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international - Page 539

  • Google vient de "dégoogliser" Synthèse nationale

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    Le moteur de recherches Google vient de "dégoogliser" notre site. Cela se fait généralement à la demande du pouvoir en place et, quelque soit ce pouvoir, Google obtempère servilement.

    Mais, pour que le pouvoir en arrive là, il faut que sa victime le dérange. Fut un temps où on saisissait les journaux à l'imprimerie, aujourd'hui, il suffit de demander aux moteurs de recherches de couper les liens...

    À dire vrai, il y a longtemps que nous pensions que cela arriverait un jour ou l'autre. C'est donc chose faite. Le dernier site à avoir subi le même sort en date étant notre confrère indépendantiste breton Breizh Atao.

    N'en déplaise aux instigateurs de cette pitoyable manoeuvre, cela ne nous empêchera pas de continuer le combat. Si, depuis 13 ans, sans interruption, nous amplifions notre audience, c'est que nous savons que nous pouvons compter sur la fidélité de nos lecteurs. Les premiers résultats de notre "souscrption patriotique 2019" cliquez ici en étant une fois de plus la preuve.

    Amis, ne soyez donc pas découragés et rigolons en considérant cette interdiction comme une médaille et rassurez-vous, nous allons vite trouver la parade à cette nouvelle provocation...

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

  • La « procédure de destitution » de Donald Trump : une comédie démocrate

    La « procédure de destitution » de Donald Trump : une comédie démocrate

    Comme l’écrit Yves Daoudal :

    Tout le monde sait que la procédure n’a aucune chance d’aboutir et qu’il s’agit d’une pure gesticulation politicienne. Les démocrates tablaient sans doute sur le fait que cette procédure allait entacher la popularité de Donald Trump. Eh bien, sur ce plan-là aussi, c’est déjà raté.

    Le 23 octobre, avant les auditions publiques dans le cadre de cette affaire, la popularité de Trump était de 38%. Le 10 décembre, alors qu’on annonçait le vote des députés, elle était de 41%. Hier, alors que le vote aura lieu demain, elle était de 43%. Et c’est la cote record de Donald Trump : c’est la première fois qu’il atteint ce score.

    Les démocrates se disaient aussi qu’au moins ils sèmeraient le trouble dans le rang des républicains, et que nombreux seraient ceux qui finiraient par lâcher le président.

    Or chez les républicains ils sont… 92% à lui faire confiance. Là aussi, c’est complètement raté.

    Dans Présent, Christian Daisug écrit :

    […] Deux articles : abus de pouvoir et obstruction au Congrès. Deux pauvres articles qui devraient être, en bonne logique, chargés de dynamite alors qu’ils paraissent maladifs, fiévreux, pâles tant ils sont écrasés par la fraude, le mensonge et l’imposture. C’est la première remarque « à chaud ». La seconde la suit de près, étant de même nature : les démocrates ont abandonné d’autres chefs d’accusation qu’ils avaient pourtant longtemps caressés avec délectation. La corruption, la trahison, l’obstruction à la justice et les abus dans le financement de campagnes électorales ne figurent pas, en effet, dans l’arsenal des agresseurs. Bizarre ? Non. L’aveuglement a des limites.

    L’abus de pouvoir est donc censé constituer l’un des deux « gros » morceaux des tirs de barrage démocrates. On accuse Trump d’avoir sollicité l’intervention des autorités de l’Ukraine afin d’interférer dans les élections présidentielles de 2020. On désigne Trump comme celui qui a exercé des pressions sur son homologue Volodymyr Zelensky pour inculper Joseph Biden, ex-vice-président – impliqué dans une sale histoire de corruption locale – et ainsi écarter un rival politique dans l’intense compétition actuelle. Rien de vrai dans ces allégations. Tous les témoins ont confirmé l’absence de preuves établissant le troc d’une aide militaire américaine de 400 millions de dollars contre l’ouverture d’un dossier judiciaire Biden par un juge d’instruction ukrainien. Le président Zelensky lui-même l’a confirmé. Et le principal témoin des démocrates, l’ambassadeur Gordon Sondland, a fini par admettre que l’existence de ce troc n’a pas dépassé la consistance d’une rumeur. Comble de malheur pour Adam Schiff, le grand inquisiteur de cette affaire, l’abus de pouvoir n’apparaît pas dans la constitution parmi les raisons possibles d’une destitution. Le faux détail s’est vu confirmé par les plus grands juristes du pays.

