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international - Page 863

  • Aidons les chrétiens déracinés

    Communiqué de l'Aide à l'Eglise en Détrresse :

    "Autrefois cantonnée à la périphérie de l’Europe, la crise des réfugiés est maintenant chez nous. L’AED ne peut pas rester indifférente.

    Nous avons été extrêmement mobilisés ces dernières années pour venir en aide aux chrétiens d’Orient persécutés – plus de 15 millions € en quatre ans, simplement pour l’Irak et la Syrie. Cela demeure notre priorité, mais nous devons également nous mobiliser pour ceux qui, chassés de chez eux, arrivent maintenant en France.

    C’est pourquoi nous lançons un appel d’urgence AED RÉFUGIÉS pour venir en aide à nos frères chrétiens déracinés, qu’ils soient du Moyen-Orient ou d’ailleurs.

    Concrètement, et pour répondre à l’invitation du Pape François,nous aiderons financièrement les paroisses et les communautés religieuses en France qui nous sollicitent pour l’accueil de ces frères.

    Les besoins sont importants et urgents."

    A

    Michel Janva

  • 11/09 : Plus de 2300 ingénieurs et architectes remettent en cause la version officielle

    Pour les lecteurs de Contre-Info qui souhaitent commencer à se renseigner sur le sujet, voici un reportage à voir ici et ce site à consulter : ReOpen911.info
    L’organisation « AE911Truth » publie un livre remettant en cause la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 à New York. Encore une nouvelle théorie du complot? Certes, sauf qu’elle rassemble cette fois plus de 2.351 architectes et ingénieurs.

    Dans leur livre, ils disent n’apporter que des preuves scientifiques vérifiées par plus de 2.000 experts (architectes et ingénieurs).Richard Gage, le fondateur de l’association « AE911Truth », y dénonce les failles de l’enquête menée par le National Institute of Standards and Technology (NIST). Il exige une nouvelle enquête indépendante sur les causes de l’effondrement des tours du World Trade Center le 11 septembre 2001.Le mystère WTC 7
    Les architectes et ingénieurs veulent surtout savoir pourquoi le WTC 7, le « petit frère » des Twin Towers situé à 100 mètres au nord du lieu du drame, s’est aussi effondré. Il s’est écroulé vers 17.20 (heures locales), soit sept heures après. L’US Secret Service, Department of Defense et la CIA louaient quelques bureaux dans ce bâtiment.Jane Standley, la célèbre journaliste de la BBC, présente à New York le 11 septembre 2001, avait informé les téléspectateurs que le WTC 7 venait de s’effondrer, plus de 20 minutes avant les faits. Lors de son reportage, le bâtiment était encore visible en arrière-plan (voir la vidéo sous l’article).

     

    Des explosifs contrôlés?
    La manière dont le WTC 7 a chuté intrigue les experts. C’est un vrai mystère pour Richard Gage et les 2.351 architectes et ingénieurs. Il s’est effondré tout droit, comme si des explosifs avaient été contrôlés pendant la chute du bâtiment. Mais une telle explosion exige des mois de préparation et une extrême méticulosité.

    D’après le rapport officiel, les incendies aux différents étages ont eu pour conséquence que les poutres en acier ont commencé à lâcher. Cela a provoqué une réaction en chaîne.

    Des questions sans réponses
    Mais selon Richard Gage, cette théorie est impossible. Un incendie de bureau ne peut pas faire autant de dégâts. Leslie Robertson, l’entrepreneur en chef du complexe du WTC, partage le même avis.

    Qui a contrôlé ces explosifs à distance? Pourquoi? Richard Gage ne connaît pas les réponses à ces questions. Mais il est persuadé d’une chose: la version officielle sur les causes de l’effondrement des tours du World Trade Center n’est pas correcte.

    Source : 7sur7

    http://www.contre-info.com/1109-plus-de-2300-ingenieurs-et-architectes-remettent-en-cause-la-version-officielle#more-39222

  • Anniversaire du 11 septembre : la menace d’Al Qaeda plane toujours sur les USA

    Les Américains célèbrent le 14e anniversaire des attentats du 11 septembre, avec un pincement de peur au cœur. Si les responsables de la sécurité affirment ne pas avoir identifié de menace précise, Al Qaeda a tout de même diffusé une liste de cibles à abattre.

