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  • États-Unis : dans les écoles pour élites, des parents terrorisés s’organisent face à la domination d’une idéologie antiraciste devenu folle 2/2

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    Brentwood, une école qui coûte 45 630 dollars par an, a fait les gros titres il y a quelques semaines lorsqu’elle a organisé des “sessions de dialogue et de renforcement de la communauté” ségréguées sur le plan racial. Mais lorsque je parle avec un parent d’un élève de collège de cette école, c’est du programme d’anglais de leur enfant qu’ils veulent parler. “Ils ont remplacé tous les livres sans rien dire et sans même en informer les parents.” Le programme ne comporte plus de classiques du style “The Scarlet Letter”, “Little Women”, “To Kill a Mockingbird” et “Lord of the Flies”. Parmi les nouveaux livres : “Stamped: Racism, Antiracism, and You”, “Cher Martin”, “Chère Justice”, et “Yaqui Delgado veut vous botter le cul”.

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  • États-Unis : dans les écoles pour élites, des parents terrorisés s’organisent face à la domination d’une idéologie antiraciste devenu folle 1/2

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    L’auteur de l’article, Bari Weiss, est journaliste et membre du conseil consultatif de la Fondation contre l’intolérance et le racisme. C’est la journaliste qui avait dû quitter le New York Times à cause de sa prise de contrôle par des collègues de gauche de plus en plus sectaires.

    Les dissidents utilisent des pseudonymes et éteignent les images de leurs vidéos lorsqu’ils se contactent via le logiciel de discussion en ligne Zoom. Ils coordonnent généralement les entraînements de football et les covoiturages, et désormais ils se réunissent pour élaborer des stratégies. Ils disent qu’ils pourraient subir des conséquences sérieuses si quelqu’un savait qu’ils discutent ensemble.

    Mais ces derniers temps, la situation est devenue trop grave pour les courriels ou les plaintes lors des conférences téléphoniques. Ainsi, un week-end récent, dans une rue verdoyante de West Los Angeles, ils se sont réunis en personne et m’ont invitée à les rejoindre.

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  • Marine Le Pen présidente ? Une hypothèse «inquiétante» pour le pape François

    Lu sur NovoPress

    Lors d’une audience avec quatre Français, le pape a déclaré que la possibilité de l’élection de Marine Le Pen comme présidente était «inquiétante». Celle-ci lui a conseillé de «rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu». Le 15 mars, le pape François a reçu une délégation politique française face à laquelle il a affirmé que la possibilité de l’élection de Marine Le Pen comme présidente de la République était «inquiétante». Une commentaire qui a fait réagir la présidente du Rassemblement national, celle-ci ayant conseillé au souverain pontife de «rendre à César ce qui est à César» et de «s’occuper de ce qui se passe dans les églises».

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  • Écologie politique : le vent serait-il en train de tourner ?

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    Alors que l’Assemblée nationale débat depuis plusieurs jours des propositions issues de la Convention citoyenne pour le climat, ou « loi climat », trois informations passées plutôt inaperçues tendraient à montrer que le vent serait en train de tourner concernant les politiques environnementales.

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  • AstraZeneca : chronique d’un fiasco – JT du mardi 16 mars 2021

    Au programme ce soir, retour sur les derniers rebondissements du Covid. La cacophonie gouvernementale a atteint son paroxysme lundi avec le vaccin britannique AstraZeneca. Dimanche, le premier ministre vantait ses mérites, lundi, Emmanuel Macron annonçait sa suspension…

