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islamisme - Page 167

  • « Manifestation contre l’islamophobie » : de l’anticléricalisme à l’islamo-gauchisme, par Jean-David Cattin (Les Identitaires)

    La gauche et l’extrême gauche sont en pleine mutation. Ce changement que nous avions déjà analysé à plusieurs reprises (1) se confirme et s’accélère. La participation de Jean-Luc Mélenchon et de la CGT à la « manifestation contre l’islamophobie » du dimanche 10 novembre est en cela très significative. Houria Bouteldja, chef de file du courant indigéniste ne s’y est d’ailleurs pas trompée. Elle proclame que leur participation est une « éclatante victoire » de son courant de pensée. On ne saurait lui donner tort.

    Des menaces à peines voilées

    Dans le cortège, ce sont particulièrement les tenants de la gauche laïciste et féministe qui ont été conspués et livrés à la vindicte populaire. Zineb el Rhazoui et Laurent Bouvet en ont été les principales victimes. (2) En dehors du fait que désigner ainsi des cibles est pour le moins irresponsable en cette période de terrorisme islamique, cela témoigne d’une stratégie d’intimidation : faire taire tous ceux à gauche qui s’opposent à l’islamisation grandissante de la France.

    L’extrême gauche en quête de nouveaux « damnés de la terre »

    Plus question d’« opium du peuple » ou de « ni Dieu, ni maître », la démographie musulmane grandissante en France est devenue un potentiel électorat trop alléchant pour une gauche en perte de vitesse. L’électorat populaire apportant un soutien indéfectible au RN, il faut pour la France insoumise et les autres reliquats d’extrême gauche trouver des « damnés de la terre » de substitution.

    Un basculement historique

    Trente ans après la chute du mur de Berlin, l’intransigeance idéologique qui caractérisait marxistes et anarchistes jusque-là cède le pas aux permanences identitaires. En cela, Samuel Huntington avait vu juste, les confrontations idéologiques ont tendance à devenir minoritaires et les lignes de fracture – à l’intérieur des États comme dans le cadre des relations internationales – se dessinent dorénavant de plus en plus souvent autour des appartenances civilisationnelles.

    (1) France Insoumise : dehors les « mâles blancs » ! & En choisissant Hamon, la gauche cède face au communautarisme islamique
    (2) https://twitter.com/i/status/1193522274168692738

    Jean-David Cattin

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    https://fr.novopress.info/

  • Reportage à la “marche contre l’islamophobie” – La marche de la honte

    9489-20191114.jpgSimple manifestation antiraciste ou provocation islamiste ? La mise en scène est soignée : ambiance calme, des drapeaux français, La Marseillaise chantée, appels à la tolérance, à la laïcité, « on t’aime, tu dois nous protéger ». Tout l’art de la taqiya, car cette image lissée ne doit pas cacher la réalité.

    Une Femen torse nu, proclamant que « le blasphème est un droit républicain », est vite écartée par le service d’ordre. La marche débute. Les manifestants proclament leur « solidarité avec les femmes voilées », nombreuses dans le cortège, et chantent sur un air bien connu des Gilets jaunes : « On est là, on est là, pour l’honneur des musulmans, le respect de leurs mamans, même si Blanquer ne veut pas, nous, on est là. » La carte d’identité française ou la carte électorale sont brandies par plusieurs femmes, comme si cela suffisait à prouver l’appartenance à la communauté française.

    Puis « Allah akbar » est scandé par les manifestants à la demande de Marwan Muhammad, ancien dirigeant du CCIF, pour montrer qu’ils sont « fiers d’être musulmans et citoyens français ». En quoi ce cri poussé par des terroristes est-il un cri de fierté ? Ces mots ont précédé la mort de milliers d’innocents, tant en France qu’à l’étranger. C’est une honte d’oser les prononcer en plein Paris à quelques jours de la commémoration de la tuerie du Bataclan. Aucun respect pour les victimes ni leurs familles.

    C’est aussi parce qu’ils sont fiers d’être Français que la plupart des drapeaux sont d’origine étrangère (algérien, tunisien, palestinien) ? La présence d’autocollants représentant une étoile jaune à cinq branches accompagnée du mot « muslim » va faire couler beaucoup d’encre. Ceux qui l’arborent n’hésitent pas à comparer la situation des musulmans aujourd’hui avec celle des juifs dans les années 1930… Toujours prêts à se victimiser. Et pour bien montrer qu’il s’agit d’une religion de paix et d’amour, des appels à la haine sont lancés contre Zemmour, Zineb El Rhazoui, Laurent Bouvet et même Manuel Valls.

