souvent place à l’arbitraire) et étendre leur champ d’application.

     Un vœu qui s’inscrit dans le cadre des trois propositions formulées par le ministre de la Justice Christiane Taubira mi- janvier. D’abord la possibilité de bloquer de sites internet que l’on accuserait de propager une  « haine raciste ou antisémite ». Haine à laquelle  pourraient être assimilées demain,  par quelques zélés serviteurs de l’idéologie dominante, toutes contestations de l’immigration invasion, de la société plurielle, ou toute critique du « sionisme » ?

     Ensuite, la généralisation de la circonstance aggravante de racisme « comme les agressions sexuelles, le harcèlement sexuel, le harcèlement moral, la séquestration, la traite des êtres humains, le bizutage, l’atteinte aux biens et le chantage notamment ».

     Enfin, le vœu de sortir les injures et diffamations du droit de la presse (loi du 29 juillet 1881) pour les introduire dans le code pénal « lorsqu’elles sont aggravées par une circonstance liée au racisme, à l’antisémitisme ou à l’homophobie ».

     Autant dire que nous sommes très circonspects et dubitatifs sur cet arsenal là, qui vise (sciemment ?) à côté, qui, loin de s’attaquer à la racine du problème entend museler aussi, dans l’esprit des Torquemada et Fouquier-Tinville socialistes, ceux qui le dénonce. Plus largement encore, Bruno Gollnisch est convaincu, il l’a souvent dit, que les inconvénients d’un excès de libertés sont moindres que ceux d’un excès de censure.

     Ce que nos compatriotes constatent aussi c’est que les premiers visés dans leur foi, dans leur identité comme en convenait il y a  quelques années déjà  un membre du Crif comme Me Gilles-William Goldnadel, ce sont les Français de souche, nos  églises, nos édifices, nos  cimetières catholiques. Participant à la Marche pour la vie ce dimanche, Bruno Gollnisch a aussi été interpellé sur ce sujet.

    Notons aussi,  par ailleurs, que ce ne sont pas des barbus (pas invités dans les médias !) mais des membres du show-biz qui ont multiplié dernièrement les déclarations malveillantes et agressives. Ainsi en est il du comédien Jacques Weber  vendredi sur LCI qui a traité sans surprise l’humoriste Dieudonné de  « voyou », de « gangster », d’ «enfoiré » et  Marine Le Pen de «danger public»,  de «grande menteuse, extraordinairement habile ».

     Un autre « comique», Stéphane Guillon, s’est lui réjoui hier du début d’incendie qui  a (fort heureusement seulement  légèrement) brûlé au visage le président d’honneur du FN  à son domicile, déplorant qu’il  en réchappe. Dans son tweet le citoyen Guillon écrit : «Jean-Marie Le Pen sort indemne de l’incendie qui a ravagé son appart. Pour une fois qu’un hommage à Jeanne d’Arc nous aurait fait plaisir… »

     Alors de quel côté se trouve la haine ? Il se trouvera toujours des imbéciles, des obtus, des petites âmes mesquines, des gamellards honteux pour reprocher au FN, non pas tant ses idées politiques, qui comme telles sont toujours discutables,  que son extrême droiture, la  justesse de ses avertissements, sa fidélité à des convictions.  Là aussi les Français jugeront.

    http://gollnisch.com/2015/01/27/la-haine-montemais-dou-vient-elle/

  • Risque d’infiltration d'islamistes en Europe, cachés parmi les réfugiés

    S’adressant à des journalistes italiens au cours du Forum économique mondial de Davos, l’ancien ministre des Finances libyen Ali Tarhouni, actuellement président de l’Assemblée constituante de la Libye, a affirmé quel’UE sous-estime le risque d’infiltration de militants de l’Etat Islamique en Europe, cachés parmi les réfugiés.

