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international - Page 959

  • Et maintenant, le guide du djihad pour les mères de famille !

    Alors, M. Cazeneuve, « ce n'est pas un délit de prôner le djihad » ? Les familles des victimes de Charlie Hebdo apprécieront...

    Et dire que Bernard Cazeneuve, il y a peu, affirmait au sujet des ventes de livres djihadistes qu’« on ne peut pas interdire des livres dès qu’ils sont choquants, s’il n’y a pas d’appel à la haine ».

    « Le djihad a pour but […] de contenir tous les mécréants, ennemis de l’islam », rapporté par La Voie du musulman, avait dû échapper à la vigilance du ministre.

    Donc, depuis la vente de ces livres ou d’ouvrages islamiques à Cora, Auchan, E. Leclerc et autres Casino, les journaux Inspire, Dar al-Islam, Dabiq, tous consultables sur Internet avec une facilité confondante, jusqu’aux derniers documents publiés par Daech avec son Guide de l’esclavage sexuel pour les nuls, il ne manquait plus qu’un guide s’adressant… aux mères de famille !

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  • Tunisie : de plus en plus de musulmans rejoignent l'Eglise

    Lu ici : 

    "De plus en plus de jeunes musulmans tunisiens à la recherche d'une nouvelle spiritualité épousent la foi chrétienne. Ils seraient plusieurs dizaines chaque année à devenir catholiques ou protestants et sont les représentants d'une génération qui jouit d’une certaine liberté de conscience et de croyance.

    Sur la voûte de l'église de la Goulette, dans la banlieue nord de Tunis, les vertus cardinales s'incarnent par quatre figures féminines: force, justice, prudence et tempérance. C’est la dernière qui retient l'attention de Cyprien. « Temperentia (en latin), voilà ce dont les chrétiens de Tunisie ont le plus besoin pour ne pas heurter les sensibilités des autres». Les autres, ce sont les musulmans, qui sont plus de dix millions pour seulement 25 000 chrétiens, selon une estimation du diocèse de Tunis.

    Cyprien, de son nom de converti, dit de sa nouvelle religion qu'elle est « une rencontre dans l'itinéraire de sa vie ». Sa trajectoire est singulière, il en convient. Issu d'une famille peu pratiquante et d'un grand-père imam formé à la Zitouna (université islamique de Tunis), il est artiste, tantôt poète, tantôt metteur en scène.

    L'idéologie socialiste sera son premier engagement. Mais vers vingt ans, la Bible remplace ses lectures marxistes. « J'avais tout dans ma vie, sauf le bonheur. Je ressentais un vide et je suis entré dans une spirale de désespoir » raconte-t-il. L’athée qu'il était s'ouvre à la théologie et vit le christianisme comme une illumination. « La seule façon de me soulager était l'art. Désormais je m'apaise grâce à la méditation et à la prière », ditCyprien, converti en 2008 et devenu séminariste afin de devenir prêtre après un voyage en Italie".

    Le Salon Beige

    Posté le 7 janvier 20

  • C'est une vraie guerre : la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident

    D'Alexis Brézet dans Le Figaro :

    "C'est une guerre, une vraie guerre, menée non par des soldats mais par des assassins de l'ombre, des tueurs méthodiques et organisés, dont la tranquille sauvagerie glace le sang. Elle a tué, hier, en plein Paris.

    Cette guerre, longtemps nous n'avons pas voulu la voir. Elle se déroulait si loin de nous, n'est-ce pas?, aux confins de la Syrie, de l'Irak, du Nigeria ou de la Libye… Par scrupule - sans doute par peur aussi -, nous n'osions pas même dire son nom. Les oiseaux de mauvais augure qui ne craignaient pas d'enfreindre la consigne étaient promptement disqualifiés. Les signes avant-coureurs - ces «gestes fous» commis à Noël encore par des «déséquilibrés» - aussitôt minimisés. Depuis hier, les euphémismes ne sont plus de mise: c'est une guerre, une vraie guerre, qui nous a été déclarée: la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident, l'Europe et les valeurs de la démocratie.

