La semaine dernière, nous apprenions, quasiment par voie diplomatique et derrière le sourire particulièrement crispé de Von Der Leyen, que l’Europe avait choisi un suicide économique lent, par vassalisation aux États-Unis. Cependant, ce suicide s’ajoute à un véritable sabotage géopolitique.
Le nouveau chef américain des forces de l’OTAN en Europe, Alexus Grynkewich, a mis en garde contre une éventuellement coordination des Russes et des Chinois : les premiers pourraient attaquer l’Europe pendant que les seconds se chargeraient de Taïwan. En d’autres termes, toujours selon Grynkewich, les pays de l’OTAN devraient se préparer à un conflit mondialisé contre les deux puissances de l’Est.