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international - Page 1019

  • Ébola : L’OMS s’attend à terme à plus de 20.000 cas

    L’Organisation mondiale de la santé (OMS) espère stopper la progression du virus Ébola d’ici à trois mois, selon un document publié jeudi 28 août, à Genève (Suisse). L’organisme s’attend à plus de 20.000 cas de fièvre hémorragique durant cette épidémie.

    Dans une “feuille de route”, l’OMS souligne également les actions que les pays touchés d’Afrique de l’Ouest et leurs partenaires doivent entreprendre pour mettre fin à la plus grande flambée d’Ebola dans l’histoire. L’organisation souhaite pouvoir stopper la progression de nouveaux cas d’ici trois mois, expliquant avoir besoin de 490 millions de dollars (371 millions d’euros) pour cela.

    “Stopper toute transmission résiduelle d’ici six à neuf mois”

    Ses objectifs principaux, affirme-t-elle, sont d’“inverser la tendance de nouveaux cas et de nouvelles zones infectées d’ici trois mois, de stopper la transmission dans les capitales et les grandes villes portuaires, et de bloquer toute transmission résiduelle d’ici six à neuf mois“.

    L’OMS dénombre 3 069 cas d’Ebola, dont 1 552 décès, dans quatre pays d’Afrique de l’Ouest, selon son dernier bilan arrêté au 26 août. Le précédent bilan de cette épidémie, qui continue à progresser de “manière accélérée“, faisait état le 20 août de 2 615 cas, dont 1 427 décès. En six jours, l’épidémie a touché 454 personnes supplémentaires, et causé la mort de 125 malades.

  • La guerre des graines

    Les graines sont-elles une marchandise ou un bien commun de l’humanité au même titre que l’eau ou l’air ? Dans un avenir très proche, les agriculteurs n’auront peut être plus le droit de replanter leurs propres graines.

    En Europe, une loi émerge pour contrôler l’utilisation des semences agricoles… Derrière cette confiscation, 5 grands semenciers qui possèdent déjà la moitié du marché des graines et cherchent à étendre leur privatisation.

    De l’Inde à Bruxelles, en passant par les campagnes françaises et l’Ile du Spitzberg à 1000 kms du Pôle Nord, Stenka Quillet et Clément Montfort enquêtent sur cette Guerre des Graines qui

    menace plus d’un milliard d’agriculteurs sur la planète.

    http://www.contre-info.com/

  • Libye: est-il encore possible d'empêcher la création d'un "Etat islamique d'Afrique du Nord" ?

    Lu sur le blog officiel de Bernard Lugan :

    "Au point de vue militaire la situation libyenne a considérablement évolué depuis mon précédent communiqué en date du 17 août dernier:

    - A l'Est, en Cyrénaïque, l'offensive du général Haftar a été bloquée par les milices islamistes; le 22 juillet, à Benghazi, le quartier général de ses forces spéciales a même été pris d'assaut.
    - A l'Ouest, en Tripolitaine, les milices de Misrata (Frères musulmans) et les salafistes de Tripoli surarmés par le Qatar et par la Turquie, paraissent prendre peu à peu le dessus sur les milices berbères de Zenten dans la région de l'aéroport principal de Tripoli. Le second aéroport de la capitale, celui de Maïtigua, est déjà contrôlé par les islamistes d'Abdelhakim Belhaj.
     
    La stratégie des salafistes, des Frères musulmans et du Qatar est désormais claire: faire de la Libye une base de déstabilisation régionale. De fait, l'Egypte et l'Algérie sont directement menacées cependant que la Tunisie n'arrive pas à liquider les maquis des monts Chaambi. Quant au Maroc, il va être dans les prochains mois la cible d'un nouveau mouvement fondamentaliste baptisé Unicité et jihad au Maghreb al-Aqsa. Au Sud, le Mali, le Niger et le Tchad vont automatiquement subir la contagion de la situation libyenne.
     
