La Russie va reprendre ses livraisons de gaz à l'Italie après les avoir suspendues samedi en raison d'un "problème" en Autriche, par lequel le gaz russe passe, a annoncé mercredi le géant gazier russe Gazprom.
international - Page 374
-
Gazprom va reprendre ses livraisons vers l'Italie
-
Répercussion du conflit en Ukraine aux États-Unis
par Faouzi Oki.
Les réserves stratégiques de pétrole des États-Unis ont atteint leur plus bas niveau.
Le département américain de l’Énergie a rapporté que le niveau des réserves stratégiques de pétrole des États-Unis a atteint son plus bas niveau depuis quatre décennies et s’est aggravé depuis la guerre en Ukraine.
Alors que l’économie des États-Unis décline de manière très significative, l’accès à la protection sociale et l’hygiène n’est ni équilibré et ni équitable. Le coefficient de Gini prouve que les inégalités salariales aux États-Unis ont augmenté de jour en jour au cours des 30 dernières années, ont signalé des associations américaines.
-
Pour toi, Mère Patrie !
Depuis une semaine, 200 000 hommes mobilisés (sur les 300 000 prévus par la 1ère mobilisation partielle) ont déjà rejoint leurs camps d'entrainement et très important, 70 000 volontaires se sont présentés aussi pour rejoindre le front de l'Ouest.
- D'un côté il y a les beaux et nécessaires discours des hommes politiques russes qui saluent le retour amorcé des territoires pontiques russes quittant une Ukraine à la dérive pour s'en retourner vers leur Mère Patrie,
- De l'autre côté il y a les difficultés d'un corps de bataille russe, en sous effectif, englué dans la rigidité obsolète d'un commandement confronté à une résistance ukrainienne sous évaluée dopée par un cobelligérance démesurée de l'OTAN,
- Et au milieu nous avons des peuples de Russie qui sont mobilisés et se mobilisent devant les nuages sombres s'accumulant à l'horizon occidental de leur destinée commune incarnée par un leader défendant le sens commun universel.
Il y a bien sûr les rats et les lâches qui s'enfuient à l'étranger oubliant égotiquement que tout contrat social entre les citoyens et le pouvoir s'appuie sur des droits mais aussi sur des devoirs. Entre les défaitistes narcissiques qui lancent leurs canots dans la mer de la traitrise et les négationnistes peureux qui s'enivrent de leurs fantasmes au fond des cales propagandistes, il y a ceux qui affrontent les tempêtes, vent debout au gaillard d'avant dune patrie qui roule et tangue sous les assauts de la haine.
-
L’OTAN en sueur : la Russie mobilise le Belgorod, équipé des "torpilles de l’Apocalypse" (videos)
Publié le : lundi 3 octobre 2022
Sous-marin le plus long de l’océan, le Belgorod, livré à la marine russe début juillet, serait actuellement immergé dans les eaux arctiques après une possible implication dans le sabotage des gazoducs Nord Stream 1 et 2, selon La Repubblica.
L’Otan craint que la prochaine mission du Belgorod, long de 184 mètres pour 18 mètres de largeur et 9 de hauteur, soit de tester les surpuissantes torpilles Poseidon, également connues sous le nom de « torpilles de l’Apocalypse ». Ces dernières mesureraient 24 mètres de long, 2,5 mètres de diamètre pour un poids d’environ 100 tonnes.
-
Conflit en Ukraine : À QUI LA FAUTE ?
-
Réflexions sur les possibilités d’adaptation et d’évolution de l’armée russe
par Christelle Néant.
La situation en région de Kharkov, puis la perte de Krasny Liman, ont engendré beaucoup de débats en Russie sur la façon dont l’armée russe opère en Ukraine, et sur les responsabilités de tel ou tel officier supérieur dans ces échecs. N’ayant pas de formation militaire, j’ai néanmoins été formée à différentes disciplines qui m’ont enseignée des principes applicables à plusieurs domaines. Cet article est une analyse de ce que je perçois comme étant au moins une partie des causes de ces échecs, et des suggestions pour régler plusieurs de ces problèmes.
Commençons par le début et analysons les causes potentielles de l’échec de l’armée russe en région de Kharkov puis de Krasny Liman. Certains comme Ramzan Kadyrov, et Evgueni Prigojine ont pointé la responsabilité du général Alexandre Lapine, qui dirige les troupes russes sur cette portion du front. Plusieurs journalistes dont Alexandre Khartchenko, ont défendu le général russe, en soulignant qu’il avait demandé la mobilisation dès le mois de juin, et qu’il a fait du mieux qu’il pouvait avec le peu qu’il avait. Ces journalistes ont pointé des problèmes d’ordre systémique, et appelé à cesser de chercher des boucs émissaires.
-
Point au jour 223- Où en est la guerre d’Ukraine ?
-
Ukraine : les leçons de Tolstoï
A entendre les médias français, et les généraux de plateaux vendus à l’OTAN et oublieux des intérêts de la France et de son peuple, l’Ukraine serait en passe de « gagner la guerre », la Russie l’a perdue et bien perdue, une nouvelle aurore de lendemains heureux se lève à l’ouest …
D’outre-Atlantique, dont le gouvernement est pourtant un fervent soutien de Kiev, provient un son de cloche différent. Si la Russie n’était pas si perdante que cela, au contraire …
Le National Interest publie un article d’un ancien officier en force à l’état-major des États-Unis, David Payne :
« Après la contre-offensive ukrainienne réussie à Kharkiv au début du mois, qui a conduit à la libération de près de 6 % du territoire occupé par la Russie, les dirigeants occidentaux continuent de surestimer les chances de l’Ukraine de gagner la guerre.
-
Sitrep Ukraine : Un autre genre de guerre est sur le point de commencer
par William Schryver.
Trois semaines après la contre-offensive de Kharkov du 20 septembre 2022, largement célébrée et massivement médiatisée, les événements qui étaient initialement obscurcis par le brouillard de guerre peuvent maintenant être vus plus clairement.
Tout d’abord, il est bien établi que, de juillet à août, il y a eu une accumulation assez transparente de forces ukrainiennes et affiliées à l’OTAN (« volontaires étrangers ») fraîchement constituées et transportés dans le quadrant nord-est de l’oblast de Kharkov.
-
Une folie suicidaire
par Rafael Poch de Feliu.
Ce mois-ci marque le soixantième anniversaire de la crise des missiles cubains. Aujourd’hui, nous nous approchons de quelque chose de similaire, mais l’opinion publique reste dans l’ombre.
Entre le 14 et le 28 octobre 1962, le monde est au bord du gouffre. Un sentiment profond et extrême d’insécurité, découlant de la présence des moyens militaires de destruction massive de l’adversaire nucléaire à proximité de ses propres frontières, est à l’origine de cette crise.