La conscience internationale se réveille en même temps que s'installent aux commandes les talibans. Et de constater que les portefeuilles du gouvernement provisoire de Kaboul sont confiés à des Pachtounes ayant dirigé le pays jusqu'en 2001, avec une mention spéciale pour celui de l'Intérieur qui est donné au chef du réseau indépendant Haqqani, lequel est considéré comme un fondé de pouvoir d'al-Qaïda. Le Premier ministre Akhund (en image), qui était déjà conseiller politique de Mollah Omar dans le premier gouvernement de 1996, dispose d'une légitimité religieuse ancrée au berceau taliban de Kandahar mais d'aucun emploi à la guerre (source), ce qui ne fait pas d'ombre aux commandants provinciaux. Il se trouve être le plus petit commun dénominateur des diverses factions qui s'observent à la Rehbar-e-Shura (conseil de surveillance).
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BUSINESS AS USUAL
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Rendez-nous Trump !
Notre microcosme médiatique et notre oligarchie politique attendaient Biden comme le Messie. Enfin, les Etats-Unis allaient redevenir le modèle de la démocratie exportable, le grand protecteur de l’Europe, le plus vieil allié de la France, celui qui, dans le fond, avait très tôt converti celle-ci à la République. L’Obamania avait déferlé durant huit ans sur notre pays.
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ECHEC EN AUSTRALIE : L’ARC-DE-TRIOMPHE EN PERD LA FACE !
Pauvre Napoléon ! Alors que le microcosme décadent qui règne à Paris crie son emballement pour l’emballage de l’Arc-de-Triomphe, l’Empire anglo-saxon qui règne sur le monde, depuis Trafalgar et Waterloo, vient de mettre une grosse claque à la France en annulant le “contrat du siècle”, l’achat par l’Australie de 12 sous-marins français très performants mais classiques. Des bâtiments américains à propulsion nucléaire leur sont préférés. Il ne faut pas se voiler la face, ces deux événements ont des rapports apparemment lointains, dont le rapprochement déclenche un éclair de lucidité.
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Soros et l’ONU : un rapport qui dérange
Genève, vendredi 3 septembre. Au siège des Nations unies, une bombe vient d’exploser. Il s’agit du nouveau rapport de l’European Center for Law and Justice (ECLJ), dirigé par Grégor Puppinck. Et ses conclusions risquent de déranger quelques experts prétendument bénévoles, aux poches en réalité bien remplies.
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Mirages sanglants et hypocrites, par Charles de Meyer.
Nos téléviseurs ont déployé l’image de la curée occidentale en Afghanistan jusqu’à la nausée. Au masochisme de l’Ouest, les Talibans ont répondu par un sadisme sournois, mimant des codes linguistiques, abreuvant les caméras d’expressions préfabriquées, promettant ce que le monde voulait entendre.
Le consommateur d’informations internationales fut pris de stupeur. Tout se mélangeait en effet dans la présentation des évènements : des troupes de combattants hirsutes, aux mœurs barbares, venaient de l’emporter sur vingt années de formations des armées afghanes par les experts occidentaux.
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Le rapport de l’ECLJ sur le financement des experts de l’ONU provoque un traumatisme
Le rapport de l’European Center for Law and Justice (ECLJ), évoqué début septembre, sur le financement de certains experts de l’ONU, a provoqué un trouble à l’ONU. Au point que des experts concernés par ces pratiques ont attaqué, non pas le contenu du rapport, mais l’ECLJ et son directeur, Grégor Puppinck.
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« Panique en Australie. Les rayons sont vides, pénurie de tout !! » L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Comme vous le savez sans doute je me méfie toujours la toute puissance de l’Etat, ici comme ailleurs, car c’est toujours le même résultat à l’arrivée.
Les Etats ne savent pas nous enrichir, mais avec une constance étonnante partout à travers le monde, ils s’évertuent avec une efficacité remarquable à appauvrir leurs populations.
C’est une constante historique.
Pour que quelque chose ne fonctionne pas, souvent le confier à l’Etat est une bonne chose.
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États-Unis : l’État du Texas adopte une loi qui interdit aux réseaux sociaux de bannir des utilisateurs « en fonction de leurs opinions politiques »
Dans un communiqué, le gouverneur du Texas a annoncé avoir adopté, jeudi 9 septembre, une loi interdisant aux réseaux sociaux de bannir des utilisateurs « en fonction de leurs opinions politiques », rapporte le journal Marianne. Une décision qui intervient après l’exclusion de Donald Trump des réseaux sociaux Twitter, Facebook et Instagram au début de l’année 2021.
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Inquiétudes de la dictature chinoise
Le 31 août, le président chinois Xi Jinping, accompagné d'autres hauts dignitaires du régime, assistait au gala d'ouverture du 6e Festival des arts des minorités ethniques de l'empire du Milieu. Autour du dirigeant tout-puissant, président de la Commission militaire centrale, et bien entendu secrétaire général du Comité central du Parti communiste, s'agglutinait un public de plus de 3 000 personnes, dans l'immense Palais de l'Assemblée du Peuple, situé sur le côté ouest de la Place Tiananmen.
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Afghanistan, le droit à l’indifférence