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islamisme - Page 169

  • Islam : oui, Macron est bien « complice de la confusion collective »

    Islam : oui, Macron est bien « complice de la confusion collective »

    De Bernard Antony :

    Ce lundi matin, Emmanuel Macron rencontrait à l’Élysée les représentants du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), cet organisme jadis créé à l’initiative (malheureuse) de Nicolas Sarkozy.

    Feu le cardinal Lustiger exprima alors sur ce fait une juste réprobation, regrettant que ce dernier ait ainsi fait de l’islam en France une sorte de « religion d’État ».

    Ce n’est en effet que par la reconnaissance de l’État que l’islam en France existe en tant que religion !

    Or, combien de fois faudra-t-il répéter qu’ils se trompent lourdement, les laïques qui fondamentalement ne voient l’islam que comme un phénomène religieux somme toute très semblable au catholicisme en particulier et au christianisme en général,  dont les églises s’appelleraient mosquées, les curés imans, et dont la bible s’appellerait Coran ?

    Cela, alors que l’islam est avant tout une « orthopraxie », c’est-à-dire une pratique de vie conforme au modèle du prophète Mahomet, et non une « orthodoxie », c’est-à-dire d’abord une doctrine théologique juste.

    Emmanuel Macron affirme préférer parler de laïcité que d’islam pour n’être pas « complice d’une espèce de confusion collective ».

    En termes chrétiens, cela se traduirait par une affirmation de volonté de ne pas mélanger ce qui relève de l’État et ce qui relève de la religion (« Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ! »). Et donc, en termes laïques, de ne demander aux musulmans que de respecter les lois de la République.

    Mais c’est là qu’est l’erreur et même une macro-erreur !

    Car l’islam est une gouvernance sociale totalitaire, depuis le gouvernement de Médine par le prophète Mahomet, à la fois chef politique, chef de guerre, chef religieux, chef des mœurs.

    Sa constitution fondamentale, régissant tous les ordres, est la charia, c’est-à-dire la loi tirée, pour tous les aspects de la vie, du Coran et des Hadîths, les actes et les paroles du prophète.

    Emmanuel Macron hélas s’inscrit totalement dans la confusion collective en croyant que l’on peut établir dans l’islam la distinction entre le religieux et la politique, entre ce que l’on appelle en terme chrétien « le spirituel » et « le temporel ».

    Ce serait là vouloir un islam sans la charia !

    Mais sans la charia, l’islam ne serait plus l’islam ou deviendrait un autre islam. Et dans ce cas, il n’y aurait certes plus, et très heureusement, « d’islamisme » !

    Nous avons été heureux de lire sous la plume de Rémi Brague, grand historien et philosophe des religions, grand scientifique de l’islam, « qu’entre l’islamisme et l’islam, il y a différences de degrés, non pas de nature ».

    C’est ce que nous écrivions en 2006 dans notre livre « L’islam sans complaisance ». C’est ce que nous n’avons cessé de répéter au long des années. Quant au recteur de la mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, ancien président du CFCM, aujourd’hui comme si souvent, reçu à l’Élysée, qui prétend défendre un islam non politique, n’écrivait-il pas :

    « L’islam est à la fois une religion, une communauté, une loi et une civilisation. (…) Ne sont pas seulement musulmans ceux qui pratiquent les cinq piliers de l’islam, mais tous ceux qui appartiennent à cet ensemble identitaire ».

    Ainsi la France selon M. Dalil Boubakeur doit-elle accueillir et intégrer un ensemble qui est à la fois religion, communauté, loi et civilisation !

    Mais cet ensemble, selon lui, serait étranger à toute dimension politique !

    Bon courage à monsieur Macron qui veut d’un islam non communautariste !

    https://www.lesalonbeige.fr/islam-oui-macron-est-bien-complice-de-la-confusion-collective/

  • Laurent Obertone : « Les jeunes musulmans sont bien plus radicaux que ne l’étaient leurs aînés »

    http://www.fdesouche.com/1285499-laurent-obertone-les-jeunes-musulmans-sont-bien-plus-radicaux-que-ne-letaient-leurs-aines

