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international - Page 725

  • Désormais, la hiérarchie de l'information échappe en grande partie aux médias officiels

    Ingrid Riocreux déclare au Figarovox :

    "Les réseaux sociaux sont des relais très puissants. En ce sens, on peut dire que désormais, la hiérarchie de l'information échappe en grande partie aux médias officiels. Une information jugée mineure par les journalistes peut prendre une ampleur énorme par le biais des réseaux sociaux. Le problème évidemment, c'est que des informations fausses prennent également une ampleur énorme de cette manière. Mais ce qui est intéressant, c'est que la fameuse, disons, la prétendue «éthique de la responsabilité» des journalistes est totalement à revoir.

    Souvenez-vous des agressions de Cologne. Toute tentative d'étouffer des faits avérés est contre-productive. Les faits en question finissent par être connus parce que les réseaux sociaux propagent les images et les témoignages. Et les médias faisant autorité apparaissent comme des manipulateurs ayant voulu cacher la vérité. Par contrecoup, les médias alternatifs gagnent en crédibilité: ils apparaissent comme ceux qui disent ce que les autres nous cachent. Il faut compléter ce commentaire en remarquant un phénomène corollaire, très compréhensible, sorte de réflexe de défense des grands médias face à la concurrence de la toile: je veux parler de la propension des médias à nous mettre en garde contre ce qui circule sur les réseaux sociaux, et je pense notamment aux épisodes d'attentats. Cet appel à la prudence est légitime, mais ces mêmes médias ne semblent pas se l'appliquer à eux-mêmes. La volonté obsessionnelle d'être le premier à divulguer telle ou telle information les conduit à relayer toutes les rumeurs, en se protégeant derrière l'emploi du conditionnel, ce qui est un peu facile! Sans compter les erreurs liées à la précipitation. [...]

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Alep : la guerre de l’information contre la Russie va faire tomber l’ONU et l’OTAN