    [...] Face à la guerre, le premier devoir est de s'unir. [...] Mais le second devoir est de s'armer. Moralement, d'abord - comment défendre nos valeurs si nous ne sommes pas convaincus de leur prééminente dignité? Politiquement et juridiquement, ensuite: trop longtemps, au nom d'un humanisme perverti, d'un antiracisme dévoyé, nous avons fait preuve de complaisance envers nos pires ennemis. Ces «enfants perdus du djihad», ces fanatiques qui se déchaînent sur Internet, mais aussi ces groupes d'influence qui, drapés dans leurs oripeaux «communautaires», conspirent à ciel ouvert contre notre pays et sa sécurité. Contre ceux-là, nous devons frapper. Sans faiblesse ni pusillanimité. Quand la guerre est là, il faut la gagner."

    Michel Janva

  • Subversion castriste en Amérique latine

    Note : cet article a été diffusé le 29 décembre en espagnol par le site Periodismo sin fronteras. Rédigé par Ricardo Puentes Melo, il a été traduit en français par les soins d'Eduardo Mackenzie sous le titre : "Le G2 cubain et son travail de pénétration en Colombie".

    Le G2 est un service de renseignement cubain extrêmement dangereux. Ses membres sont des criminels sans scrupule très bien formés. On peut les identifier parce qu’ils vantent la révolution cubaine à tout va et attisent le feu en Colombie et ailleurs en prêchant la lutte de classe alors qu’ils vivent comme des rois.

    Il est possible que les articles de la presse sur les membres du G2 cubain en Colombie qui participent à des fêtes et à des cocktails en ville, ou qui font l’accolade avec le général Rubén Darío Alzate le jour de sa libération, après avoir été enlevé par les Farc, n’ont pas eu l’impact qu’ils devraient avoir, tout simplement parce que le public colombien n’est pas pleinement conscient de ce qu’est le ténébreux G2 cubain ni quel genre de choses ils sont capables de faire.

    Le G2 a été créé et formé par les assassins du KGB soviétique et par la Stasi de l’Allemagne de l’Est. Il s’agit d’une agence d’espionnage chargée d’infiltrer les pays démocratiques afin de fournir des renseignements pertinents pour répandre le communisme dans les pays qui leur permettent d’entrer, en utilisant toutes sortes de ruses subtiles et des crimes nécessaires. Rien ne les arrête.

    La Colombie est particulièrement importante pour le communisme cubain en raison de sa position géostratégique qui fait d’elle le passage vers l’Amérique du Sud, et une voie pour l’infiltration d’armes, de la drogue et de l’idéologie. Fait intéressant : depuis les années 1930 la Colombie a été assiégée par le communisme international. Malgré cela la Colombie est le seul pays de la région qui s’est fortement opposé à l’idéologie totalitaire marxiste. Et l’armée colombienne a été le facteur clé de cette résistance.

    En tant que maillon du ministère de l’Intérieur cubain, le G2 a été créé au début de la révolution cubaine afin de lutter de façon clandestine et de protéger les leaders du castrisme. À présent, en plus, le G2 protège le haut commandement de la révolution cubaine, combat et anéantit les ennemis internes de la révolution et est chargé d’attaquer et d’empêcher l’infiltration d’agents américains. 

    Les agents du G2 sont des assassins, des saboteurs et des experts patients en matière d’endoctrinement idéologique. Lorsqu’ils arrivent dans un pays qui leur ouvre ses portes, ils pénètrent tous les groupes et toutes les classes sociales qu’ils peuvent, ainsi que le milieu des artistes, des médecins, des étudiants, des syndicats, etc., afin de faire des adeptes et des militants pour la cause cubaine.

    En Colombie, il y a près de 7 000 agents du G2. Ils se présentent comme des médecins, des universitaires, des danseurs, des entraîneurs sportifs, des artistes, des militants des droits de l’homme, des écologistes, des experts en sécurité, des publicistes. Tous sont détenteurs de documents d’accréditation du gouvernement de Juan Manuel Santos et des gouvernements précédents. Peut-être que les présidents qui ont le plus permis l’entrée de ces agents cubains sont Belisario Betancur, César Gaviria Trujillo et Juan Manuel Santos. Le président Julio César Turbay les a pourchassé avec détermination.

    Des agents du G2 ont orienté et surveillé la monumentale fraude électorale qui a permis la réélection de Juan Manuel Santos en 2014.