    Le monde a été sidéré par les attentats du 11 septembre 2001. Pour les Américains, l’attentat le plus meurtrier sur leur sol est toujours un traumatisme et c’est avec appréhension que bon nombre d’entre eux voient approcher cette date. Les terroristes d’Al Qaeda étant friands de symboles, un nouvel attentat à cette date est une hypothèse logique qui ressurgit chaque année outre Atlantique.

    Pourtant, le directeur du FBI James Comey et le chef de l’Agence de sécurité nationale (NSA), l’amiral Michael Rogers, qui intervenaient à une conférence sur le renseignement se sont voulus rassurants. Le premier a déclaré qu’« il n’y a pas de menace spécifique et crédible liée » à cet anniversaire. Il n’a pas été contredit par son collègue de la NSA, qui a simplement souligné combien le 11— Septembre « est clairement une date qui résonne pour beaucoup de gens ».

    Pourtant, Al Qaeda dans la péninsule arabique (AQPA) commémore la date à sa façon, en publiant une « kill list » à la veille du 14e anniversaire des attentats les plus célèbres du monde.
    L’objectif des islamistes est de déstabiliser l’économie américaine en visant ses locomotives. Aqpa appelle à tuer les milliardaires Américains qui font l’économie du pays, tel que le fondateur de Microsoft Bill Gates, l’investisseur Warren Buffet, l’ex-maire de New York Michael Bloomberg, ou encore l’ex-président de la Réserve fédérale des États-Unis, Ben Bernanke. L’organisation terroriste leur promet la vie sauve s’ils fuient les USA avec leurs capitaux.

    Si l’organisation a perdu beaucoup de sa superbe depuis la guerre menée contre elle en Afghanistan et la montée en puissance de l’État Islamique (Daesh), ses menaces ne sont toutefois pas à prendre à la légère.

    http://fr.novopress.info/

  • ONU : Cinglante défaite du lobby homosexuel

    Comme chaque année à l’ONU, le lobby homosexuel tente de faire reconnaître les couples de même sexe comme étant une forme naturelle de la vie en société. Ce principe a été reconnu « au nom des droits sexuels » dans un certain nombre de pays comme la France ou l’Amérique. Or de nombreux pays ne participent pas à cette manière de voir, même si conjointement ils sont matraqués par les organisations internationales faisant la promotion du gender. Pour les contrer, les pays opposés à la promotion de l’homosexualité contre-attaquent en faisant voter des motions défendant la famille traditionnelle auprès du Conseil des Droits de l’homme de l’ONU. Ainsi en 2014, une motion visant à la protéger avait été votée par 26 voix contre 14, six abstentions et un membre absent. Cette année le 10 juillet, les destructeurs de la famille en ont pris un sérieux coup pour leur grade. Les défenseurs de la famille ont fait voter leur résolution par 29 voix contre 14 et quatre abstentions. Les 14 voix irréductibles : ce sont celles des pays occidentaux décadents ; en gros l’Europe et l’Amérique du Nord. Dépité, l’an dernier, le lobby LGBT, dans sa déception, avait argué grosso modo qu’il n’appartenait pas à une « majorité accidentelle » de statuer sur cette affaire.

    La résolution qui a été votée la semaine dernière, demande à l’ONU de reconnaître que l’unité familiale traditionnelle se voit « incroyablement vulnérabilisée ». Elle demande que les organisations internationales lui accordent la place qu’elle mérite dans l’ordre du jour concernant le « développement global ». Elle rappelle que la famille est l’environnement naturel du développement de l’enfant et qu’elle est « la première à avoir la responsabilité l’éducation et la protection » de celui-ci.

    Les tenants des « droits sexuels » estiment bien sûr que la définition de la famille ne saurait être exclusive aux couples formés d’une femme et d’un homme. Elle devrait concerner aussi ceux de même sexe ou uni-parentaux.

