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international - Page 861

  • Dans l’invasion migratoire, tout est prévu, y compris les itinéraires bis

    Bloqués à l’entrée de l’espace Schengen à la frontière serbo-hongroise, les envahisseurs ont obtenu hier matin l’autorisation d’entrer en Croatie. De là ils espèrent rejoindre l’Europe occidentale via la Slovénie puis l’Italie ou l’Autriche.

    Les clandestins ne cherchent donc plus à entrer dans l’espace Schengen par la Hongrie ? 
    La route par la Hongrie est bloquée à deux niveaux. D’abord par le déploiement de barrières à la frontière avec la Serbie. Ensuite, plus en aval et à l’intérieur de l’espace Schengen, par la fermeture des frontières entre l’Allemagne, l’Autriche et la Hongrie. La Croatie apparaît donc comme un itinéraire de délestage naturel.

    Cet envahissant cortège semble présenter une étonnante capacité d’adaptation…
    En effet, les plans B se multiplient. La route des Balkans avait déjà pris le relais de la route méditerranéenne, délaissée depuis le printemps. Dans le même temps, à l’autre bout de l’Europe, quelques centaines de Syriens ont franchi la frontière russo norvégienne !
    Dans un article récent, le journaliste Alexandre Latsa relevait à juste titre le caractère organisé de ces cortèges. Les clandestins apparaissent propres et bien habillés, équipés de téléphones portables et de banderoles. Difficile d’imaginer les réseaux de passeurs capables d’assurer une telle organisation à l’échelle du continent.

    Il ne s’agirait donc pas d’un mouvement de migration totalement spontané ? 
    Comme pour les soi-disant printemps arabes, la question de la spontanéité de l’invasion migratoire mérite d’être posée.

    S’agit il de la mise à exécution par l’État islamique de sa menace de nous envoyer 500 000 immigrés ? 
    La revue autrichienne Info Direkt, citant un agent du renseignement militaire autrichien, affirme quant à elle que ces mouvements seraient en partie financés par des réseaux américains. S’agirait-il d’un plan américain pour déstabiliser l’Europe, comme l’avançait Thierry Meyssan en avril ? C’est en tout cas l’opinion exprimée hier par Sergueï Narychkine, président de la Douma russe, sans toutefois nommer expressément les États-Unis.

    http://fr.novopress.info/

  • En Syrie, Poutine joue la carte anti-Daech

    En intensifiant son soutien militaire à Bachar el-Assad, la Russie entend signer son grand retour au Moyen-Orient, mais aussi redevenir une puissance globale.

    Les Russes le surnomment le «Syrie express». Dans les grands instituts de la capitale, le corridor aérien qui relie Moscou à Damas est presque aussi connu que la ligne ferroviaire qui rejoint Saint-Pétersbourg. Aujourd'hui les Russes l'utilisent pour envoyer des chars et de l'artillerie, mais aussi des conseillers à leur allié Bachar el-Assad. Une action offensive qui vise à imposer aux puissances régionales et aux Occidentaux une grande coalition anti-Daech. Un coup tactique destiné à pousser même les plus réticents, comme la France, à désigner les djihadistes de l'État islamique comme leur principal ennemi.

    De Catherine la Grande qui voulait étendre son influence au Moyen-Orient à la guerre froide, qui attira dans son orbite plusieurs pays arabes, la Russie a toujours été présente en Syrie. Dans les années 1950, l'URSS a fourni plus de 200 millions de dollars d'aide militaire à Damas. L'arrivée au pouvoir d'Hafez el-Assad, un officier formé à Moscou, a consolidé l'alliance dans les années 1970 et permis à l'Union soviétique de faire de la Syrie baasiste et socialiste l'un de ses principaux clients militaires. Missiles sol-air, roquettes antichar, système de défense antiaérienne: l'armée syrienne a été équipée par le grand frère soviétique, puis russe. Les livraisons d'armes au régime de Damas se poursuivent depuis la chute du mur de Berlin. Environ 25.000 Russes vivent encore dans ce pays.

