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international - Page 578

  • La croissance économique des Etats-Unis dépasse toutes les projections

    Même la Maison Blanche n’avait pas imaginé de tels résultats : les prévisions les plus optimistes tablaient sur une croissance de la première économie mondiale autour des 2 %, mais le PIB des États Unis augmente finalement de 3,2% au premier trimestre 2019, une première depuis 2015. Et ce malgré le shutdown, le blocage partiel de l’administration pendant 35 jours en début d’année.

    « Un chiffre incroyable, a immédiatement tweeté Donald Trump. Nous avons une fantastique croissance, une inflation très très basse. Notre économie se porte très bien ».

    La nouvelle du département du Commerce est en effet excellente pour le président américain, qui a fait de la bonne santé de l’économie américaine l’un des principaux arguments pour sa réélection en 2020. D’autant que ces bons résultats s’expliquent en grande partie par le rééquilibrage de la balance commerciale américaine : l’administration Trump est en plein bras de fer avec la Chine pour trouver un accord commercial. Sur le premier trimestre 2019, les exportations ont augmenté de 3,7 % tandis que les importations ont baissé d’autant.

    (…) RFI

    http://www.fdesouche.com/1199047-la-croissance-economique-des-etats-unis-depasse-toutes-les-projections

  • Du malheur de naître aux États-Unis

    3034969311.pngGeorges Feltin-Tracol

    Ils se désignent eux-mêmes comme des « Américains par accident ». Qui ? Ces quelques milliers de Français nés aux États-Unis sans y avoir ensuite vécu longuement. Ces « Étatsuniens accidentels » connaissent aujourd’hui tous les désagréments que confère cette citoyenneté. Ils ne peuvent plus ouvrir de compte bancaire en France, car les banques de l’Hexagone ne veulent pas mécontenter l’administration fiscale US.

    Les États-Unis d’Amérique sont l’un des rares États au monde à exiger de leurs expatriés le paiement des contributions. L’IRS (le fisc US) réclame des organismes financiers occidentaux le maximum d’informations personnelles sur les assujettis de Washington. Les Français – Étatsuniens sans le vouloir – subissent un harcèlement psychologique incessant. Ils ont beau clamer qu’ils sont d’abord et avant tout citoyens français, les fonctionnaires yankees restent inflexibles.

    Quant à renoncer à la nationalité étatsunienne, elle est presque impossible et nécessite pour le moins, est-ce étonnant ?, de longues et coûteuses démarches. Bien entendu, ni Paris, ni l’Union dite européenne n’osent défendre ces Étatsuniens malgré eux. Aucun ne veut heurter le maître outre-Atlantique qui leur impose déjà les carcans de l’OTAN et du réseau SWIFT de surveillance financière généralisée.

    Par crainte du politiquement correct, personne en revanche ne désigne l’origine de cet imbroglio juridique : le droit du sol en vigueur aux États-Unis. Espace structuré par des zélateurs des horribles Lumières et fondé sur le génocide amérindien, cet artefact s’imagine en avant-garde de l’humanité. Le jus solis y est si puissant qu’on ne peut pas prétendre à la Maison Blanche si on ne naît pas sur le sol étatsunien.

    « Naître quelque part » pour reprendre le titre d’une sinistre chanson française des années 1980 ne fait pas de facto du natif fortuit un membre effectif de la communauté d’appartenance locale. Bien d’autres facteurs entrent en jeu. Une fois encore, le droit du sol contribue surtout à rendre les collectivités politiques toujours plus cosmopolites, fragmentées et fragiles. Il est temps de retrouver la sagesse de Périclès et de restaurer le droit du sang.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°121, mise en ligne sur TV Libertés, le 15 avril 2019.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/25/du-malheur-de-naitre-aux-etats-unis-6146452.html

  • I-Média n°247 Sri Lanka. Attentat islamiste, attentisme médiatique

     

    Sri Lanka. Attentat islamiste, attentisme médiatique

    Alors que la police locale a rapidement désigné les islamistes comme les coupables, les médias français ont été beaucoup plus prudents.

    Zapping

    BFM TV est en extase devant Aya Nakamura, la chanteuse à succès du moment. Les journalistes n’hésitent pas à glorifier son « vocabulaire ».
    Sur France 5, Samuel Laurent des Décodeurs s’humilient en direct en enchaînant les erreurs factuelles. Gênant pour un « fact checker » !

    Le rat et Loiseau

    Avec Nathalie Loiseau, la tête de liste La République en Marche, prenez une leçon de ce qu’il ne faut absolument pas faire face à la diabolisation médiatique.

    Tweets

    Les Décodeurs du Monde jouent à plein leur rôle de milice du politiquement correct en publiant un article sans aucun intérêt journalistique sur l’un des membres de la fameuse « fachosphère ». Une délation scandaleuse.

