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international - Page 864

  • Dictature Merkel : non, l’Allemagne n’est pas une démocratie

    Angela Merkel - utilisant la sidération provoquée par l’image d’un enfant mort sur la côte turque - impose une vague d’immigration supplémentaire.

    Angela Merkel a pris la décision de laisser entrer en Allemagne 800.000 immigrés supplémentaires (plus qu’il n’y a de naissances en Allemagne). Des immigrés appelés, pour la circonstance, « réfugiés ». Et d’imposer aux länder et aux communes de les accueillir en échange d’une aide du budget fédéral.

    Même s’il y a aussi derrière ce choix politique une opération de propagande internationale (montrer que, cette fois, l’Allemagne est dans le camp du bien !), cette décision ne manque pas de surprendre.

    En 2010, l’ancien ministre des Finances du land de Berlin et membre du collège des directeurs de la Bundesbank, Thilo Sarrazin, a publié un livre choc consacré à l’immigration : L’Allemagne disparait a été vendu à 2 millions d’exemplaires. Preuve de l’ampleur des préoccupations du peuple allemand à propos de l’immigration.

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  • Présence russe en Syrie : beaucoup de bruit médiatique pour pas grand-chose

    Source : RT en FrançaisTandis que les médias occidentaux parlent de l’intensification de la présence militaire russe en Syrie, l’analyste américain en politique étrangère Derek Monroe, interrogé par RT, estime que cela ne fait que dramatiser ce qui se passe vraiment.

    RT : Pourquoi cette histoire provoque-t-elle autant de battage médiatique ? Est-ce qu’il existe des preuves de l’implication russe en Syrie ?

    Derek Monroe : Je crois que le gouvernement russe, comme tout autre gouvernement qui fournit des armes, ne faisait pas grand secret de ses rapports commerciaux avec la Syrie, ainsi qu’avec d’autres. Une chose dont il faut bien se rappeler, nous sommes au milieu d’une campagne électorale aux États-Unis où les problèmes de politique étrangère, tel que l’implication en Syrie ainsi que l’implication russe dans d’autres endroits sont assurément considérées comme une question cruciale.
    Ainsi, ce qui se passe en ce moment n’est pas extraordinaire, puisque nous avons connu des situations similaires qui ont enflammé les médias occidentaux qui ont fait monter la sauce là où il n’y avait rien. En prenant un peu de recul, cela sert surtout à attirer l’attention du public qui va bientôt se rendre aux urnes.

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  • Vers une 3e Guerre Mondiale ?

    Pour comprendre le monde qui nous entoure, il ne suffit pas de lire les ouvrages de ses exégètes préférés. Il faut aussi sortir de son confort de secte recluse et confronter ses idées à celles qui leur sont radicalement opposées. Nous proposons ici un exercice périlleux.

    http://www.les7duquebec.com/7-au-front/vers-une-3e-guerre-mondiale/

    (Pour comprendre le monde qui nous entoure, il ne suffit pas de lire les ouvrages de ses exégètes préférés. Il faut aussi sortir de son confort de secte recluse et confronter ses idées à celles qui leur sont radicalement opposées. Nous proposons ici un exercice périlleux. Nous présentons le texte d'un "économiste" - professeur à l'université Paris-Dauphine, président du Cercle des économistes - ayant convaincu quelques hobereaux que son coeur de droite saigne à gauche. Le docteur Jean-Hervé Lorenzi est un national-socialiste universitaire sans complexe, présentant des sophismes pour des vérités révélées, et déclinant des apparences comme des évidences. D'une plume acerbe le professeur résume en quelques libelles la planification politique que cogite les ploutocrates pour les trente prochaines années, un chemin de Calvaire devant nous mené à la Troisième Guerre nucléaire (TGM), notre destiné assurée selon Hervé Lorenzi. La classe prolétarienne a intérêt à connaître ces élucubrations métaphysiques afin d'éviter d'y sombrer. Nous parsemons les allégations de l'universitaire de nos commentaires. En annexe, nous présentons un texte de Paul Craig Roberts confirmant les plans de guerre de la puissance impérialiste américaine. Robert Bibeau. Directeur, LES7DUQUEBEC.COM).