    Alep libérée, c’est «Alep tombée» dans les médias de la Lügenpresse ! Cette même rhétorique de désinformation se décline à tous les niveaux. Hillary Clinton a perdu, c’est à cause de l’action de Poutine dans les médias et les réseaux sociaux. L’Allemagne s’approche des élections de 2017, Maas, SPD, ministre de la justice, lance un programme, façon Stasi, de nouvelles lois pour effacer, réécrire les informations du Net, qui ne passent pas dans l’agenda de la Lügenpolitik en punissant de prison et de fortes amendes les journalistes ou les citoyens libres. La Lügenpolitik de Berlin craint la liberté de ton des médias russes et la pensée libre des citoyens du Net. La Russie est accusée des déboires politiques de Berlin. Alep libérée, le mensonge de «nos élites» tombent de nouveau. La Lügenpolitik perd son pouvoir. La même action se met en place en France pour censurer avec l’aide des diverses entreprises du Net, Facebook, Google…, l’information libre. Les gouvernements de la Lügenpolitik des pays mis sous tutelle par l’Union Européenne, par l’ONU, l’OTAN, ne peuvent plus lutter contre la capacité des individus à penser librement et donc intensifient les techniques de la répression. L’ONU, censée protégée les peuples en guerre, les enfants, est démasquée avec ses réseaux d’ONG (UNICEF, Amnesty International ou des organisations à la Kiwanis…) comme étant un organisateur des guerres. La libération d’Alep par l’armée russe avec le soutien de l’Irak, de l’Iran et de l’armée arabe syrienne, apporte, en étant un cas d’école, encore la preuve de la dangereuse manipulation onusienne au niveau mondial sur les événements historiques immédiats et politiques.
    Casques blancs, OTAN, EI. La ville d’Alep vient d’être libérée. Les scènes de liesse des habitants d’Alep n’ont, été, seulement, montrées que sur les chaînes russes et sur le Net. L’armée russe apporte l’aide humanitaire, nourrit les civils. Les civils syriens expriment leur joie pour la Russie. A la libération d’Alep 14 officiers de l’OTAN ont été découverts dans un bunker. Des officiers allemands, américains, français, israéliens, turcs ont été capturés avec des djihadistes de l’EI .
    De nombreuses décapitations, les casques blancs, des créations onusiennes. La collaboration de l’OTAN, de l’ONU avec les djihadistes n’est plus à prouver. La décapitation du journaliste James Foley aurait été tournée en studio. Le site russe «Cyber Berkut» dit avoir trouvé la vidéo dans l’ordinateur appartenant à la délégation du sénateur John McCain quand ce dernier se trouvait en voyage en Ukraine en juin 2015. On voit dans cette vidéo la mise en scène de la décapitation du dit journaliste James Foley. L’acteur journaliste avec l’acteur John le Djihadiste sont entourés de projecteurs et de caméras dans un studio.
    Les actes de terreur dits islamistes sont, donc, aussi des actions organisées par l’armée secrète de l’OTAN ? Le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo et l’emploi immédiat du slogan «Je suis Charlie» au niveau mondial relayé par la Lügenpresse semble l’attester. La France servant de prostituée aux U.S.A pour son mythe démocratique, a permis de fédérer les alliés dans la guerre construite. En outre, la gouvernance mondiale appelle partout à censurer et à punir ceux qui publient des informations allant contre l’information officielle. Des médias officiels sont associés dans cette réécriture des faits journalistiques. Associated Press (AP), ABC-News, sont, par exemple associés à la justice mondiale et à la politique de répression. Les rédactions des médias officiels sont des bureaux opérationnels du bureau des armées de l’OTAN. L’information, la justice, la politique ont fusionné en une entité ! La justice, la politique, la presse, sont aux ordres de l’armée.
    «Le centre de média d’Alep». A Alep « Le centre de média d’Alep » se révèle comme avoir été un centre de la propagande pro-OTAN avec l’Arabie Saoudite et le Qatar depuis le début de la guerre en Syrie et révèle dans ce microcosme syrien la vaste manipulation planétaire. Le centre de média d’Alep a été fondé par des dits Syriens vivant aux U.S.A, «the Syrian Expatriates Organisation (SEO)» disposant de fonds très importants. L’organisation des casques blancs célébrée comme étant des sauveurs par la Lügenpresse s’avère comme avoir été une organisation de propagande liée aux actes de terreur des dits djihadistes de l’EI, cette organisation de l’EI soutenue par la fondation Clinton, elle même financée par l’Arabie Saoudite, et l’administration Obama. Les contenus par les textes, les vidéos, les images, sont manipulés par Washington et les services secrets par divers relais (médias officiels, attachés de presse des divers gouvernements pour donner du contenus à des armées de journalistes sous les ordres) qui se trouvent dans les capitales de l’Union Européenne. Les agences politiques « les SARL, Assemblée nationale, Bundestag, ou Parlement européen… », ou les SARL sous la forme des agences de médias et des ONG parlent de la même façon pour désinformer le grand public. Le centre de médias d’Alep a été un centre de coordination pour alimenter tous les médias officiels du monde. Et le centre de médias d’Alep n’est qu’un exemple pour les autres et nombreux centres mis en place pour manipuler le grand public. Du coup les médias occidentaux comme le Zeit titre «Sanktionen gegen Russland, jetzt!» (Des sanctions maintenant contre la Russie) réclame encore des sanctions contre la Russie après la libération d’Alep. Le Zeit, comme les autres Lügenmedien européens, explique que c’est la Russie qui est responsable des crimes de guerre en Syrie !
    Enfant produit marketing. Dans cette guerre de l’information pour gagner les soutiens des peuples du monde, on se souvient de cet enfant couvert de poussière blanche à Alep, placé dans une ambulance, après un dit bombardement «sauvé» par les casques blancs. C’était une mise en scène ! L’enfant a été employé pour apitoyer le grand public, une technique déjà employée de manière marketing par l’ONU dont l’UNICEF pour récupérer des fonds importants et pour orienter la politique internationale. Cette mise en scène rappelle celle de la la petite Syrienne qu’on sauve tout le temps. Par ces images, il fallait donner une occasion pour bombarder les troupes de Assad et dénoncer l’action militaire russe en gagnant le grand public contre la Russie. La Lügenpresse et la Lügenpolitik des pays européens, alliées des djihadistes, inféodées à l’OTAN, ont dénoncé, d’une même voix, le rôle de la Russie en disant que c’est la Russie qui tue et bombarde des hôpitaux. La perversité, le cynisme atteignent des niveaux inimaginables dans notre monde. Les rebelles dits modérés par les divers politiques de France, d’Allemagne, de Bruxelles, ont bombardé des hôpitaux pour accuser la Russie.
    Photographe dit humanitaire un tueur ! Le photographe qui a mis en scène ce petit garçon pour le compte de l’ONU est Mahmoud Raslan un djihadiste et certainement pas un humanitaire. Le même photographe a été découvert sur la scène de crime d’un enfant de 12 ans, Abdullah Issa, qui a été décapité. Les casques blancs et le centre de médias d’Alep, qui a fourni les images de la guerre en Syrie, n’étaient qu’un relais de l’EI en Syrie en étant soutenus par l’ONU et l’OTAN ! De nombreux témoignages de civils d’Alep ont expliqué que ces casques blancs ne sauvaient pas les civils sous les décombres. Les casques blancs n’étaient là que pour les images de propagande et pour relayer l’information à l’OTAN et ses divers groupes terroristes tournant sous l’EI et les divers djihadistes. Les casques blancs d’Alep ou les casques bleus de l’ONU le lien est fait. Il suffit de se souvenir du rôle des casques bleus et des ONG en Serbie pour accuser la Serbie de crimes de guerre pour gagner le soutien du grand public et donner le feu vert à l’OTAN pour bombarder un Etat indépendant. Du temps de la guerre en Ex-Yougoslavie le Net n’existait pas. La seule voix officielle venant des ministères via la Lügenpresse maintenait le grand public dans une désinformation globale. 
    Sous les noms d’organisations humanitaires, ONU, UNICEF, casques blancs, le centre de médias d’Alep, se cachent les réseaux de la propagande pour l’OTAN et l’ONU. DAESH, EI, les casques blancs, sont des agences appartenant à l’ONU et l’OTAN qui utilisent des âmes perdues, des mercenaires et des agents de l’OTAN. L’ONU, Washington et ses alliés usent de la religion musulmane pour provoquer un conflit entre le monde européen et le monde musulman pour contrôler le monde. L’Islam est employé comme une arme pour faire régner la peur parmi les Européens et pour déstabiliser les nations, pour attaquer la Russie et pour augmenter le système policier sur les citoyens. Derrière le drapeau de Daesh et de l’EI se trouvent des officiers de l’OTAN. La guerre en Syrie a commencé avec le slogan des nombreux printemps arabes en 2011. Les révolutions de couleurs sont des concepts de marketing de guerre employés en Ukraine, en Afrique, en Europe, avec des tentatives en Russie, pour détruire les civilisations libres et rééduquer les peuples par la réécriture de l’Histoire. Les organismes d’Etat et la presse officielle sont les relais pour encadrer par la justice et l’information les peuples. La libération d’Alep sonne la chute de l’OTAN et de l’ONU. La guerre de l’information contre la Russie va faire tomber l’ONU et l’OTAN car c’est la vérité qui gagne toujours ! 
  • Les forces de l’OTAN menacent la Russie