    Notre-Dame, l’inquiétude monte en flèche

    Alors qu’une loi d’exception va être mise au vote, les médias mettent largement en avant les architectes voulant moderniser la flèche de Notre-Dame.https://www.tvlibertes.com/i-media-n247-sri-lanka-attentat-islamiste-attentisme-mediatique
  • Annonces présidentielles : rendez-vous raté – Journal du vendredi 26 avril 2019

    Annonces présidentielles : rendez-vous raté

    A l’avant veille de l’acte 24 des Gilets Jaunes le président de la république a présenté ses propositions post-grand débat. Des annonces pas vraiment à la hauteur et qui laissent entrevoir une crise politique longue.

    L’inquiétant projet de loi pour la cathédrale Notre Dame

    Une semaine après l’incendie de Notre-Dame de Paris, le gouvernement s’active. Pour tenir le délai de 5 ans fixé par Emmanuel Macron, l’exécutif a adopté un projet de loi faisant fi de certaines obligations patrimoniales et sécuritaires.

    L’Amazonie défigurée

    L’Amazonie perd de sa splendeur. Selon l’ONG Imazon, la déforestation en Amazonie a augmenté de 54% en janvier 2019 par rapport à janvier 2018. Le président Bolsonaro est directement pointé du doigt dans l’aggravation de la situation.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/annonces-presidentielles-rendez-vous-rate-journal-du-vendredi-26-avril-2019

  • Notre Dame : une sécurité qui pose question – Journal du mercredi 24 avril 2019

    Notre Dame : une sécurité qui pose question

    Une semaine après l’incendie de Notre Dame, la sécurité du chantier est sévèrement mise en cause. Le début d’un long feuilleton judiciaire qui devrait permettre d’établir les responsabilités des différents acteurs en présence.

    Elections européennes : Les Républicains reviennent dans le jeu

    A un mois du scrutin européen, Les Républicains regagnent du terrain… Une progression qui semble se faire au détriment du Rassemblement National alors que la majorité présidentielle voit ses intentions de vote stagner.

    Biodiversité : l’ONU tire la sonnette d’alarme

    Alors qu’une réunion au sommet sur la biodiversité doit se tenir à partir du 29 avril à Paris, près d’un million d’espèces animales et végétales seraient menacées d’extinction dans les prochaines décennies. Un danger pour la biodiversité mais également pour l’Homme.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/notre-dame-une-securite-qui-pose-question-journal-du-mercredi-24-avril-2019

  • L’abîme appelle l’abîme… une politique américaine?

    aigle-americain.jpgEn mai de l’année dernière, Bruno Gollnisch était intervenu dans l’hémicycle du parlement européen pour exhorter de nouveau l’Europe à rendre coup pour coup, à résister à l’impérialisme américain. Il s’indignait de la résignation de l’UE devant l’embargo, l’universalité des sanctions décrétées par les Etats-Unis contre l’Iran, lesquelles impactent directement et lourdement les groupes français. En 2017, notions nous, des entreprises comme Peugeot et Renault, avaient vendu respectivement 443.000 et 162.000 voitures en Iran, soit à elles deux 40% d’un marché iranien de l’automobile en progression constante. Quant à Total, elle avait signé en novembre 2016 avec le gouvernement iranien un accord de principe pour le développement du champ gazier de Pars Sud situé dans le Golfe arabo-persique pour un montant de six milliards de dollars… Début février, l’Union européenne avait tenté de démontrer qu’elle était capable de tenir tête aux Etats-Unis. Plus précisément, rapportait euractiv, «Paris, Berlin et Londres (avaient) annoncé la création d’un mécanisme de troc (baptisé Instex) pour permettre aux entreprises européennes de commercer avec l’Iran malgré les sanctions américaines.» «Ils se sont engagés à trouver une solution pour permettre à l’Iran de continuer à commercer et notamment vendre son pétrole.»

    Un renforcement des liens économiques dont l’intérêt est évident pour la France et les Européens, mais que certains expliquaient aussi par le souhait « que l’Iran continue de respecter les engagements pris dans le cadre de l’accord du 14 juillet 2015, notamment de cesser le programme lui permettant de se doter de l’arme nucléaire malgré la décision des États-Unis de se retirer et d’imposer de nouvelles sanctions économiques à la république islamique.» « L’Instex va permettre à l’UE de poursuivre un commerce licite avec l’Iran dans les domaines de la santé et de l’agroalimentaire , expliquait (le ministre français des Affaires étrangères) Jean-Yves Le DrianWashington a déjà mis en garde les Européens contre les conséquences de leur décision de contourner ses sanctions contre l’Iran. Ces sanctions s’apparentent à un chantage contre les pays tiers qui commercent actuellement avec l’Iran : les entreprises européennes ou asiatiques se verront interdites de marché américain si elles continuent d’importer du pétrole iranien, ou d’échanger avec des banques iraniennes ciblées par Washington. Beaucoup devraient choisir les États-Unis, ou l’ont déjà fait.»