     Pour commencer une citation de Karl Marx à propos de l'organisation et de la consicince de classe du prolétariat : “L’organisation du prolétariat en classe, donc en parti politique, est sans cesse détruite par la concurrence que se font les ouvriers entre eux, mais elle renaît toujours, toujours plus forte, plus ferme, plus puissant.” Karl Marx.

     La Troisième guerre mondiale : prédictions

    Jean-Hervé Lorenzi 

    Une Troisième guerre mondiale, d’une ampleur probablement égale ou supérieure aux deux précédentes est en préparation et éclatera dans la première moitié de ce siècle. Voici pourquoi et voici quels seront ses protagonistes. La guerre de 1914-1918 dont nous fêtons le centenaire et qui fut une catastrophe majeure pour l’Europe était prévisible bien des années auparavant. La Seconde Guerre mondiale ne fut que son prolongement et, elle aussi, était prévisible dès la signature du Traité de Versailles et surtout dès l’arrivée de Hitler au pouvoir et du parti belliciste au Japon (1).

    La Guerre froide (1945-1991) qui opposa les Alliés, sous direction américaine, au camp soviétique (et, partiellement communiste chinois) ressembla à un avortement. Parce que c’était un affrontement sans enjeux forts. L’URSS s’est effondrée comme un soufflet, sans violences. Pourquoi la guerre froide, communisme contre monde libre, n’a-t-elle jamais débouché sur une guerre chaude ? Parce qu’elle était idéologique et non ethnique, religieuse ou économique. Les trois ressorts passionnels et belliqueux de l’humanité, ceux qui donnent naissance aux guerres, sont le nationalisme ethnique, la religion et l’intérêt économique sous toutes ses formes. La sacralité et le matérialisme vital. L’affrontement communisme/capitalisme, purement idéologique, relevait d’une forme froide de conflit qui n’a jamais débouché sur une confrontation générale, mais seulement sur des guerres limitées (Corée, Vietnam). C’est cette raison, et non pas la crainte d’une apocalypse nucléaire, qui a évité la guerre généralisée entre l’OTAN et l’URSS. Dans l’Antiquité, les guerres puniques étaient prévisibles parce que Rome et Carthage étaient dans une rivalité économique vitale pour le contrôle des circuits économiques de la Méditerranée occidentale. La Première Guerre mondiale était prévisible (et tout le monde s’y préparait) à cause de l’exacerbation nationaliste des États européens et de leurs peuples, opinions publiques chauffées à blanc. De même, aujourd’hui, une troisième grande confrontation mondiale est prévisible, nous allons le voir. 

    (Une pose s'impose. Le docteur universitaire a totalement raison d'affirmer que la Première et la Seconde Guerre mondiale étaient parfaitement prévisibles, mais les motifs qu'il invoque en sont les conséquences et non pas les contingences. Exemple, ce n'est pas la montée en puissance de ses amis nationaux-socialistes qui a entraîné la guerre, mais les nécessités de la guerre impérialiste incontournable qui ont amené au pouvoir les nazis allemands et les militaristes japonais. Par contre, l'érudit économiste ment effrontément quand il présente l'affrontement URSS - OTAN comme une bataille entre deux idéologies opposées. L'URSS était une puissance capitaliste monopoliste d'État, leader du camp social impérialiste soviétique, affrontant les États-Unis, chef du camp impérialiste occidental plus puissant économiquement et donc militairement. L'alliance impérialiste la plus puissante l'emporta comme elle l'avait fait dans l'affrontement contre l'alliance Allemagne-Italie-Japon quelques années auparavant. Une guerre, petite ou grande, est d'abord et toujours l'aboutissement d'un affrontement économique entre diverses puissances. La guerre est le prolongement du politique, qui est lui-même le prolongement des tensions dans l'instance économique. Robert Bibeau). 

    Depuis l’Antiquité, le déclenchement des guerres est, au fond, prévisible. Il repose sur les mêmes mécanismes que les lois de la physique : une tension finit toujours par éclater en déflagration. La montée en température d’un gaz donne lieu à une explosion, la poussée de plaques tectoniques se termine en séisme, l’accumulation de cumulo-nimbus finit par provoquer un orage, des précipitations trop fortes provoquent des inondations, etc. On peut parfaitement prévoir, donc, le déclenchement des guerres. En revanche, on ne peut pas pronostiquer la forme qu’elles prendront.