    L’obstruction au Congrès complète – mal – la panoplie des griefs contre Trump. On lui reproche d’avoir interdit d’une façon « inhabituelle, systématique et discriminatoire » l’accès à la barre à certains témoins supposés « gênants ou dangereux » pour l’accusé. Là encore, rien de vrai. […]

    C’est maintenant l’heure des débats. Schiff va tenter de faire avaler à ses 435 collègues l’étrange, l’insipide mixture qu’il leur a mitonnée. Alors que tous – moins deux – furent d’accord le mois dernier pour entamer une procédure de destitution contre Trump, tous ne le sont pas aujourd’hui pour franchir l’ultime étape assignée à la Chambre : le vote. Les débats, les discours et même les envolées oratoires ne comportent que peu de risques. Mais un vote s’avère indélébile. Pour cette raison, des lézardes, des défections apparaissent dans le bloc, en apparence compact, des assaillants. Il y a les élus qui remettent en jeu leur mandat dans des circonscriptions remportées par Trump en 2016. Ceux-là ont carrément peur. Il y a les écœurés par tout ce déballage, ce chaos, cette partialité, ces mensonges, et qui voudraient en finir. Ceux-là ont des états d’âme. Ces calculs et ces émotions peuvent être gérés par l’arithmétique et traduits en chiffres. Pour l’instant, ils sont au moins une douzaine à se demander si le camp auquel ils appartiennent est le bon. Certains les voient déjà en transfuges. Eux hésitent encore. Sauter le pas dans un moment historique ? Pourquoi pas ? D’autant que la direction du parti a renoncé à toute pression sur ses ouailles. Champ libre. Un risque pour les démocrates. Mais un risque inévitable. Chaque défection sera une flèche contre Schiff et ses complices. Chaque voix contre la destitution résonnera jusqu’à l’élection de novembre prochain. La Chambre devrait voter la semaine prochaine.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-procedure-de-destitution-de-donald-trump-une-comedie-democrate/

  • Pour Nike, la « modestie » féminine s’écrit hijab !

    En décembre 2017, dans ce temps de l’Avent où nous nous apprêtions à fêter le père Noël, héros ayant remplacé dans les esprits et les supermarchés la naissance d’un Christ qu’on n’ose plus montrer dans sa crèche, la marque Nike lançait le premier hijab « adapté aux sports de haut niveau ». Le hijab Nike Pro était né et promis à un bel avenir.

    Il paraît que la demande était forte, les femmes brûlant de courir, sauter, danser, patiner, skier peut-être, bien enrobées de voiles pudiques.

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  • Comprendre ce que fait Donald Trump

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    Ex: https://echelledejacob.blogspot.com

    Le moment est venu de comprendre ce que fait Donald Trump et de décrypter l’ambigüité de la manière dont il le fait. Le controversé président a un agenda beaucoup plus clair qu’on ne peut l’imaginer sur la politique étrangère et les affaires intérieures, mais puisqu’il doit rester au pouvoir ou même en vie pour atteindre ses objectifs, sa stratégie est si raffinée et subtile que presque personne ne la comprend. Son objectif global est si ambitieux qu’il emprunte des courbes elliptiques aléatoires pour aller du point A au point B, en utilisant des méthodes qui déconcertent les gens sur leur compréhension de l’homme. Cela inclut la plupart des journalistes indépendants et les analystes alternatifs, comme les grands médias occidentaux propagateurs de fausses nouvelles et une grande majorité de la population.