    L’ancien ministre a dit que l’EI gère efficacement les passages de migrants

    « L’Europe a sérieusement sous-estimé la possibilité que des militants s’infiltrent  à Lampedusa, en Sicile ou à Malte». « Les risques augmentent à un rythme spectaculaire. »

    Les militants de l’EI, qui ont pris le contrôle de la ville orientale de Derna en Libye l’année dernière, se déplacent vers l’ouest et prennent des points d’appui tout au long de la côte libyenne

    Le politicien libyen a expliqué que la plupart des bateaux de migrants qui quittent la Libye pour l’Europe partent de cette partie du littoral.

    «Cette région a sombré dans l’anarchie, un terreau idéal pour les contrebandiers, trafiquants d’êtres humains et des militants islamistes. La police et l’armée ne s’aventurent plus dans ces régions ».

    L’EI lorgne vers les pays voisins de la Libye – l’Égypte, la Tunisie et l’Algérie – dans le but d’élargir son califat.

    Lors d’une réunion de la coalition anti-EI à Londres, le ministre italien des Affaires étrangères Paolo Gentiloni a également averti du risque d’infiltration par des militants islamistes. Il a affirmé que les services de sécurité italiens ont été mis en garde contre le risque :

    « Ce serait une grave erreur si un pays démocratique ignore la possibilité que des militants armés de kalachnikovs se cachent derrière les bateaux de migrants abordant les côtes d’Europe».

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Islamisme : inconscients et lâches – par Vincent Revel

    Quelle incompétence ! Leur culpabilité est tellement flagrante, affligeante, visible et constatée, que plus personne ne se permet de remettre en place nos politiciens. Si la France est aujourd’hui confrontée au problème de l’islam politique, à l’échec de son procédé d’intégration, à la faillite de son système social, au fiasco de notre apprentissage scolaire, à un communautarisme conflictuel de plus en plus violent, à une crise identitaire sans précédent, ce n’est pas dû au hasard ou à un manque de chance.

    Tout ceci n’est pas sorti subitement et soudainement du chapeau d’un magicien mal intentionné. Ces maux, que certains décrivent depuis longtemps, sont le résultat d’une politique sociétale choisie avec conviction par nos élus. Ceux qui essaient de nous embrouiller l’esprit en nous faisant culpabiliser une fois de plus en nous expliquant que ce sont les discriminations et le racisme qui sont en cause sont des hypocrites.

    Ceux qui nous font croire que l’islamisme n’a strictement rien à voir avec cette belle religion de paix qu’est l’islam sont des menteurs. Ceux qui affirment, sans honte, que ces intégristes sont des déséquilibrés, des cas isolés, appartenant à des groupes plus que minoritaires, sont des inconscients ou des lâches qui ne nous permettent pas de nous préparer contre le danger qui nous attend demain.

    Cette incapacité chronique qu’ont nos politiques à ne pouvoir se remettre en cause peut nous précipiter vers le chaos. Ne pas vouloir nommer correctement les choses pour éviter soi-disant de stigmatiser, d’offenser, d’amalgamer, ne nous évitera pas de devoir un jour se confronter à la vraie vie. Cette volonté affichée de nos grands médias à relayer la même propagande est un crime contre cette même liberté d’expression qu’ils prétendent pourtant défendre.

    Il est urgent que les Européens cessent de se laisser manipuler. Il devient vital que notre peuple sorte de sa dormition pour enfin voir ce qui se passe chez lui et autour de lui. Le monde des Bisounours n’existe pas. Le « soldat Hollande », soi-disant fameux rempart du monde libre face à la barbarie, n’est qu’un leurre. Le slogan « je suis Charlie », affiché avec conviction ou compassion, ne veut strictement rien dire et n’apportera aucune solution sur le long terme. Nous employons tous, et souvent avec empressement, les mots liberté, égalité, fraternité, tolérance.