    Comme l’éthologie humaine le démontre, l’état de paix ne correspond pas à la nature humaine. L’agressivité intra spécifique est la règle dans notre espèce. L’idéal kantien ou chrétien moderne de la paix perpétuelle n’a jamais fonctionné. L’histoire humaine est véritablement structurée par la guerre. L’état de paix n’est qu’une transition passagère entre deux états de guerre. La guerre est très ambiguë, ambivalente plutôt, comme la fameuse innovation destructrice de Schumpeter. Elle est à la fois un facteur de destruction et d’évolution. Contrairement à une idée reçue, depuis la fin du néolithique les guerres n’ont représenté qu’une cause marginale de la mortalité. Vouloir éliminer la guerre (idéologie pacifiste), c’est aussi stupide que de vouloir éliminer la sexuation (idéologie du genre), la religion et l’économie privée (idéologie marxiste) ou le sentiment d’appartenance et d’identité ethniques (idéologie cosmopolite).

    Le problème n’est pas d’éliminer les guerres, c’est de les gagner ; et le plus rapidement possible, pour que les effets positifs de la victoire l’emportent sur les effets négatifs de l’effort guerrier trop prolongé. L’auteur de cette vision de la guerre n’est ni Sun-Tzu ni Clausewitz, c’est un certain Jules César.

    Pourquoi parler de guerre mondiale ? Depuis 1945, on s’imagine qu’il n’y aura plus jamais de guerre mondiale, mais seulement des guerres locales et régionales, et que l’ONU parviendra à éviter une Troisième guerre mondiale. On avait commis la même grave erreur après 14-18 qu’on appelait d’ailleurs la Der des Ders et la création de la SDN. Or, dans un environnement mondialisé, ce qui est le cas, en gros, depuis 1880, il est inévitable qu’éclatent des guerres mondiales. Dire il n’y aura plus jamais de guerre mondiale, c’est comme dire je ne mourrai jamais ou l’été durera éternellement. Étudions maintenant le scénario de la future Troisième guerre mondiale, la TGM. Les foyers de tensions sont multiples et ne cessent de s’aggraver. Jamais, dans toute l’histoire de l’humanité, d’une humanité devenue globalisée et de plus très nombreuse (9,5 milliards bientôt), sur une planète rapetissée, les risques d’un incendie général n’ont été aussi forts. 

    (Voici que l'économiste se révèle être aussi un éthologue malthusien qui ressort de l'enfer nazi les théories eugéniques, l'arianisme, la guerre des races et le nationalisme bourgeois réactionnaire. Ceci donne un aperçu du désespoir de la classe au pouvoir pour qu'elle déterre ces rengaines éculées ayant déjà servi à provoquer les deux premières guerres mondialisées. Cependant, ne nous faisons aucune illusion, compte tenu du rapport de force des classes en présence la bourgeoisie a les moyens d'imposer sa Troisième Guerre mondiale, quels que soient les prétextes qu'elle invoquera. Il nous revient à nous communistes révolutionnaires de trouver la façon de transformer l'insurrection que cette guerre ne manquera pas d'engendrer en une révolution prolétarienne qui devrait mettre fin aux guerres de partage et de rapine. Robert Bibeau). 

     

    La globalisation est un facteur de confrontation géante, plus que de création d’un État universel qui n’aurait que des problèmes de police à régler. Cette globalisation (ou mondialisation poussée au maximum) n’est pas un facteur de paix, mais de guerre généralisée. Voici quels sont les foyers de tension qui risquent d’interagir et de provoquer un embrasement général :

    1) L’immigration massive en Europe (surtout de l’ouest) sous la bannière de l’islam va progressivement dériver vers une guerre civile ethnique. L’incapacité de l’Europe à endiguer l’immigration invasive en provenance du Maghreb et de l’Afrique continentale en explosion démographique débouchera inévitablement sur un conflit majeur. (2) La présence en Europe de très fortes masses de jeunes, d’origine arabo-musulmane, de plus en plus islamisées, avec une minorité formée militairement et voulant en découdre dans un djihad d’émeutes insurrectionnelles et de terrorisme, sera le facteur déclencheur d’une spirale incontrôlable. 

