Il semblerait qu’un frémissement de courant d’air idéologique se fasse jour dans l’entre-soi médiatico-politico-journalistique parisien. Après les crimes de guerre (puisque « nous sommes en guerre » et que nous parlons de crimes) du Bataclan, et Nice il y aura cinq ans bientôt, je ne suis pas vraiment étonné que les colossales forces inertielles idéologiques à l’œuvre en France et en Europe aient permis une nouvelle et énième boucherie islamiste dont la victime est un enseignant cette fois. L’on nous épargna, du moins, les précédents océans de « bisounourseries » à base d’allumettes et de cire, de sucreries émotionnelles ou autres actes de résistance héroïque devant une bonne bière en terrasse.
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Dernières nouvelles d’Allemagne (et de Finlande) : « la terreur islamiste est une menace permanente »
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L’identité, cible de toutes les attaques
Nous parlons beaucoup de souveraineté à juste raison. Mais, la priorité est la nature de l’identité que la souveraineté défend. Qui rêve d’une France souveraine devenue musulmane ? L’essentiel est la sauvegarde de la continuité de notre identité charnelle, culturelle et spirituelle. Notre identité est attaquée dans tous ces registres qui la composent.
Deux universalismes se retrouvent pour laminer ce qui nous fait : le cosmopolitisme – la grande globalisation du monde – et l’islamisme. Un monstre à plusieurs têtes, une gorgone qui nous laisse sans répit.Rétrospective d’un crime annoncé
Éducation nationale : propagande et lutte contre la famille
Depuis que nous ne parlons plus « d’instruction » mais « d’éducation », nous savons qu’il y a une opération de formatage des cerveaux de nos enfants sur les bancs de l’école. Du développement durable qui envahit les programmes de géographie à une sélection très politiquement correcte des sujets traités en histoire avec le tropisme constant de la repentance et une approche peu gratifiante de notre passé.
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Marine Le Pen (RN): « l’idéologie islamiste devait être considérée comme ennemie de la France » (Vidéo)
Invitée du Grand Jury sur LCI, Marine Le Pen a estimé sur LCI que « l’idéologie islamiste devait être considérée comme ennemie de la France » et souhaite « une législation d’exception » impliquant, entre autres, de dénoncer certains articles de la Convention européenne des droits de l’homme.
« Une guerre nous est menée et nous devons mener cette guerre », a déclaré la présidente du Rassemblement national. « Cette guerre nous ne la menons pas contre un État, mais contre une idéologie: l’islamisme (…) Si nous sommes en guerre, il faut déclarer cette idéologie ennemie de la France », a-t-elle poursuivi, et « de cette déclaration doivent découler des décisions ». La candidate à la présidentielle de 2022 propose notamment d’interdire les « organisations qui font la promotion de cette idéologie », de fermer les mosquées islamistes, de supprimer « tous les financements qui viennent au soutien » de l’islamisme ou encore d’expulser les étrangers faisant l’apologie de l’islamisme.
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Terrorisme : Samuel Paty décapité sur l’autel de la République – Le Samedi Politique avec Alexandre Del Valle
Une semaine après l’assassinat tragique de Samuel Paty, l’émotion laisse place à l’analyse.
Après une myriade de déclarations en faveur de la liberté d’expression, des caricatures de Charlie Hebdo, du droit au blasphème, les véritables questions ont-elles été posées ?
Le principe de la laïcité peut-il suffire à garantir la paix ? L’école de la République est-elle une réponse suffisante face à la radicalisation de plus en plus précoce ? La question de l’islamisation peut-elle être efficacement traitée en faisant fi de la question migratoire ?
Alexandre Del Valle, géopolitologue et spécialiste du terrorisme islamiste, nous permet de comprendre les mécanismes permettant aux djihadistes de continuer à pouvoir frapper en France. Il dénonce comment les coupeurs de têtes et les coupeurs de langue œuvrent à l’unisson pour anéantir toute dénonciation des dérives islamistes au cœur d’associations qui ont parfois pignon sur rue.
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Marion Maréchal: «Ce ne sont pas les valeurs de la République qui sont attaquées mais bien les valeurs françaises».
Marion Maréchal. ALEX WONG/AFP
Le droit et la laïcité sont insuffisants pour lutter contre l’islamisme radical, estime l’ancienne députée (RN) du Vaucluse.
Voici donc la 267e victime de l’islamisme depuis 2012. Après les enfants, les militaires, les policiers égorgés devant leur petit garçon, les journalistes, les adolescentes à Marseille, le chef d’entreprise décapité, le curé dans son église, les innombrables victimes du Bataclan ou de Nice, c’est au tour du professeur.
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Marine Le Pen appelle au grand sursaut face à l'islamisme (19/10/2020)
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Marine Le Pen appelle au grand sursaut face à l'islamisme (19/10/2020)
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Jean-Michel Blanquer part en guerre contre l’islamo-gauchisme, mais oublie les responsabilités de l’État !
La décapitation du professeur Samuel Paty par un islamiste fera-t-elle vraiment figure de « tournant », tel qu’écrit hier en ces colonnes ? Au moins aura-t-elle permis de délier certaines langues, et pas des moindres, s’agissant de celle de Jean-Michel Blanquer.
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Assassinat d’un professeur : l’impuissance de nos dirigeants face à l’islamisme, par Philippe Kerlouan.
L’assassinat barbare d’un professeur d’histoire, coupable d’avoir voulu expliquer à ses élèves l’importance de la liberté d’expression, est l’aboutissement extrême des menaces et des pressions régulièrement exercées dans les établissements scolaires par des familles qui font passer la loi de leur religion avant la loi de la nation. Il est aussi la conséquence d’un laxisme trop fréquent, qui refuse de reconnaître la réalité : la volonté des islamistes d’imposer progressivement leurs conceptions politico-religieuses, incompatibles avec les valeurs de notre culture.
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Casseneuil : des musulmans envahissent la mairie et obtiennent la démission d’un élu. Apaisement ou soumission ?
Une semaine après l’assassinat de Samuel Paty et les vérités qui émergent sur les censures et les autocensures dont certains enseignants font preuve au sujet de l’islam pour ne pas être inquiétés, et alors que personne ne s’émeut guère qu’un inspecteur de l’Éducation nationale était missionné pour lui rappeler, à lui, les règles de neutralité et de laïcité, un événement vient jeter le trouble.
Résumé par La Dépêche : « Une partie de la communauté musulmane de Casseneuil a investi la mairie de cette commune proche de Villeneuve-sur-Lot pour protester contre des messages postés par un élu municipal sur un réseau social. Il s’agirait selon les manifestants de propos racistes. Présent en mairie, l’élu s’est excusé et a annoncé sa volonté de démissionner. »
L’élu a effectivement démissionné en présentant des excuses et le nouveau maire s’est aussi désolidarisé de lui.