    1501053Au cours des dernières années, le G2 a montré un intérêt particulier pour la formation politique de cadres de la gauche colombienne afin de reproduire le modèle marxiste cubain dans ce pays. Selon les informations disponibles, il est connu que les Cubains n’ont aucun scrupule à l’heure actuelle pour concevoir et préparer une sorte de soulèvement armé en Colombie pour affronter, dans chaque rue, dans chaque ville et dans chaque village, les Colombiens qui se mobilisent contre le projet de La Havane. Les ordres des frères Castro sont très clairs : arriver, par tous les moyens, à déstabiliser le pays : par le crime organisé, le chaos social, l’augmentation de la toxicomanie, la destruction de la famille, par les opérations pour endoctriner les étudiants de tous niveaux, par le financement de l’activité des agents colombiens au service de Cuba, par l’instigation de la haine de classe, et même par le noyautage des rangs de l’uribisme pour attaquer et démoraliser, par la conspiration et la trahison, les ennemis du communisme.

    Ils cherchent aussi à aggraver le climat d’insécurité et de peur en stimulant la pègre et le trafic de drogues. Une autre priorité du G2 est le noyautage du milieu des comédiens et des gens du théâtre, les milieux du sport, de la culture, de l’éducation et de la science, en utilisant comme levier le Projet Culturel Andrés Bello, déjà infesté des pro-Castro.

    La Fiscalía (Parquet général) n’est pas infiltré par le G2. Mais un certain nombre de ses magistrats sont payés, corrompus. Les tyrans de Cuba savent qu’il est beaucoup plus convenable de les corrompre que de les assassiner. Ils font cela avec un certain nombre de fonctionnaires en Colombie.

    L’ancien président colombien César Gaviria est celui qui a ouvert le plus la porte à des milliers de Cubains du G2. Il a fait cela pour dire merci à Fidel Castro qui avait sauvé la vie de son frère, Juan Carlos Gaviria. Celui-ci avait été kidnappé par un groupuscule, le Grupo Jega (Groupe Jorge Eliécer Gaitán), issu de l’organisation terroriste pro castriste M-19.

    Deux autres personnages sinistres, alias “Gobin” et alias “Lazarus”, ont recruté en Colombie, pour le compte du G2 cubain, pendant une longue période. Ce sont eux qui ont monté de toutes pièces l’histoire des prétendues écoutes téléphoniques illégales du DAS (Département Administratif de Sécurité) et ils ont réussi à démanteler le DAS. Egalement ils ont fait mettre en prison José Miguel Narvaez. Ils n’ont pas réussi à compromettre dans ce faux dossier l’ancien président Álvaro Uribe Vélez mais ils ont réussi à faire fuir de Colombie María del Pilar Hurtado, l’ancienne directrice du DAS.

    La réalité est que José Miguel Narvaez avait réussi à rassembler un dossier très complet avec des documents du DAS où figuraient la liste des agents Cubains, la liste des membres des FARC et de l’ELN et d’autres renseignements sur d’autres malfaiteurs agissant sous couvert d’être des membres de plusieurs partis politiques. Narvaez avait également établi la liste des entreprises contrôlées par les FARC et a produit un ensemble de documents concernant les finances “légales” des bandits qui agissent en tant qu’actionnaires d’entreprises ayant pignon sur rue de millionnaires encore dans la légalité.

    1501054Ainsi, les agents “Gobin” et “Lazarus” ont recruté Rafael García, l’ancien responsable du service informatique du DAS, pendant un voyage sur la côte atlantique où ces agents, en sachant que Garcia était homosexuel, ont réussi à l’amouracher. Lors d’une partie fine, ils l’ont convaincu de collaborer avec eux en faisant un faux témoignage sur l’affaire des écoutes du DAS. À présent, Rafael Garcia nargue la justice colombienne depuis le Venezuela où il a trouvé refuge.

    Il faut signaler aussi le cas de Tony Lopez, le terroriste vivant le plus important de Cuba. Les services de renseignement colombien savent qui il est, mais de façon inexplicable nul n’a osé de le capturer. Il est un individu particulièrement dangereux qui est arrivé par Barranquilla en 1998, en se présentant comme un entrepreneur. Il finance de nombreux espions cubains. 

     Pour leur part, trois membres du Congrès colombien, dont l’un d’eux est du Parti Conservateur, sont au courant de cela et aident à financer les Cubains envoyés par Castro. Plus ahurissant encore, le dispositif de protection policière pour des membres de l’opposition a été contrôlée par l ‘”agent Arturo”, un Colombien recruté par les Cubains qui reçoit de l’argent des FARC. Et pourquoi ne pas rappeler le cas d’alias “Santiago” (*).

