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islamisme - Page 16

  • Quand la haine anti-française partout se déchaîne…

    Les Français vont-ils accepter longtemps de se faire humilier ? Le camp du Bien, c’est-à-dire de la Diversité, leur réserve désormais la morgue du conquérant. L’antisémitisme islamisé, qui s’exhibe jusqu’au sein des lycées et des universités sous le faux nez des diatribes anti-israéliennes, fait école. Une semblable haine anti-française lui succède. Elle se revendique avec la même bonne conscience. Exemple récent : journaliste liée à France Inter, la franco-marocaine Nassira El Moadden a reçu le soutien de la directrice de la radio publique, Adèle Van Reeth, après avoir tweeté le 30 avril, en réaction à un rappel de la Fédération française de football (FFF) à respecter la laïcité dans le port des maillots : « Pays de racistes dégénérés. Il n’y a pas d’autres mots. La honte ». Van Reeth n’a pas relevé ce racisme primaire du colon face à l’indigène; mais a dénoncé les réactions que El Moadden a suscitées. Tweet de la patronne de la radio d’Etat : « Les attaques racistes qu’elle subies sont inacceptables.

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  • Face à l’islamisme et à l’islamo gauchisme, on ne s’en sortira pas avec du laïcisme

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    Michel Festivi 

    Peut-on utilement lutter contre le totalitarisme islamiste en brandissant « les valeurs » de la république et de la laïcité ?  C’est toute la question posée depuis des années par ceux qui prétendent que « les valeurs des lumières », pourraient être un rempart suffisant contre l’intrusion, l’infiltration de l’islamo gauchisme dans toutes nos sociétés occidentales.

    Or, le constat est simple, c’est un échec absolu, on le voit tous les jours. Pourtant certains et certaines y croient encore, souvent de bonne foi, comme cette intellectuelle d’origine iranienne, Abnousse Shalmani qui vient de publier, Laïcité, j’écris ton nom, et qui a été interrogée par Alexandre Devecchio pour le Figaro.

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  • « Pour les musulmans, il y a des filières pour obtenir des rendez-vous plus rapidement » : Hôpital, enseignement, entreprises, comment l’islam militant avance en France et transforme le pays

    (…)

    C’est le fameux « pas de vagues » trop souvent invoqué que Bernard, professeur dans un établissement « difficile » des Hauts-de-Seine, dénonce. Dans ce lycée, « gangrené » par les syndicats d’extrême gauche, dont il dit qu’ils sont souvent bien plus prompts à défendre le communautarisme que les principes de neutralité de l’école, la terreur et l’omerta règnent. Un climat propice à un entrisme islamiste décomplexé. « Pour eux, ça n’existe pas. Ils ne voient pas le voile ni les abayas. C’est le déni, accuse Bernard. Et les professeurs sur ma ligne sont terrorisés à l’idée de s’exprimer, ou isolés et ostracisés. C’est mon cas. 

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  • Science po, le désastre absolu

    La direction de Science po Paris a conclu un accord avec les manifestants anti-Israël qui occupent et bloquent le fonctionnement de cette école depuis plusieurs semaines. Les termes de cet accord ne paraissent pas encore clairement connus : levée des sanctions, condamnation d’Israël, fin de certaines collaborations [à vérifier]… Voici donc un ancien fleuron de l’université française qui bascule en officine idéologique anti-Israël. L’école libre des sciences politiques a été créée après la défaite de 1870 pour renouveler les élites dirigeantes françaises, devenant l’Institut d’Etudes politiques (ou science po) à la Libération. La scolarité, pendant longtemps, était dominée par un concours d’entrée extrêmement sélectif, puis trois années d’études intenses qui s’accompagnaient souvent d’un cursus parallèle ou complémentaire (droit, histoire, science éco).

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  • Face au « Pas de vague », c’est Mila la révoltée qui a raison

    N’en déplaise à Caroline Fourest, figure solennelle de la « gauche républicaine », c’est Mila la révoltée qui a raison. Déboulant le 8 avril sur RMC, la jeune femme de 21 ans a lancé : « J’ai la haine, la rage », parlant de l’emprise islamiste grandissante sur la France. Ce jour-là, la résistance à la charia qui vient et à l’avachissement de la République a pris le visage de cette guerrière blonde et tatouée, qui vécut sous protection policière pour avoir traité l’islam de « religion de merde » il y a quatre ans. Or l’essayiste Fourest, qui batailla utilement contre Tariq Ramadan, reproche à Mila son manque de « nuances ». 