    Le nouveau renforcement militaire de Moscou en Syrie s'insère donc dans une stratégie de longue date. Il s'appuie sur des réseaux puissants et fidèles en partie installés pour contrer l'influence occidentale. «C'est le retour d'une diplomatie néo-primakovienne consistant à replacer la Russie au cœur du Moyen-Orient avec des cartes limitées mais utilisées sans état d'âme», décrypte Camille Grand, le directeur de la Fondation pour la recherche stratégique (FRS). Spécialiste du Moyen-Orient, ministre des Affaires étrangères de Boris Eltsine, Evgueni Primakov fut l'artisan du retour de la Russie sur la scène internationale ainsi qu'un âpre défenseur des intérêts de la puissance russe face à Washington.

    Un partenaire indispensable

    Le «retour» de la Russie au Moyen-Orient s'effectue parallèlement au «retrait» des États-Unis dans la région. Élu pour ramener les troupes américaines d'Irak et d'Afghanistan, hostile à l'idée d'ouvrir un nouveau front au Moyen-Orient, tenté par un pivot vers l'Asie, Barack Obama a créé un vide que la Russie veut aujourd'hui combler. Elle le fait d'autant plus facilement que vis-à-vis de la Syrie, sa politique n'a jamais changé depuis le début de la guerre. Contrairement aux Occidentaux et à leurs alliances hésitantes, les Russes ont toujours soutenu le régime de Damas et leur allié Bachar el-Assad, même dans les périodes les plus difficiles.

    La Russie ne voit que des avantages à ce retour précipité en Syrie. Elle sécurise sa présence dans le port de Tartous, qui lui offre son seul accès à la Méditerranée. Marginalisé après l'effondrement de l'URSS, isolé par son coup de force en Ukraine et les sanctions internationales, Moscou veut revenir au cœur du jeu moyen-oriental. Affirmer ses intérêts de puissance et contrer l'influence occidentale en imposant sa propre voie. Redevenir une puissance globale. En soutenant le régime syrien, Vladimir Poutine prévient aussi qu'il n'acceptera pas pour Bachar el-Assad le destin qui fut réservé à Kadhafi en 2011 après l'intervention franco-britannique en Libye. Le retrait d'un homme fort, selon Moscou, entraîne toujours plus d'instabilité. «Et les Russes n'aiment pas l'instabilité quand ce n'est pas eux qui la provoquent», commente ironiquement un diplomate français.

    11 septembre 2001, lorsqu'il était critiqué par les Occidentaux pour sa brutalité en Tchétchénie, en offrant son soutien à la coalition antitalibans, le Kremlin se présente aujourd'hui comme un partenaire indispensable pour combattre les djihadistes, devenus l'ennemi commun. Pour les Russes, qui s'inquiètent des turbulences dans leurs Républiques musulmanes et du nombre croissant de djihadistes qui partent combattre en Syrie, la lutte contre le terrorisme est une question de sécurité nationale. Elle est aussi un moyen de se réhabiliter aux yeux de la communauté internationale. «Les Russes préfèrent ne combatte qu'un ennemi à la fois. Ils pensent en outre que l'idée d'une coalition anti-Daech peut réconcilier tout le monde», poursuit le diplomate.

    Car le «retour» militaire des Russes au Moyen-Orient se double d'une initiative diplomatique. Vladimir Poutine pourrait rencontrer Barack Obama en marge de l'Assemblée générale de l'ONU à New York, où il se rendra le 28 septembre pour la première fois depuis dix ans. La stratégie occidentale en Syrie ayant conduit à l'impasse, la Russie devient maître du jeu. Pour mettre fin à la guerre en Syrie, Poutine propose de créer une grande coalition internationale contre les djihadistes, incluant l'armée syrienne, sous parapluie onusien. À charge pour le Kremlin de mener ensuite Bachar el-Assad à la table des négociations et d'imposer à tous une formule de transition politique qui préserverait le régime. Le projet russe assure à Moscou une place de choix à la table des futures négociations. En quelques mois, le Kremlin a réussi à imposer sa vision du futur syrien et à convaincre les Occidentaux, notamment la France, que le départ de Bachar ne devait plus être une condition préalable à des pourparlers mais l'aboutissement d'un processus de transition.