    Le processus de déstabilisation de la Libye a été très largement pensé et supporté par le Qatar qui, dans un premier temps, a utilisé Al-Jazira pour diaboliser le régime Kadhafi. Le bras armé de cet insatiable et arrogant petit émirat fut Nicolas Sarkozy qui, subverti par BHL, imposa l'intervention internationale en reprenant à son compte les mensonges d'Al-Jazira au sujet d'une menace inventée sur les populations de Benghazi.
     
    La situation étant aujourd'hui ce qu'elle est, est-il encore possible d'empêcher la création d'un "Etat islamique d'Afrique du Nord " avec toutes les conséquences régionales qu'aurait un tel événement ?
    Les Européens n'ont comme d'habitude qu'une seule solution à proposer: encore et toujours la démocratie. Le 4 août, jour de sa première réunion à Tobrouk, ils ont ainsi reconnu la légitimité du nouveau parlement pourtant élu par à peine 10% des électeurs, et ils ont appelé ses membres à une "gouvernance démocratique"... Il est difficile d'être davantage déconnecté des réalités, d'être plus prisonnier des nuées, de l'idéologie...
     
    La solution réaliste comporte deux volets, l'un est militaire, l'autre politique:
     
    1) Comme je l'annonçais dans mon communiqué daté du 15 juillet 2014, une triple intervention de l'Egypte, de l'Algérie ( en dépit des déclarations contraires du Premier ministre Sellal) et de la France est dans les cartons.
    2) Si une telle intervention n'a pas encore débuté c'est parce qu'elle doit impérativement se faire en appui à une résistance libyenne. Or, et je viens de le dire, le général Haftar a perdu sa crédibilité. Il devient donc urgent et nécessaire de reconstruire le système d'alliances tribales qui existait du temps du colonel Kadhafi. Sans lui, il n'y aura pas d'intervention étrangère permettant d'abord de contenir, puis ensuite de réduire les salafistes d'Ansar al Charia et leurs alliés en Cyrénaïque, les résurgences duGICL (Groupe islamique combattant en Libye) en Tripolitaine et les Frères musulmans de Misrata.
     
    Or, que cela plaise ou non, Seif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi, est le mieux placé pour constituer un tel rassemblement (voir à ce sujet mon communiqué du 17 août). A défaut, toutes les forces islamistes risquent d'être engerbées et coagulées dans un futur "Etat islamique d'Afrique du Nord" à l'imitation de l'EIL d'Irak."

    Marie Bethanie

  • Officier de renseignement européen: "Le Hezbollah défend l’Europe" !