    Bruno Gollnisch l’a dit et redit, la capacité de résistance de nos gouvernants doit aussi être jaugée à l’aune de leur soumission aux diktats juridiques de l’empireEn vertu du principe d’extraterritorialité, le droit américain permet ainsi à Washington d’intimider, de terroriser, de rançonner des entreprises étrangères pour des activités commerciales commises hors du territoire des Etats-Unis, pour peu que lesdites entreprises aient un lien avec les États-Unis…. le simple fait de faire des transactions en dollars établissant ce lien. Mais il ne s’agit pas tant  de reprocher aux dirigeants de l’Amérique de défendre leurs intérêts (ou ce qu’ils considèrent comme tels)  mais de regretter que nous défendions si mal ou si mollement les nôtres.

    Le 8 mai 2018,  Donald Trump avait annoncé le désengagement de Washington de l’accord nucléaire avec l’Iran conclu par son prédécesseur et le rétablissement des sanctions contre la République iranienne. Dans la foulée, l’ex directeur de la CIA, actuel secrétaire d’Etat américain , le faucon Mike Pompeo avait averti que les Etats-Unis tiendraient pour responsables les entreprises qui continueraient d’entretenir des relations commerciales dans certains secteurs avec Téhéran. Il avait assuré que « les Etats-Unis (exerceraient) une pression financière sans précédent sur l’Iran, avec les sanctions les plus fortes de l’Histoire, si Téhéran (refusait) de se plier aux exigences de Washington.»

    Il y a deux jours rapportait Le MondeDonald Trump a annoncé que les Etats-Unis n’allaient pas renouveler le 2 mai « les exemptions aux pays qui importent du pétrole iranien» qui  avaient  été accordées « pour six mois à huit pays importateurs de pétrole iranien. Parmi eux, l’Inde et la Chine, les deux plus gros clients de Téhéran. » «Cette décision a pour but de réduire les exportations iraniennes à zéro, pour soustraire au régime sa principale source de revenus, a expliqué la porte-parole de la Maison Blanche dans un communiqué. Concrètement, cela signifie que tout pays qui importera du pétrole iranien après le 2 mai sera soumis à d’importantes sanctions américaines…».

    Une opération qui risque d’être très difficile à mettre en œuvre, soulignait cet article car la Chine, la Turquie et «même la Corée du Sud, pourtant alliée historique des Etats-Unis» ont fait savoir qu’ils refusaient de se soumettre à ce diktat de Washington.  «Certains Américains espèrent opportunément pouvoir vendre à ces pays asiatiques du pétrole de schiste dont la production continue de croître aux Etats-Unis. Mais tous les pétroles ne se valent pas : les huiles légères américaines ne sont pas appropriées pour les raffineries coréennes ou indiennes, qui nécessitent des pétroles plus lourds.»

    La question du pétrole de schiste est en effet au coeur de ce durcissement américain, puisque les Etats-Unis, selon certaines projections,  pourraient redevenir de ce fait gros exportateurs d’or noir. La stratégie américaine viserait désormais  à ligoter certains concurrents sur le marché de l’énergie fossile. Ce qui expliquerait aussi le pressing yankee sur un très  important  pays pétrolier comme le Venezuela,  l’entreprise de déstabilisation et de mise sous contrôle en cours, sous prétexte de droits de l’homme et de démocratie, comme souvent …

    Cette question des exemptions, notait encore Le Monde,  avait laissé les « faucons  de l’administration Trump sur leur faim (…) les plus radicaux accusant l’administration Trump de faire preuve de laxisme. Ainsi, le sénateur et ancien candidat à la présidentielle Ted Cruz a accusé, mi-avril, Mike Pompeo (…) pourtant présenté comme un dur, d’être trop complaisant. La ligne la plus dure l’a donc emporté au sein du département d’Etat. Mike Pompeo a expliqué, lundi, que  le but de l’opération restait simple : priver le régime des fonds qu’il a utilisés pour déstabiliser le Proche-Orient depuis quarante ans et pousser l’Iran à se comporter comme un pays normal » (sic).

    Cette hostilité vis-à-vis de l’Iran est une  constante depuis l’entrée en fonction de Donald Trump,  fidèle en cela à ses propos très durs lors de sa campagne présidentielle, lorsqu’il qualifiait l’Iran d’« État terroriste numéro un » . En février 2017, peu après la prise de fonction du président américain, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov,  avait manifesté une toute autre appréciation: «L’Iran n’a jamais été complice de liens avec le Front al-Nosra ou Daech (Etat Islamique) . En outre, l’Iran contribue à la lutte contre Daech. Nous avons longtemps préconisé l’idée de créer un front antiterroriste unifié. Je suis convaincu que l’Iran doit faire partie de notre effort commun si nous évaluons objectivement les contributeurs potentiels à une telle alliance.»

