
La police confirme qu’il existe des preuves montrant que le suspect a crié « Allah Akbar » après le crime. (…)
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La police confirme qu’il existe des preuves montrant que le suspect a crié « Allah Akbar » après le crime. (…)
De nombreux Français d’origine maghrébine sont sous la pression de musulmans intégristes, qui considèrent que célébrer les fêtes «occidentales» relève notamment du «shirk», un péché mortel en islam.
Les lieux de culte chrétiens sont de plus en plus pris pour cible en France. Selon un bilan du renseignement territorial, cité par Europe 1, le nombre d’incendies criminels et de tentatives de mises à feu visant les églises a augmenté de plus de 30 % en 2024 par rapport à l’année précédente. Un phénomène préoccupant qui s’inscrit dans un contexte global de dégradations et de profanations visant le patrimoine religieux français.
La phrase, apparue en fin d’après-midi du samedi 25 janvier sur franceinfo, a soulevé une vague d’indignation sur les réseaux sociaux. « 200 otages palestiniens retrouvent la liberté », pouvait-on lire en grandes lettres blanches, en titre d’un sujet sur la libération de prisonniers palestiniens détenus en Israël, dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu entre l’État hébreu et le Hamas.
26/01/2025
Selon la maire d’Apt, Véronique Arnaud-Deloy, il s’agit de l’homme qui avait déposé un faux gilet d’explosifs en pâte à modeler à proximité du collège d’Apt en 2016. (…)
MàJ : Selon nos informations, la victime a été touchée au niveau de l’œil et de l’oreille mais ses jours ne sont pas en danger. Dans l’action, le couteau que portait l’agresseur se serait brisé, évitant de causer des blessures beaucoup plus graves. Le vigile souffre quant à lui de contusions, il a été également pris en charge par les services de secours.
Quatre femmes soldats, contre deux cents terroristes prisonniers, ça donne une idée de la valeur de la vie dans l’un et l’autre des camps en présence. Une pays et une armée qui protègent la population, contre une organisation terroriste qui s’abrite derrière la sienne, qui planque des armes et ses soldats dans les écoles et les hôpitaux pour pouvoir hurler au crime de guerre en cas d’attaque. Une population qui célèbre le retour de ses enfants, les espère en bonne santé, contre une population qui célèbre ses martyrs. Des mères qui pleurent en retrouvant leurs enfants contre des mères qui se proposent de refaire et refaire encore, des combattants, jusqu’à la victoire finale. Quatre soldates et des féministes occidentales, toujours promptes à se lever pour leurs consœurs malmenées à l’étranger, mais qui là, n’ont rien dit du tout, hiérarchisation des causes oblige…