    Le plan russe, qui se nourrit du manque de vision et des incertitudes de l'Occident, a cependant des failles et des faiblesses. «Les Russes ont-ils les moyens de leur politique en Syrie ?» s'interroge Camille Grand, le directeur de la FRS. Comment convaincre, après quatre ans et demi de guerre, les opposants syriens de s'asseoir à la même table que leur bourreau? Comment garantir la survie du régime sans Bachar el-Assad? Autant de questions auxquelles l'initiative russe n'a pas encore répondu.

    Intenses négociations

    Sur la route de Vladimir Poutine en Syrie se lève aussi l'Iran, beaucoup plus impliqué que Moscou auprès du régime de Damas. Le renforcement militaire russe a sans doute été orchestré à l'occasion d'une visite fin août à Moscou de Qassem Soleimani, le général iranien commandant al-Qods, les forces spéciales des gardiens de la révolution. Mais si les Russes ont confié aux Occidentaux qu'ils n'étaient pas mariés avec Bachar el-Assad, aucun signe de cette nature n'est venu de Téhéran.

    Le président russe pourrait aussi trouver sur son chemin les États-Unis. L'Administration Obama acceptera-t-elle l'intervention russe comme un fait accompli, alors que la Syrie est utilisée par Vladimir Poutine comme un nouveau terrain de confrontation entre l'Est et l'Ouest? Elle n'a pas encore répondu à l'offre russe d'ouvrir un dialogue «entre militaires» sur le conflit en Syrie. Tout en estimant qu'une «coopération est possible», le département d'État redoute «que le soutien continu de la Russie à Assad intensifie le conflit et sape (notre) objectif commun de lutte contre l'extrémisme». La communauté internationale est toujours en panne de stratégie face à Daech, qui ne cesse de gagner du terrain, comme l'a confirmé cette semaine le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.

    Les intenses négociations autour de la Syrie ont en outre relégué le conflit ukrainien en seconde position. «Grâce à la Crimée, la Russie est parvenue à renforcer sa stratégie d'accès, sa présence en Méditerranée et son ombre portée au Moyen-Orient… Il s'agit désormais de modifier l'ordre de sécurité post-1991, en profitant du retrait américain d'Europe et du Moyen-Orient», écrit le directeur de l'Ifri Thomas Gomart dans Politique étrangère.

    Isabelle Lasserre

    source : Le Figaro ::lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuukVFkFFASJHKMpQe.shtml

  • L’Empire contre-attaque

    La photo du petit garçon allongé sur la plage a inondé les médias européens. Tout le monde connaît son prénom maintenant : Aylan. Journalistes, artistes et toute personne du monde de « l’entertainment » ayant accès aux médias dominants (de domination ???) dénoncèrent l’égoïsme des Européens et la frilosité de leurs dirigeants.

    Quelques jours après, François Hollande annonçait l’arrivée de 24.600 migrants en France, chaque pays européen rivalisant d’ambition pour en installer des centaines de milliers sur son sol.

    Les experts passent en boucle à la télévision. Leurs arguments, toujours favorables à leur arrivée, associent la compassion à la rationalité. Seules quelques voix isolées refusent encore de céder à ce diktat. L’émotion a fait son job. Ceux qui ont créé l’émotion ont bien fait le leur. Le matraquage est permanent, culpabilisant les honnêtes gens animés de ces vertus humanistes qui font l’honneur de la civilisation européenne. Cependant, agir ainsi ne dispense pas d’analyser ce qui se passe et de conjecturer sur les protagonistes de la cinquième colonne à l’origine de ce tapage médiatique.

