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islamisme - Page 12

  • Darmanin repart en guerre, quitte à se contredire

    L’inénarrable Darmanin repart en guerre, oui repart, pour la seconde fois en peu de temps. La première fois, c’était contre les dealers, avec l’opération place nette, taille XXL, soldée par 185 incarcérations, pour plus de 7000 interpellations. Traduire, les malfrats sont relâchés au bout de deux heures et remis en liberté, les erreurs de procédure sont nombreuses avec cet afflux subit de travail qui submerge les services de la justice et donc l’opération a été comme d’habitude, du vent. C’est bien beau d’être martial à l’Intérieur, mais si le copain Garde des sceaux ne suit pas, c’est un coup d’épée dans l’eau.

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  • Selon la Grande mosquée de Paris, l’antisémitisme musulman n’existe pas !

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    Jusqu’où ira la dérive de la Grande mosquée de Paris ? Depuis l’arrivée aux manettes de Chems-Eddine Hafiz en 2020, l’institution religieuse n’en finit plus de défrayer la chronique. Prêches belliqueux, récitations de textes justifiant la violence contre les mécréants, liens de plus en plus assumés avec les Frères musulmans… Ce lieu qui, hier encore, tenait lieu de citadelle de l’islam modéré en France a depuis viré sa cuti. La Grande mosquée de Paris (GMP) épouse des idées toujours plus radicales.

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  • Frères musulmans : pour Darmanin, l’heure de la reconquête ou du pétard mouillé

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    Emmanuel Macron est aux manettes depuis 2017, Gérald Darmanin, à l'Intérieur depuis 2020, et voilà que - comme des imams guettant le premier croissant de l’Aïd -, ils découvrent la lune. Le président de la République a demandé un rapport sur les Frères musulmans et la menace qu’ils font peser sur la France. Le ministre de l’Intérieur, dans Le JDD, dresse un état des lieux des plus inquiétants: ils sont partout, les Frères !

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  • Quand la haine anti-française partout se déchaîne…

    Les Français vont-ils accepter longtemps de se faire humilier ? Le camp du Bien, c’est-à-dire de la Diversité, leur réserve désormais la morgue du conquérant. L’antisémitisme islamisé, qui s’exhibe jusqu’au sein des lycées et des universités sous le faux nez des diatribes anti-israéliennes, fait école. Une semblable haine anti-française lui succède. Elle se revendique avec la même bonne conscience. Exemple récent : journaliste liée à France Inter, la franco-marocaine Nassira El Moadden a reçu le soutien de la directrice de la radio publique, Adèle Van Reeth, après avoir tweeté le 30 avril, en réaction à un rappel de la Fédération française de football (FFF) à respecter la laïcité dans le port des maillots : « Pays de racistes dégénérés. Il n’y a pas d’autres mots. La honte ». Van Reeth n’a pas relevé ce racisme primaire du colon face à l’indigène; mais a dénoncé les réactions que El Moadden a suscitées. Tweet de la patronne de la radio d’Etat : « Les attaques racistes qu’elle subies sont inacceptables.

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  • Face à l’islamisme et à l’islamo gauchisme, on ne s’en sortira pas avec du laïcisme

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    Michel Festivi 

    Peut-on utilement lutter contre le totalitarisme islamiste en brandissant « les valeurs » de la république et de la laïcité ?  C’est toute la question posée depuis des années par ceux qui prétendent que « les valeurs des lumières », pourraient être un rempart suffisant contre l’intrusion, l’infiltration de l’islamo gauchisme dans toutes nos sociétés occidentales.

    Or, le constat est simple, c’est un échec absolu, on le voit tous les jours. Pourtant certains et certaines y croient encore, souvent de bonne foi, comme cette intellectuelle d’origine iranienne, Abnousse Shalmani qui vient de publier, Laïcité, j’écris ton nom, et qui a été interrogée par Alexandre Devecchio pour le Figaro.