    Ce ne sont que des idées et des mots, collés à un système de pensée, qui malheureusement sont devenus avec le temps des dogmes au service de l’idéologie du bien vivre ensemble. A présent, l’égalité a été remplacé par l’égalitarisme, permettant toutes les dérives sociétales, la fraternité nous renvoie systématiquement à l’autre, auprès de qui chaque Européen a un devoir, en souvenir et en compensation des soi-disant crimes commis dans notre passé, la tolérance nous oblige à tolérer l’inacceptable dès l’instant que les droits des minorités dites visibles sont garantis, et la liberté permet aux nouveaux chiens de garde de s’ériger en censeurs pour mieux abattre et ostraciser tous ceux qui dévient du politiquement correct.

    Quand j’entends Manuel Valls mettre en garde des lycéens en leur expliquant qu’ils doivent se préparer et accepter de vivre avec le danger du terrorisme islamiste, c’est un véritable scandale ! Ces hommes politiques nous précipitent depuis trente ans vers un possible début de guerre civile et ils s’en lavent les mains en demandant aux jeunes générations de faire avec. Face à un échec comme celui que nous vivons au quotidien, nos élus auraient dû assumer leurs paroles et leur politique libérale, immigrationniste, mondialisée, démissionner et rendre des comptes au lieu de s’en accommoder, de persister et de faire comme si tout ceci ne pouvait être qu’une fatalité.

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  • Des lendemains bien difficiles

    L'hypothèse Chauprade d'une cinquième colonne à un million d'individus sera alors en dessous de la réalité.

    Pépère Ubu nous est revenu ! Il a pris les traits rondouillards et placides du Président manifestant dans la rue. Pour la mère Ubu, on a le choix entre les amoureuses hystériques qui gravitent autour de lui ou la brochette Taubira-Pellerin-Belkacem, les Trois Grâces de la mondialisation heureuse, venues à l’enterrement de Charb sur ordre de l’Élysée.

    Durant deux semaines, la France s’est abandonnée à une hystérie collective orchestrée par le gouvernement selon la formule « Nous ne pouvions prévenir ces événements, alors feignons d’en maîtriser le cours », et à travers une séquence bien rodée – dramatisation, émotion, récupération.

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  • Un philosophe d'extrême-gauche tient des propos déplacés

    A son plus grand étonnement, le recteur de l'Académie de Poitiers vient de découvrir que :

    1. il y avait des professeurs de philo faisant "du militantisme d'extrême gauche"
    2. et que ce genre de professeur pouvait tenir "des propos déplacés" devant les élèves

    Dans quel état sera ce recteur quand il s'apercevra que Alain Finkielkraut et Michel Onfray ont raison : oui, l'idéologie du genre est au programme de l'Education Nationale.

    Michel Janva

  • Laurent Obertone : “Le système retourne les faits à l’avantage de son utopie”

    Avec “la France Big Brother”, Laurent Obertone nous livre un réquisitoire contre le conditionnement imposé aux Français. Dans cet entretien accordé au journal Valeur actuelles, l’auteur explique notamment que “le système retourne les faits à l’avantage de son utopie”.

    Voici quelques extraits :

    La France subit trois attentats terroristes et nos élites lancent une campagne contre l’islamophobie. Comment l’expliquez-vous ?

    C’est une démonstration de la capacité de manipulation de Big Brother, une démonstration de réécriture du présent, de double pensée, de retournement des faits à l’avantage d’une utopie. Les médias, en particulier, contrefont le réel, le filtrent, l’expurgent de tout ce qui nuit à leur morale progressiste et nous projettent une image du pays totalement falsifiée. À les entendre, des extrémistes indistincts n’ont attaqué que le “vivre-ensemble”, à peu près comme le fait, selon eux, Marine Le Pen. Cette dernière a d’ailleurs été accusée, sinon de monter les Français les uns contre les autres, du moins de « récupérer » l’affaire et d’en« profiter », quand Cazeneuve, Valls et Hollande ont connu un rebond de popularité spectaculaire… Tout est fait pour dissocier les effets des causes, il faut croire que ça fonctionne.

    Les attaques des 7, 8 et 9 janvier marquaient la défaite d’un système complaisant envers le communautarisme, l’immigration et l’islamisation de la France. Comment ce système et ses acteurs ont-ils réussi à retourner leur échec en ce que vous qualifiez de “kermesse antiraciste” ?