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  • De la guerre froide au multilatéralisme, Washington veut toujours contrôler l'Europe.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Le 12 mars 1947, le président américain, Harry S. Truman, présentait devant le Congrès des États-Unis, sa "doctrine" visant officiellement à l'endiguement du communisme.
    Louable projet en apparence que celui de contenir l'abominable menace de la dictature rouge et la montée en puissance, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, des partis communistes au ordres de Moscou.
    Mais le véritable objectif de ce vaste plan de soutien économique, militaire et "moral" aux démocraties avait un autre objectif : le contrôle absolu de l'Europe par les Etats-Unis et son asservissement par Washington dans la continuité de la politique wilsonnienne menée depuis 1918, et de la vision iréno-hégémonique de Roosevelt.
    En s'abandonnant ainsi au bon-vouloir de l'Amérique, l'Europe occidentale échangeait un internationalisme pour un autre et se condamnait à n'être qu'un appendice continental d'une puissance étrangère, dépendance politique et sociétale au même titre - en plus riante - qu'elle l'aurait été sous main-mise du bloc soviétique.
    Au moment où Joe Biden et sa nouvelle administration rompent avec l'isolationnisme - au demeurant très relatif - de Donald Trump et renouent, sous couvert de multilatéralisme, avec une politique interventionniste de relance internationale de la puissance américaine, il n'est pas inutile de se souvenir de ce que furent les vrais ressorts de la Guerre froide.
  • États-Unis : l’affirmation par Joe Biden d’un racisme systémique dans la police est contredite par les statistiques les plus fiables (Wall Street Journal)

    L’auteur, M. Anderson, a été directeur du Bureau des statistiques de la justice, de 2017 à 2021

    “Absolument”, avait déclaré le président Biden l’année dernière lorsqu’un journaliste lui a demandé s’il pensait qu’il y avait “un racisme systémique dans l’application de la loi”. Cette déclaration est difficile à concilier avec un mémorandum présidentiel que M. Biden a récemment publié : “La politique de mon administration est de prendre des décisions fondées sur des preuves et guidées par les meilleures données scientifiques disponibles.” Or l’allégation de “racisme systémique dans les forces de l’ordre” défie les meilleures sciences et données disponibles.

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  • Les États-nation face à Big Tech

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    L’une des questions les plus débattues ces dernières années est la relation entre les États-nations et les géants de la Silicon Valley. De nos jours, la communication politique passe par le réseau, par conséquent la puissance des réseaux sociaux a pris des proportions démesurées (1). La question est très complexe, mais quelques exemples nous aideront à mieux comprendre ce qui se passe.

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  • Quand Francois de Negroni rencontrait Thomas sankara (Le frivole et le sérieux)

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    Thomas Sankara est avec Patrice Lumumba l’un des grands leaders africains du siècle passé. Celui qui transforma la Haute-Volta, nom issu de la colonisation, en Burkina Faso, « terre des hommes intègres », lança une révolution que son assassinat, en 1987, empêcha de mener à son terme. Francois de Negroni, alors jeune coopérant, l'avait croisé. Une nuit a Majunga livre les détails de cette rencontre.

    L’essayiste Francois de Negroni a fait paraitre dernièrement un livre tout à fait curieux, entre témoignage historique, journal intime, digression politique et souvenir romance : Une nuit a Majunga. Dans ce texte dont l’action se situe a Madagascar au début des années 1970, il relate sa rencontre avec Thomas Sankara, futur héros de la révolution voltaïque. Jeune coopérant, Negroni enseigne alors les sciences humaines à l’Université de Tananarive et doit accompagner trois élèves officiers (deux Tchadiens et Sankara) envoyés par leur académie militaire en formation à Majunga, cité portuaire du nord-ouest du pays.

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  • Les actionnaires du CAC 40 se gavent.

    La chute est sévère, du jamais-vu dans l’histoire du CAC 40. Sous l’effet de la pandémie virale et de ses conséquences économiques, les bénéfices de trente-sept entreprises sur les quarante qui constituent cet indice ont fondu de plus de moitié en 2020 (51,4 %), par rapport à 2019, tombant à 39 milliards d’euros, selon les données du cabinet PwC, communiquées jeudi 4 mars. Avec un léger recul, le contraste est encore plus saisissant. Par deux fois, en 2017 et 2018, ces groupes se sont approchés du seuil symbolique des 100 milliards d’euros de profits. Le Covid a brisé cet élan.

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