    Alors, il ne s’agit pas d’idéaliser la République islamique d’Iran, mais certainement  pas non plus de la précipiter dans un chaos sanglant. Invité récemment de l’émission d’Elie Chouraqui sur la chaine francophone israélienne I24, Eric Zemmour a jugé très sévèrement le bellicisme de Washington et de Tel-Aviv contre Téhéran, supputant une évolution de ce pays. L’essayiste a cité le général De Gaulle qui parlant en pleine guerre froide de l‘URSS, affirmait que la Russie éternelle triompherait du soviétisme en l’absorbant, qu’elle boirait le communisme comme le buvard boit l’encre. Il en sera de même de l’Iran avec son idéologie rigoriste qu’elle exporte dans l’arc chiite,  veut croire M. Zemmour. Ce qui est évident,  c’est que l’Iran actuel, république héritière de la nation (empire) Perse, d’une civilisation hautement raffinée plurimillénaire, mérite bien mieux que les caricatures grossières et les appels au lynchage. Déstabiliser l’Iran, pays en paix de 80 millions d’habitants, entouré par des voisins instables et/ou en crise, en encourageant la destruction de son économie pour créer les conditions d’une implosion, d’un soulèvement social relève d’un jeu extrêmement dangereux. Depuis la première guerre du Golfe, le Moyen-Orient mais aussi les Européens ont assez payé pour le savoir. Comme il est dit dans le psaume de David, abyssus abyssum invocatl’abîme appelle l’abîme

    https://gollnisch.com/2019/04/24/labime-appelle-labime-une-politique-americaine/

  • Pâques sanglantes au Sri Lanka – Journal du mardi 23 avril 2019

    Pâques sanglantes au Sri Lanka

    Le martyr des chrétiens d’Asie. Au Sri Lanka, une vague d’attentats visant notamment des églises a fait plus de 300 morts et un demi-millier de blessés. L’attaque a été revendiquée par l’Etat Islamique… le directeur de l’Aide A l’Eglise en Détresse, Marc Fromager, revient sur ce drame.

    Rapport Mueller : les démocrates prêts à tout

    Alors que le rapport du procureur spécial, Robert Mueller, avait conclu à l’absence de collusion avec la Russie lors de la présidentielle américain de 2016, les démocrates tentent un coup de poker en appelant à la destitution de Donald Trump. Un effet d’annonce qui n’inquiète pas le président américain.

    Immobilier : hausse des prix mondiale dans les grandes agglomération.

    Alors que plusieurs agglomérations françaises connaissent une explosion du prix de l’immobilier, le marché mondial atteint également des sommets… de quoi inquiéter sur une possible explosion de la bulle spéculative.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/paques-sanglantes-au-sri-lanka-journal-du-mardi-23-avril-2019

  • “La fraternité forcée c’est la guerre perpétuelle”

    BABEL.jpgInvité de Cnews le 22 avril Nicolas Bay, député européen RN et co-président du groupe ENL, rappelait dans le cadre des persécutions judiciaires dont les nationaux sont la cible que la juge Claire Thépaut, qui venait d’auditionner Marine Le Pen,  « était responsable en Ile-de-France du Syndicat de la Magistrature (extrême -gauche) à qui on doit le Mur des Cons et qui appelle à voter contre le RN. » Mais est-il permis d’émettre des doutes sur la parfaite impartialité de la justice? Et d’ailleurs s’interroger, questionner, inviter à la prudence n’est-ce pas déjà désobéir ? L’inénarrable Thomas Legrand, débusqueur en chef de complotistes et autres déviants, mettait en garde dans son éditorial ce matin sur France inter contre les remarques insidieuses de  certains politiques. Ceux qui,  « à l’évidence semblent regretter que l’incendie de Notre-Dame ne soit pas d’origine criminelle », même si pour l’instant l’enquête n’est pas bouclée. Mais un acte délibéré est jugé improbable par  les spécialistes ajoute-t-il. Ainsi, il est permis de  s’interroger, mais  « s’interroger pour supputer que l’on nous cache quelque chose » c’est mal car il est « manipulatoire de laisser entendre que l’hypothèse terroriste est laissée de côté. »

    Au nombre des mauvais esprits, Thomas Legrand a pointé NDA et l’excellente tête de liste du RN aux élections européennes, Jordan Bardella, qui lui aussi aurait aussi enfourché le «mauvais cheval » du «révisionnisme», du raisonnement au «glissement perfide». Et ce, rendez-vous compte, à l’heure ou il est établi que les fake news circulent plus vite que les vérités établies sur un évènement donné… ce qui permet« aux démagogues sur la planète de remporter élection sur élection.» CQFD! Il est fort ce Thomas Legrand et pas démago et simpliste pour un sou,  lui…

