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international - Page 1317

  • Mobilisation en France contre les gauchistes Femen

    PARIS (NOVOpress) – En profanant la cathédrale Notre-Dame de Paris, les Femen ont sans doute mené l’action coup de poing de trop. Mardi matin, huit femmes nues ont manifesté en hurlant des diatribes antichrétiennes dans la nef de l’édifice religieux afin de « fêter » le départ du pape Benoît XVI. Pour Bruno Roger-Petit, « ce mouvement n’a rien à faire en France parce qu’il ne correspond pas à la France ». Devant l’ampleur du scandale, plusieurs personnalités socialistes ont dû se désolidariser du groupuscule gauchiste. Manuel Valls a fait part de sa « consternation ». Le ministre de l’Intérieur « a condamné cette provocation inutile et témoigne de son soutien aux catholiques de France qui ont pu être offensés par ce geste grossier ». Tandis que le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a également condamné cette action et fait part de sa « tristesse ».

     

     

    En déclarant sur Twitter, « on attend avec impatience les Femen à la mosquée de Paris vendredi juste pour le fun… », le député des Alpes-Maritimes, Lionnel Luca, a ironisé sur le fait que les Femen n’auraient pas eu le courage de mener une telle action contre les musulmans dans une mosquée. Même type d’ironie de la part de Fabrice Robert, le président du Bloc Identitaire. Ces deux réactions sont citées hier matin dans l’émission Vu du net d’Europe 1 (vidéo ci-dessous à 0min50)

     

    Les sujets de mécontentement sont bien réels pourtant. Comme protester contre l’islamisation de l’Europe, le sort de la femme dans une culture islamique ou la montée de l’islamisme en Tunisie, Egypte ou en Syrie suite à la désinformation du « printemps arabe ». Les Femen préfèrent s’attaquer systématiquement aux catholiques, proies faciles et parfois dociles en Europe. Des voix, nombreuses, s’élèvent désormais afin de réclamer des poursuites et des condamnations à l’encontre de ces activistes de gauche originaires d’Ukraine. A l’image du « Collectif Femen, ça suffit ! ».

     

    Pour ce rassemblement, les « Femen se sont rendues coupables d’au moins deux délits : « provocation publique à la discrimination, à la haine ou à la violence nationale, raciale ou religieuse » (loi 1881 : art. 23 et 24 al. 8), « exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public » (article 222-32 du Code pénal). Elles doivent être poursuivies et condamnées », peut-on lire en introduction d’une pétition accessible ici.


    Les seins de Notre-Dame par Europe1fr

     

    Mobilisation en France contre les gauchistes de Femen

    http://fr.novopress.info

  • Exercice illicite de colonisation

     

    Exercice illicite de colonisation
    Rappelez-vous, c’était il y a cinq ans. L’Association L’Arche de Zoé avait tenté de kidnapper depuis le Tchad à destination de la France, 103 enfants affublés de faux pansements dans un avion spécialement affrété. Condamnés au Tchad à huit ans de travaux forcés pour tentative d’enlèvement d’enfants, ils furent finalement grâciés par le président Idriss Déby en mars 2008.

    On les avait oubliés. Pas la justice française qui les poursuivait toujours pour exercice illicite de l’activité d’intermédiaire pour l’adoption.

    Ils viennent donc d’être condamnés. À de la prison avec sursis pour la plupart, à 3 ans dont 2 ferme et à 50 000 euros d’amende pour le couple dominant : Émilie Lelouch et Éric Breteau. Mais tout n’est pas fini : ces derniers ont été arrêté sitôt le jugement rendu, conformément aux réquisitions du parquet. Eux s’attendaient à être emprisonnés ; la justice à ce qu’ils fassent appel. Ils le font.

    On apprendra donc dans quelques temps, au détour d’un flash d’informations, s’ils sont remis ou non en liberté avant leur nouveau procès, puis si leur peine sera confirmée, réduite ou au contraire, ce qui ne semble guère probable, aggravée.

    Mais quoi qu’il en soit, les médias continueront à fustiger leur « irresponsabilité » tout en rappelant toujours et encore qu’ils n’ont agit que pour « faire le bien. »

    Ils sont certes affublés depuis la médiation de leurs exploits du surnom très évocateurs de « zozos de l’humanitaire », mais à les entendre — et à les croire –, de « Zozos », on penserait plutôt à « gentils Zorros », voire à « Zorros » tout simplement, certes plus « Sergent Garcia » dans l’efficacité que « Don Diego de la Vega » dans la ruse, mais tellement dégoulinants de bons sentiments…

    Et à les voir, Émilie et Éric, qui penserait à mal ? Ils sont jeunes, ils sont beaux et ils sentent tellement bons le dévouement aux droits-de-l’homme… du Tiers Monde d’abord !

