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international - Page 962

  • Les USA attaquent les entreprises françaises avec des amendes, ça émeut personne

    Le pays de l’Oncle Sam nous réserve bien des surprises. On nous présente habituellement les États-Unis comme un pays où le libéralisme économique règne en maître, où l’interventionnisme étatique est inexistant et aussi palpable que les melons sur les rives de la mer de Barents.

    Pourtant en l’espace de six mois, les autorités américaines nous ont prouvé qu’elles étaient capables de hausser fortement le ton lorsqu’il s’agissait de faire respecter sa législation pour mieux défendre ses intérêts.

    En effet, ce lundi 22 décembre, le groupe industriel français Alstom a été reconnu coupable de corruption dans plusieurs pays (Égypte, Taïwan, Arabie Saoudite, Bahamas) et condamné à verser 772,29 millions de dollars, soit 630 millions d’euros dans le cadre de la loi américaine sur les pratiques de corruption à l’étranger (FCPA). Tout ceci est à remettre dans le contexte du rachat du pôle énergie du groupe français par le groupe américain General Electrics, mais cette amende devra être réglée au préalable par le groupe français.

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  • Comprendre l'effondrement des cours du pétrole en 4 questions

    1 – Comment expliquer l'ampleur de la correction ?

    Une telle correction s'apparente à un véritable krach boursier. Comme tous les krachs, il s'explique par la combinaison d'un événement déclencheur touchant un marché dont les fondamentaux étaient notoirement fragiles. Dans le cas du pétrole, ce sont les révisions de prévisions de demande intervenues à partir du mois de juin qui ont joué le rôle déclencheur. Mais les fondamentaux du marché étaient fragiles puisque le marché est en excédent depuis 2012, alors que les prix étaient restés stables.

    Avec des prévisions de croissance de la demande pour l'année divisées par deux entre janvier et juin 2014, les acteurs du marché ont compris que le surplus d'offre allait prendre des proportions ingérables. En clair, l'accroissement de demande attendu qui devait absorber l'augmentation de la production de pétrole de schistes américain n'est pas au rendez-vous en raison de la faiblesse de la croissance économique mondiale.

    Depuis, le marché cherche le prix auquel il forcera les producteurs à réduire leur production pour la ramener au nouveau niveau de demande anticipé. Compte tenu du flou actuel sur l'estimation des coûts réels de chaque type de production (schistes, sables asphaltiques, offshore profond, OPEP), le prix baisse tant que le marché n'obtient pas d'annonce de réduction de production ou, a minima, de réduction d'investissement dans de futurs projets. A 60 dollars le baril de Brent, il n'a toujours pas obtenu les réactions attendues, ni de la part de l'OPEP, ni des producteurs américains.

    2 – Pourquoi le marché n'a pas anticipé une telle chute ?

    A posteriori, il est toujours facile de réaliser que tous les ingrédients d'un krach étaient réunis. Mais jusqu'en juin, même si les fondamentaux n'étaient pas très porteurs, ils n'étaient pas différents de ce qu'ils avaient été depuis plus de deux ans. La hausse continue de la production de pétrole de schistes, le dépassement de quotas de l'OPEP, ou l'atonie de la demande des pays de l'OCDE n'avaient pas pour autant eu d'impact sur les cours.

    Donc jusqu'en juin, le marché était en mode « business as usual », avec une volatilité faible et des prix sans tendance. Le marché du pétrole a donc été victime d'un effet d'endormissement jusqu'à ce que tous les économistes, du FMI à l'OCDE en passant par ceux des grandes banques, revoient leur scénario de croissance économique pour 2014 et pour 2015.

    Le rebond de croissance attendu n'est pas venu, et de nombreux d'économistes doutent désormais qu'il intervienne en 2015. Toutes les zones du monde sont en ralentissement, à l'exception des Etats-Unis, qui ne pourront à eux-seuls tirer la croissance mondiale. J'observe aussi que ces révisions de croissance ont déclenché une correction sur l'ensemble des marchés actions, preuve qu'elles n'ont pas été anticipées. La différence d'amplitude ne s'explique que par la conviction que les politiques monétaires accommodantes drainent des capitaux sur les actions, ce qui n'est pas le cas pour les matières premières.