    Il faut une grande expérience en la matière. Aussi vite que possible, on évacue les faits, pour seriner les messages slogans : “pas d’amalgame”,“l’islam est la première victime”, “cela n’a rien à voir avec l’islam”. Ce sont les “valeurs” progressistes qu’on vise. À partir de là, tous ceux qui voulaient se révolter contre les terroristes islamistes, tous ceux qui voulaient s’interroger sur leur suivi, sur les soutiens dont ils bénéficient dans les banlieues, sur la balkanisation de la société française, étaient présentés comme des intolérants et des fascistes, complices des terroristes (pourquoi se gêner ? ).

    Les gens perçoivent confusément le lien entre immigration massive, communautarisme et islamisation du pays. Pourtant, ce système ne doit pas être remis en cause. Pourquoi ?

    L’immigration, le multiculturalisme, l’islam sont extrêmement valorisés par Big Brother. On prétend qu’ils amènent prospérité, enrichissement, qu’ils n’ont rien à voir avec l’insécurité et le terrorisme. La “légitimité” des promoteurs est donc suspendue aux faits : si les faits sont défavorables, les promoteurs seront montrés du doigt.

    http://fr.novopress.info/181518/laurent-obertone-systeme-retourne-les-faits-lavantage-utopie/

  • Avec la réforme de Taubira un détenu en sursis a le droit de se rendre à l'étranger

    Lu ici :

    "Jusqu'en septembre 2014, avant l'entrée en vigueur de la réforme pénale de Christiane Taubira, les personnes assujetties à un SME devaient obligatoirement obtenir "l'autorisation du juge de l'application des peines" avant d'envisager "tout déplacement à l'étranger". Ce n'est plus le cas depuis le 1er octobre 2014. La loi de la garde des Sceaux a fait en sorte que cette obligation ne soit plus "automatique". Désormais, le condamné placé sous SME n'a plus besoin que d'"informer préalablement" son juge de "tout déplacement à l'étranger"."

    Les voyageurs pour la Syrie n'ont plus besoin de prévenir le juge avant de prendre leur billet. Toujours pas de démission du côté de la place Vendôme ?

    Michel Janva

  • La guerre civile aura bien lieu !

    La France est une vaste Cocotte-Minute dont les gouvernants et les médias ont refermé définitivement le couvercle de peur de voir une réalité politiquement incorrecte s'en échapper.

     

    Il n’est pas question pour moi de me réjouir d’un fait que j’analyse et auquel je compte bien consacrer plus qu’un article. Mais il est essentiel d’arracher le bandeau que porte aujourd’hui notre société face à la montée des périls qui se dessinent et qui hélas, j’en suis persuadé, vont nous conduire à une guerre civile soit larvée soit ouverte. Mais d’abord, qu’est-ce qu’une guerre civile ? Une guerre civile est la situation qui existe lorsqu’au sein d’un État, une lutte armée oppose les forces armées régulières à des groupes armés identifiables, ou des groupes armés entre eux, dans des combats dont l’intensité se prolonge dans le temps, dépassant ainsi la simple révolte ou l’insurrection.

    Les causes d’une guerre civile sont multiples. En analysant celles qui se sont enchaînées dans l’Histoire, nous trouvons quatre grands types d’éléments déclencheurs : les différends territoriaux, les conflits ethniques, les antagonismes religieux, les crises socio-économiques. Souvent, d’ailleurs, certains de ces éléments se conjuguent entre eux lorsque le conflit éclate. La gravité de la situation de la France de 2015 est que ces quatre données sont présentes dans notre société. Jusqu’à ces derniers temps, on pouvait penser qu’il manquait la première composante, la composante territoriale. Christophe Guilluy, avec son livre La France Peripherique, Comment on a sacrifié les classes populaires, vient de démontrer que des territoires bien délimités existent et sont différenciables entre zones urbaines et zones périphériques.

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