    Le cauchemar de l’expansion salafiste takfirie irrite les Européens et le spectre des « djihadistes » et des kamikazes plane sur leurs rues. Bien que les populations européennes mènent une vie ordinaire, leurs services de renseignements veillent jour et nuit et guettent le danger venu d’Orient, avec chaque avancée de Daesh en Irak et en Syrie. Surtout que nombreux sont les miliciens européens qui partent faire le « jihad » sous la bannière des courants salafistes. 
    Le journal libanais al-Akhbar a révélé dans un article la teneur d’une réunion qui a regroupé des officiers européens experts dans la lutte contre le terrorisme. Ceux-ci n’hésitent pas à affirmer que « c’est une question de temps » pour qu’une explosion secoue telle ou telle capitale européenne, ou qu’une cellule terroriste dormante se réveille dans une telle autre capitale.
    Pour eux, Abou Hourayra l’Américain, Abou Hamza le Belge, Abou Talha et Abou Loqman les Allemands, ne sont qu’un spécimen parmi des centaines de miliciens terroristes occidentaux qui ont rejoint le « jihad » en Syrie et en Irak.
    Ceux-ci constituent des bombes à retardement qui ne tarderont pas à être chargés par leur groupe extrémiste de mener des attentats dans leur pays d'origine, à l’instar des attentats de Londres et Madrid, il y a dix ans. 
    Plus de 4.000 miliciens européens extrémistes
    « Les Américains sont idiots. Avec leurs alliés britanniques, ils répandent le chaos constructif qui frappe le Moyen Orient, et n’évaluent pas les répercussions de cette incendie qui brule l’Europe entière ».
    Ces officiers de renseignements, dont l’un est allemand, exposent en langue arabe impeccable les événements dans le monde.
    L’Allemand dit : « Washington comploterait contre l’Europe, même involontairement ». Partant du conflit en Ukraine, que Washington ravive, ses répercussions économiques toucheront seulement l’Europe. Les sanctions contre la Russie ont provoqué la hausse du prix du gaz russe, et des sanctions contre des sociétés européennes et occidentales. De plus, les Etats-Unis négligent la montée de l’expansion salafiste au Moyen Orient sous le titre du renversement des régimes dictateurs.
    La menace que représentent les terroristes en Europe est grande. Le nombre de miliciens européens qui ont rejoint les combats sous la bannière de l’ « Etat islamique » n’est pas encore définitif. L’officier des renseignements allemands avance le chiffre de 2000 jeunes, alors qu’une autre source de renseignements européens assure que le chiffre varie entre les 4000 et les 7000.
    Loin des chiffres, la capacité de Daesh d’attirer plus de jeunes occidentaux, pour l'investir dans sur une importante expertise médiatique en diffusant des discours en langues diverses (arabe, anglais, français, russe et perse).
    Cette question occupe la une des renseignements européens qui recherchent les responsables derrière l’envoi des jeunes en Syrie et en Irak. Ils cherchent les bailleurs de fond, les enrôleurs et les médiateurs.
    Ils recherchent aussi tout jeune dont la famille informe les services compétents de son absence. Et cette famille est placée sous le contrôle renforcé.
    Evoquant le combat du Hezbollah en Syrie, un officier européen approuve la guerre préventive qu’il mène. « Si le Hezbollah n’était pas entré en Syrie, il aurait été assiégé au Liban. Et si le Hezbollah n’avait pas pris part à la bataille, il aurait été obligé de le faire maintenant ! ».
    Interrogé sur l’inscription du Hezbollah sur la liste européenne des organisations terroristes, l’officier de renseignement répond : « Le Hezbollah mène une guerre contre le terrorisme au nom du monde, pour cette raison, il faut le soutenir, au moins dans cette confrontation ! ».
    Et d’ajouter : « Nous pouvons dire que les combattants du Hezbollah défendent aujourd’hui l’Europe ! ».
    Ceci signifie-t-il qu’il existe une coopération entre ces services et le Hezbollah ? L’officier répond, souriant : « Nous sommes prêts à coopérer s’il est nécessaire » !

    Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EupAEZEVyVAsNdiGDI.shtml

  • Béziers et Maaloula jumelées : bonne nouvelle pour ces chrétiens qui se sentaient « abandonnés par la France »

    Robert Ménard, maire de Béziers, vient d’annoncer le jumelage de sa ville avec le petit village syrien et chrétien de Maaloula.  Un village martyr, occupé pendant sept mois par les djihadistes de Jabat-al-Nosra, qui reprend vie depuis sa libération par l’armée syrienne aidée du Hezbollah le 14 avril dernier. Reportage à Maaloula.

    Une bonne nouvelle puisque ses habitants confiaient il y a quelques jours se sentir « abandonnés par la France ». Ils sont nombreux à regretter le temps où la diplomatie française faisait exception en honorant ses promesses dans la région, tout particulièrement celle d’être protectrice des Chrétiens…

    La politique Française, alignée sur celle des Etats-Unis depuis quelques temps n’a cessé d’accroître l’insécurité dans laquelle vivent les Syriens depuis trois ans, et tout particulièrement ces Chrétiens menacés doublement par les djihadistes, comme Syriens puis comme Chrétiens.