    Des politiques s’affichent, à la chasse aux voix. Il est loin le temps où Jean-Luc Mélenchon expliquait à propos des musulmans : « Ils se stigmatisent eux-mêmes, car qu’est-ce que porter le voile, si ce n’est s’infliger un stigmate, et se plaignent ensuite de la stigmatisation dont ils se sentent victimes. » C’était en 2010.

    Un intervenant réclame « l’application égalitaire de la loi de 1905 ». Un autre menace : « Ceux qui étaient absents aujourd’hui sont largement repérés et on leur fera largement payer. » Plusieurs parlent d’une manif historique. Oui, historique dans leur logique de conquête.

    Mais cette « marche contre l’islamophobie » a très vite été qualifiée de « marche de la honte » sur les réseaux sociaux. De Gaulle disait déjà que si une communauté « se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous pour imposer ses mœurs. » Il est plus que temps que les Français ouvrent les yeux : l’islamisme conquérant ne se cache plus.

    Pour le stopper, rendez-vous le dimanche 17 novembre pour la manifestation « Face aux islamistes, défendons la France ! »

    Jean Kroub

    Article paru dans Présent daté du 12 novembre 2019

    https://fr.novopress.info/215988/reportage-a-la-marche-contre-lislamophobie-la-marche-de-la-honte/

  • Terrorisme : une menace toujours réelle – Journal du mercredi 13 novembre 2019

     

    Terrorisme : une menace toujours réelle

    4 ans après les attentats de Paris, la France n’en a pas fini avec la menace terroriste. Malgré une série d’annonces et la mise en place de plusieurs dispositifs, l’exécutif n’arrive pas à mettre fin à la terreur islamiste.

    L’extrême-gauche étudiante met le cap sur le 5 décembre

    Vendredi dernier, un étudiant de 22 ans, militant du syndicat Solidaires, s’est immolé par le feu devant un restaurant universitaire du Crous à Lyon pour alerter sur sa situation précaire. Un drame qui met les syndicats étudiants en ébullition à quelques semaines de la mobilisation sociale du 5 décembre prochain.

    Élections espagnoles : une précaire coalition de gauche

    7 mois après un précédent scrutin, les élections générales espagnoles ont finalement consacré l’avènement d’une coalition de gauche… Coalition composée de l’extrême gauche et des socialistes mais aussi de nombreux autres petits alliés…

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/terrorisme-une-menace-toujours-reelle-journal-du-mercredi-13-novembre-2019

  • Rapatriement des djihadistes : comment la France, l’Allemagne et les États-Unis s’organisent-ils ?

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    La Turquie a annoncé le 11 novembre que les démarches d’expulsions concernant 11 combattants étrangers d’origine française «étaient en cours».

    Quelles politiques, l’Allemagne, la France et les Etats-Unis appliquent-ils pour le rapatriement d’anciens combattants de Daech ? Les détails en images.

    https://fr.novopress.info/215984/rapatriement-des-djihadistes-comment-la-france-lallemagne-et-les-etats-unis-sorganisent-ils/

  • Colloque à Paris le 30 novembre "La France et l'islam: état des lieux"

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    Un Colloque organisé par le Centre Charlier, l'AGRIF, Chrétienté-Solidarité.

  • Manifestation de la honte : la haine bon enfant, par Ivan Rioufol

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    “Raciste !”, “fasciste !”, j’en passe : je n’ai pu suivre jusqu’à son terme la “manifestation bon enfant” (FranceInfo) contre l’islamophobie, organisée dimanche à Paris (13.500 participants). Pour la première fois dans ma longue pratique des manifestations, je me suis nettement senti en insécurité dans un rassemblement qui n’avait rien de pacifique. J’ai dû écourter ma présence après avoir été notamment pris à partie par des femmes voilées puis par un groupuscule gauchiste bas du front. J’ai pu néanmoins, pendant plus d’une heure, prendre la mesure de la manif de la honte. Le défilé, lancé par des organisations islamistes, a été appuyé par la présence de la gauche perdue, prête à se renier pour quelques voix. Dans un tweet, Jean-Luc Mélenchon a écrit : “Magnifique journée d’unité républicaine conclue par une magnifique Marseillaise. Les diviseurs et les haineux de La République en Marche et du FN sont en échec. La France est notre bien commun.” Quelques instants plus tôt, Marwan Muhammad, du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), proche des Frères musulmans, avait fait crier à la foule, à plusieurs reprises : “Allah Akbar !“, en expliquant que “cette expression religieuse n’est pas une déclaration de guerre“.