    Un déploiement massif de troupes américaines et de l’OTAN en Pologne et dans les pays baltes est en cours. Selon une déclaration du Centre de presse et d’information de la Bundeswehr (les forces armées allemandes) le 30 décembre : « dans le cadre de l’opération OTAN “Atlantic Resolve”, trois navires de transport américains sont attendus à Bremerhaven la première semaine de janvier ».

    La déclaration a noté qu’au début de novembre : « les soldats de la 3e Brigade de la 4e Division d’infanterie américaine ont commencé à charger les navires avec des véhicules et des conteneurs ». Dans l’ensemble, « plus de 2500 pièces de cargaison (des camions, des véhicules de combat, remorques, et conteneurs) [ont été] initialement expédiées vers l’Allemagne, puis transportées vers la Pologne et d’autres pays d’Europe centrale et orientale ». Le matériel doit « arriver dans la période du 6 au 8 janvier par transport maritime à Bremerhaven et sera ensuite transporté vers la Pologne par rail et des convois militaires d’ici le 20 janvier ».

    Plus tôt ce mois-ci, le quotidien allemand Kieler Nachrichten a qualifié l’accumulation des armes d’« opération la plus importante de redéploiement de l’armée américaine en Allemagne depuis 1990 ». Plus de 2000 chars, obusiers, jeeps et camions sont déployés dans le cadre des exercices de l’OTAN en Europe de l’Est qui vont continuer pendant neuf mois.