    C’est l’instinct qui avait motivé mon « Journalistes ou passeurs ?» (*). Depuis, beaucoup de lignes ont été écrites et publiées. Le Monde, « le journal de référence », se sent même obligé de dénoncer imposteurs et complotistes pour arguer de son bon-droit. Il n’est pas le seul à jouer dans cette fanfare. L’arrivée de millions d’individus allogènes se superposant aux dizaines de millions déjà installés sur nos territoires depuis la fin de la deuxième guerre mondiale oblige encore une fois à nous interroger. Pourquoi ?

    La réponse est triviale. Nos ennemis, non contents de l’avoir assujettie, veulent maintenant détruire l’Europe pour éliminer un rival potentiel et s’ouvrir d’autres perspectives après avoir sécurisé leurs bases arrières. La cible ultime est la Russie. Dans l’art de la guerre, le chaos chez l’autre est toujours préférable à l’ordre.

    Certes, comme cela est de plus en plus évident, la classe dirigeante européenne est complètement soumise. Elle obéit. Mais les peuples saisissent ce qui se passe et, ne voulant pas mourir, s’expriment pacifiquement en donnant à chaque élection de plus en plus de voix aux mouvements dits populistes. Partout en Europe ceux-ci progressent. On ne peut pas comprendre la montée subite de Syriza en Grèce sans envisager que c’est le contre-feu organisé par les dominants pour éliminer Aube dorée. Ses dirigeants furent mis en prison avant l’élection décisive. En outre, de plus en plus de têtes se tournent vers la Russie comme recours à cette domination extra-européenne.

    Engagé depuis plus de cinquante années, le processus de métissage de la population européenne prend maintenant une nouvelle dimension. L’Histoire enseigne que mélanger les peuples permet à un conquérant de soumettre un territoire conquis. Ainsi, Rome ne cessa de déporter et d’installer des gens de l’Empire en dehors de leur territoire d’origine. Un des exemples les plus fameux est celui des juifs après la Grande Révolte (66-73 ap. J.-C). L’échec de cette rébellion juive marque la fin de l’Etat hébreu antique et la naissance de la diaspora. L’Empire aujourd’hui fait de même après avoir installé partout des gouverneurs pour relayer sa politique.

    Depuis 1945, les classes dirigeantes historiques ont été ostracisées, au mieux, tuées dans le pire des cas. Un processus méritocratique animé par des autochtones inféodés et des allogènes récemment installés a fourni les cadres dont nos territoires avaient besoin après ces purges. Le contrôle des médias et des personnalités publiques a conditionné le peuple-souche à l’esprit de ses nouveaux maîtres. Notre civilisation gallo-américaine en est le résultat. Il eut du pain et des jeux, aussi rien ne bouge depuis – enfin… ne bougeait pas, car du pain, il y en a moins, et les jeux sont ennuyeux.

    Alors le « populisme » monte. Et les maîtres de l’Empire craignent une rébellion à la Arminius ou à la Vindex.

    Gaius Julius Vindex, Gaulois originaire d’Aquitaine et sénateur romain, était gouverneur de la province de Gaule lyonnaise. La révolte qu’il organisa contre Rome en 68 ap. J.-C. échoua. Arminius eut plus de succès. Issu de la région de la Weser, élevé à Rome comme un citoyen romain, il devint une personnalité parfaitement intégrée à la classe dirigeante et, à ce titre, proche conseiller du gouverneur Varus en Germanie. Mais… au début du 1er siècle ap. J.-C., l’anéantissement, à son initiative, de trois légions romaines au cours de la bataille de Teutobourg fixa définitivement les limites de l’Empire romain en Europe occidentale.