    C’est par ces mots que les terroristes du 13 novembre 2015 avaient ouvert le feu à Paris, dans un carnage qui allait faire 130 morts au total. C’est sous ces mêmes hurlements que les frères Kouachi avaient auparavant décimé, le 7 janvier 2015, la rédaction de Charlie Hebdo. Le journaliste Edwy Plenel n’a, pour sa part, entendu hier que “des mots d’ordre républicains”. Ces collabos sont prêts à tous les aveuglements et tous les abandons pour satisfaire leurs alliés, qui osent comparer leur sort à celui des Juifs dans les années 30.

    Tout est obscène dans ce mariage entre la gauche prétendument laïque et des mouvements sectaires ne cachant rien de leur dimension religieuse. La photo d’une petite fille portant l’étoile jaune, posant à côté de la sénatrice (EELV) Esther Benbassa, résume l’indécente propagande victimaire des islamistes. “Le fascisme est de retour : hier c’était les juifs, aujourd’hui les musulmans“, disait pareillement une pancarte. En réalité, les juifs sont les premières victimes de l’idéologie coranique à laquelle se sont soumis les traîtres de la gauche “antiraciste”. Les voilà invités à avaliser la désinformation qui affirmait hier, sur une grande banderole : “L’islamophobie tue“.

    Or, dimanche, Le Parisien a opportunément fait paraître une étude de la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) qui montre que le terrorisme islamiste a, de 1979 à 2019, commis 33 769 attentats dans le monde, qui ont causé 167.096 morts, dont 91,2% de musulmans ! Jamais les organisations islamistes françaises n’ont éprouvé le besoin de descendre dans les rues pour dénoncer les crimes de Mohamed Mehra en 2012 ni ceux, dernièrement de Mickaël Harpon (octobre 2019). Mais il a suffi du geste scandaleux d’un vieux cinglé, qui a blessé deux fidèles devant la mosquée de Bayonne, et d’une réflexion faite à une femme à hidjab, pour révéler l’état d’esprit d’une contre-société prête à en découdre, avec l’appui de ses valets. Hier, les listes des “racailles xénophobes” étaient ouvertes sur une pancarte. Parmi les premiers noms alignés, dans ce rassemblement de la haine : Eric Zemmour, Elisabeth Lévy, Zineb El Rhazoui, mais aussi Marine Le Pen Nadine Morano, Robert Ménard, Eric Ciotti, Christian Jacob… “Manifestation bon enfant”, vous dit-on…

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 11 novembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/215978/manifestation-de-la-honte-la-haine-bon-enfant-par-ivan-rioufol/

  • Erik Tegnér : « Marche contre l’islamophobie : derrière cette manifestation clairement islamiste, les prémices d’un mouvement politique extrêmement organisé ! »

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    Erik Tegnér était présent à la Marche contre l’islamophobie, dimanche. Il livre son témoignage à Boulevard Voltaire et revient sur les polémiques liées au port de l’étoile jaune par une petite fille et les slogans « allah akbar ! » qui y ont été clamés.

  • De la douteuse discrimination raciale positive à l’improbable discrimination sexuelle positive…

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     « Tous ces gens se prennent les pieds
    dans le tapis de leurs multiples contradictions
    d’habituels donneurs de leçons 
    »

    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés. (Propos recueillis par Guirec Sèvres)

    Marlène Schiappa a déclaré qu’elle approuvait le projet de loi gouvernemental d’expulser les étrangers condamnés pour violences sexuelles… Venant d’elle, ça ne vous a pas étonné ?