    Selon les déclarations faites par les forces armées américaines en Europe, 4000 soldats supplémentaires et 2000 chars d’assaut vont « contribuer à renforcer la défense et la dissuasion de l’alliance ». Le colonel Todd Bertulis, directeur adjoint de la logistique du Commandement américain en Europe (EUCOM) à Stuttgart, a déclaré que l’opération veillera à ce que « la puissance de combat nécessaire soit apportée au bon endroit en Europe au bon moment ».

    Le lieutenant-général Frédéric « Ben » Hodges, commandant des forces américaines en Europe, a déclaré : « Trois ans après que les derniers chars américains aient quitté le continent, nous devons les y remettre ». Il a fait la déclaration lors d’une visite à l’école de logistique de la Bundeswehr à Garlstedt, en Basse-Saxe. Il a déclaré aux journalistes que ces mesures étaient une « réponse à l’invasion de l’Ukraine par la Russie et à l’annexion illégale de la Crimée ».

    La Russie se prépare à la guerre, a affirmé le général. Tous les ministères russes, a-t-il déclaré : « se prépareront en conséquence, mobilisez-vous, si vous voulez ». Il a continué : « Cela ne signifie pas nécessairement qu’il doit y avoir une guerre, rien de tout cela n’est inévitable, mais Moscou se prépare à cette possibilité ».

    Cette présentation tourne la réalité à l’envers. Le déploiement de troupes de combat américaines fait partie des préparatifs de l’OTAN en vue de la guerre contre la Russie, culminant d’une expansion continue vers l’est de l’OTAN depuis la dissolution de l’Union Soviétique il y a 25 ans.

    En Ukraine, ce n’est pas la Russie qui est l’agresseur, mais les États-Unis et l’OTAN. Washington et Berlin, en étroite collaboration avec les forces fascistes, ont organisé un coup d’État contre le président pro-russe, Viktor Ianoukovitch, au début de 2014, en installant un régime nationaliste et férocement anti-russe à Kiev. Ce mouvement a déclenché une rébellion séparatiste par les régions russophones de l’est du pays, que Moscou a soutenu et que le gouvernement de Kiev, soutenu par les armes et l’argent des occidentaux, a cherché, sans succès, à supprimer violemment.

    Les événements en Ukraine ont été saisis par les États-Unis, l’Union européenne et l’OTAN pour imposer des sanctions économiques et diplomatiques et étendre considérablement les forces militaires de l’OTAN le long de la frontière occidentale de la Russie.

    Avant l’inauguration de Donald Trump, le président élu des États-Unis le 20 janvier qui a appelé à une réduction des tensions avec la Russie afin de concentrer plus directement l’agression américaine sur la Chine, les forces opposées au sein de l’establishment militaire-renseignements et politique des États-Unis cherchent à intensifier la confrontation avec Moscou.

    Cette semaine, le sénateur républicain John McCain a visité les États baltes pour leur assurer le soutien continu des États-Unis. Dans une interview diffusée par la radio estonienne, McCain a appelé à un renforcement des forces de l’OTAN contre la Russie et a déclaré que chaque « membre crédible » du Congrès américain voyait le président russe, Vladimir Poutine, « pour ce qu’il est : un voyou et un tyran et un agent du KGB ».

    Dans cette escalade dangereuse contre une Russie dotée d’armes nucléaires, qui fait courir le danger d’une troisième guerre mondiale, la Bundeswehr joue un rôle central. « Sans le soutien de l’armée [allemande], nous ne pouvons aller nulle part », a déclaré le lieutenant général Hodges lors d’une comparution devant le Service commun de soutien de la Bundeswehr.

    Le lieutenant-général Peter Bohrer, chef adjoint du Service interarmées de soutien, marquait son accord : « Dans le passé », a-t-il dit, « l’Allemagne était un État de première ligne. Aujourd’hui, nous sommes une zone de transit, et l’une de nos tâches principales est d’entreprendre un soutien commun […] Nous sommes ouverts à l’exécution de ces tâches avec nos partenaires américains ».