    On en oublierait presque que ces damnés du dévouement et leurs complices – pardon, « les autres bénévoles » – étaient tout de même poursuivis à l’origine pour escroquerie, exercice illicite de l’activité d’intermédiaire pour l’adoption et aide à l’entrée ou au séjour de mineurs en situation irrégulière. Rien que « du lourd » comme on dit maintenant.

    Si les médias ont rappelé, tout de même, qu’ils n’ont hésités ni à jouer sur le « désir d’enfants » de familles d’accueil recrutées sur des forums de discussion sur l’adoption, ni à mentir sciemment sur la condition d’« orphelins » des enfants, ni encore à tromper les autorités tchadiennes et françaises en affublant ces derniers de faux pansements pour faire croire à l’urgence d’un départ sanitaire, il y a une raison – la première invoquée lors de leur arrestation – qui est désormais totalement passée sous silence.

    Il n’était question alors ni de « sauver » la vie d’enfants qui n’étaient nullement en danger, ni de leur « procurer » des parents adoptifs et encore moins de fournir à ceux-ci des « orphelins » qui ne l’étaient pas le moins du monde, certes pas de « s’enrichir », quoique…(1), mais… tout bonnement de permettre à des Africains d’accéder au « paradis occidental »… contre leur volonté, si nécessaire, mais conformément à leur volonté politique à eux.

    Selon cette version qui fut la leur avant qu’on ne leur conseille, probablement, de la passer prudemment sous silence, il ne s’agissait donc que de contribuer pour le moins, sinon d’accélérer, la colonisation de notre continent par des enfants africains.

    Les autorités tchadiennes ne l’ont pas entendu ainsi, susceptibles qu’elles sont que certains puissent considérer que des parents africains sont moins capables que des parents blancs, d’assumer et d’assurer l’avenir de leurs propres enfants. À les entendre, ce serait même des considérations quelque peu racistes… Horresco referens !

    Heureusement pour nos nauséabonds Zozos de la redistribution familiale, le Tchad n’en est plus à l’époque où l’on nourrissait les crocodiles pour moins que ça.
    Philippe Randa http://www.voxnr.com
    notes :
    (1) Éric Breteau est néanmoins accusé d’un enrichissement personnel de 55 000 euros (source : « Arche de Zoé, la dérive des sentiments », Ondine Millot, www.liberation.fr, 12 février 2013).
  • Lobbying : Dans l’antichambre du pouvoir

    Ils représentent des fédérations ou des entreprises ou exercent comme consultants indépendants en charge d’un portefeuille de plusieurs clients dont ils défendent les intérêts auprès des décideurs politiques.

    La journaliste Anna Grün a pu accompagner exceptionnellement quelques-uns d’entre eux, notamment Corinne Fabre, une pointure du lobbying à Paris, et Karl Jurka, consultant allemand qui, pour 650 euros de l’heure, déploie tous ses talents et contacts pour influencer les décisions du parlement allemand notamment lors de rendez-vous discrets dans le très select China club…

    Leur objectif : donner la bonne information à la bonne personne. Si l’avis des acteurs du monde financier et industriel évite d’être coupé de la réalité d’un pays, la manière dont il pèse sur les décisions manque cruellement de transparence selon la députée PS française Catherine Lemorton. La faute selon elle au désengagement de l’État dans les expertises publiques désormais laissées aux seuls consultants extérieurs.

    À tel point que souvent les intérêts privés priment sur l’intérêt général, à l’instar de la loi sur le prix du médicament votée en Allemagne : le bénéfice thérapeutique qui conditionne le remboursement sera évalué non par un comité indépendant, comme proposé en première instance, mais par le ministère, plus facile à influencer. Un amendement directement proposé par l’industrie pharmaceutique et repris tel quel par le Parlement.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • L’UE va payer des « trolls » pour contrer l’euroscepticisme sur Internet

    - La réaction du FN : « Big Brother : l’UE va-t-elle financer des patrouilles sur Internet ? »
    A l’approche des élections européennes de 2014, un article du Télégraphe britannique du 3 février dernier, et qui n’a été repris par aucun média français, révèle que le Parlement européen envisagerait de financer, à hauteur de 2 à 3 millions d’euros, des agents ou « trolls » afin de contrecarrer tout ce que des eurocritiques pourraient écrire sur Internet (sites, Twitter, Facebook, etc.). [...] FN

    - La réaction de Nigel Farage, député européen (UKIP)
    [Sous-titrage bienvenu : verbatim de l'interview ici et traduction dans les coms]

    « L’UE ne vaut pas mieux qu’une république bananière ! »

    L’UE sort 3 millions d’euros pour payer des gens en « trolls » [députés et fonctionnaires européens. NDLR] afin qu’ils disent le plus grand bien de l’Europe sur les sites et réseaux sociaux et aussi pour convaincre les gens que l’UE, etc., c’est bien.