    Ce qui m’a surpris surtout, c’est que personne dans les mondes politique et médiatique n’ait fait remarquer que c’est « entre autres » une mesure réclamée depuis des décennies par cette droite dite extrême, tant décriée par eux-mêmes en général et par la secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, en particulier… et si, comme cette dernière le déclare si justement, on ne « voit pas qui pourra honnêtement nous dire qu’un citoyen étranger qui a violé une femme peut rester sur le territoire sans que cela pose problème », pourquoi un citoyen étranger qui a agressé, tué, trafiqué – et s’il a violé un enfant ou un homme, sera-t-il tout aussi « expulsable » ? – sur le territoire national pourrait, lui, rester et bénéficier de tous les avantages sociaux et législatifs des citoyens français ? Il y avait la discrimination raciale positive, voici donc la discrimination sexuelle positive… Rien n’arrête l’inventivité de nos politiciens ; c’est souvent à ça qu’on les reconnaît, d’ailleurs !

    Comment expliquez-vous un tel silence des médias et du monde politique ? Ils sont gênés ?

    Même pas ! Ce qu’ils disent, comme ce qu’ils font, est rarement réfléchi. Médias et politiciens sont dans l’instant, dans l’incontournable Let's Tweet Again de notre époque… et forcément, du coup,  ils se prennent désormais les pieds dans le tapis de leurs multiples contradictions d’habituels donneurs de leçons… Ayant sans cesse mis « l’immigré » sur un piédestal d’éternelle et forcément victime –  quoiqu’il dise, quoiqu’il fasse – et lui ayant ainsi conféré une impunité aveugle au détriment du citoyen français, ils se retrouvent désormais face à des réalités qu’ils ont toujours niées, écartelés entre le terrorisme de l’islam radical et l’échec de l’assimilation-intégration telle qu’on nous la vantait dans les années 80 du siècle dernier… Rappelez-vous que les mêmes, ou leurs prédécesseurs, assuraient alors que les immigrés allaient d’abord s’intégrer, puis forcément s’assimiler et que penser ou dire le contraire était du racisme… Aujourd’hui, on ne parle plus d’intégration ou d’assimilation, mais de « vivre ensemble » et bientôt, sans doute, tentera-t-on de nous convaincre qu’il nous faut « vivre comme eux » pour ne pas être suspecté, encore et toujours, de racisme.

    Marlène Schiappa, par sa déclaration soutenant la mesure gouvernementale d’expulsion des étrangers délinquants sexuels, met néanmoins les pieds dans le plat, vous ne pouvez dire le contraire…

    Parce que l’époque – ou plutôt serait-il plus juste de dire « l’année » – est à la dénonciation des violences faites aux femmes et que la Mission de recherche droit et justice qui a réalisé une étude sur les ordonnances de protection « permettant d’établir l’âge moyen, l’état civil et la situation de précarité des femmes violentées » a dévoilé, comme l’a rapporté Le Figaro (le 6 novembre 2019), le profil des victimes de violences conjugales : en situation précaire et souvent d’origine étrangère… Comme la femme violentée est actuellement « à la mode » du politiquement correct – soit jusqu’à ce que le sujet finisse par lasser l’opinion publique et qu’un autre ne le remplace pour soutenir l’audimat des médias et détourner l’attention des réalités de la situation économique du pays – cette annonce d’expulsion des étrangers délinquants sexuels – qui ne peut faire qu’un très large consensus, répétons-le – ne mange pas de pain. Reste à voir si la loi sera appliquée… Qu’adviendra-t-il d’un délinquant sexuel qui arguera que son pays d’origine est en guerre – réelle ou supposée – ou qu’il y encourt à titre personnel un danger pour sa vie en raison de ses mœurs, de ses engagements ou d’on ne sait quoi encore ? Pour ceux qui seraient curieux de connaître les « bonnes astuces » des demandeurs d’asile, les véritables « kits » mis à la disposition des « demandes d’Asile pour les nuls », je ne peux que leur conseiller mon livre Le roman noir des demandeurs d’asile (1).

    La déclaration de Marlène Schiappa ne serait en fait qu’un effet d’annonce ?

    C’est une annonce, attendons les effets…

    (1) Le roman noir des demandeurs d’asile, éditions L’Æncre, préface de Jean-Yves Le Gallou, disponible sur Francephi.com cliquez ici 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/11/12/de-la-douteuse-discrimination-raciale-positive-a-l-improbabl-6189858.html

  • Marche contre l’ “islamophobie” : le choc – Journal du mardi 12 novembre 2019

     

    Marche contre l’“islamophobie” : le choc

    Dimanche, des rassemblements étaient organisés dans plusieurs grandes villes de France pour lutter contre ce que certains appellent l’islamophobie. De nombreuses personnalités de gauche étaient au rendez-vous malgré le maillage d’associations communautaristes flirtant avec l’islam radical.