    Après être arrivés en Allemagne, les soldats américains et leurs équipements lourds seront déplacés de Bremerhaven par le rail à travers le nord de l’Allemagne jusqu’à l’Europe de l’Est. Le bureau de presse de la Bundeswehr a annoncé : « Quelques 900 wagons avec du matériel militaire seront transportés en train de Bremerhaven vers la Pologne. Il y a également environ 600 pièces de fret qui seront transportées par train en Pologne à partir du terrain d’entraînement militaire à Bergen-Hohne. Près de 40 véhicules circuleront directement de Bremerhaven vers la Pologne ».

    L’Allemagne, qui a écrasé l’Europe de l’Est dans sa guerre d’extermination il y a 75 ans, se prépare à envoyer des troupes de combat dans les pays baltes. En janvier, 26 chars, 100 autres véhicules et 120 conteneurs seront transportés en train vers la Lituanie.

    Lors d’un entretien accordé au journal militaire allemand « Bundeswehr aktuell », le général Volker Wieker a confirmé que l’Allemagne s’était entendue avec les États-Unis, le Canada et le Royaume-Uni lors du sommet de l’OTAN à Varsovie « pour que chacun prenne la tête d’un groupement tactique ». L’Allemagne enverra son 122e Bataillon d’infanterie. Il a ajouté que d’autres envois suivraient, « afin que nous atteignions une capacité dite opérationnelle complète d’ici le milieu de l’année ».

    Ce que l’on entend par « pleine capacité opérationnelle » a été souligné par un exercice public de la Bundeswehr à Grafenwöhr, où le bataillon allemand s’est préparé au déploiement. Selon un rapport vidéo du Frankfurter Allgemeine Zeitung, les manœuvres impliquaient « une attaque ennemie sur la frontière russo-lituanienne ».

    Le futur commandant du groupement tactique de l’OTAN en Lituanie, le lieutenant-colonel Christoph Huber, a expliqué le « but tactique » des manœuvres comme suit : « Les camarades de la Deuxième Compagnie ont mené avec succès la bataille ici […] gagnant du temps pour leurs camarades et ainsi détruisant les forces ennemies. C’est une formation de combat de haute intensité ».

    Titre et sous-titre originaux : Les forces de l’OTAN menacent la Russie. L’armée américaine et la Bundeswehr allemande envoient des milliers de soldats en Europe de l’Est

    Johannes Stern

    Source

    http://www.voxnr.com/7631/les-forces-de-lotan-menacent-la-russie

  • Le bilan pacifiste de Barack Obama : trois bombes larguées chaque heure

    Une étude du Council on Foreign Relations (CFR) fait état d’un nombre spectaculaire des bombes larguées par les militaires américains en 2016. Ce n’est que l’une des promesses pacifistes non tenues d’Obama. RT revient sur cette présidence agitée.

    Repris de RT France

    http://fr.novopress.info/

  • Comment Donald Trump a fait perdre 1 milliard de dollars à George Soros

    Selon le Wall Street Journal, le célèbre financier américain aurait perdu plus de 1 milliard de dollars en Bourse. Il était convaincu que les marchés dégringoleraient après l’élection de Donald Trump ce qui n’a pas du tout été le cas.

    Tout le monde perd parfois en Bourse. Même George Soros, le célèbre financier américain qui, voici 25 ans, s’était considérablement enrichi en faisant sauter la Banque d’Angleterre. Selon le Wall Street Journal, le multi-milliardaire américain né en Hongrie aurait ainsi perdu près de 1 milliard de dollars sur les marchés, grevant ainsi sa fortune de 4%. A 86 ans, George Soros gère toujours lui-même une partie de ses actifs financiers, dont la valeur total est estimée à 25 milliards de dollars par Forbes.

    Ce revers de fortune est lié à l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis  le 8 novembre. George Soros a cru que les marchés s’effondreraient et ainsi parié à la baisse sur l’évolution des indices américains. Sauf que contrairement à ce que prédisait les Cassandre, les marchés américains ont au contraire continué à croître, les investisseurs voulant croire que la politique économique de Donald Trump gonflerait les profits des entreprises. Le S&P 500, l’indice large de la Bourse de New York, a ainsi gagné 5,6% depuis l’élection de Donald Trump.

    Selon le Wall Street Journal, George Soros, qui avait apporté son soutien à Hillary Clinton,  a toutefois stoppé la casse à la toute fin de l’année 2016 en débouclant la plupart de ses positions.