    Pourtant, invité de l’émission Dimanche en politique sur France 3,  Jordan s’est contenté de dire qu’ «On a le droit de se poser des questions. Était-ce un accident, était-ce quelque chose de volontaire ? Ce sont des questions que je me suis posées. On a appris hier en fin de journée que la piste de l’accidentel était privilégiée, je m’en réjouis. Mais moi je revendique dans notre pays, quand il y a des faits comme cela, de s’interroger », « Or, on voit ce glissement très facile avec notamment les incriminations aux fake news. Dès que vous ne partagez pas l’avis de LREM ou de certains journalistes, tout de suite, vous êtes cloué au pilori. »

    Didier Rykner, qui anime le remarquable blogue La tribune de l’Art, notait le 22 avril qu’il existe aussi des faits parfaitement étayés qui sont «pourtant terribles pour le pouvoir», qui ont été révélés « par la presse italienne (et) rapidement relayée par Marianne (…). Ce journal a publié une interview de Paolo Vannucci, professeur d’ingénierie mécanique à l’université de Versailles qui révèle qu’une étude financée par le CNRS (donc l’État) avait été réalisée en 2016 sur la sécurité de Notre-Dame de Paris, notamment dans l’éventualité d’une attaque terroriste.»

    «Et les conclusions de cette étude ont été sans appel dit-il :  le risque d’un embrasement de la toiture existait, et  il fallait absolument la protéger et installer un système d’extinction . Il ajoute également :  En vérité, il n’y avait pratiquement aucun système anti-incendienotamment dans les combles où il n’y avait aucun système électrique pour éviter les risques de court-circuit et d’étincelle. Mieux encore :  même la foudre aurait pu déclencher un feu et il [aurait] donc [fallu] installer tout un système de prévention. Nous avons joint le professeur Vannucci qui nous a confirmé qu’il n’y avait pas de détecteurs de fumée ou de chaleur. Comme le professeur Vannucci l’affirme :  le gouvernement était tout à fait au courant ».

    «Mais il y a une autre conséquence que l’on doit tirer de la révélation de ce rapport : elle porte sur le rôle à venir de l’UNESCO, ou plutôt de sa présidente actuelle Audrey Azoulay. Car (l’UNESCO) va jouer un rôle majeur dans cette affaire, la cathédrale étant patrimoine mondial de l’humanité, (…) À ce titre, l’UNESCO aura des préconisations à fournir, une surveillance à faire et des aides à apporter. Et Audrey Azoulay ne se prive d’ailleurs pas de parler dans la presse, par exemple dans le Journal du Dimanche. Elle vient entre autre y donner déjà son avis sur la restauration en omettant de signaler le classement monument historique et en ne faisant aucune allusion à la charte de Venise.Or (…) Audrey Azoulay était ministre de la Culture en France (…) du 11 février 2016 jusqu’au 17 mai 2017 (…) lorsqu’il a été décidé de ne pas diffuser le rapport du professeur Vannucci et, beaucoup plus grave, de ne prendre aucune mesure de protection complémentaire du monument.».

    Mesures de protections hélas que n’ont pas su ou pas pu prendre non plus les autorités du Sri Lanka pour empêcher le terrorisme islamiste de frapper à Pâques , fête de la résurrection qui est souvent la cible des fous d’Allah.

    Au Sri Lanka, selon le dernier bilan rapporté par LCI, « la messe de Pâques a été marquée par huit explosions survenues dans des églises et des hôtels, faisant près de 310 morts et au moins 500 blessés.». «Selon les premières investigations, a rappelé le Salon Beige, sept kamikazes ont perpétré cette tuerie (…).  L’ampleur du carnage et le degré d’organisation apparaissent comme très au-delà de la portée du National Tawheed Jamaath, un groupe qui passe pour l’initiateur des attentats. Formé récemment, le NTJ était jusqu’à présent peu connu et, si ses tendances radicales ne font pas de doute, il s’était contenté d’actions de faible envergure. Les policiers le soupçonnaient d’être à l’origine de destructions de statues bouddhiques ou de dégradations contre des temples en 2018. »

    «(Le NTJ) serait majoritairement composé de jeunes Sri-lankais, fraîchement sortis d’écoles coraniques (…). Ce passage au djihad pourrait avoir été facilité par le retour dans leur pays de Sri-Lankais partis combattre aux côtés de Daech (Etat Islamique) en Syrie et en Irak. Les services de renseignements sri-lankais avaient reçu, il y a deux semaines, une alerte sur un risque d’attentats en provenance des services de surveillance d’un pays étranger.»