    Salon du Made In France : un engagement patriotique

    Bilan positif pour la 8éme édition du salon du Made In France. L’affluence en augmentation sur le salon de la Porte de Versailles à Paris témoigne d’un engouement toujours plus grand pour le Made In France de la part des consommateurs, des entreprises et des entrepreneurs. Une démarche qui dépasse largement le simple fait commercial pour s’inscrire dans l’action politique.

    Roman Polanski : 50 ans de malaise

    Alors que le dernier film de Roman Polanski sort cette semaine au cinéma, la photographe et mannequin française, Valentine Monnier, l’accuse de viol. Une affaire qui fait ressurgir au grand jour les nombreuses controverses du cinéaste.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/marche-contre-l-islamophobie-le-choc-journal-du-mardi-12-novembre-2019

  • « Face aux islamistes, défendons la France ! »

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    « Face aux islamistes, défendons la France ». Tel sera le thème de la manifestation organisée dimanche 17 novembre à Paris, à l’appel du Collectif Stop Islamisme, porté par les Identitaires, et Academia Christiana. Au nom de Polémia, Jean-Yves Le Gallou y prendra la parole sur un sujet majeur à propos duquel il alerte depuis longtemps.
    Intitulé «Le choc de l’islam », le texte qui suit a trente-cinq ans, c’est le chapitre trois du livre La préférence nationale : réponse à l’immigration.
    Trois points majeurs s’y trouvaient soulignés :

    • Plus qu’une religion l’islam c’est un ensemble de lois, de coutumes, de mœurs. Bref le voile islamique est davantage un marqueur civilisationnel qu’une exigence religieuse.

    • L’islam c’est une communauté par-delà les frontières toujours traversée par l’esprit du djihad

    • L’islam par son potentiel de violence et d’esprit de conquête peut servir à fédérer contre les Européens l’hostilité de différentes minorités ethniques.

    C’était écrit en 1984. Nous y sommes hélas. Grace à l’aveuglement des médias et des juges et à la lâcheté des intellectuels et des hommes politiques. Résistons !
    Polémia

    Le choc de l’islam

    La seconde religion en France

    Nul ne peut aujourd’hui ignorer cette réalité inimaginable voici seulement vingt ans : l’Islam est la seconde communauté religieuse en France. Il y a 400 mosquées à Paris. 1 000 dans toute la France.

    Les combats d’opinion autour de la construction d’édifices religieux démontrent avec clarté les besoins croissants de la communauté musulmane. Pourtant l’absence d’églises et surtout de clergé, tragique pour un catholique, placé alors devant un vide sacramentel, n’est pas aussi redoutable pour un musulman : elle n’empêche pas la perpétuation de l’extension de la communauté islamique. L’Ummah, ou communauté des croyants, est une des réalités capitales de l’Islam. Y entrer n’exige que de faire la profession de foi, l’un des piliers de l’Islam, qui tient en deux formules solidaires : ” Il n’y a pas de divinité en dehors de la divinité ” et ” Mahomet est l’envoyé de Dieu “. Énonciations d’une clarté et d’une simplicité frappantes. L’Islam attache à l’unité une importance qui ne s’arrête pas à la proclamation de l’unité de Dieu mais trouve son effet dans toutes les manifestations de ce monde. Ainsi, tout chef de famille, puisqu’il est musulman, est l’imam, le prête dans sa maison, et sa famille apparaît comme un raccourci de l’Ummah tout entière. L’homme, vicaire – khalifat – et image de Dieu, la famille unie autour du patriarche, la société soumise à l’autorité d’un chef politique et religieux, ne sont que des projections d’une même réalité. Toutes sont constituées à partir du dogme intransgressable de l’Unité. Dieu ne vient pas sous forme humaine racheter le monde de ses péchés ; il l’aborde dans l’Islam qui se reflète dans le monde et participe de la nature divine. L’Islam est un bloc spirituel, religieux, juridique et social dont rien n’est exclu.

