
Ces authentiques succès que l'élite progressiste tente de cacher.
Lorsque Giorgia Meloni et Javier Milei ont pris les rênes de l’Italie et de l’Argentine, les Cassandre de gauche prédisaient le chaos. Meloni, que Libération taxait de « femme malade de l’Europe » aux « dérives posts-fascistes », devait plonger l’Italie dans l’instabilité. Milei, avec son libéralisme radical et ses airs de « rocker nauséabond », devait, lui, mettre son pays dans un « état catastrophique ». Pourtant, deux ans après, les chiffres racontent une autre histoire. En Italie, la croissance est modeste mais stable, le déficit public s’améliore, et Standard & Poor’s a relevé la note du pays à BBB+ en 2024, saluant une gestion prudente.