    Le quotidien La Croix souligne que «Ces attentats, parmi les plus meurtriers de ces dernières années, sont avant tout perçus comme une volonté de cibler les chrétiens.» Ces derniers, descendants de pêcheurs mais aussi des Tamouls des plantations de thé convertis au XVIe siècle par les missionnaires portugais, ne représentent que 7% de la population. Ils sont moins nombreux que les musulmans, les maures sri lankais, descendants des marchants arabes installés au Sri Lanka entre le VIIIe et le XVe siécle, au nombre de deux millions sur l’île, environ 10% des habitants .

    «Pour le journaliste S. Lakshmi, du Colombo Telegraph, il s’agit d’ une attaque contre les relations interreligieuses et la tolérance au Sri Lanka . La situation  risque d’attiser les tensions religieuses et les violences , alerte pour sa part Ruki Fernando, défenseur catholique des droits de l’homme dans le pays.« Les relations entre musulmans et chrétiens ont toujours été très cordiales ; les tensions religieuses ont été concentrées entre bouddhistes et musulmans, et entre bouddhistes et chrétiens. » Par le passé, « la guerre était d’abord liée à un conflit ethnique, elle ne reposait pas sur des bases religieuses. »

    Certes, ces attaques terroristes visent aussi un pays qui a connu de 1972 à 2009 une guerre ethnique entre Cinghalais bouddhistes (70 à 74% des environ 21 millions d’habitants ) et Tamouls hindouistes réclamant l’indépendance (13 à 15% de la population) qui fit près de 100 000 morts.

    Un conflit qui fut aussi un drame de l’immigration car les tensions ont eu pour point de départ le transfert sur l’île par les colonisateurs britanniques de Tamouls originaires du continent indien auxquels ils ont accordé alors de nombreux avantages. Les Tamouls venus à l’origine pour des raisons économiques ont donc voulu au fil du temps fonder un Etat malgré l’opposition des autochtones cinghalais.

    Un enseignement de l’Histoire qui mérite là aussi réflexion à l’ère du vivre-ensemble, du multiculturalisme-immigrationnisme obligatoire, et constate Bruno Gollnisch, de la criminalisation accélérée de tous ceux qui émettent des doutes sur ses conséquences. Le  regretté Yvan Blot,  qui nous a quittés en octobre dernier, citant le cas du conflit au Sri Lanka (voir son article Paix civile ou guerre des ethnies, dans l’ouvrage collectif Penser l’antiracisme) mettait en garde il y a vingt ans déjà sur la violence des sociétés hétérogènes. «Certes il existe des périodes  de paix  dans la coexistence des ethnies (…) mais ces périodes sont provisoires. Par des mécanismes, à vrai dire mal connus, l’intolérance finit toujours par se développer à un moment ou à un autre, de façon endogènes et le conflit éclate.»

    Et en bon libéral, il citait l’économiste Frédéric Bastiat (1801-1850) : «si je considère nos relations avec les étrangers, je ne vois pas non plus d’autres règles prudentes, solides, acceptables pour tous, que la justice. Soumettre ces relations au principe de la fraternité forcée, c’est décréter la guerre perpétuelle. (…) Singulière fraternité. Il y a longtemps que Cervantès en a personnifié la vanité ridicule.» A méditer par tous les Don Quichotte de l’Europe-bruxelloise-de-la-tolérance, de la macronie, de France Inter, du Syndicat de la Magistrature et autres adeptes des sociétés grandes ouvertes, béantes et béates…

    https://gollnisch.com/2019/04/23/la-fraternite-forcee-cest-la-guerre-perpetuelle/

  • Après le krach, réévaluation de l’or et « Gold Exchange Standard » multidevises

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    Marc Rousset

    Olivier Blanchard, l’ancien chef économiste du FMI, avec des propos toujours surprenants pour défendre le Système, a découvert l’eau chaude début janvier 2019, devant l’Association des économistes américains : puisque les taux d’intérets sont bas, la dette publique de 250.000 milliards de $ dans le monde, soit 3 fois le PIB mondial de 80.000 milliards de $, et, selon le FMI, 103 % du PIB des pays riches au lieu de 71 %, il y a 10 ans, n’est peut-être qu’un problème accessoire ! Mais quid des « gros problèmes en cas de remontée des taux » ? selon Christine Lagarde, DG du FMI.

    Georges Ugeux, ancien VP du NewYork Stock Exchange, qui prédit « une descente aux enfers de la finance » vient de déclarer : « Je crois que nous sommes de nouveau dans une période de déni. » Villeroy de Galhau, ancien Président de BNP-Paribas, aujourd’hui président de la Banque de France, lui aussi défenseur du Système, ne trouve rien de mieux à nous dire que la politique monétaire doit rester laxiste avec un taux directeur de la BCE à 0 % qui ruine les épargnants et va installer durablement les taux publics d’emprunts allemands en territoire négatif tandis que les taux d’obligations des entreprises en zone euro s’élèvent en moyenne à 0,6 %, soit dix fois moins qu’un taux juste et normal.