    Au coeur de cette nouvelle stratégie : des « outils de contrôle de l’opinion publique »[littéralement, ndlr], destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.

    Une augmentation de £1,7 million des dépenses en « analyse qualitative des médias » serait prévue, principalement tirée de budgets pré-existants. Néanmoins, £787 000 additionnels devraient être collectés l’an prochain, en dépit de la volonté affichée par l’UE de réduire ses dépenses à l’image de l’austérité mise en place aux niveaux nationaux.

    « Une attention particulière doit être accordée aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. » explicite en substance le document confidentiel.

    « Les communicants des institutions parlementaires doivent être habilités à appréhender [contrôler, littéralement, ndlr] le débat et l’opinion publics, sur le terrain et en temps réel, au sein des diverses conversations sur ces médias sociaux et blogs, de décrypter les « sujets tendances » et développer la capacité d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente, de se joindre aux conversations et les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes. »

    Selon ce document, « l’actuelle crise économique et financière, conjointement à des taux de chômage élevés, en particulier chez les jeunes, ont pour conséquence une baisse de la confiance accordée par les citoyens aux institutions européennes… L’image de l’UE est de toute évidence en souffrance.

    Afin de retourner l’impression que « l’Europe est le problème », nous devons pratiquer une communication axée sur l’idée que la réponse aux défis actuels… est « plus d’Europe », et non « moins d’Europe. » »

    Lire ici le Daily Telegraph pour le croire
    (merci à Cedericoco pour la traduction)

    Via le blog de Pierre Jovanovic et Radio Ici et Maintenant

    http://www.fdesouche.com/

  • Bonne route, Votre Sainteté !

    Le pape se rétracte¹, mais reste élu de l'Esprit Saint jusqu'au bout. S'il peut laisser à d'autres les inconvénients écrasants de la fonction séculière, nul ne peut se démettre d'une dignité in eternam telle que pontifex, celui qui forme pont entre les hommes et Dieu. Du souverain pontife il reste le pontife. Cette situation inédite dans les temps modernes d'un pape, volontairement reclus dans sa dignité spirituelle, priant en silence pour un pape en pleine charge de ses pouvoirs au balcon de la place Saint-Pierre, en étonne plus d'un dans l'Eglise romaine. Une jurisprudence se crée sous nos yeux jusqu'au 1er mars. Les exégètes autorisés livrent d'abondance motifs et circonstances, nous en retiendrons pour notre part la solitude, générée peut-être par la timidité, et l'incompréhension contingente des ouailles qui veulent du "neuf" au supermarché de la Foi et ne renvoyaient pas d'écho. Ce pape d'une grande hauteur de vue et d'une perception théologique insondable est inadapté aux évolutions à la mode qui ne sont pour lui que des sursauts d'orgueil de prélats en attente, de théologiens réformistes, d'agitateurs en conférences, soutenus par des médias largement hostiles à maintenir la maison sur ses fondations. C'est un patriarche qu'il faut lire plus qu'écouter, c'est un secondaire déstabilisé par les questions à brûle-pourpoint. Son projet était de ramasser l'Eglise d'Europe "en petits cercles vivants, où des gens convaincus et croyants agiraient selon leur foi, ainsi se perpétuerait-elle. C’est précisément ainsi qu’elle redeviendrait le sel de la terre". Durcir et non étendre, approfondir soi-même, convertir à l'excellence, tout l'opposé du mouvement du monde qui marche au Nombre.

    Après l'homélie du conclave (publiée sur Royal-Artillerie le 19 avril 2005), nous éliminions alors le pronostic d'un pape cool : Que ceux qui réclament l'aggiornamento, croyant quelque part conquérir les âmes en quantités, regardent bien le fond des choses. C'est des âmes qu'il s'agit, pas des ventres ! Si l'écoute et l'humanitaire sont les seules vertus qui vaillent dans ce bas monde, qu'ils décampent et créent alors Evêques-Sans-Frontières où ils pourront à loisir faire le bien en pleine concurrence avec toutes les sectes humanitaires qui mangent sur la misère et quelques structures de purs et de fous de l'Homme avec lesquels vite ils se disputeront. Mais qu'ils laissent l'Eglise à son orthodoxie, sauf à la vouloir périe !