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  • « Pour les musulmans, il y a des filières pour obtenir des rendez-vous plus rapidement » : Hôpital, enseignement, entreprises, comment l’islam militant avance en France et transforme le pays

    (…)

    C’est le fameux « pas de vagues » trop souvent invoqué que Bernard, professeur dans un établissement « difficile » des Hauts-de-Seine, dénonce. Dans ce lycée, « gangrené » par les syndicats d’extrême gauche, dont il dit qu’ils sont souvent bien plus prompts à défendre le communautarisme que les principes de neutralité de l’école, la terreur et l’omerta règnent. Un climat propice à un entrisme islamiste décomplexé. « Pour eux, ça n’existe pas. Ils ne voient pas le voile ni les abayas. C’est le déni, accuse Bernard. Et les professeurs sur ma ligne sont terrorisés à l’idée de s’exprimer, ou isolés et ostracisés. C’est mon cas. 

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  • Science po, le désastre absolu

    La direction de Science po Paris a conclu un accord avec les manifestants anti-Israël qui occupent et bloquent le fonctionnement de cette école depuis plusieurs semaines. Les termes de cet accord ne paraissent pas encore clairement connus : levée des sanctions, condamnation d’Israël, fin de certaines collaborations [à vérifier]… Voici donc un ancien fleuron de l’université française qui bascule en officine idéologique anti-Israël. L’école libre des sciences politiques a été créée après la défaite de 1870 pour renouveler les élites dirigeantes françaises, devenant l’Institut d’Etudes politiques (ou science po) à la Libération. La scolarité, pendant longtemps, était dominée par un concours d’entrée extrêmement sélectif, puis trois années d’études intenses qui s’accompagnaient souvent d’un cursus parallèle ou complémentaire (droit, histoire, science éco).

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  • Face au « Pas de vague », c’est Mila la révoltée qui a raison

    N’en déplaise à Caroline Fourest, figure solennelle de la « gauche républicaine », c’est Mila la révoltée qui a raison. Déboulant le 8 avril sur RMC, la jeune femme de 21 ans a lancé : « J’ai la haine, la rage », parlant de l’emprise islamiste grandissante sur la France. Ce jour-là, la résistance à la charia qui vient et à l’avachissement de la République a pris le visage de cette guerrière blonde et tatouée, qui vécut sous protection policière pour avoir traité l’islam de « religion de merde » il y a quatre ans. Or l’essayiste Fourest, qui batailla utilement contre Tariq Ramadan, reproche à Mila son manque de « nuances ». 

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  • La France silencieuse, ultime rempart face à la subversion islamiste

    L’entrisme palestinien à Sciences-Po n’est pas le problème : depuis les années soixante-dix, l’Education nationale et l’Université sont les terrains privilégiés de l’agitation subversive de la gauche. (J’ai eu, à cette époque, ma part d’éducation marxiste à la faculté de droit de Nantes). Mais cette politisation restait jusqu’alors une anomalie contournable. Elle devient préoccupante quand elle ne rencontre plus d’obstacles. C’est ce qui s’est produit, vendredi soir, avec la capitulation de la direction de l’école parisienne, félicitée pour son attitude par Sylvie Retailleau, ministre de l’enseignement supérieur. Les deux autorités ont renoncé à sanctionner les bloqueurs du Comité Palestine, keffiehs et drapeaux palestiniens en emblèmes, et ont promis de réexaminer les « partenariats de l’école avec les universités et les organisations soutenant l’État d’Israël ». 

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  • Un Califat islamique en Allemagne ?

    Une manifestation de musulmans de Hambourg, samedi dernier, est passée relativement inaperçue en France, mais elle n’en finit plus de secouer l’Allemagne, qui sort ainsi d’une espèce de torpeur pétrie d’idéologie humaniste molle. Des dizaines de musulmans radicaux ont défilé dans une rue de Hambourg, la célèbre ville-port, en réclamant rien moins que l’instauration d’un Califat, c’est à dire, le passage de la république allemande à une république islamique, avec évidemment, l’instauration de la charia, la loi coranique. Pour son premier jour de campagne électorale, Scholz a donc été gâté, il en est tombé des nues et a « condamné » l’événement, se figurant sans doute que sa condamnation verbale allait impressionner les intéressés. Sa Ministre de l’Intérieur, Nancy Faeser, a trouvé l’événement « incroyable », elle aussi tourneboulée et à vrai dire, en état de KO debout. Sinon, l’ensemble des Allemands trouve cela « scandaleux ».

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