    L’Islam au‑delà des nations et des Etats

    Le musulman, du seul fait qu’il appartient à l’Ummah, ne peut en être détaché. Peu importe le lien où il vit. L’Islam est partout où il est et où il mène la vie d’un croyant. Au-delà du fait national, l’Islam peut unir sans distinction d’origine les croyants réunis sur un sol, et ce d’autant mieux que la religion musulmane implique un mode de vie qui peut être vécu partout sans structure d’accueil particulières. Au-delà du fait étatique, l’Islam peut imposer son appréhension du monde : les chefs d’Etat du monde musulman qui ont tenté de moderniser à l’occidentale leur pays, sans respect suffisant de la tradition islamique, ont été contestés, sinon renversés : l’Iran, la Tunisie, l’Egypte, le Soudan en ont fait l’expérience. Dans certains pays d’Afrique noire comme le Sénégal et le Nigéria, la communauté musulmane qui forme un véritable Etat dans l’Etat réclame une islamisation des institutions de la société, mettant ainsi en péril les libertés des autres communautés religieuses, chrétiennes notamment. Dans l’Islam, en effet, tout pouvoir vient de Dieu. Dès lors, se dessine une alternative : ou bien le pouvoir politique est un pouvoir légitime, c’est-à-dire régulier d’un point de vue traditionnel ; ou bien, et nous serons en France dans ce cas si nous n’y sommes déjà, il se présente sous la forme d’une puissance illégitime, mais irrésistible et contraignante, devant laquelle la communauté se met en sommeil, se soumet, sans reconnaître pour autant sa légitimité jusqu’à ce qu’un changement du rapport des forces manifeste la volonté divine de rendre le pouvoir à ses légitimes détenteurs. En tout cas, un musulman ne peut que mépriser un gouvernement qui ne dispose ni de la légitimité, ni de la force. “En dehors de la révélation du Prophète, déclare un immigré musulman il n’y a que mensonges et illusions. Et si je travaille en France, je considère que c’est une traversée du désert dont je n’ai rien à apprendre, ni à attendre…et je le répète, hors de l’Islam, il n’y a rien… Vous, vous avez pu tricher sur la Bible, nous, nous ne tricherons pas sur le Coran.” Cohérent avec lui-même et sa foi, un musulman ne respectera donc au mieux, dans un Etat laïc et étranger, que la force. Il bâtira par ailleurs sa vie, à partir de très précises indications que lui fournissent le Coran et la Sunna, c’est-à-dire la tradition issue des enseignements du Prophète.

    Islam et Occident : deux mondes incompatibles ?

    Un musulman peut s’il le désire, trouver dans sa religion un guide dans presque toutes les circonstances. La Sunna concerne tout, vie morale, sociale, spiritualité, soins d’hygiène. On peut s’arrêter sur les prescriptions qui organisent la vie familiale, dans la mesure où, comme on le sait, les conceptions de l’Islam sont, en la matière, assez étrangères aux nôtres. Elles assujettissent la femme aux privilèges masculins. Les contestations récentes qui on t opposé des Européennes divorcées de musulmans se plaignant de s’être vu enlever leurs enfants illustrent bien l’incompatibilité dramatique de deux conceptions différentes. L’attitude des pères s’explique dans une société où la lignée l’emporte sur l’individu, et les droits de l’homme sur ceux de la femme. La tolérance, ici, consiste à ne pas être critique mais à admettre la réalité des différences : “Les hommes, dit la sourate IV du Coran, ont autorité sur les femmes… Celles dont vous craignez l’indocilité, admonestez-les ! Si elles vous obéissent, ne cherchez plus à les contraindre, Allah est auguste et grand.” Ces simples exemples illustrent les abîmes qui séparent les conceptions et le mode de vie musulmans des nôtres. La bonne volonté ne saurait suffire. On peut bâtir des logements aux immigrés pour rétablir leur environnement, mais une cour intérieure, qui dans le Maghreb est un lieu de vie, ne sera, aux alentours de Clermont-Ferrand, qu’un réceptacle pour les averses six mois l’an. “Pour un Occidental, écrit Gilles Kepel, dans le magazine l’Histoire, imprégné de laïcité ou de notions chrétiennes (rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu), les manifestations contemporaines de l’Islam posent un problème : une religion, une foi font irruption dans le domaine politique et prétendent déposséder les hommes de la gestion de leur société pour la remettre entre les mains de Dieu. D’autant que la volonté de Dieu est exprimée par le Coran, révélée au prophète Mahomet par l’archange Gabriel. Si pour les musulmans, le livre est indépassable et fournit un “système total et complet” ; pour les non-musulmans, il ne constitue qu’une prophétie codifiée dans l’Arabie tribale et chamelière du VIIe siècle, c’est-à-dire un texte bien incapable de dire le droit à l’âge des ordinateurs, des missiles et des navettes spatiales.” La confrontation culturelle évoquée par l’auteur, en admettant qu’elle se fasse dans les meilleures conditions possibles – ce qui est d’ores et déjà exclu -, ne pourra qu’engendrer incompréhension et méfiance dans les gestes du quotidien, là où l’on juge aux actes et non aux intentions. La relation multicommunautaire, on l’oublie trop souvent, n’est pas l’affaire d’intellectuels : elle se vit, et l’actualité nous apprend qu’elle ne se vit pas toujours dans la paix.