    Nous voyons la presse aujourd'hui en faire des tonnes sur les prétendues ratées du pontificat de Benoît XVI et lister des soi-disant bévues comme le discours de Ratisbonne recadrant l'islam historique entre violence et raison, le doute émis à haute voix sur l'efficacité de la promotion du préservatif dans le combat contre le sida en Afrique (doute dont les Africains l'ont remercié de ne pas être pris pour des animaux en rut), l'explosion des affaires de pédophilie alors que cette mise au jour procédait de sa politique de nettoyage de la "pourriture de l'Eglise" qu'il avait dénoncée dans l'homélie du pallium.
    Sans parler des insultes récurrentes des organes réputés satiriques et minables, la presse audio-visuelle, pour des raisons banalement anticléricales, a généralement cherché à entraver la politique de Benoît XVI qui n'était pas assez spectaculaire pour elle, jusqu'à user de sa germanité contre lui, en diminuant systématiquement la portée de ses décisions, les rapetissant à des affaires de sexe. Elle n'attendait que le mariage des prêtres ou l'ordination des femmes. La presse écrite fut plus honnête mais moins entendue. Les catholiques qui se répandent dans les micro-trottoir ne comprennent rien, qui veulent un pontife sociétal dirigeant une ONG mondiale vouée à servir la soupe aux miséreux !

    Dans les armes pontificales provenant de la goupille de Munich & Freising, Benoît XVI avait choisi la coquille de saint Augustin. Méditant sur le mystère de la Sainte Trinité, la légende dit qu’il vit un enfant sur la plage jouer avec un coquillage, à l’aide duquel il essayait de puiser l’eau de la mer pour emplir un trou de sable : « il est plus difficile à ton intelligence de saisir le mystère de Dieu que de transvaser toute la mer dans ce petit trou ». Entre les scandales de la Curie, l'administration des « lobbies » qui profitent de sa moindre vigueur, le harcèlement de lourdes obligations fonctionnelles, il en a conclu que sa coquille était bien trop petite pour l'oeuvre qui lui restait à accomplir. Nul doute qu'il sortira de cette innovation un beau roman de Jean Raspail, lui qui a commis l'Anneau du Pêcheur autour de "Benoît".

    Joseph Ratzinger était un phare dans la tempête du monde. Le monde n'en voulut pas voir l'éclat mais ne s'est inquiété que du battage des vagues à son enrochement.
    Ce monde le méritait-il ?
    http://royalartillerie.blogspot.fr/
    (1) Benoît XVI exerce ses pouvoirs et se rétracte en vertu des canons 331, 332 et 333 du CODEX IURIS CANONICI 1983 qui disposent au Livre II que... :
    Canon 331
    – L’Évêque de l’Église de Rome, en qui demeure la charge que le Seigneur a donnée d’une manière singulière à Pierre, premier des Apôtres, et qui doit être transmise à ses successeurs, est le chef du Collège des Évêques, Vicaire du Christ et Pasteur de l’Église tout entière sur cette terre ; c’est pourquoi il possède dans l’Église, en vertu de sa charge, le pouvoir ordinaire, suprême, plénier, immédiat et universel qu’il peut toujours exercer librement.
    Canon 332
    §1.- Le Pontife Romain obtient le pouvoir plénier et suprême dans l’Église par l’élection légitime acceptée par lui, conjointement à la consécration épiscopale. C’est pourquoi, l’élu au pontificat suprême revêtu du caractère épiscopal obtient ce pouvoir dès le moment de son acceptation. Et si l’élu n’a pas le caractère épiscopal, il sera ordonné aussitôt Évêque.
    §2.- S’il arrive que le Pontife Romain renonce à sa charge, il est requis pour la validité que la renonciation soit faite librement et qu’elle soit dûment manifestée, mais non pas qu’elle soit acceptée par qui que ce soit.
    Canon 333
    §1.- En vertu de sa charge, non seulement le Pontife Romain possède le pouvoir sur l’Église tout entière, mais il obtient aussi sur toutes les Églises particulières et leurs regroupements la primauté du pouvoir ordinaire par laquelle est à la fois affermi et garanti le pouvoir propre ordinaire et immédiat que les Évêques possèdent sur les Églises particulières confiées à leur soin.
    §2.- Dans l’exercice da sa charge de Pasteur Suprême de l’Église, le Pontife Romain est toujours en lien de communion avec les autres Évêques ainsi qu’avec l’Église tout entière ; il a cependant la droit, selon les besoins de l’Église, de déterminer la façon personnelle ou collégiale d’exercer cette charge.
    §3.- Contre une sentence ou un décret du Pontife Romain, il n’y a ni appel ni recours.

  • Le gouvernement français veut accélérer le processus d’entrée de la Turquie dans l’Union européenne

    turquie.jpgHier, la France a fait un nouveau pas vers l’intégration de la Turquie dans l’Union européenne en acceptant d’ouvrir, à Bruxelles, un nouveau chapitre des négociations d’adhésion.

    Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabiu,s a fait savoir à son homologue turc, Ahmet Davutoglu, que la France allait prochainement lever son veto à l’ouverture des négociations : « Je lui ai confirmé qu’on était favorables à ouvrir la discussion sur le chapitre 22″, a-t-il communiqué. Quant à Philippe Lalliot, porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, il a déclaré que la France avait le désir d’ « apporter un nouvel élan aux relations entre l’Union européenne et la Turquie ». « Elle attend de la Turquie qu’elle s’engage de son côté à contribuer concrètement à cette dynamique », a-t-il poursuivi.

    Pour la gauche, qui fait de l’émancipation un facteur de progrès en général, l’appartenance à une communauté est purement conventionnelle et doit être libre de toute contrainte historique, géographique ou culturelle. C’est donc dans la volonté et dans l’adhésion intellectuelle à des principes abstraits que se fonde la nationalité ou l’intégration. François Hollande n’a-t-il pas déclaré que l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne devrait se décider sur des critères exclusivement politiques et économiques ? Ou comment se libérer des réalités -des contraintes ?- du temps et de l’espace : car si demain le Mexique souscrit rationnellement aux droits de l’homme, et que son niveau économique rejoint celui de la France, sera-t-il français pour autant ?

    La réalité, c’est que l’entrée de la Turquie dans l’Europe ne saurait être suspendue à son adhésion à des concepts universels, précisément parce que l’Europe n’est pas un concept, et parce qu’elle n’est pas universelle : elle a une identité charnelle, historique et singulière. La Turquie peut bien entrer dans l’Union européenne, elle n’entrera jamais en Europe car elle n’est pas européenne, ni par son histoire, ni par sa géographie, ni par sa culture.

    http://www.contre-info.com/

  • Mélenchon, tigre de papier, valet du mondialisme

    Le Parti de gauche défend l’installation d’un Starbucks à Montmartre

    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) – L’association « Paris Fierté » avait organisé une manifestation festive prévue samedi dernier place des Abbesses dans le quartier de Montmartre.

    Ce rassemblement visait à réunir sympathisants, commerçants, élus et associations pour s’opposer à l’installation d’un Starbucks dans le quartier.

    Multinationale américaine, emblème de la restauration mondialisée, ce groupe est connu pour ne payer aucun impôt en France et avoir des pratiques sociales extrêmement contestables.

    C’est l’annonce par le Parti de gauche de Jean‑Luc Mélenchon de l’organisation d’une contre‑manifestation qui a décidé la préfecture à interdire ce premier rassemblement.

    La connivence entre les mouvements d’extrême gauche et les entreprises mondialistes ultralibérales ne semble plus être à démontrer.

    Novopress

    Le Parti de Gauche défend l’installation de la multinationale américaine Starbucks place du Tertre !

    Malgré la procédure de référé-liberté que nous avions engagée (cf. notre précédent communiqué), notre rassemblement initialement prévu le 9 février à 15h30 place des Abbesses a finalement été interdit.

    Ce rassemblement festif avait pour but de dénoncer l’implantation d’un Starbucks, multinationale symbole de la standardisation des goûts, sur la place du Tertre sans aucune consultation préalable des commerçants et des habitants.

    L’interdiction a été motivée par l’organisation à la toute dernière minute d’une contre-manifestation annoncée comme potentiellement violente, déposée par un responsable du Parti de Gauche de Jean-Luc Mélenchon.

    La Préfecture a préféré tout annuler plutôt que de faire son devoir : interdire la contre-manifestation et sécuriser notre rassemblement prévu de longue date.

    Nous prenons acte de cette décision et tirons de tout cela un point positif.

    Depuis le début de l’opération, nous cherchions en effet à ce que les politiques se positionnent sur le dossier : sont-ils pour l’implantation du Starbucks, ou contre ?

    Nous nous réjouissons de voir le Parti de Gauche être le premier à se positionner clairement, et apporter de facto son soutien à la Multinationale, qui rappelons-le ne paie quasiment aucun impôt en France.

    Au delà de cela, et malgré les nouveaux amis de Starbucks, l’Association Paris-Fierté annonce d’ores et déjà la tenue de prochaines actions aux côtés des riverains, des commerçants et des autres associations impliquées, qui nous ont apporté leur soutien de manière unanime. Nous annonçons par ailleurs que plusieurs plaintes, notamment contre le Parti de Gauche, seront déposées dans la semaine.

    Plus d’informations sur : www.parisfierte.com // Notre page facebook // Notre page tweeter // Par courrier électronique : parisfierte@gmail.com

    http://www.actionfrancaise.net

  • Marché transatlantique : la « théorie du complot » devient réalité

     

    Par Adrien Abauzit

    Il y a encore un an de cela, le simple fait d’évoquer la mise en place d’un marché transatlantique valait à n’importe quel auteur les douces et grotesques accusations de complotisme. Et pour cause : tout ce qui est étranger à la vision du monde délivrée par les grands médias est l’objet d’accusation de complotisme. Officiellement, l’UE est faite pour faire contrepoids aux Etats-Unis. Il était donc malséant de constater, textes officiels à l’appui, que bien au contraire, la « construction européenne » aboutissait à la fusion de l’Europe et des Etats-Unis.