    (Les communistes révolutionnaires doivent prendre acte du projet de guerre civile qui est mis de l'avant au point précédent. L'immigration massive en provenance d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient est le résultat de trois facteurs combinés soient : a) les guerres de rapines où s'affrontent différentes puissances impérialistes concurrentes en Afrique et au Moyen-Orient ; b) la crise économique systémique qui détruit les moyens de production, les forces productives, et les rapports de production capitalistes dans les pays de la périphérie impérialiste ; c) la volonté des capitalistes européens d'accroître la concurrence dans les rangs de la classe ouvrière européenne. Ce dernier objectif est toutefois difficile à rencontrer, car les travailleurs immigrés qu'ils importent ou qu'ils forcent à se déplacer sont souvent non qualifiés - catégories de salariés déjà surreprésentés sur le marché alors que les ouvriers spécialisés font défaut. Les communistes révolutionnaires devront imaginer de nouvelles tactiques de lutte insurrectionnelle. Robert Bibeau). 

    2) La confrontation globale entre islam et Occident (y compris Russie) en dépit de la guerre de religion entre sunnites et chiites va peu à peu dominer le paysage et prendre une forme militaire, avec conflits interétatiques. Impossible actuellement de prévoir leur forme. À l’échelle du monde, l’islam, qui est une idéologie-religion, ou idéaux-religion fortement ethnicisée, ne cesse de se renforcer et de s’extrémiser dans le monde entier. L’islam est un facteur majeur de l’explosion mondiale inévitable.

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  • Les responsables de la situation catastrophique des migrants, ce sont nos gouvernants !

    Messieurs les gouvernants français et européens, nous en avons assez de votre lâcheté, de votre faiblesse qui conduisent ces centaines de milliers de migrants, et demain des millions, à envahir un espace où tant de « souchiens » ont déjà peine à vivre. 


    Chaque jour, de frêles embarcations font naufrage entre la Libye et l’Italie, noyant leur lot d’Africains venus tenter d’atteindre un eldorado qui leur est interdit, mais dont on leur a tant vanté les fabuleux avantages sociaux. Chaque jour, sur les îles grecques, débarquent, de zodiacs ou autres engins flottants, des centaines, des milliers de Moyens-Orientaux ayant fui les horreurs de la barbarie islamique. Et de là, ils se répandent par colonnes entières à travers l’espace Schengen, dans l’espoir de gagner l’Allemagne puisque Mme. Merkel a offert le gîte et le couvert à 800.000 d’entre eux !

    Ceux qui traversent la Méditerranée n’ont pas toujours les mêmes raisons de tenter l’émigration que ceux qui arrivent des zones en guerre de Syrie ou d’Irak. Les premiers qui le font pour des causes économiques n’auront, en principe, aucun droit à demander l’asile et devraient par conséquent être refoulés et renvoyés chez eux. Je dis bien en principe car, malgré les mensonges de notre ministre de l’Intérieur, proférés encore cette semaine, la France ne renvoie que 1 % des déboutés du droit d’asile. Bien souvent, ce sont des hommes seuls, vigoureux, parfois diplômés qui sont nécessaires à la construction de leur pays.

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  • Des technologies russes protègeront la Chine d’éventuelles attaques US

    Selon le Centre d'études internationales et stratégiques (CSIS) américain, la Chine cherche à égaler la Russie dans le domaine militaire, mais beaucoup dépend toujours de Moscou et Pékin comptera sur la coopération avec les Russes à l'avenir.

    La Chine utilise des technologies militaires russes pour augmenter le potentiel de ses navires en matière de défense contre les frappes aériennes et les attaques de missiles balistiques à longue portée américains, estime le Centre d'études internationales et stratégiques (CSIS) basé à Washington.

    Les technologies de défense antiaérienne russes permettent notamment aux bâtiments de surface chinois de nouvelle génération d'effectuer des missions hors de la zone protégée par le système terrestre chinois de défense antiaérienne et loin des côtes chinoises, a indiqué le CSIS dans un rapport publié en août dernier.

    Le CSIS étudie les succès de l'Armée populaire de libération chinoise dans le contexte d'un éventuel conflit contre les Etats-Unis.

    Les nouveaux missiles de croisière antinavires chinois, dont beaucoup utilisent des technologies russes, ainsi que les systèmes antiaériens à long rayon d'action "représentent une menace pour les navires de surface de la Marine américaine opérant dans le Pacifique ouest", lit-on dans le rapport.