    L’Histoire pullule de faits semblables où des personnalités issues de peuples soumis se rebellèrent contre les maîtres qui les avaient faits rois. Tout ceci est transmis et enseigné aux personnes en charge du pouvoir. Charles De Gaulle fut un des derniers Gaulois à s’être rebellé contre la tutelle de l’Empire à qui il devait tout. Bilan : Mai-68 sur les bras ; une fuite en Allemagne suivie d’une élection perdue. La messe était dite. Georges Pompidou, plus sûr, le remplaça.

    Comme hier, l’Empire veut maintenant la Russie. Mais pour prendre la Russie, il doit contrôler ses arrières. Or, de la sujétion totale de l’Europe dépend le succès ou l’échec de cette entreprise. Malgré les institutions créées à cet effet – Union européenne, Otan, etc ; des dirigeants inféodés ; la maîtrise totale des personnalités publiques (artistes, politiciens, sportifs, « patrons » de grandes entreprises) ; l’infiltration de l’Ecole publique, etc. – l’Europe est encore une puissance militaire plus que respectable pour peu qu’elle veuille utiliser son arsenal. En outre, beaucoup de militaires comprennent la politique. Qui sait ce qu’un dirigeant inspiré par Arminius ou Vindex pourrait faire en s’alliant avec la Russie ? Alors, il faut miner cet espace nécessaire à la conquête de la Russie pour maximiser ses chances de succès lors de l’offensive finale. On ne peut expliquer l’arrivée de millions d’immigrés bien au-delà des nécessités économiques sans les envisager comme la garantie de la mainmise de l’Empire sur nos territoires. Les plus intégrés d’entre eux ont même l’honnêteté de l’admettre. Ainsi, s’adressant à Florian Philippot (FN), Malek Boutih (PS) affirma « Même si vous gagnez, on ne se laissera pas faire » (1). S’exprimait-il au nom du PS ou comme Immigré ?

    Mais d’autres Immigrés refusent d’être les pions sacrifiés aux intérêts de l’Empire. Alors on en fait venir de nouveaux. Comme les justifications économiques ne suffisent plus, on trouve d’autres arguments en utilisant tous les registres disponibles. La mort d’un enfant s’inscrit dans ce processus visant à annihiler toutes les volontés et toutes les défenses de ceux qu’il faut dominer. L’arrivée d’Afghans, de Machrekiens, d’Erythréens, etc., innocents politiquement, encadrés par des combattants de l’Empire, participe au renforcement de la domination. Le B.A.BA de tout pouvoir est de diviser pour régner.

    Une question se pose alors. Quel visage donner à cet Empire ? On prête à François Mitterrand les propos suivants avant sa mort : « La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort » (2).

    Délire d’un mourant ou réalisme d’un chef d’Etat averti ?

    Frédéric Villaret, 14/09/2015

    Notes :

    (*) Voy. http://www.polemia.com/journalistes-ou-passeurs/

    (1) http://www.lessonnien.fr/wp-content/uploads/Malek-Boutih-Mots-Croises-sur-France-2.png

    (2) Source : Georges-Marc Benamou, Le Dernier Mitterrand, Plon, 1997.

  • Contre les immigrationnistes, Génération Identitaire affirme « Clandestin, l’Europe n’est pas ton destin ! »

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    « Clandestin, l’Europe n’est pas ton destin ! » Le slogan brandi par Génération identitaire Metz à la face d’une manifestation immigrationniste a fait mouche. L’énervement des intéressés et des médias en atteste. Par Jordan Lauer

    Avenir Ensemble avait réuni 300 personnes pour son « rassemblement humaniste » en faveur des « réfugiés », samedi dernier à Metz. Ce petit monde pensait ronronner tranquillement dans les bons sentiments et l’entre-soi. C’était sans compter sans une vingtaine de militants de Génération Identitaire Lorraine, accompagnés d’élus FN messins, parmi lesquels Françoise Grolet et Thierry Gourlot, venus réclamer un référendum local sur la question de l’accueil.