     Dans le monde du théâtre il y a aussi des Cubains du G2 qui se font appeler “maîtres” et qui font un travail d’endoctrinement chez les acteurs de théâtre et de la télévision avec des histoires romantiques sur la lutte pour les pauvres. Ces artistes du G2 pleurent en parlant d’enfants mendiants des rues de Bogota, mais ils ne parlent jamais de la misère à Cuba causée par la politique de leur admiré Fidel. Ils racontent leurs batailles en Angola, ils déclarent leur amour du théâtre et de la liberté de pensée. Ils disent qu’ils ont alphabétisé des vieillards et des orphelins et affirment qu’ils ont passé des centaines d’heures au service de la société. Mais ils gardent bien le secret qu’ils sont des agents de Fidel Castro avec la mission spécifique de promouvoir la haine des classes et de déclencher la violence chez les Colombiens.

    Ces gens-là sont extrêmement dangereux. Ce sont des criminels bien entraînés et sans scrupule. On peut les identifier parce qu’ils vantent la révolution cubaine à tout va et attisent le feu en Colombie et ailleurs en prêchant la lutte de classe alors qu’ils vivent comme des rois et passent la majeure partie de leur temps à dans des cocktails avec des personnalités, comme des acteurs et des réalisateurs, qui admirent leur activité.

    1501055Le magazine numérique Confidencial Colombia, en collaboration avec l’ambassade de Suisse en Colombie, ont eu un jour comme invité d’honneur un criminel actif du G2, Juan Roberto Osorio Loforte, alias “Ramon”, et personne n’a rien dit. Même Camilo Gómez, ancien commissaire de la paix du gouvernement du président Andrés Pastrana, et colistier de Marta Lucía Ramírez, la candidate du Parti Conservateur à l’élection présidentielle, a posé fièrement à côté de Osorio Loforte pour une photographie.

    Et sans oublier le général Rubén Darío Alzate qui avait été enlevé par les Farc et qui a donné l’accolade à Rodolfo Benítez Verson, un autre membre du G2 cubain, le jour de sa libération. Le G2 n’est pas, loin s’en faut, une pittoresque histoire d’espions.

    C’est la triste réalité de ce que nous vivons en Colombie.

    Ricardo Puentes Melo, Bogota

    Note : (*) Voir : http://www.periodismosinfronteras.org/los-santos-y-su-militancia-castrocomunista.html

    http://www.insolent.fr/

  • SILENCE : ON TUE ! par Pieter KERSTENS

    Alors que jamais personne ne s’est intéressé à leur sort, depuis quelques mois, le martyre des chrétiens occupe nos médias et les colonnes de nos périodiques.  Depuis fort longtemps les chrétiens, blancs pour la grande majorité, ont été persécutés sous toutes les latitudes et par tous les régimes politiques ou religieux.

    Devoir d’oubli ?

    Laïcistes, francs-maçons, socialo-marxistes et prétendus « chrétiens de gôche et humanistes », tous se sont tus et esquivés, quand les anglais en Afrique du Sud ont enfermé les femmes, les enfants et les vieillards dans les camps de concentrations - dont ils furent les inventeurs en 1899 - pour obliger les Boers à déposer les armes et à se rendre.

    Le régime communiste de Lénine, Staline, Zinoviev, Kamenev, Trotski, Beria et Vychinski, ne suscita que peu de réactions de la part des églises catholiques d’Europe, quand il organisait les exterminations de masse, le nettoyage ethnique, la famine en Ukraine (Holodomor) ou l’élimination des Koulaks.  Aucune protestation du monde chrétien quand la Guépéou envoya des millions de déportés pourrir dans le Goulag.  Pas un murmure des Eglises lorsque le NKVD (« Commissariat du Peuple aux Affaires Intérieures ») puis le KGB -Komitet Gossoudarstevennoï Bezopasnotsi- (« Comité de Sécurité de l’Etat ») liquida des dizaines de milliers de déviationnistes.  Même silence gêné, aucune déclaration ferme, pas de manifestations ni de condamnations quand 2 millions d’Ibos chrétiens ont été massacrés par les militaires nigérians, lors de la guerre du Biafra en 1967-1970.