    En fait, on va tout droit vers la récession avec un krach à la clé. L’indice PMI flash manufacturier en zone euro s’est contracté pour le deuxième mois consécutif en avril à 47,8, l’Allemagne se situant encore plus bas à 44,5. Le PIB allemand devrait progresser de seulement 0,5 % en 2019. Le sauvetage bancaire de la Deutsche Bank, avec un bilan de 48.000 milliards de $, soit 24 fois le montant de la dette publique allemande, ferait exploser la dette de 64,1 % à environ 90 % du PIB. Quant à la France, incapable avec Macron de faire des réformes structurelles, d’élever l’âge de départ à la retraite, elle doit s’inquiéter aussi de son endettement privé de 133 % du PIB (59,1 % pour les ménages et 74,1 % pour les entreprises. Selon le ministre russe des finances, Anto Silouanov, « le risque d’une récession mondiale est très élevé ».

    C’est peut-être dans une Chine qui soutient la croissance de 6 % en 2019, comme un pendu sur son tabouret, que tout va se jouer. Le marché automobile chinois a reculé pour la première fois en 2018 à 26,3 millions de véhicule, avec un taux d’utilisation des usines inférieur à 57 %. La pression fiscale et sociale sur les entreprises va être abaissée de 265 milliards d’euros tandis les banques chinoises ont prêté au premier trimestre la somme record de 766 milliards d’euros, soit davantage que le PIB de la Suisse, pour les infrastructures. Le surendettement des entreprises atteint déjà 150 % du PIB. La croissance chinoise est, en fait, gonflée artificiellement à coup de crédits garantis par l’État et l’on peut aussi avoir des doutes sur les statistiques officielles camouflant les fragilités structurelles.

    Pendant ce temps, les banques centrales (Chine, Russie, Kazakhstan, Turquie) continuent d’accumuler du métal jaune (90 tonnes durant les deux premiers mois de l’année 2019). Après le krach ou l’effondrement monétaire à venir, il est probable qu’un panier de plusieurs monnaies adossées à l’or réévalué remplacera l’étalon $. La révolution silencieuse Bâle III par les « gnomes de Zurich » a déjà commencé le 29 mars 2019 puisqu’il a été décidé de placer l’or de l’actif des banques centrale, non plus en troisième catégorie, à 50 % de sa valeur, mais en première position à 100 % de sa valeur, soit une première réévaluation comptable du métal jaune plaçant l’or avant le dollar. Et dès le 1er janvier 2022, les banques centrales auront le droit de garder jusqu’à 20 % de leurs actifs en or, argent ou platine. Le loup du système de change fixe avec l’or comme monnaie internationale est donc déjà bel et bien entré dans la bergerie dollar. Soyons certains que L’Amérique fera tout pour défendre bec et ongles le privilège de l’étalon $ mis en place à Bretton Woods en 1945.

    Un calcul simpliste démontre cependant que la crise de l’hyper-endettement public de 250.000 miliards de $ ne peut être résolue qu’en multipliant le prix de l’ensemble des réserves mondiales d’or, soit environ 6.500 Milliards $, par 40 ! Ce n’est pas pour rien que les Allemands (ménages 5.548 tonnes et Bundesbank 3.370 tonnes) possèdent aujourd’hui une quantité record de 8.918 tonnes d’or physique. N’oublions pas que l’or valait 35 $ l’once en 1971 et qu’il vaut aujourd’hui 1.300 $ l’once ! Si l’or devait être réévalué, la France et l’Italie seraient aussi grandement avantagées.

    Boulevard Voltaire cliquez ici

  • Du référendum et de la reconstruction

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    Tout chantier de reconstruction suppose qu'on s'accorde sur les choix de la maîtrise d'ouvrage. Ceci s'applique aujourd'hui aussi bien à la cathédrale de Paris, qu'à la réponse à la crise des gilets jaunes.

    Au fil des jours et des samedis numérotés comme les actes d'une comédie, une revendication, s'est imposée comme centrale. Sous le sigle de Ric, on la retrouve sur les banderoles et dans les discours de ce mouvement si multiforme. Un tel constat factuel permet de souligner combien cette vague anarchique s'est montrée elle-même évolutive. Et on peut aussi se demander pourquoi elle reste tellement pétrie de contradictions.

    Dans L'Insolent daté du 4 mars[1] votre chroniqueur s'efforçait d'analyser la portée de sa demande.