    D'après le CSIS, la Chine se montre plus indépendante à l'égard de la Russie, mais les meilleurs missiles antinavires chinois sont soit produits en Russie soit fabriqués selon des projets russes (P-270 Moskit, Kalibr, Kh-31). Mais l'armée chinoise dépend toujours de Moscou dans le domaine de la reconnaissance aérienne et navale, de la défense antiaérienne et des systèmes de gestion de combat. Ces prochaines années, la Chine continuera de compter sur l'aide militaire et technique de Moscou dans plusieurs domaines, notamment dans les missions de lutte anti-sous-marine, conclut le Centre.

    source : Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuuEyAyAVVFEBjqBFq.shtml

  • Pour un accueil des réfugiés dans les pays du Golfe !

    Continuer d’accueillir des réfugiés en si grand nombre en Europe est une hérésie ! La France, notamment, n’a pas les moyens ni les capacités de le faire. Les Français y sont d’ailleurs majoritairement opposés. Face à ce constat, nous ne pouvons néanmoins baisser les bras. Des solutions existent.

    L’Arabie saoudite, le Qatar, le Koweït, Oman, Bahreïn et les Émirats arabes unis n’ont jusqu’à présent proposé aucune place d’accueil aux réfugiés syriens. Ces pays participent financièrement à l’accueil des réfugiés, mais toujours dans d’autres pays. Ce n’est pas suffisant !

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  • Alors que les démocraties contemporaines sont de vastes farces pour amuser le peuple et faire oublier les gouvernements ploutocratiques qui se succèdent, les Guatémaltèques ont décidé de jouer le jeu et d’élire un saltimbanque. Le Guatemala, petit pays d

    Alors que les démocraties contemporaines sont de vastes farces pour amuser le peuple et faire oublier les gouvernements ploutocratiques qui se succèdent, les Guatémaltèques ont décidé de jouer le jeu et d’élire un saltimbanque.

    Le Guatemala, petit pays de 14 millions d’habitants situé en Amérique centrale, s’est sans doute trouvé son Coluche. L’humoriste Jimmy Morales, sans aucune expérience politique, était dimanche soir en tête du premier tour de l’élection présidentielle au Guatemala.

    Ce choix atypique reflète le ras-le-bol du pays face à la corruption. Jimmy Morales affrontera au second tour, le 25 octobre, l’avocat millionnaire Manuel Baldizon ou l’ex-Première dame Sandra Torres. Dimanche soir, les résultats partiels étaient trop serrés pour départager M. Baldizon et Mme Torres.

    Marié et père de quatre enfants, Jimmy Morales, humoriste de 46 ans, est entré dans la vie politique récemment après avoir tenté en vain de conquérir la mairie de sa ville. Cheveux bruns plaqués en arrière, cet animateur d’une émission humoristique à la télévision, acteur comique et producteur de cinéma, était devenu célèbre avec son rôle de «Neto», un cow-boy naïf qui finit par devenir président par accident.

     

    C’est justement ce qui pourrait lui arriver, alors qu’il a percé de manière spectaculaire ces derniers mois sur la scène politique nationale, avec le parti FCN-Nacion (droite), arrivant en tête du premier tour de l’élection présidentielle malgré son absence de programme concret. Maniant l’humour durant ses meetings, il est perçu par les électeurs comme une alternative aux hommes politiques traditionnels, même s’il est critiqué pour le passé militaire de son parti. «Pendant 20 ans je vous ai fait rire, je vous promets que si je deviens président, je ne vais pas vous faire pleurer», promet-il.

    Source : Le Parisien

    http://www.contre-info.com/democratie-contemporaine-au-guatemala-cest-un-comique-qui-est-en-tete-du-1er-tour-de-la-presidentielle#more-39161

  • Poutine : « les USA sont responsables de la crise migratoire en Europe »

    Vladimir Poutine pointe du doigt la responsabilité des Américains dans la définition d’une politique migratoire qui s’opère au « mépris des particularités historiques, religieuses, nationales et culturelles » de l’Europe, qui suit aveuglément cette ligne. On ne saurait mieux dire.

    http://fr.novopress.info/