    Source : BFM
    http://www.contre-info.com/comment-donald-trump-a-fait-perdre-1-milliard-de-dollars-a-george-soros#more-43352 |

  • Contrat d’armement « Donas » : des rétro-commissions pour payer les campagnes présidentielles de 2017 -

    C’est un véritable scandale politique, et pourtant, l’information est complétement passée inaperçue. L’excellent livre « Nos Très Chers Émirs » des journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot est un ouvrage référence concernant les relations diplomatiques entre la France et le Qatar, l’Arabie Saoudite et les Émirats arabes unis. Alors que sa sortie avait provoqué quelques remous suite aux révélations du comportement de certains politiques français (JM Leguen, JV Placé, Nicolas Bays etc…) vis à vis du Qatar, le plus gros scandale du livre n’a pourtant pas fait de bruit…

    Alors que les auteurs détaillent les aléas qui entourent ce contrat d’armement de près de 3 milliards signé en 2013 entre la France et l’Arabie Saoudite au profit du Liban, ils écrivent page 75-76 : Mais ce contrat Donas cacherait aussi une sombre affaire de rétro-commissions. Des rétro-commissions partagées entre la gauche et la droite, avant l’élection présidentielle de 2017.

    Un industriel, qui s’est retiré des négociations lorsque sa société a découvert le pot aux roses, nous a mis sur la voie. Dans le Donas, selon lui « les rétro-commissions se cachent dans un contrat de maintenance d’une valeur initiale d’environ 700 millions d’euros. Elles sont dissimulées dans ce qu’on appelle dans notre jargon un contrat de maintien en conditions opérationnelles (mco). C’est en général dans la partie maintenance que les commissions sont dissimulées, car on peut toujours être flexible sur le nombre d’heures soi-disant nécessaire à la maintenance d’un équipement. Ce contrat mco est géré par une petite société, Ineo Défense. Nous en sommes sûrs à 100%. Pourquoi Ineo Défense est-elle impliquée dans un contrat de ce montant-là ? Ça nous a paru immédiatement suspect. On a cherché un peu. On a trouvé. Mais à partir de là, nos dirigeants n’ont plus voulu être associés à la partie maintenance du Donas. »

    Deux intermédiaires sont aux avant-postes : un dirigeant d’Ineo Défense et un ancien cadre de Thalès qui dispose de sa propre société de conseils. L’un deux, lié au puissant lobby franc-maçon au ministère de la Défense, est proche de l’actuel directeur général de l’Armement, Laurent Collet-Billon.

    Quant à l’autre, son nom a été cité par la presse libanaise dans les négociations sur le Donas pour sa proximité avec les milieux de la sécurité israélienne. La personne qui supervise le contrat est l’amiral Jean-Louis Guillaud, ancien chef d’état-major sous Nicolas Sarkozy.

    Un négociateur du Donas révèle : « le général Kahwaji, commandant en chef de l’armée libanaise, m’a affirmé qu’il avait appelé l’amiral Guillaud pour lui dire qu’il avait appris par les services de renseignements saoudiens qu’un de ses intermédiaires faisait partie du contrat Donas et qu’il avait servi dans l’armée isarélienne. « Ah bon ! a répondu Guillaud. Je vais enquêter » , a-t-il ajouté. Une semaine plus tard, il faisait répondre à Kahwajoi que ce n’était pas vrai. »

    On soupçonne Ineo Défense d’absorber la rétro-commission pour le compte d’un candidat socialiste à l’élection présidentielle et l’ancien cadre de Thalès pour celui d’un candidat de l’opposition. On ignore le montant des rétro-commissions, mais la norme pour ce type de contrat varie généralement en 5 à 10%   A ce jour, il n’y a eu aucune réaction officielle à ce sujet…
    http://www.contre-info.com/contrat-darmement-donas-des-retro-commissions-pour-payer-les-campagnes-presidentielles-de-2017#more-43323 |

  • Bernard Arnault reçu par Donald Trump : retour du protectionnisme !

    Marc Rousset Boulevard Voltaire cliquez ici

    La preuve est faite que les nations, mais surtout une Europe économique unie, peuvent vaincre le libre-échange mondialiste. In fine, c’est le pouvoir régalien qui est le plus fort. Le chef d’entreprise, le capitaliste tremblent et s’adaptent toujours pour ne pas perdre leur marché, leurs débouchés !