    3 – Peut-on croire à la théorie du complot contre la Russie ?

    Compte tenu de son rôle stratégique évident, le pétrole est coutumier des théories du complot. Cela tient d'abord au fait que la zone principale de production, le Moyen-Orient, est la plus instable du monde. Ensuite, c'est le seul marché sur lequel il existe un cartel, l'OPEP, qui décide son niveau de production pour délibérément influer sur le prix mondial, ce qui est contraire à toutes les règles de libre-échange. Enfin, chaque décision importante de l'Arabie saoudite est toujours analysée à l'aune de l'accord historique de 1945 avec les Etats-Unis.

    Cet accord qui prévoyait une protection militaire contre un approvisionnement garanti en pétrole a parfois été mis à rude épreuve pendant soixante-dix ans, mais l'Arabie saoudite s'est toujours tenue à son engagement de ne jamais utiliser le pétrole comme une arme politique. Même en 1973, quand elle a signé à regret la décision de l'embargo, elle a ensuite œuvré pour qu'il puisse être contourné.

    La théorie d'un effondrement des cours commandité par les Etats-Unis pour peser sur la Russie n'aurait donc pas vraiment de précédent historique, et surtout ne repose sur aucun élément factuel. On serait en droit de s'interroger si l'effondrement avait été déclenché par une décision de l'Arabie saoudite ou si sa décision de ne pas réduire sa production de façon unilatérale paraissait économiquement irrationnelle.

    Or, c'est tout le contraire. L'Arabie saoudite ne produit pas plus aujourd'hui qu'elle ne produisait il y a un an et sa décision de ne pas réduire sa production pour ne pas laisser ses parts de marché à ses concurrents directs relève du simple calcul économique de bon sens. De plus, on peut légitimement se demander quel Etat accepterait de voir ses recettes budgétaires chuter de 40 % pour « rendre service » à un autre Etat. Enfin, considérant la personnalité du président russe, Vladimir Poutine, on peut s'interroger sur la pertinence d'une stratégie qui consisterait à mettre la Russie à genou économiquement pour l'inciter à négocier une sortie de l'Ukraine.

    4 – Pourquoi l'Arabie saoudite refuse-t-elle obstinément de réduire sa production ?

    Parce qu'elle considère que ce n'est pas dans son intérêt. La dynamique récente du marché du pétrole est relativement simple à résumer. La production de pétrole de schiste américain progresse plus vite que la demande. Donc si le reste de la production hors schistes et OPEP reste inchangé, le marché ne peut que cumuler des excédents qui vont grossir au fil du temps.

    Si l'Arabie saoudite réduisait sa production aujourd'hui pour rééquilibrer le marché, elle transférerait ses parts de marché et ferait remonter les cours à un niveau où le développement des pétroles de schistes continuerait de plus belle. Elle serait donc obligée de réduire sa production de nouveau dans quelques mois et ce tant que la demande ne retrouvera pas une croissance annuelle d'au moins 1,5 million de barils par jour.

    Les Saoudiens ont une politique de gestion du marché fondée sur le long terme. Au rythme de production actuel, ils disposent de soixante ans de réserves devant eux. Le prix qui leur importe est donc le prix moyen de long terme. Se garantir un prix moyen de long terme de 100 dollars le baril ne consiste pas à essayer de figer le prix autour de 100 dollars en permanence, mais à gérer les périodes où les cours doivent économiquement être très en-dessous pour ralentir la production et stimuler la demande, et d'autres périodes où ils doivent être élevés pour obtenir l'inverse.

    Il est étonnant de reprocher à l'Arabie saoudite de ne pas intervenir, alors même que pendant des années, les Occidentaux lui ont reproché le contraire. L'Arabie saoudite est le producteur qui bénéficie des coûts de production les plus bas au monde. En toute rigueur économique, elle devrait donc bien être le dernier producteur à réduire sa production en cas de baisse des cours.

    Frédéric Lasserre

    Frédéric Lasserre est Président de Belaco Capital

    source : Le Monde.fr :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EuEAVEkuuuMQzZcaiY.shtml

  • Prix du pétrole : vous reprendrez bien un peu de “guerre froide” ?