    Un projet qui vient de loin

    Si l’on s’en réfère aux textes officiels, la première étape de la mise en place du marché transatlantique est la Déclaration transatlantique du 22 novembre 1990, faite par ce qu’on appelait à l’époque la Communauté économique européenne et les Etats-Unis. Un dialogue institutionnel est créé. Dorénavant, sera organisé chaque année un sommet UE-Etats-Unis, auquel on ajoutera des réunions ministérielles bisannuelles.

    En 1995, est adopté le Nouvel Agenda transatlantique. Ce partenariat prescrit un plan d’action et des objectifs communs, comme la promotion de la paix ou l’extension du commerce mondial.

    Le 18 mai 1998, lors d’un sommet UE-Etats-Unis, il est décidé d’intensifier la coopération entre les deux zones par le Partenariat économique transatlantique. Son objet est clair : accroitre le libre-échange.

    Lors du sommet UE-Etats-Unis, à Washington, le 30 avril 2007, les deux parties se mettent d’accord sur un nouveau partenariat économique, dont le but est d’harmoniser les normes entre le droit européen et le droit américain. Cette mission sera confiée au Conseil économique transatlantique (CET), créé pour l’occasion.

    Enfin, le 9 mars 2009, le Parlement européen vote une résolution visant à la création pure et simple d’un marché transatlantique pour 2015. Ainsi, dans le point 45 de la résolution, le Parlement européen « invite instamment les partenaires à mettre à profit tout le potentiel du Conseil économique transatlantique pour surmonter les obstacles actuels à l’intégration économique et pour réaliser un marché transatlantique unifié d’ici à 2015 ».

    Dernièrement, le commissaire européen au Commerce, le belge Karel de Gucht, ne cachait pas son enthousiasme et espérait l’achèvement du marché transatlantique dès la mi-2014*.

    Petite touche par petite touche, très intelligemment, sans faire de bruit, sans brusquer les peuples réfractaires et sans même les alerter, on est arrivé à bâtir une institution gigantesque aux conséquences immenses. Mis devant le fait accompli, les peuples, comme à chaque fois lorsqu’il s’agit de la mise en place de la gouvernance mondiale, n’auront pas leur mot à dire. L’oligarchie mondialiste a décidé à leur place.

    Le silence des médias, des experts et des partis politiques

    En 2004, sortait dans le plus grand silence le livre de Pierre Hillard, La décomposition des nations européennes, dont le sous-titre était : De l’union euro-Atlantique à l’État mondial. Géopolitique cachée de la constitution européenne. C’est, à notre connaissance, en France, le premier ouvrage dans lequel était traitée la question de ce nouvel atlantisme. Avec cinq ans plus tard Jean-Luc Mélenchon, ces deux personnalités publiques sont les seules à avoir dénoncé le marché transatlantique.

    Les années passant, aucun journaliste, aucun expert officiel ou homme politique de premier plan, y compris parmi ceux qui sont officiellement hostiles à l’OTAN et à l’UE, n’ont ajouté leur voix à la divulgation du marché transatlantique. A considérer le niveau historiquement inégalé de nullité et de félonie des élites françaises depuis au moins Pompidou, il n’y a ici nulle surprise. Ce silence, donc, ne pouvait avoir que deux causes : l’ignorance ou le mot d’ordre. Le lecteur tranchera, mais dans les deux cas, presstituées et politiques sont coupables.

    Depuis quelques semaines cependant, le feu vert semble avoir été donné, quelques médias du Système ont commencé à parler du marché transatlantique. Chose logique, puisqu’il est trop tard : la mécanique arrive à son terme et l’on ne peut plus s’y opposer. Saluons l’artiste pour le tour de passe-passe.

    La fin du mythe de l’Europe-contrepoids

    Depuis maintenant trop d’années, presstituées et collabos nous vendent l’Union européenne comme seul moyen de faire contrepoids à la toute-puissance américaine. Argument bien curieux. Car enfin, sur quoi se fondait-il ? Qu’est-ce qui pouvait bien donner l’illusion d’une UE rivale des Etats-Unis ? L’américanisation des cultures européennes, des produits de consommation, des mœurs, des émissions de télévision, du cinéma ? L’occupation militaire de la quasi-totalité de l’Europe par les troupes américaines ? La relation privilégiée des Etats-Unis avec la Grande-Bretagne et l’Europe de l’Est ? La colonisation financière de l’Europe, via la liberté de circulation des capitaux, imposée par les traités européens, qui s’est traduit notamment par l’acquisition de plus de la moitié du CAC 40 par les fonds de pension et hedge funds anglo-saxons ? Le suivisme militaire au Kosovo, en Afghanistan, en Irak, en Lybie et en Syrie ?