    L’actualité nous en apporte la preuve avec Bernard Arnault, chantre, comme son journal Les Échos, du libre-échange mondialiste. Au premier coup de tonnerre, à la première semonce Trump, avant même qu’il soit en fonction, que fait Bernard Arnault ? Il va faire sa courbette devant Trump en lui assurant qu’il va créer des usines et des emplois LVMH en Californie ! Et ce seront autant d’emplois en moins pour la France !

    Si l’on regarde l’histoire économique des États-Unis, depuis leur création, il n’y a pas eu de nation plus protectionniste que les États-Unis.

    On a dit d’Alexander Hamilton, dès la création des États-Unis, qu’il était un autre Colbert. La guerre de sécession opposait le Nord industriel protectionniste au Sud agricole libre-échangiste. Le paroxysme du protectionnisme fut atteint en 1930 avec la loi Smoot-Hawley qui imposait des droits de douane record aux importations. De leur origine jusqu’aux années 1930, les États-Unis pratiquèrent donc un protectionnisme virulent avec des tarifs douaniers de l’ordre de 50 % ; c’est avec cette stratégie qu’ils connurent le taux de croissance le plus élevé du monde et accédèrent au leadership mondial.
    Gardons présent à l’esprit l’exemple de ce qu’il ne faut pas faire en Europe : la construction de l’usine géante Renault de Mellousa au Maroc pour vendre des voitures sur le marché européen en profitant des bas salaires marocains, ce qui crée du chômage en France !

    Contrairement à ce qui a pu être écrit ici ou là, le prix Nobel Maurice Allais souhaitait des barrières protectionnistes aux frontières de l’Europe et un libre-échange seulement à l’intérieur de l’Union européenne pour profiter des économies d’échelle de ce grand marché, ce qu’a parfaitement compris Trump !

    Et, contrairement aux bêtises médiatiques du politiquement correct que l’on peut lire à longueur de journée, la ligne Maginot en 1939 a été une excellente réussite ! Les Allemands ne s’y sont pas attaqués ! La seule erreur fut de ne pas l’avoir prolongée jusqu’à la Manche et à la mer du Nord ! Les Allemands avaient, eux aussi, leur ligne Maginot – la ligne Siegfried -, qui a magnifiquement fonctionné en 1945 et qui a malheureusement fait perdre la vie à beaucoup de soldats alliés !

    Il importe de faire la distinction entre marché européen intérieur et marché d’exportation. Ce qu’il faut, c’est, grâce à une politique douanière de préférence communautaire européenne et non pas hexagonale franco-française, fermer l’accès aux pays émergents qui détruisent les emplois européens pour des produits consommés sur le marché intérieur européen. Pendant ces 30 dernières années, la France a perdu 3 millions d’emplois industriels, les emplois les plus porteurs d’avenir !

  • Pourquoi Fillon se moque de la France et de la Russie

    Le piège Fillon-Macron va-t-il se refermer sur une France plus couillonne et tatillonne que jamais ? Le changement dans la continuité. C’est cela, hein, citoyens petits-bourgeois ?

    Il valait mieux Fillon que Juppé, c’est entendu. Juppé était le clone d’Obama-Clinton-Hollande. Mais pour autant il ne faut pas Fillon. Fillon c’est l’éternel problème français : la fascination de la médiocrité petite-bourgeoise. Hollande aussi a une gueule de notaire (ou du clerc Léon de Mme Bovary ?), avec des mœurs de bourgeois sauvage (cf. Sarkozy). Alors c’est ou Hollande ou Fillon, ou Fillon ou Macron ? Pitié, tournez la page.

    Sur Fillon on dira ce que Houellebecq dit cruellement de Bayrou :

    « Ça en fait l’homme politique idéal pour incarner la notion d’humanisme, d’autant qu’il se prend pour Henri IV, et pour un grand pacificateur du dialogue interreligieux; il jouit d’ailleurs d’une excellente cote auprès de l’électorat catholique, que sa bêtise rassure. »

    Tout national-révolutionnaire boit du petit lait là.