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  • MALI : CA SUFFIT !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Pour une fois, ma petite rubrique va commencer par un « coup de gueule » ! Oui, ça suffit ! Nos soldats meurent au Mali, pour le Mali, et nous n’avons en réponse, qu’ingratitude. Assez ! Depuis le début de l’opération Barkhane qui a succédé àServal pour stopper aux portes de Bamako les rebelles islamistes ou nomades, - ces derniers  portant les couleurs d’un islam qui n’était pas, initialement, le leur -, nos troupes ont repris tout ou partie du territoire malien. Mais le prix à payer est lourd : ce sont 44 des nôtres qui sont tombés dans l’ex-Soudan français. Quels remerciements en avons-nous ? Sur les réseaux sociaux, ça gronde, on assimile parfois les troupiers français à une armée d’occupation. Les heures glorieuses de l’accueil triomphal fait à François Hollande, c’est fini.

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  • " L’Europe demeure mentalement sous tutelle américaine "...

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    Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné par Caroline Galactéros à l'hebdomadaire Marianne à l'occasion de la sortie de son recueil de chroniques Vers un nouveau Yalta (Sigest, 2019). Docteur en science politique, Caroline Galactéros est l'auteur de  Manières du monde, manières de guerre (Nuvis, 2013) et intervient régulièrement dans les médias. Elle a créé en 2017, avec Hervé Juvin, entre autres, Geopragma qui veut être un pôle français de géopolitique réaliste.

    Marianne : La Chine et les Etats-Unis nous mènent-ils à une nouvelle Guerre froide ?

    Caroline Galactéros : Il me semble que poser la question en ces termes nous fragilise et nous empêche – nous, Européens, mais aussi les autres parties du monde, l’Afrique, l’Asie, l’Amérique latine -, de voir la réalité dans sa complexité et ses opportunités. Cela nous emprisonne dans une prétendue alternative où nous n’aurions le choix qu’entre un “maitre” et un autre. Certes, le nouveau duo-pôle stratégique de tête entre Washington et Pékin – qui est autant un duel qu’un duo -, surdéterminera de plus en plus la vie internationale comme les chaines d’influence, d’intérêts et de dépendances. Cependant, le nombre des acteurs, comme l’intrication des intérêts et des enjeux font que le paysage international a profondément changé par rapport à celui qui prévalait durant la Guerre froide jusqu’au tournant du XXIe siècle, avec les attentats du 11 septembre 2001.

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  • Algérie : dialogue aujourd'hui, répression demain, nouvelle vague migratoire bientôt.

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    Un communiqué du Parti de la France :
    La victoire dès le premier tour - malgré une abstention majeure et les manifestations persistantes dans la capitale - d'Abdelmajid Tebboune qui devient ainsi le nouveau Président de l'Algérie concrétise la volonté du Système militaro-industriel qui dirige le pays depuis des lustres avec la complicité du FLN, de ne rien abandonner ni de ses prérogatives ni de ses privilèges ni de son pouvoir.
    Proche du Chef d'Etat major Ahmed Gaïd Salah, Tebboune était le candidat de l'armée dont il sera le faux nez.
    A noter que le candidat islamiste arrive en seconde position. Systèmo-compatible, il sera un allié choyé par le nouveau pouvoir. 
    Lorsque bientôt viendra le temps de siffler la fin de la récréation et celui de la reprise en main, la répression qui se substituera au "dialogue" n'aura rien de printanière. Le choc qui s'en suivra se traduira alors inévitablement par des dizaines, voire des centaines de milliers, de nouveaux "demandeurs d'asile" qui traverseront la Méditerranée vers la France.
    Le Parti de la France lance dès aujourd'hui un signal d'alerte que les pouvoirs publics seraient pour une fois avisés d'entendre.
  • Algérie : toujours la vieille mafia fellagha

    Algérie : toujours la vieille mafia fellagha

    De Bernard Antony :

    Comme cela était prévisible, « l’élection présidentielle » ce dernier jeudi en Algérie, n’a pas été du goût de l’immense majorité du peuple algérien. Une « mascarade », comme l’ont hurlé, le lendemain, des centaines de milliers d’Algériens, à Alger et dans toutes les grandes villes du pays.