    Sans entrer dans les détails des positions respectives, il est possible de dire que la résolution votée est une réponse directe à l’Amérique qui vient de reconnaître le droit aux homosexuels de se marier.

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  • L’Autriche et l’Espagne prônent un rapprochement avec Bachar al-Assad

    L’Autriche et l’Espagne se sont démarquées des autres pays de l’Union européenne dans l’attitude à prendre à l’encontre du président syrien Bachar al-Assad

    Par la voix de leur ministre des Affaires étrangères respectifs, en visite séparément dans la capitale iranienne, ils ont prôné plus de rapprochement avec le président syrien que quatre années de guerre soutenue par les puissances occidentales et les monarchies arabes ne sont pas parvenues à faire renverser.

    La priorité de combattre Daesh

    Selon l’Autrichien Sebastian Kurz, l’Occident devrait joindre le président syrien, la Russie et l’Iran à la lutte contre la milice wahhabite takfiriste Daesh (Etat islamique).

    « A mon avis, la priorité revient au combat contre le terrorisme. Ceci ne pourra être possible sans des puissances comme l’Iran et la Russie », a-t-il dit lors d’un point de presse avec les journalistes, en marge d’une visite officielle en Iran du président autrichien, la première depuis dix années d'un président européen.

    Et de conclure, selon l'agence Reuters : « Nous avons besoin d’une action commune qui puisse garantir la participation d’Assad pour faire face au terrorisme de l’organisation de Daesh».

    La paix se fait avec les ennemis

    Selon le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Garcia-Margallo, il faut "négocier" avec le président syrien Bachar al-Assad "un cessez-le-feu", faisant valoir que "la paix se fait toujours avec les ennemis".

    En visite officielle en Iran jusqu'à mardi, il a jugé qu'il fallait "négocier" avec le président syrien "un cessez-le-feu partiel, commençant par Alep (nord-ouest de la Syrie), pour arriver à un cessez-le-feu global", dans une interview accordée à la radio Cadena Ser, rapportée par l'AFP.

    "Une des parties (impliquées), c'est le gouvernement de Bachar al-Assad qui personnellement ne me plaît absolument pas (...) mais la paix se fait toujours avec les ennemis, il faudra négocier et arriver à un cessez-le-feu sinon nous allons arriver à une situation humanitaire désespérée".

    Le ministre espagnol a défendu l'option militaire contre l'organisation Etat islamique (EI), ajoutant attendre "désespérément" une décision de la communauté internationale en la matière.

    "Avec Daesh (acronyme arabe de l'EI), il n'est possible ni de négocier ni de dialoguer, une solution militaire est nécessaire, mais dans un cadre de la légalité internationale", a-t-il dit.

    L'intervention doit être légitimée, par exemple via "une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies", a déclaré M. Margallo, dont le pays est actuellement membre non permanent du Conseil.

    Mais "si cela n'était pas possible - et il semble que cela ne sera pas car la Russie soutient le gouvernement de Bachar al-Assad (...) -, il nous suffirait d'une décision de l'OTAN, d'une décision de l'Union européenne", a dit José Manuel Garcia-Margallo.

    source : Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuuElVZuZFlaxlpPZg.shtml

  • Syrie : le djihadiste qui imposait le statut de dhimmi aux chrétiens a été tué

    Capture

    Il y a quelques jours, l’État Islamique sortait une vidéo ou un djihadiste faisait signer un document à des chrétiens. Il s’agit du « pacte de la dhimma » édicté par le calife Omar ibn al Khattab, compagnon du prophète,  qui régna de 634 à 644. En signant ce pacte les non-musulmans reconnaissent leur statut de dhimmi. Les chrétiens ont alors l’obligation de payer la Jizya (impôt obligatoire pour les mécréants), l’interdiction de faire tout prosélytisme (une construction d’une église ou d’un monastère, affichage de signes religieux, les cloches d΄une église, procession etc..)