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  • La France silencieuse, ultime rempart face à la subversion islamiste

    L’entrisme palestinien à Sciences-Po n’est pas le problème : depuis les années soixante-dix, l’Education nationale et l’Université sont les terrains privilégiés de l’agitation subversive de la gauche. (J’ai eu, à cette époque, ma part d’éducation marxiste à la faculté de droit de Nantes). Mais cette politisation restait jusqu’alors une anomalie contournable. Elle devient préoccupante quand elle ne rencontre plus d’obstacles. C’est ce qui s’est produit, vendredi soir, avec la capitulation de la direction de l’école parisienne, félicitée pour son attitude par Sylvie Retailleau, ministre de l’enseignement supérieur. Les deux autorités ont renoncé à sanctionner les bloqueurs du Comité Palestine, keffiehs et drapeaux palestiniens en emblèmes, et ont promis de réexaminer les « partenariats de l’école avec les universités et les organisations soutenant l’État d’Israël ». 

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  • Un Califat islamique en Allemagne ?

    Une manifestation de musulmans de Hambourg, samedi dernier, est passée relativement inaperçue en France, mais elle n’en finit plus de secouer l’Allemagne, qui sort ainsi d’une espèce de torpeur pétrie d’idéologie humaniste molle. Des dizaines de musulmans radicaux ont défilé dans une rue de Hambourg, la célèbre ville-port, en réclamant rien moins que l’instauration d’un Califat, c’est à dire, le passage de la république allemande à une république islamique, avec évidemment, l’instauration de la charia, la loi coranique. Pour son premier jour de campagne électorale, Scholz a donc été gâté, il en est tombé des nues et a « condamné » l’événement, se figurant sans doute que sa condamnation verbale allait impressionner les intéressés. Sa Ministre de l’Intérieur, Nancy Faeser, a trouvé l’événement « incroyable », elle aussi tourneboulée et à vrai dire, en état de KO debout. Sinon, l’ensemble des Allemands trouve cela « scandaleux ».

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  • Nice : deux femmes tabassées pour des jupes courtes

    Brève breve
    Deux femmes ont été passées à tabac pour des jupes trop courtes dans le vieux Nice. Leurs agresseurs ont été relâchés.

    Dans la nuit du vendredi 26 au samedi 27 avril, vers 3h30 du matin, dans les rues du vieux Nice, deux couples ont été insultés puis tabassés à coups de pied et de poing par des hommes qui estimaient que les jupes des deux femmes étaient trop courtes.

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  • «Agression de Samara à Montpellier (34), 14 ans, sauvagement tabassée devant son collège sur fond de harcèlement religieux. L’Education Nationale ne veut pas faire de vague (Màj)

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    30/04/2024

    Pas de «situation de harcèlement scolaire», «aucun manquement fautif» de l’établissement. Les conclusions de l’enquête menée par l’Inspection générale, rendues ce 30 avril, scandalisent la mère de la jeune collégienne et son avocat.

    «Je puis vous assurer que mon bras ne tremblera pas», avait promis le 4 avril la ministre de l’Éducation Nicole Belloubet, alors qu’elle lançait une mission d’inspection, deux jours après la violente agression de Samara, 13 ans, devant son collège de Montpellier par plusieurs élèves. Un mois plus tard, la même ministre affirme que «le collège a fait ce qu’il pouvait». Mais ce n’est pas un simple aveu d’échec. «L’enquête administrative n’a pas relevé de négligence», a-t-elle affirmé le 30 avril sur France Inter. […]

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  • Sciences-Po : illustration d’une dérive mortifère

    La dérive du système éducatif et des institutions républicaine est illustrée par l’occupation de Science Po, à Paris, et dans d’autres villes, par des étudiants et amis, fanatisés, qui bloquent l’accès aux sites. Les drapeaux palestiniens sont aux fenêtres et les forces de l’ordre ne bougent pas vraiment. Des militants pro-palestiniens enchaînent les nuits dans le bâtiment historique de l’institut d’études politiques du 7e arrondissement et bloquent encore l’accès à l’école, ravitaillés grâce à des sacs de courses hissés à bout de bras. Ils veulent une rupture des partenariats entre Science Po et les universités israéliennes, comme aux États-Unis, où des étudiants protestent contre le soutien du gouvernement américain à l’État d’Israël.

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