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    Notre message était pour sa part plus simple : Génération Identitaire Lorraine réclame l’expulsion de tous ces immigrés entrés illégalement sur notre territoire ! C’est derrière une banderole sur laquelle on pouvait lire : « Clandestin, l’Europe n’est pas ton destin » que la petite troupe a investi pacifiquement le village associatif sur le parvis des droits de l’Homme, pour passer le message d’une majorité de la population aux immigrationnistes militants présents et aux élus : les aides envisagées pour les clandestins devraient être mises en place pour nos SDF avant tout !

    En effet, le maire socialiste de la ville, Dominique Gros revenait tout juste de Paris où il a rencontré le premier ministre en compagnie de 600 autres élus venus recevoir la bonne parole… leur quota de « réfugiés » et les crédits qui vont avec. M. Gros a confirmé pour sa part sa volonté d’accueillir 250 Syriens à Metz, estimant qu’il s’agit pour lui d’un devoir.

    Il y a des appartements vides et par-dessus tout j’en appelle à la population

    déclare-t-il. Appel non entendu, puisque seuls 25 Messins sont portés volontaires pour ouvrir leur porte.
    Peut-être aurait gagné à consulter la population au nom de laquelle il s’engage avant de lancer ses hasardeuses initiatives, cela lui aurait rappelé que les Français sont majoritairement opposés à l’accueil de davantage de clandestins. Sans doute va-t-il pallier au manque de civisme de ses administrés en logeant les 225 « réfugiés » restants dans son appartement ?

    Soulignons enfin que, contrairement aux élucubrations des journalistes du Républicain Lorrain, nous n’avons bien évidemment pas menacé la sécurité des manifestants pro-immigration avec des « pétards ». Cette mise en scène de la presse locale est comme d’habitude grotesque… Les Messins ne sont plus dupes.

    Jordan Lauer – Responsable Génération Identitaire Lorraine

    http://fr.novopress.info/

  • Poutine est le seul chef d’État à avoir une vision claire du Moyen-Orient

    D'Yves de Kerdrel :

    Unknown-8"Notre salut passe par Poutine. Le président de la Russie est le seul Chef d’État au monde à avoir une vision claire de ce qui se passe au Moyen-Orient. Il l’a exposée dans un discours qu’il a fait hier au Tajikistan. Selon ses informations, non seulement Dae’ch contrôle une grande partie de l’Irak et de la Syrie. Mais l’organisation terroriste a déjà planifié des attentats à La Mecque, Médine et Jérusalem. De la même manière, elle vise à s’étendre en Europe, en Russie et en Asie du Sud-Est. C’est ce qui amène Vladimir Poutine à appeler la communauté internationale à unir ses forces contre cet ennemi prêt à déstabiliser toute cette région. C’est ce qui l’a conduit aussi, selon nos informations, à expédier auprès des côtes syriennes son plus gros sous-marin nucléaire doté de 200 missiles balistiques."

    Michel Janva

  • Syrie, crise des migrants, Angela Merkel, "Art" contemporain…

  • George Soros a financé les manifestations racistes de Ferguson

    Le milliardaire George Soros, financier très en vue des campagnes de Barack Obama, a alimenté des groupes radicaux d’extrême gauche à hauteur d’au moins 33 millions de dollars en une seule année. Une enquête explosive sur les versements financiers du docile protégé de la dynastie bancaire des Rothschild révèle également que ces groupuscules sont par exemple à l’origine des manifestations de Ferguson, survenue après la mort d’un jeune Noir américain, tué par un policier blanc.

    Le document révèle également que son argent a servi à peser sur les médias, les organisateurs, les manifestants, les slogans… En d’autres mots, George Soros, figure clé de l’élite mondialiste, n’a cessé d’alimenter la pression au sommet du pays comme à sa base, dans cette guerre menée contre la police locale. La stratégie était habile : les médias n’ont cessé de relayer la propagande financée par George Soros.