    Pour le journaliste Sylvain Lapoix, auteur de la BD-enquête “Énergies extrêmes”, la “guerre des prix” qui voit s’affronter l’Arabie saoudite et les États-Unis offre peut-être de belles “ristournes” à la pompe, mais a déjà fait ses premières victimes : l’Iran et le Venezuela. Pour lui, cette “guerre froide” d’un nouveau genre peut en tout cas constituer “une occasion en or de prendre une importante décision : s’écarter de ce grand jeu en réduisant notre dépendance aux hydrocarbures”.

    Par Sylvain Lapoix

    Ça n’est pas pour vous gâcher la dinde mais la chute des prix du pétrole n’est pas une nouvelle rassurante. Certes le transport de la belle-famille coûtera moins cher à la pompe mais cette ristourne dissimule un tournant dans l’économie mondiale.

    Car au delà du ralentissement économique asiatique et européen et de la surproduction,

    c’est une guerre commerciale qui maintient le cours du brut si bas : celle que se livrent désormais l’Arabie saoudite et les États-Unis.


    En resserrant les prix du baril, Ryiad comprime en effet la pompe à schiste américaine.

    Nous ne parlons pas ici du gaz (soyons sérieux deux minutes) mais des huiles de schiste, le pétrole de même extraction.

    En dix ans, le Dakota du Nord (jusqu’ici seulement connu des seuls apiculteurs et des spécialistes des missiles balistiques) a jaillit au deuxième rang des Etats producteurs de pétrole (devant l’Alaska) grâce à cette nouvelle ressource, crachant désormais plus d’un million de barils par jour au visage des investisseurs qui en redemandent. Le Texas, le MidWest et les Appalaches forent également à tout-va pour extraire par les techniques de fracturation hydraulique et de forage horizontal de l’or noir ou des gaz lourds (éthane et propane) des couches de schiste profond.

    Tandis qu’au Canada, la production des sables bitumineux (pétrole ultra lourd) des provinces de l’Ouest devrait doubler d’ici 2030 pour atteindre plus de 6 milliards de barils jour, principalement destinés aux Etats-Unis.

    En 2014, les Etats-Unis roulaient au pétrole made in USA, importaient une bonne part du reste d’Amérique du Nord et devenaient premier producteur de pétrole au monde. Devant l’Arabie saoudite, donc.

    Seul hic : les nouvelles technologies utilisées pour atteindre ce pétrole coûtent cher et, sous les 80 dollars, chaque baril extrait l’est en fait en perte sèche.

    Des pipelines au lieu des bases militaires

    « Les Saoudiens veulent une bataille des parts de marché », assurait une source de l’Opeplors de la dernière réunion de l’organisation. Mais cette guerre des prix voit déjà tomber quelques soldats : l’Iran et le Venezuela ainsi que les pays non-membre de l’Opep suent à grosses gouttes.

    Un seul autre acteur, à part les Etats-Unis, semble pouvoir survivre à ce « stress test » : la Russie.

    Les difficultés économiques rencontrées par Moscou sur le rouble et les sanctions ne peuvent pas entamer deux de ses plus grands atouts : des réserves d’hydrocarbures immenses et le deuxième plus grand réseau de pipelines du monde pour les écouler vers l’Europe et l’Asie.

    Dès la chute du rideau de fer, les tractations américaines pour créer des réseaux de pipelines « non-russes »  dans le Caucase laissaient deviner que l’énergie constituait un nouveau champ de bataille diplomatique. Sous le conflit syrien continuaient de pointer cette rivalité dans l’acheminement du gaz du Qatar entre le gazoduc pro-américain (Nabucco) et le pipeline pro-russe (South Stream) soutenu par Bachar Al-Assad.

    Le boom des gaz et huiles de schiste fait basculer cette rivalité dans une autre dimension, les Américains s’engageant résolument dans une nouvelle guerre froide de l’énergie pour le contrôle des marchés.

    Une guerre disputée à coup de ports méthanier et de pipelines en lieu et place des bases militaires et sites de lancement de missiles qui faisaient trembler Khrouchtchev.