    Et durant les décennies 1970-2010, que ce soit en Chine, aux Philippines, en Indonésie, au Cambodge avec les Khmers Rouges, ou au Viêt-Nam, partout en Asie les chrétiens ont été persécutés et martyrisés.  N’évoquons pas les meurtres, les massacres, les assassinats et les tortures, année après année, dont les victimes sont chrétiennes et vivent en Afrique, au Maghreb, au Proche & au Moyen Orient ou dans la Péninsule Arabique. La liste en serait trop longue.

    Les médias en ont-ils parlé ? Y a-t-il eu des débats ou encore des émissions à ce sujet ?  L’église de Rome est-elle montée au créneau pour clamer son indignation et appeler tous les chrétiens à faire face ? Les professeurs d’Histoire ont-ils enseigné ces faits réels à leurs élèves ? Pas un mot non plus concernant les crimes contre l’humanité de l’éthiopien Mengistu Haïlé Mariam, ci-devant conducator de l’ancien royaume d’Axoum de 1974 à 1991, qui transforma son pays (où vivaient plus de 75% de chrétiens) en République Populaire et Démocratique, allié de l’URSS et de Cuba.¢

    Copie conforme

    Il devient de plus en plus évident pour chacun, que l’information diffusée par les chaines de radio et de télé est orientée vers l’émotion et la sensiblerie de manière à déclencher la compassion ou la pitié des auditeurs/téléspectateurs/internautes par le « poids des mots et le choc des photos ». C’est ainsi que les barbus de DAESH ont acquis une funeste renommée mondiale, grâce à leurs vidéos de décapitations.

    Ce n’est certes pas un procédé nouveau, car les islamistes se sont inspirés des vidéos des cartels de la drogue mexicains.

    Il suffit de s’informer sur : « cartel del Golfo » ; « cartel de Sinaloa » ; « cartel de Culiacàn » ou de taper « el Chapo Guzman » et « comandante Pitufo », pour regarder et écouter les méfaits de ces criminels qui, bien des années avant les djihadistes, ont mis en scène et diffusé leurs exactions. L’ensemble sur des airs musicaux très entrainants, joyeux et communicatifs, les « Rancheras ». Sur l’une des vidéos, ils montrent, dans une église, une pyramide de têtes coupées et un flot de sang dégoulinant sur les marches du parvis, avec un fond musical guilleret d’accordéon et de tambourins, en donnant les raisons de ce massacres, pour terroriser les paysans d’alentour : « Si vous ne nous soutenez pas (ou n’appliquez pas l’omerta) contre les forces de l’ordre, alors préparez-vous à mourir dans d’atroces souffrances ! ».

    Sachant qu’au Mexique TOUT s’achète et TOUT se vend, mêmes les consciences, et ce depuis Pancho Villa jusqu’au président Fox, en passant par Venustiano Carranza, Alvaro Obregon et Emiliano Zapata, il n’est pas étonnant que la corruption, la prévarication, la perversion ou le chantage puissent soudoyer les dépravés et les tarés à tous les niveaux de cette société, très catholique au demeurant.

    « Pas d’amalgame s.v.p. : il ne faudrait pas stigmatiser une communauté en particulier ! »

    Avec le recul, on peut constater que les différents papes depuis Pie X – de 1903 à 1914 – n’ont pas montré un réel enthousiasme à mener une croisade contre les ennemis de la Chrétienté, que ce soit en Europe ou par-delà les mers.

    Les musulmans se sont implantés en nombre en Europe ces 40 dernières années et ils comptent des dizaines de millions de fidèles. C’est pourquoi maintenant certains états et quelques églises semblent sortir de leur léthargie face au danger : le renard est dans le poulailler !

    Mais quand mes camarades d’Ordre Nouveau et moi-même avions organisé le meeting du 21 juin 1973 à la Mutualité sous le thème « Halte à l’immigration sauvage », TOUS nous ont traités de « racistes », de « fascistes » et de « nazis ».  Pourtant, les inspecteurs des R.G présents dans la salle ont tous confirmé au ministre de l’Intérieur, Raymond Marcellin, qu’ils n’avaient jamais entendu un propos raciste dans les différents discours.  C’est après une campagne de presse haineuse et nauséabonde contre Ordre Nouveau, par les laquais du mondialisme comme Thierry Pfister du « Monde » ou comme Maurice Clavel dans « Le Nouvel Obs » soutenus par les ministres Pierre Messmer, Jean Taittinger et Bernard Stasi, que la dissolution d’O.N. est prononcée le 28/6/1973. Et le Régime n’a pas changé de stratégie quatre décennies plus tard : « Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage ».