    L’« heureux élu », si l’on peut dire, s’appelle Abdelmajid Tebboune. Âgé de 74 ans, il a toujours été un des personnages de la nomenklatura fellagha, ancien Premier Ministre  de Bouteflika.

    Il est intéressant, et même émouvant, de noter que sur les centaines de pancartes brandies à Alger par les manifestants, presque toutes les inscriptions étaient en français. Sur l’une, on pouvait lire : « Tous les pays ont une mafia, en Algérie, c’est la mafia qui a un pays ».

    Bien sûr, toutes les forces du régime avaient été mobilisées pour pousser les électeurs dans les bureaux de vote. Mais, malgré cela, la participation n’a pas atteint le 40 %. Il y avait 5 candidats, interchangeables, tous sortis du même moule fellagha. Tebboune, sans doute le préféré de l’armée, a obtenu… 58 % de ces 40 %, soit à peine un peu plus de 23 % des inscrits.

    Quoi qu’il en soit, ce sont 60 % des Algériens que le régime n’a pu faire voter. L’avenir de l’Algérie est dans cette réalité.

    A voir, ces électeurs qui glissent leur bulletin dans la poubelle !

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  • Menaces présentes et futures sur la liberté d’expression, les GAFA en première ligne

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    LE 21 NOVEMBRE 2019, CLAUDE CHOLLET PRÉSIDENT DE L’OBSERVATOIRE DU JOURNALISME, A DONNÉ UNE CONFÉRENCE À PRAGUE DANS LE CADRE DU « FREE MEDIA FORUM », ORGANISÉ PAR LES AUTORITÉS RUSSES. VOUS TROUVEREZ CI-DESSOUS LE TEXTE REVU EN FRANÇAIS DE CETTE CONFÉRENCE DONNÉE EN ANGLAIS.

    TOTEM ET TABOU

    En 1913 Freud publie son ouvrage Totem et tabou sur les structures primitives d’appartenance et leur prégnance. Pour faire partie de la tribu vous devez en partager les tabous. Partageant les tabous, vous révérez les mêmes totems, vous appartenez au groupe. Les médias dominants français partagent les mêmes tabous et adorent les mêmes totems. En simplifiant, 70 à 80% des journalistes et des médias qui les emploient partagent au moins trois tabous : l’immigration, l’Islam et l’insécurité.

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  • Martin Peltier : « Nous vivons une révolution mondiale totalitaire »

    L’excellent journaliste Martin Peltier était l’invité, le 2 décembre dernier, de TV Libertés pour parler de son dernier livre La révolution arc-en-ciel en marche. Une analyse hors-norme, à la logique implacable, de la révolution mondiale, sociétale, politique et spirituelle, en marche, qui conjugue trois forces en synergie : la révolution lgbtq, la révolution anti-raciste, la révolution de la Terre Mère.

    « Martin Peltier est un esprit libre… et un des meilleurs écrivains et journalistes de sa génération. A ceux qui s’effraient de sa radicalité de ton, il répond avec humour qu’il prêche depuis 40 ans, mais dans le désert ! Or son message, synthétisé dans « La révolution arc-en-ciel en marche » mérite d’être entendu. Pour Peltier, il y a une révolution mondiale, totale et totalitaire menée par des cols blancs qui utilisent des méthodes douces et sont sûrs de travailler au bien de l’humanité. Cette révolution menée par tous les moyens de l’ingénierie sociale a un drapeau aux multiples significations – le drapeau arc-en-ciel – et un but : notre mort. »

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/martin-peltier-nous-vivons-une-revolution-mondiale-totalitaire/115139/