    Reniement ou société à la carte ?

    Parce que l’Islam ne se cantonne pas dans le domaine religieux mais tisse des liens très étroits entre le spirituel et le temporel, l’immigration qui en provient pose des problèmes radicalement nouveaux aux pays d’accueil. Comme le reconnaissait Pierre Emmanuel dans La France Catholique du 16 septembre 1983 : “Aux yeux d’un gouvernement français laïque, en 1983…, l’intégration des musulmans passe par leur renoncement à la loi coranique”, loi qui aujourd’hui, observera l’auteur, ne saurait s’appliquer dans le cadre de la société française. L’assimilation de musulmans ne saurait être que particulièrement difficile à conduire et à justifier. L’immigré musulman, au contraire, va connaître une désidentification totale. Il deviendra, qu’il appartienne à la première ou à la seconde génération, un complet étranger pour les siens. Admettons la possibilité de la métamorphose, mais qu’en est-il de sa légitimité, sauf dans le cas de choix individuels nettement exprimés ? Le reste aura lieu sous la pression de besoins immédiats et passagers. Les prétendus avocats des immigrés peuvent-ils considérer ce reniement même inconscient, comme une victoire ? Ce reniement est-il même envisageable ? Un des quarante hadiths fondamentaux prévoit qu’”il n’est permis de verser légalement le sang que dans trois cas : celui de l’home marié qui comment l’adultère, celui de l’assassin qui légalement mérite la mort, celui de l’homme qui renie sa religion et se sépare de sa communauté”. Car l’allégeance à l’Islam ne saurait être interrompue par une conversion : elle est perpétuelle, sauf à s’exposer à la mort. A contrario, la reconnaissance de l’Islam en France, comme composante du paysage social français, exigerait qu’il soit tenu compte de sa nature et de ses lois particulières. Les premiers Mérovingiens confrontés à une situation de ce genre avaient adopté dans leurs Etats le principe du droit personnel. Il y aurait donc, en France, un droit personnel, lequel serait l’indispensable corollaire de la reconnaissance de l’identité musulmane. Ce droit applicable aux seuls musulmans (quid des conflits entre musulmans et non-musulmans ?) aurait la particularité d’être en parfaite contradiction avec le droit français issu du droit romain. Mais, imagine-t-on de nos jours une société à la carte où ce qui est crime pour le voisin est acte de piété pour soi ? A supposer qu’il soit possible de mettre en place cette société multiculturelle, peut-on croire que la situation serait stable ? C’est douteux.