    Alors qu’il avait fallu des mois pour voir réagir les dirigeants américains à la crise libyenne, le Congrès a vu fleurir au bout de quelques semaines de crise ukrainienne des propositions de loi pour réagir à la menace pesant sur l’approvisionnement européen en gaz : les élus demandaient d’accélérer la construction de ports exportateurs de gaz naturel liquéfié pour ne pas laisser l’Union européenne se geler dans l’ombre de la Russie. « S’opposer à cette législation serait comme raccrocher à un appel de détresse de nos amis et alliés », hurlait alors le républicain Cory Gardner. En réalité, de tels ports s’érigent sur plusieurs années mais l’occasion était trop belle de construire la législation à la faveur de cette crise pour avancer un pion de plus l’échiquier.

    Et pour remettre une couche sur nos souvenirs fanés de complots des années 1980, le nouveau candidat républicain à la président américaine, Jeb Bush (il en reste encore) pompe lui-même sa fortune dans les gaz et huiles de schiste américains. On ne change pas une équipe qui gagne.

    Ne choisis pas ton camp camarade

    Interconnectés par leurs oléoducs comme par leurs lignes électriques, les pays de l’Union européenne pris entre ces flux doivent s’adapter à ce nouvel ordre énergétique mondial. En vérité, il pourrait s’agir d’une occasion en or de prendre une importante décision : s’écarter de ce grand jeu en réduisant notre dépendance aux hydrocarbures.

    Il est certes impossible d’arrêter soudain d’acheter pétrole ou gaz à l’un des trois grands pourvoyeurs. Le cordon reste trop bien attaché pour qu’on ne le coupe sans nous étouffer nous-mêmes. Mais ces prix bas offrent une occasion unique d’instaurer la taxe carbone maintes fois repoussée, annulée, amendée, mégotée, pour construire une politique énergétique tendant vers des énergies moins polluantes. Laquelle taxe prendra tout son intérêt dissuasif quand les prix remonteront.

    L’idée ne vient pas d’un think tank écologiste radical mais de Marian van der Hoeven, directrice exécutive de l’Agence internationale de l’énergie, qui s’exprimait début décembre en marge du sommet mondial sur le climat de Lima.

    Dès lors, le chemin vers un véritable « après pétrole » serait envisageable : des politiques de valorisation des déchets, de sobriété énergétique et de transports économes impulsées au niveau européen permettrait de détourner les yeux de la jauge de carburant. Cet après-pétrole devenant un prélude à une « après guerre froide ».

    Mais la nouvelle Commission Juncker semble préférer le vintage : présentant son programme mercredi 16 décembre, elle a dégagé les paquets législatifs portant sur la qualité de l’air et l’économie circulaire, jugeant ces mesures « coûteuses » en période de relance. Coïncidence troublante : le même jour, le Parlement européen adoptait une version de la loi sur les carburants ouvrant la porte aux sables bitumineux canadiens. De quoi maintenir les pays européens la tête bien enfoncée entre les épaules, à l’ombre des trois grands producteurs d’hydrocarbures. Le syndrome de Stockholm n’est pas loin…

    marianne.net

    http://fortune.fdesouche.com/369973-prix-du-petrole-vous-reprendrez-bien-un-peu-de-guerre-froide#more-369973

  • Djihad Magazine

    Les élus politiques européens, et français en particulier, connaissent-ils le magazine Inspire ? Si tel n’est pas le cas, cet article devrait les éclairer.

    Lancé en 2010, Inspire est un trimestriel publié en anglais, diffusé sur des forums spécialisés, et aisément trouvable en ligne, dans la mouvance d’Al-Qaïda et entièrement financé par ses sympathisants. Il est publié au Yémen par un Américain converti à l’islam. La revue s’adresse aux djihadistes résidant en Occident et cherche à inspirer les « loups solitaires ». C’est d’ailleurs grâce à une rubrique « Fabrique une bombe dans la cuisine de ta mère », dans un numéro paru en 2010, que les frères Tsarnaev ont commis la même année l’attentat au marathon de Boston.