    Nous le voyons, loin d’être un vecteur d’opposition aux Etats-Unis, le droit européen a permis aux Etats-Unis, via la liberté de circulation des capitaux, le libre-échange, l’interdiction de la monétisation de la dette et plus généralement, par la neutralisation des souverainetés européennes, d’accroître comme jamais dans l’histoire leur mainmise sur l’Europe.

    Il fallait vraiment être un imbécile de première catégorie pour croire une demi-seconde que l’Union européenne puisse chercher à faire contrepoids à l’Oncle Sam. C’est pourtant la pilule que notre classe politique traitre a essayé de nous faire avaler. Et de fait, des millions de français ont mordu à l’hameçon.

    Le marché transatlantique dissipera-t-il les illusions des plus naïfs ? Nous aimerions le croire…

    Le peuple HS, la France à genou, le CDI au dépotoir

    Et la France dans tout ça, quelle est sa position ? A votre avis cher lecteur, quelle est-elle ? Avons-nous vu les deux têtes de l’exécutif s’opposer au TSCG, au MES, à la guerre en Syrie ? N’avons-nous pas vu le béat Jean-Marc Ayraut faire au Maroc l’éloge des délocalisations, stupidement rebaptisées par lui « colocalisations » ? Ne voyons-nous pas notre couple d’homme invisible faire courbette devant les banques avec un faux Glass-Steagal Act à la française ?

    François Hollande est le président de la République le plus soumis de l’histoire de France. Il était couru d’avance qu’il se rallierait au marché transatlantique. Nicole Bricq, ministre du commerce extérieur, à défaut d’organiser un véritable référendum, a lancé une vaste consultation…des entreprises !** On remplace la démocratie comme on peut.

    Le 11 janvier 2013, a été conclu un Accord national interprofessionnel (ANI) entre le MEDEF et plusieurs syndicats jaunes. Si cet accord, qui sera transposé au printemps en projet de loi, offre de nouveaux micros droits aux salariés, il n’en est pas moins le plus grand recul en matière de droit du travail depuis l’existence de cette matière.

    En effet, l’ANI prévoit la création d’un nouveau type d’accord d’entreprise, les « accords pour l’emploi ». Lorsque ce type d’accord est conclu, un salarié qui refuse une diminution de son salaire ou une augmentation de son temps de travail pourra être licencié pour motif économique sans même avoir le droit de contester son licenciement devant les Prud’hommes (ce qui est inconstitutionnel).

    Rappelons que la jurisprudence actuelle n’autorise pas l’employeur à modifier unilatéralement la rémunération ou le temps de travail des salariés. Pour cela, l’accord du salarié est obligatoire. En clair, les « accords sur l’emploi » annulent purement et simplement les garanties juridiques des CDI. Une fois l’ « accord sur l’emploi » conclu, le CDI n’existe plus, il est vidé de sa substance, de sa réalité. La « gauche », qui ne cessait de donner des leçons de « social » à Nicolas Sarkozy, a fait ce que ce dernier n’aurait jamais osé. Elle a même fait pire que le fameux CPE de Dominique de Villepin. A cet égard, il sera intéressant de voir si les syndicats non signataires de l’ANI seront autant motivés pour faire capoter la machine, qu’ils ne l’ont été pour le CPE. Nous les attendons au tournant.

    Où voulons-nous en venir ? Souvenons-nous des textes. Le marché transatlantique ne peut se faire que si les législations européennes et américaines sont harmonisées. Bien évidemment, pour le peuple, comme dans toute « harmonisation », cette harmonisation se fera à la baisse. Il n’est pas incohérent de considérer que ce recul du droit du travail français ait été opéré dans une logique d’harmonisation avec le droit du travail américain.

    Nous prions à genou le lecteur de bien croire que ce marché transatlantique est un piège à loup. Un piège à loup sur lequel les collabos du gouvernement nous forceront à mettre le pied.

    A.A http://www.scriptoblog.com

    *http://www.challenges.fr/economie/20120611.CHA7352/europe-usa-la-zone-de-libre-echange-dont-reve-bruxelles.html

    **http://www.challenges.fr/economie/20130129.CHA5653/la-france-se-rallie-a-l-idee-d-une-zone-de-libre-echange-transatlantique.html

  • Marché : Les agences de notation rattrapées par les subprimes

    Les problèmes juridiques des agences de notations ne font que commencer: le gouvernement fédéral américain a lancé cette semaine une offensive contre Standard and Poor’s et l’Etat de New York étudie de possibles poursuites contre ses concurrentes Moody’s et Fitch.