    Intégrisme et djihad

    “L’Islam dans les conditions normales, écrit Frithjof Schuon, frappe par le caractère inébranlable de sa conviction et la combativité de sa foi ; ces deux aspects complémentaires (sont) représentés l’un par la Kaaba, qui est le centre, et l’autre par l’épée de la guerre sainte, qui marque la périphérie ” Le centre, dans la vie du monde, et sur un certain plan, correspond à l’ummah ; nous relèverions plutôt de la périphérie. On ne peut ignorer le danger que porte avec elle, aujourd’hui, et presque à son corps défendant, toute communauté islamique : l’explosion, la renaissance intégriste de l’Islam, le fondamentalisme. Dans les pays musulmans, il est facteur de trouble ; en France et en Europe, il évoque l’ombre de la djihad, fût-ce sous la forme épisodique du terrorisme. L’affrontement entre partisans intégristes et politiques modérés, épris de modernisme a donné lieu à des batailles sanglantes et acharnées : en Iran, bien sûr, mais aussi en Arabie Saoudite (assaut de la grande mosquée de La Mecque le 20 novembre 1979), sans oublier les attentats au Liban, l’assassinat de Sadate en 1981, et l’insurrection de Hama, en Syrie, en février 1982, qui se solda par des milliers de morts. Or l’intégrisme rencontre en Europe tous les encouragements propres à favoriser son extension : une masse de coreligionnaires déstabilisée, un pouvoir faible, et un peuple d’infidèles. Déjà on peut voir dans nos villes se promener des “sœurs musulmanes” voilées de noir. Jusqu’à quel point est-il judicieux, dans ces conditions, d’importer et de laisser se développer chez nous une querelle qui ravage le monde arabe ? Pourtant ce n’est pas le principal danger de l’intégrisme en milieu européen. Les divisions de l’Islam ne nous concernent après tout que par leurs retombées. Il est, par contre, permis, devant les vagues terroristes déclenchées par ces mouvements, de s’interroger sur la manière dont la communauté musulmane s’acquittera de l’obligation qu’a tout bon croyant de faire sa djihad. L’idéal, comme la doctrine la djihad, a sa grandeur, mais aussi, nonobstant les propos apaisants de certains, ses dangers. Le djihad n’est ni la marque de reconnaissance exclusive de l’Islam caractérisé alors par sa seule intolérance, ni une simple voie pacifique et intérieure qui n’agite que l’âme des paisibles soufis. Elle est bien un pilier de l’Islam, un des fondements doctrinaux de son rapport au monde. Le même terme, djihad, désigne à la fois “guerre sainte et voie de Dieu” – les deux étant, en l’espèce, synonymes. La guerre, en effet, peut être intérieure : c’est la Grande Guerre sainte que mènent ascètes et autres contemplatifs, combat qui, par les exceptionnelles qualités humaines qu’il exige, limite ipso facto l’usage extensif du mot dans cette acception. Aussi la djihad est-elle surtout comprise par le musulman comme participation à la guerre pour la conversion des infidèles, la défense et l’expansion de l’Islam. Ils ne manquent pas d’encouragements à remplir leurs obligations. Un célèbre hadith ne déclare-t-il pas : “Le sang des héros est plus près du Seigneur que l’encre des sages et les prières des dévots.” Par l’action, le musulman assume un dépassement intérieur comparable aux peines de l’ascèse, et se délivre de l’incertitude, de l’obscurité, de la peur de la mort. Sans même remonter jusqu’à la conquête arabe, force est de constater que le sort des populations chrétiennes en milieu musulman n’est pas enviable : les Turcs ont massacré les Arméniens à deux reprises (1894–1896 et 1915–1918) et la minorité copte d’Egypte est en butte à une persécution continue : son patriarche est aujourd’hui en exil sur ordre du président Sadate. Jean–Pierre Péroncel–Hugoz cite cet extrait d’une lettre d’étudiants coptes : “Nous ne voulons pas être tolérés sur une terre où nous étions chez nous, où nous étions chrétiens, plusieurs siècles avant l’invasion musulmane, nous voulons y avoir l’égalité des droits avec nos compatriotes musulmans.” Aujourd’hui, on peut se demander, en toute sérénité, quel devoir dicterait, à une communauté musulmane importante et solidement implantée en France, la conscience du pouvoir dissolvant sur les masses de toutes origines de la civilisation occidentale. Pour eux, la guerre est commencée et l’Occident a porté le premier coup en dissolvant les mœurs et le mode de vie, ce qui met en danger l’identité musulmane. Comment réagiront-ils devant une communauté où se résument tous les caractères sataniques : incrédulité, matérialisme, licence ? D’abord, sans doute en exigeant de restaurer le respect de leur mode de vie que tout, du Ciel à la Terre, leur confirme comme étant le bon face à la dégénérescence occidentale. Famille, habitudes vestimentaires, restauration de l’enseignement coranique, tout peut être envisagé. Nous ne disons pas que ces exigences seront le fait d’une majorité, ni qu’elles seront satisfaites, mais, si elles ne le sont pas, le terrorisme d’Allah s’instaurera, et si la minorité a ses martyrs, la majorité ne la désavouera pas. L’intégrisme a pour lui la simplicité sans frontières du message coranique. Sur des masses abandonnées à elles-mêmes, sans véritable patrie, et pour qui l’Islam pourra être cette patrie retrouvée, son influence ne peut que grandir.

    Lien vers La préférence nationale : réponse à l’immigration en intégralite https://www.polemia.com/pdf/prefnat.pdf

    https://www.polemia.com/face-islamistes-defendons-france/