     

    Libéré il y a quelques mois, la village reprend doucement vie et quelques 300 familles ont déjà choisi de s’y installer à nouveau, le curé hésite encore et reste pour l’instant à Damas, conscient que s’il revenait à Maaloula, tous le suivraient : « les djihadistes sont nombreux et sont encore dans les parages, je ne peux pas prendre ce risque tout de suite »confiait-il.

    Mais il revient régulièrement pour dire la messe aux courageux, suivre l’évolution des travaux dans les maisons de ses fidèles mais également dans les églises sérieusement abîmées… Partout demeurent les traces d’une haine anti-chrétienne glaçante : églises brûlées, évangiles déchirés, icônes cassées, statues décapitées… Mais le spectacle n’altère pas la détermination des habitants. Quelques bénévoles de l’association françaiseSOS Chrétiens d’Orient sont là pour financer la restauration de l’une des églises, Saint Georges, et les habitants sont heureux d’accueillir ces pèlerins qui, en plus de les aider, annoncent un retour de la vie presque normale… « Nous avions énormément de touristes et de pèlerins avant la guerre, ces jeunes sont les premiers étrangers à venir si l’on oublie les journalistes. Quelle joie, merci » lance une habitante.

    « Nous sommes quelques uns à être rentrés tout de suite » confie Saba, un épicier d’une quarantaine d’année qui a combattu avec les « gardes » du village en septembre lors de la prise du village, comme en avril lors de sa libération.

    Depuis, il nettoie, répare et restaure sa petite boutique : « il faut que ces monstres comprennent qu’ils ne gagneront jamais la Syrie. Nous résisterons tant qu’il le faudra pour retrouver le pays calme et paisible que nous avons perdu il y a trois ans » affirme-t-il avant d’ajouter : « mais les occidentaux doivent comprendre que leurs gouvernements se trompent… Si la liberté et la démocratie impliquent la destruction de nos églises millénaires, nous n’en voulons pas. Qu’ils nous laissent vivre ! » 

    Tous tiennent un discours encourageant, même si l’avenir est parfois difficile à imaginer. Parmi les djihadistes à s’être révoltés à Maaloula, il y avait de nombreux habitants du village et la confiance sera difficile à regagner… Mais tous n’ont qu’une envie : y arriver. « Comme avant, ceux qui refusent la présence chrétienne en moins » sourit Fadi, jeune maçon revenu le jour même de la libération.

    http://www.contre-info.com/beziers-et-maaloula-jumelees-bonne-nouvelle-pour-ces-chretiens-qui-se-sentaient-abandonnes-par-la-france#more-34231

  • Spirale des sanctions entre Russie et UE : Israël grand bénéficiaire

    La réaction de Moscou à l’absurde politique de sanctions dans laquelle patauge l’Union européenne cause dès à présent à certains pays-membres un manque à gagner significatif. Par exemple, l’économie grecque qui était bien partie pour enfin engranger une petite croissance en 2014 restera vraisemblablement engluée une année de plus dans la récession du fait du préjudice infligé à son agriculture par les mesures de rétorsion russes. De son côté, l’Allemagne est également vouée à payer le prix fort pour l’aveuglement et/ou l’asservissement de ses dirigeants à la puissance américaine.

    IsraeulEn effet, le Comité oriental de l’économie allemande (organisation représentant les intérêts des sociétés allemandes opérant dans les pays de l’ex-URSS et en Europe de l’est) prédit pour cette année une chute de 20 à 25 % des exportations de la première économie européenne vers la Russie, ce qui affecterait 50 000 emplois en Allemagne. Se montant à plus de 36 milliards d’euros en 2013, les exportations allemandes s’étaient alors déjà réduites de 5,2 % par rapport à l’année précédente.