    L’action de McGraw-Hill, la maison mère de Standard and Poor’s (S&P), a plongé de 27% cette semaine et celle de Moody’s de 22%. Fitch, coentreprise du fonds français Fimalac et du groupe de médias américain Hearst, n’est pas cotée.

    “Les investisseurs ont vendu agressivement les actions (des agences de notation) de peur que le problème avec le département de la Justice (DoJ) s’aggrave”, a commenté Michael James, stratège boursier de Jedbush Securities.

    Ils anticipent d’autres mauvaises nouvelles et leur réaction c’est de vendre l’action d’abord et de réfléchir après”, a-t-il ajouté.

    Mardi, le gouvernement américain a porté plainte contre S&P pour tenter de recouvrer quelque 5 milliards de dollars de pertes subies par des investisseurs qui auraient acheté des produits dérivés de crédits hypothécaires très risqués (subprime) sur la foi de notes de S&P excessivement optimistes.

    Le département américain de la Justice (DoJ) accuse S&P d’avoir en toute connaissance de cause accordé des notes complaisantes pour préserver sa part de marché dans les produits dérivés.

    Treize Etats américains ont emboîté le pas au DoJ, dont l’Iowa et la Californie. Cette dernière réclame des milliards de dollars pour indemniser les investisseurs, notamment deux très gros fonds de retraite locaux (CalPers et CalStrs), de leurs pertes liées aux subprimes.

    Ces montants colossaux ont de quoi inquiéter les investisseurs alors que McGraw-Hill ne génère que 1 milliard de dollars de bénéfices annuels.

    Face à ces sérieuses complications juridiques pour S&P, l’agence Fitch a abaissé jeudi la note de sa rivale d’un cran, à BBB+, même si elle juge que S&P dispose d’une “souplesse financière importante pour absorber” des dommages et intérêts substantiels.

    Fitch et Moody’s ont toutes deux indiqué ne pas être impliquées dans la plainte du DoJ contre S&P et ne pas avoir d’informations laissant penser qu’elles pourraient faire l’objet de procédures similaires.

    Pour Jacob Frenzel, avocat spécialisé dans les litiges boursiers et gouvernementaux, le DoJ va cependant probablement attaquer Moody’s et Fitch, même s’il a commencé par S&P car “le dossier le plus solide vient en premier”.

    Selon lui, il faut s’attendre à des règlements à l’amiable de “plusieurs centaines de millions de dollars”.

    Parallèlement, une source proche du dossier a indiqué vendredi à l’AFP que S&P était visée par une assignation à comparaître du ministre de la Justice de l’Etat de New York, Eric Schneiderman, dans le cadre d’une enquête sur le rôle des agences de notation dans la crise financière de 2008. Moody’s et Fitch ont quant à elles reçu des demandes d’informations formelles.

    Les trois grandes agences avaient passé un accord à l’amiable en juin 2008 avec l’Etat de New York et s’étaient engagées à mener certaines réformes. M. Schneiderman cherche à savoir si S&P, Moody’s et Fitch ont manqué à leurs engagements, auquel cas il pourrait engager de nouvelles poursuites.

    Les agences de notation ont été fortement critiquées pour avoir contribué à la crise financière la plus grave depuis celle de 1929 en surévaluant la qualité des produits dérivés adossés aux subprimes, achetés par de nombreuses banques et fonds dans le monde.

    Quand la bulle immobilière américaine s’est dégonflée à l’été 2007, cela s’est traduit par des défauts de paiements par centaines de milliers, qui ont à leur tour entraîné de très lourdes pertes pour de nombreuses banques ayant acheté des dérivés de ces crédits risqués. Beaucoup ont fait faillite, notamment Lehman Brothers.

    news-banques.com

    http://fortune.fdesouche.com

  • Olivier Delamarche : « Si les Etats-Unis arrêtent les injections massives de billets, ils tombent en récession »

    Olivier Delamarche, du groupe Platinium Gestion, le 12 février 2013 sur BFM Radio, met les points sur les i, dans l’émission “Intégrale Placements“, face à Guillaume Sommerer et Cédric Decoeur.

    « L’Etat américain a remplacé les ménages. Les ménages se sont endettés de 1000 milliards par an de 2000 à 2008, aujourd’hui c’est l’Etat qui fait la même chose. On distribue du fric qu’on n’a pas en essayant de tenir le plus longtemps possible. Pour le moment, ce ne sont pas les Chinois ni les Japonais qui rachètent la dette américaine, c’est la FED. »

    « J’espère que le pape va faire des émules chez nos politiciens et nos autorités économiques. »