    Le djihadiste de la vidéo se nommait Hazem Abu Rumman ( alias « Abu Qaqaa ») agé de 30 ans et de nationalité jordanienne. Il a été neutralisé dans un bombardement des forces aériennes syriennes. L’EI confirme la mort de son Emir. Justice divine ?

     

    Abu al Qaqaa

    http://www.contre-info.com/syrie-le-djihadiste-qui-imposait-le-statut-de-dhimmi-aux-chretiens-a-ete-tue#more-39189

  • La France tente d’entraver le déploiement militaire russe en Syrie

    Trouvé sur le Réseau Voltaire :

    La Russie poursuit la préparation de son déploiement militaire en Syrie [1]. Des équipes syriennes s’activent jour et nuit pour agrandir l’aéroport de Lattaquié et y construire une nouvelle piste et des hangars pour les avions russes. Répondant à des journalistes en marge du Forum de Vladivostok, le président Poutine a confirmé ses intentions tout en précisant qu’il était encore trop tôt pour évoquer ce déploiement [2].

    Selon toute vraisemblance, la Russie devrait annoncer son entrée en guerre contre Daesh à la demande de la Syrie, avant la fin septembre. Il est peu probable que les forces aériennes russes puissent être coordonnées avec celles de la Coalition conduite par les États-Unis. On assistera alors à une répartition des rôles, Moscou bombardant l’ensemble des jihadistes en Syrie, sans intervenir dans le conflit entre le gouvernement et son opposition autochtone, tandis que Washington et ses alliés se concentreraient sur le seul Émirat islamique (« Daesh ») en Irak.

     

    Depuis un an, la Coalition anti-Daesh s’est contentée d’empêcher les jihadistes de gagner du terrain, mais n’a pas cherché à les détruire. Bien au contraire, de très nombreux témoignages attestent du largage répété d’armes aux jihadistes. Toutefois, la Coalition semble avoir changé de stratégie en juillet. Elle a ainsi bombardé Daesh et a aidé l’Armée arabe syrienne à défendre Hassaké, tuant environ 3 000 jihadistes.

    Le déploiement russe contre Daesh en Syrie mettrait fin aux ambitions de la France de renverser la République.

    Le président François Hollande, qui déclarait le 25 août son intention de « neutraliser » son homologue syrien [3] cherche donc à s’y opposer. Il faut comprendre « neutraliser » au sens militaire du terme, c’est-à-dire éliminer du jeu au besoin en tuant.

    C’est pourquoi la France devrait annoncer le 7 septembre son intention de bombarder Daesh en Syrie, sans l’accord de la République arabe syrienne. Les avions français voleraient ainsi au secours du Front al-Nosra (al-Qaïda) et entraveraient le déploiement militaire de la Russie.

    Cependant, au sein des armées françaises, on relève que la France a déjà brièvement participé aux actions de la Coalition en Syrie, même si cette participation est restée secrète [4]. Lorsque le président Hollande ordonna de se retirer, Washington réagit en cessant tout partage de renseignement. Par conséquent, la France, qui a fermé l’ensemble de ses installations en Syrie depuis le début du « Printemps arabe », ne dispose aujourd’hui d’aucune information sur ce qui s’y passe et parle d’un sujet dont elle ignore tout. L’état-major français fait remarquer qu’il lui faudra des semaines d’observation avant de comprendre la situation au sol et de pouvoir débuter des bombardements efficaces ; un délai qui pourrait réduire à néant les ambitions de François Hollande. Delicious

     

    [1] « L’armée russe commence à s’engager en Syrie », par Thierry Meyssan,Réseau Voltaire, 24 août 2015.

    [2] “Vladimir Putin answered Russian journalists’ questions”, by Vladimir Putin, Voltaire Network, 4 September 2015.

    [3] « Discours de François Hollande à l’ouverture de la semaine des ambassadeurs », Réseau Voltaire, 25 août 2015.

    [4] « Le Royaume-Uni et la France bombardent Daesh en Syrie », Réseau Voltaire, 21 juillet 2015.

    http://www.contre-info.com/la-france-tente-dentraver-le-deploiement-militaire-russe-en-syrie#more-39182