    Six semaines plus tard, on peut considérer que le slogan de Référendum d'initiative citoyenne est entré dans les esprits, comme une marque de fabrique. On la juge issue d'un univers aujourd’hui qualifié, non sans condescendance, de populiste.

    Or, le 9 avril, une procédure référendaire a été mise à l'ordre du jour par de tout autres intervenants. Elle provient même précisément des gens dont l'anarchisme se méfie le plus : les parlementaires, soucieux de s'opposer à la perspective d'une privatisation de l'entreprise publique ADP, Aéroport de Paris.

    C'est en effet au sein de l'Assemblée nationale que les oppositions sont parvenues à donner le premier coup de pioche à une éventuelle utilisation de cette procédure. Inédite dans cette formule, elle se revendique, au gré de l'article 11 de la Constitution, du nouveau paragraphe 3 ; celui-ci a été introduit par la révision de 2008 en vue de mettre en place le référendum d'initiative partagée, le "RIP". Sous réserve d'un blanc-seing du conseil constitutionnel, cela va requérir, outre la demande des députés d'opposition, l'assentiment de 4,5 millions de signatures d'électeurs.

    Sans se ridiculiser par une bataille de sigles, entre le RIP et le RIC, on doit reconnaître ici l'existence d'une différence philosophique presque abyssale entre les conceptions respectives des deux mécanismes.

    En elle-même, l'initiative dite citoyenne tend à contrecarrer les travaux de la démocratie représentative. On la marque de l'étiquette dégagiste.

    En effet, la fonction de ces démarches, faisant appel aux pétitions populaires, déroge, par définition, aux décisions de la démocratie classique : révocatoires, ils remettent en cause l'élection d'un personnage, chef d'État ou responsable local ; abrogatoires, ils tendent à effacer une loi votée par une assemblée supposée représentative.

    De tels systèmes ont été institués dans des pays très divers. Et ils sont perçus sous des angles très différents. Par conséquent, selon les latitudes, la faculté d'y recourir peut donner lieu à des dramaturgies d'intensités fort différentes.

    Ainsi aux États-Unis la procédure révocatoire[2] des élus existe-t-elle dans de nombreuses constitutions locales. Or, celles-ci ont beaucoup plus évolué que nous ne le pensons ordinairement, sachant que, depuis 250 ans au contraire, les mécanismes fédéraux ont connu une dérive remarquablement plus raisonnable. Les institutions locales prévoient aussi la remise en cause de décisions des législatures d'État. L'exemple le plus souvent cité est celui de la Californie : il ne doit être considéré ni comme un cas exceptionnel, encore moins comme le meilleur.

    Ainsi en Italie le peuple est constitutionnellement fondé à une autre démarche. Celle-ci convoque le pays tout entier, à partir d'une pétition soutenue par un quantum très large de pétitionnaires. Mais elle ne peut pas concerner certains sujets, comme la fiscalité. Le cas le plus grave se produisit en 1974, lorsque les comités civiques, c'est-à-dire l'aile droite de la démocratie chrétienne[3], et les néo-fascistes du MSI entreprirent de s'opposer à une loi votée en 1970 autorisant le divorce. La défaite de cette initiative, repoussée par 59 % des lecteurs et un très faible taux d'abstention marqua un recul considérable de l'influence catholique dans le pays.

    Dans une perspective entièrement différente, le gouvernement de Chavez au Venezuela, a mis en place en 1999, sur le papier et dans un but démagogique, le principe du référendum révocatoire de mi-mandat. Le texte prévoit qu'on puisse censurer un président, une fois la moitié de son mandat effectué. En 2004 l'opposition était quand même parvenue à réunir le nombre de signatures nécessaires pour entamer la procédure de révocation, mais le non l’emporta finalement avec 59 % des suffrages exprimés.

    Nous nous efforcerons d'observer, dans une prochaine chronique, les expériences décevantes des référendums européens, aux Pays-Bas, en France, en Grèce et au Royaume-Uni, – et au contraire, celui de la votation suisse qui, quant à elle, fonctionne, dans un pays pacifique assez exemplaire, non pas en contradiction mais en renfort de la démocratie représentative.

    Or, c'est l'exemple de la république bolivarienne des Caraïbes à Caracas, complètement négatif, dans un pays ruiné par la démagogie et l'incompétence de son régime, qui semble inspirer, étrangement, tous ceux qui parlent d'instituer en France une Sixième république.

    Ceux qui se rattachent à un tel slogan savent-ils de quoi ils parlent ? on peut en douter.

    (à suivre par conséquent)

    JG Malliarakis

    Apostilles

    [1] "Des gilets jaunes à la démocratie directe."
    [2] "Recall elections".

    [3] En rupture avec la politique dite d'ouverture à gauche, remontant elle-même à 1961, de ce parti aujourd'hui englouti mais jusqu'alors très puissant.

    https://www.insolent.fr/