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  • Les Russes Blancs approuvent la Russie

    Dans une déclaration intitulée Solidaires de la Russie, rédigée par le prince et la princesse Dimitri et Tamara Schakhovskoy, des descendants d'émigrés russes approuvent la politique de Poutine :

    "[...] Malgré leur rejet total de l’Union soviétique, nos parents et grands-parents ont été bouleversés par les souffrances du peuple russe lors de la Deuxième guerre mondiale. A notre tour, nous refusons l’indifférence et le silence – devant l’extermination programmée des populations du Donbass, la russophobie délirante, l’hypocrisie de procédés totalement contraires aux intérêts d’une Europe qui nous est chère. Nous voulons espérer que les pays qui ont accueilli nos familles retrouveront bientôt la voie de la raison et de l’objectivité."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • “El Watan” s’inquiète du succès en France du thème du “grand remplacement”

    Le grand quotidien algérien en français, El Watan, le journal de référence en Algérie, s’inquiète dans un article récent du succès en France du thème du “grand remplacement”. Extraits :

    “Le discours raciste décomplexé est devenu, ces quelques dernières années, une opinion dans la «patrie des droits de l’homme». Tous les sondages et les élections, depuis 2012, affirment une percée de l’extrême-droite et de la droite dure. Dans ce contexte, la nouvelle théorie raciste, dite «le grand remplacement», pénètre dans les mœurs sociales et politiques françaises. Renaud Camus est l’inventeur de ce concept. D’autres intellectuels en font la promotion comme Eric Zemmour et nos confrères de Valeurs Actuelles.”
    […]

    [Dans Valeurs Actuelles :] “C’est ainsi que Madouas attaque son sujet, se donnant dès le début bonne conscience d’une plume chevaleresque qui «casse» les tabous au nom de liberté. C’est ce que font d’ailleurs Zemmour, Alain Finkielkraut, ou encore Ivan Rioufol, notamment en évoquant l’immigration, l’identité et l’Islam.”
    “Cette histoire de «Grand remplacement», pleine de fantasmes refoulés de racisme anti-immigration afro-maghrébine, se propage depuis septembre 2013 avec la publication du manifeste«Non au changement de peuple et de civilisation», rédigé par Renaud Camus.”
    […]

    “Dans son texte, l’alarmiste Renaud [Camus] met en garde ses compatriotes :«Le Grand remplacement est le choc le plus grave qu’ait connu notre patrie depuis le début de son histoire puisque, si le changement de peuple et de civilisation, déjà tellement avancé, est mené jusqu’à son terme, l’histoire qui continuera ne sera plus la sienne, ni la nôtre». ”

    “Se cachant derrière une posture de démographe et économiste antimondialisation, Renaud [Camus] publie même un livre sur ce sujet :Le Changement de peuple. Il y explique, à sa manière, le phénomène du remplacement démographique en affirmant que les Français de souche«seront remplacés rapidement»par une«colonisation de peuplement», originaire notamment du Maghreb et de l’Afrique noire.”
    […]

    “La messe est dite aussi brusquement par le père de cette théorie : «(En France) les nourrissons sont arabes ou noirs, et volontiers musulmans», «la vieille population blanche meurt plus et se reproduit trop peu» au moment où «la fécondité afro-maghrébine est plus élevée». ”
    […]

    http://fr.novopress.info/180360/el-watan-sinquiete-du-succes-en-france-du-theme-du-grand-remplacement/

  • La guerre nucléaire, c’est pour quand ?

    Notre monde brûle, nous pérorons, nous menaçons et l’ONU reste assise le cul entre deux chaises.

     

    Rien ne justifie la guerre ! Ni le nationalisme, ni la domination, ni l’idéologie, ni l’économie. Ce ne sont pas là les causes véritables des guerres mais seulement l’occasion de les faire. L’Amérique joue avec le feu, la Russie joue avec le feu, la Corée du Nord joue avec le feu, le monde entier joue avec le feu. Suite aux accusations de piratage dénoncées par les États-Unis, la Corée du Nord menace de renforcer de toutes les manières possibles ses capacités d’autodéfense, y compris sa puissance nucléaire. Suite à la volonté américaine d’implanter, dans le cadre de l’OTAN, des ogives nucléaires en Ukraine, près de la frontière de la Russie, cette dernière s’est appropriée la Crimée et a provoqué une séparation entre l’est et l’ouest de l’Ukraine.

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