    La pseudo « charité » du milliardaire est depuis longtemps connue de tous ; elle a bénéficié à la campagne présidentielle de Barack Obama, mais aussi à l’avènement de révolutions comme celle d’Ukraine.
    L’argent de Georges Soros a permis d’influencer et de manipuler les manifestations de Ferguson


    Kelly Riddell, journaliste du Washington Times, écrit ainsi : « Il y a un homme, un seul homme au cœur financier du mouvement de protestation de Ferguson. (…) Ce n’est pas la victime, Michael Brown, ou l’officier Darren Wilson. (…) C’est le milliardaire libéral George Soros, dont l’empire financier domine l’Europe et a permis de forger une machine politique alimentée par diverses associations à but non lucratif qui influencent sans cesse la politique américaine. »

    Certaines de ces organisations ont permis de mobiliser des manifestants, d’autres se sont lancées dans la « recherche universitaire » pour produire des éditoriaux repris dans la presse entière.

    Pire encore, toutes ces organisations ne cessent de « s’alimenter les unes et les autres », selon les mots du Washington Times, créant ainsi une « caisse de résonance » et permettant de faire croire que l’information vient de plusieurs sources. Certains médias sont d’ailleurs financés par… Soros lui-même, ce qui simplifie encore davantage le processus.

    Parmi les organisations qui sont descendues dans les rues de Ferguson, nombreuses étaient celles qui étaient financées par le milliardaire : Samuel Dewitt Proctor Conference, Drug Policy Alliance, Make the Road New York, USA Equal Justice, Sojourners, the Advancement Project, the Center for Community Change, ainsi que la Gamaliel Foundation.
    George Soros a également financé des programmes anti-police dans les écoles de New-York
    George Soros n’était cependant pas le seul à financer ces manifestations. D’autres forces puissantes, qui lui sont alliées, ont également aidé à alimenter une protestation essentiellement raciale. Les fondations « philanthropiques » Ford et Tides, ont également versé des millions de dollars pour l’opération.

    Le rapport révèle encore que l’argent de Soros a également servi la cause de manière indirecte. En 2010, les écoles de New York ont mis en place un cours sur les droits de l’homme pour les élèves du collège et du lycée. Outre qu’il fait la promotion des droits de l’homme à la mode onusienne, le projet se concentre également sur les mouvements révolutionnaires menés contre la police locale. Cinq ans plus tard, le monde des jeunes était prêt à l’action. Leurs manifestations ont d’ailleurs été soutenues par le président Barack Obama lui-même. Identité de vues…

    Obama a également lancé un autre projet : « Organizing for Action », qui entraîne 10.000 organisateurs communautaires progressistes pour « transformer la nation », grâce aux millions de Georges Soros, une fois de plus.

    George Soros, l’administration Obama et l’ONU soutenaient les manifestations raciales de Ferguson

     

    L’ONU elle-même a soutenu les protestations, appelant les Etats-Unis à revoir leur politique d’armement ou à nationaliser leur police : des revendications mondialistes par excellence. Les policiers ont été innocentés ou reconnus en état de légitime défense, mais l’ONU n’a pas lâché prise. Sans surprise, George Soros est très favorable à l’ONU, dont il finance régulièrement les rapports.

    Le mouvement semble aujourd’hui s’être tari. Mais rien n’exclut le retour prochain d’autres manifestations « spontanées » et « populaires » qui auront pour but de « transformer les Etats-Unis ». Et les médias, au lieu de faire leur travail, chanteront une fois de plus les louanges du « progressisme ».

     

    Béatrice Romée pour Reinformation.tv

    http://www.contre-info.com/george-soros-a-finance-les-manifestations-racistes-de-ferguson#more-39255

  • Débat à l'Assemblée Nationale sur d'éventuelles frappes en Syrie : paroles de députés