    Et sur la question islamique que ce drôle de catho se flatte de combattre, Guillaume Faye rappelle :

    « Son livre Vaincre le totalitarisme islamique l’a aidé et installé dans le public droitier comme plus dur qu’un FN qui recule sur ce sujet capital. Cela dit, quand il était Premier ministre de Sarkozy, ce brave Fillon n’a rigoureusement rien fait contre l’islamisation de la société française, contre l’immigration de colonisation. Pourquoi voulez-vous qu’il change ? »

    Il changera d’autant moins qu’il a l’électorat des modérés, de la droite molle, des cathos bourgeois, des fonctionnaires retraités (encore, encore !) et des amateurs de Bergoglio. Je sais de quoi je parle.

    Ensuite, Fillon ? Mais lisez son programme, bon Dieu ! Seulement trente-six pages !

    Il se fout de la Russie et de la France. Pour lui il faut être un bon gestionnaire, un idolâtre du couple franco-allemand et un simple kapo de l’Europe. Pour le reste on dirait du Jack Lang :

    « L’avenir d’un pays réside dans sa jeunesse. La politique familiale a permis à la France d’avoir une démographie plus dynamique que d’autres pays comme l’Allemagne. C’est une force. Encore faut-il offrir à tous nos jeunes des perspectives… »

    La politique familiale a surtout permis à la France d’avoir des problèmes de banlieue et 30% de chômeurs. Après il fait référence à la locomotive allemande, qui est plutôt un vampire pour l’Europe – dont elle détruit depuis l’euro les usines et ruine les finances :

    « Ainsi, l’Allemagne compte 1,5 millions d’apprentis, soit trois fois plus que la France et un taux de chômage des jeunes d’à peine 8 %, contre 20 % en France. »

    Fillon ignore la diplomatie et la politique étrangère. Comment la Russie pourrait lui faire confiance ? A l’heure où Washington prépara sa guerre en Europe, il se contente d’exiger plus de coopération avec une Allemagne soumise comme jamais à la CIA et au pentagone :

    « Renforcer les coopérations militaires entre Etats membres et créer un fonds européen qui permette de financer les opérations extérieures que notre pays assume trop souvent seul. Il faut mener un dialogue avec l’Allemagne sur l’effort de guerre pour qu’elle s’engage militairement ou financièrement. »

    Après évidemment il donne sa vision usuraire d’une France forte, à la pointe.

    « Qui peut impulser un tel chantier ? La France agissant de concert avec l’Allemagne. Mais pas une France à genoux qui demande un nouveau report de ses engagements sur les déficits budgétaires. Car, quelle image renvoie la France aujourd’hui ? Celle d’une puissance moyenne sur le déclin. Nous Français pourrons insuffler cette nouvelle dynamique européenne avec nos partenaires Allemands lorsque nous aurons regagné notre crédibilité sur la scène européenne et mondiale, c’est à dire lorsque que nous aurons engagé de façon décisive la rénovation de notre modèle économique et social. »

    La rénovation on la connait : privatisation de ce qui reste, baisse des retraites, de la sécu, le SMIG à 600 comme en Espagne, sans oublier les 40 heures (et donc la fin des heures sup’).

    Fillon est un fils de notable, un simple troufion giscardien. Il est de ceux dont se moquait pour rien Marc Bloch dans son Etrange défaite ; ils semblent indélogeables ces notables. Je relisais la Condition postmoderne de Lyotard. Au chapitre 5, ce dernier écrit que le projet Giscard de rattraper l’Allemagne sur le plan économique n’est pas vraiment un projet excitant. CQFD. En 1979 !

    Un autre politicien allemand, auquel on compare tout le monde nos jours (Poutine, Trump et même Fillon) écrivait lui au début de son Combat :

    « En toute hâte, on rajoute encore des pièces jusqu’à ce que l’on puisse à bon droit espérer que l’on a de nouveau calmé et pleinement contenté l’armée des petits bourgeois « moyens » et de leurs épouses. Ainsi réconforté, on peut commencer, confiant en Dieu et en l’inébranlable sottise du citoyen électeur, la lutte pour la « réforme » de l’État, comme on dit. »

    Augustin Courteille

    http://www.voxnr.com/7658/pourquoi-fillon-se-moque-de-la-france-et-de-la-russie

  • Syrie: petite balade dans Alep libérée

    Encore une fois en russe, et grâce à "ANNA news", mais vous pouvez activer le sous-titrage en anglais, qui est clair et facile à suivre !

    Pour ce faire: dans la barre en bas de la video, cliquez sur le bouton des paramètres (la "roue").

    Paula Corbulon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html