    En face, il est bien évident que les produits agro-alimentaires que la Russie n’importera plus d’Occident, elle les produira elle-même – ce qui constitue une aubaine pour doper la modernisation et l’amélioration de son agriculture – ou elle se les fera livrer par d’autres pays qui ne manqueront pas cette occasion en or. Et parmi les heureux bénéficiaires de la situation figure incontestablement l’Etat d’Israël qui a déjà commencé à s’engouffrer dans la brèche ouverte par les stupides sanctions européennes. Le ministre israélien de l’agriculture Yair Shamir expliquait récemment : « C’est une occasion unique pour nous et pour le marché russe. En effet, nous pouvons lui offrir une gamme de produits beaucoup plus large que celle sur laquelle il pouvait compter. Plus de fruits tropicaux et d’autres produits. En outre, nous disposons déjà d’une bonne expérience. Au cours des dernières années, nos exportations vers la Russie de pommes de terre et d’autres productions agricoles ont été multipliées par trois. Cela montre que les clients russes apprécient nos produits. Donc, c’est pour nous une chance inespérée. » Concrètement, les Israéliens sont d’ores et déjà impliqués dans le nouveau complexe de transformation de produits laitiers Petrovski, dans la région de Saint-Pétersbourg ; les pommes de terre polonaises seront partiellement remplacées sur le marché russe par des israéliennes ; un projet russo-israélien de construction d’une ligne de transformation de lait de chèvre est à l’ordre du jour dans la région de Vologda. Enfin, le ministre de l’agriculture de la république de Crimée a communiqué que la production de volailles allait être relancée dans la péninsule grâce à des investissements israéliens.

    L’Union européenne osera-t-elle faire pression sur Israël comme elle essaie de le faire sur les pays d’Amérique latine afin qu’ils ne lui prennent pas ses parts de marché qu’elle a très intelligemment renoncé par soumission aux Etats-Unis ?

    Baudouin Lefranc dans Medias-presse.info

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/spirale-des-sanctions-entre-russie-et-ue-israel-grand-beneficiaire_114876.html#more-114876

  • Bachar al-Assad de nouveau fréquentable ?

    La décapitation du journaliste James Foley et le martyre des populations chrétienne et yézidie en Irak a rebattu les cartes. Après avoir armé les jihadistes contre le régime syrien, les puissances occidentales s'inquiètent de leur progression en Irak. Non seulement Bachar al-Assad n'est plus l'ennemi numéro un (qui parle encore de le renverser ?), mais il devient incontournable pour lutter contre le pseudo Etat islamique.

    • Les Etats-Unis, pragmatiques

    Officiellement, les Etats-Unis n'ont pas accepté la main tendue par le ministre syrien des affaires étrangères, qui a proposé lundi une forme de coopération. Mais officieusement,

    "le chef d'Etat-major américain, Martin Dempsey, estime qu'il faut attaquer l'EI des deux côtés de la frontière et utiliser "tous les outils - diplomatique, économique, militaire" contre les jihadistesDes responsables américains annoncent, sous couvert de l'anonymat, l'envoi d'avions espions et de drones au-dessus [de la Syrie]Ces déclarations laissent imaginer une coopération avec le régime syrien, principal obstacle à la progression de l'EI en Syrie."

    • Débat en Grande Bretagne

    Changer son fusil d'épaule n'est pas simple. En Grande Bretagne, le Foreign office a exclu toute coopération avec Bachar al-Assad, tout en admettantcombattre un ennemi commun.

    "C'est pourtant l'ancien chef de l'armée britannique lui-même qui avait suggéré de recréer des liens avec le dirigeant syrien, selon le principe très simple "l'ennemi de mon ennemi est mon ami"."

    • Et la France ?

    A la conférence des ambassadeurs aujourd'hui, François Hollande a campé sur ses positions :

    "Bachar al-Assad est l'allié objectif des jihadistes." "On ne peut pas choisir entre deux barbaries, parce qu'elles s'entretiennent mutuellement."

    Ne pas choisir, voilà le cap fixé par la France, qui prétend organiser une conférence internationale pour coordonner l'action, y compris militaire, contre les jihadistes. A laquelle elle invite... l'Iran.

    Louise Tudy