    Par ailleurs, ce Pouvoir incompétent, qu’il se prétende de droite ou se réclame de gauche, s’obstine depuis 41 ans dans ses chimères et se berce d’illusions.  Nous allons droit vers une guerre de religions et la guerre civile : autant savoir et se préparer. Mais il n’y a pas d’islamisation de nos quartiers, sans immigration dans nos villes. C’est clair ?

    Et pourtant l’Eglise, les syndicats chrétiens, les écoles libres, le Secours Catholique, et une multitude d’organismes liés au christianisme ont manipulé la réalité en occultant les massacres de chrétiens blancs, partout dans le monde au prétexte qu’il ne faudrait pas « condamner » ou « stigmatiser » les musulmans ou les marxistes.  Sans doute au nom de l’œcuménisme frelaté et pervers que nous vendent les marchands du temple ?  Parce que l’œcuménisme, c’est l’union de toutes les églises chrétiennes en une seule et non cette réunion entre l’Islam, la Chrétienté, le Bouddhisme et le Judaïsme, hallucination des laïcistes anti-blancs.

    Ces ennemis de l’Europe, alliés aux gnomes de Wall Street, aux lobbies sionistes, aux sodomites pervers, aux rois du pétrole, aux khmers verts, aux francs-maçons et aux banksters cosmopolites, ont depuis plus de 70 ans vidé les églises pour remplir les mosquées !

    Aujourd’hui, le réveil des Chrétiens d’Orient qui appellent à l’aide (en plus de prières, ils ont AUSSI besoin d’armes et de munitions pour défendre leur famille et leurs biens), devrait permettre aux Européens d’ouvrir un œil et imposer rapidement si possible, le rapatriement des immigrés inassimilables (de la 1ère, 2ème, 3ème, 4ème, ou 5ème génération peu importe) dans le pays d’origine de leurs aïeux.

    Il est intolérable et particulièrement révoltant de voir un ministre de la Justice qui excuse les délinquants et les criminels et ignore les blessures et le calvaire des victimes.  Cette politique imbécile a pour objectif de vider les prisons et par conséquence de pousser encore plus la racaille à commettre des agressions de plus en plus violentes et envers les plus faibles de notre société (jeunes femmes, enfants, vieillards). Les meurtres crapuleux de ces dernières semaines en sont la preuve évidente. Le ministre devrait pouvoir être poursuivi par la Justice Immanente et puni par le doigt de Dieu, puisque la justice humaine reste vaine.

    Mes meilleurs vœux pour 2015 : «  La vie pour les Innocents. La mort pour les Assassins ! »

    http://www.francepresseinfos.com/2015/01/silence-on-tue-par-pieter-kerstens.html

  • Questions sur les bateaux chargés de réfugiés

    De Bernard Antony :

    "Nul certes ne peut rester insensible devant les tragédies des réfugiés de toutes parts embarqués vers l’Europe sur des bateaux d’infortune très chèrement payés.

    Mais cela appelle tout de même plusieurs questions essentielles pour en finir avec une pratique d’immigration inéluctablement lourde encore de conséquences ultérieures très funestes. 

    1. D’où viennent ces cargos ? Les réfugiés syriens ou iraniens n’ont pas de ports d’embarquement possibles sur la Méditerranée autres que ceux de Turquie. L’évidence, c’est que la Turquie, État particulièrement policier, laisse donc faire cela.
    2. Pourquoi ces réfugiés d’évidence essentiellement musulmans sunnites ne se réfugient-ils pas dans les très riches pays d’islam bien plus proches de leurs lieux de fuite tels que les Émirats Arabes Unis, le Koweit, l’Arabie Saoudite ?
    3. Peut-on sérieusement croire qu’un très grand nombre de ces réfugiés puissent disposer des milliers de dollars nécessaires à l’achat de leur transport sans aucun financement ?
    4. La dernière qui se pose donc est celle de savoir si l’immense migration des « boat-people » arabo-africains vers l’Europe n’est pas voulue, encouragée et même cyniquement planifiée au mépris du malheur des personnes et des familles ? Ne s’agit-il pas d’une forme de submersion démographique très organisée ?

    Il est temps que les nations d’Europe renvoient les États musulmans à leur responsabilité. C’est là un impératif et de charité et de sécurité."

    Michel Janva