  • Une guerre de conquête, à peine voilée…

    Tout pour « la voilée et son fils », Rien pour les victimes de ceux qui partagent la même idéologie qu’elle…
    Julien Odoul, président du groupe RN au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, avait demandé à ce qu’une femme parmi le public, dans cette enceinte retire son voile…
     Et c’est le scandale du siècle, lourdement médiatisé !
    Et pourtant cela aurait été si simple de le faire (ou à défaut de quitter la salle) ; sous la Présidence de l’Assemblée Nationale de Laurent Fabius un prêtre et une religieuse n’avaient-ils pas dû respectivement retirer leur croix et leur voile pour pouvoir s’asseoir dans l’hémicycle !
    Mais cette jeune femme n’a pas voulu obtempérer aux injonctions du Président du Groupe, d’où le tohu-bohu qui en a résulté avec indignations et pleurs d’enfant.
    Apparemment, comme l’a fait judicieusement remarquer l’écrivaine, journaliste franco-marocaine Zineb El Rhazaoui : « Cette femme (la maman voilée) préfère faire pleurer son enfant qu’enlever son voile, garder son voile est plus important pour elle que les larmes de son enfant ».
    Par ailleurs des photos grossies montrent le sourire béat de la donzelle au moment de l’esclandre, enfin passons…
    L’affaire aurait pu en rester là, mais que nenni : une première plainte contre le vilain monsieur a été déposée auprès du parquet de Dijon afin de réclamer des poursuites pour « des violences commises en réunion par personnes dépositaires de l’autorité publique sur mineur et majeur à caractère racial » ; rien que cela !
    Mais pour bien enfoncer le clou une deuxième plainte doit également être activée auprès de la justice pour « provocation publique à la haine raciale par des élus ».
    L’avocate de la plaignante ayant déclaré : « Ce n’est pas qu’une question de laïcité mais de racisme… (en effet) Ma cliente a été humiliée, son image a été diffusée partout, elle est très marquée et son fils voit un psychologue » ; et depuis cet esclandre, Fatima E., la victime a confié avoir « peur de tout, j’ai des frissons et je tremble. Sincèrement ils ont détruit ma vie ».
    Un certain nombre de remarques s’imposent à ce stade :
    Aurait-elle eu peur des foudres de son mari, pour insoumission, si elle avait retiré son voile ?
    Alors que de nombreuses femmes luttent, dans le monde musulman, pour s’émanciper de ce marqueur identitaire de déni d’égalité et de défi à la fraternité, en risquant leur vie…
    « Quand je vois un voile, s’écrie Zined El Razaoui, je ne peux pas m’empêcher de penser aux iraniennes qui s’immolent pour pouvoir enlever cette prison, aux afghanes qui se font tirer dessus si elles ne le portent pas, aux jeunes filles dans les banlieues françaises ».
    Les pleurnicheries d’un gamin à cause d’un voile non retiré par sa mère valent apparemment plus, médiatiquement parlant, qu’à titre d’exemple, la détresse des enfants du couple de policiers égorgés par des islamistes adorateurs du Coran et de la sunna, comme elle !
    Là encore Zined El Razaoui est extrêmement pertinente quand elle proclame : « Je pense aux orphelins des attentats de la préfecture de police de Paris dont personne ne parle, qu’on a complètement évincé du débat pour parler d’un gamin avec une histoire de voile et de victimisation ».
    Je veux rappeler à tous ceux qui se réfugient derrière l’expression miraculeuse du « Pas d’amalgame » qu’il est temps de prendre officiellement position pour dénoncer les atrocités commises au nom d’un islam, soit disant radical, et s’en dissocient définitivement.
    Si l’Islam, après ses crimes atroces et lâches sur des innocents depuis des années (remontons au 5 juillet 1962 à Oran) en vient à mettre le feu en Europe et que nous nous trouvions face à face comme l’a dit un précédent ministre de l’intérieur, ne croyons surtout pas qu’il y aura des modérés pour nous venir en aide.
    Alors, les musulmans de France montreront le vrai visage de l’Islam.
    Patrick VERRO – VPF Ile de France
    source

  • Sondage : les Français vent debout contre le voile (et la mollesse de Macron)

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    Nouveau sondage choc, après celui du bilan de mi-mandat d’ : pour Le Journal du dimanche, l’IFOP a interrogé les Français sur leur perception du voile islamique après la nouvelle « affaire du voile » du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté soulevée par Julien Odoul.

    Et les résultats sont édifiants : une très forte majorité de Français se dit opposée à la présence du voile dans l’espace public, et au-delà même de ce qu’interdit actuellement la loi.

    Pour Hervé Gattegno, cette enquête « révèle un net durcissement de l’opinion face à toutes les manifestations religieuses dans l’espace public et confirme une focalisation particulière envers la religion musulmane. À Emmanuel Macron, qui assurait jeudi que le port du voile hors des enceintes scolaires n’était « pas [son] affaire »les citoyens répondent en quelque sorte que c’est la leur. »

    Et quand on dit « majorité », les chiffres sont nets, et en augmentation depuis les précédentes enquêtes : 78 % des Français estiment le modèle français issu de la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l’État « en danger » (+4). De plus, 80 % jugent que la question de la laïcité « se pose différemment s’agissant de la religion musulmane » et 61 % que l’ est « incompatible avec les valeurs de la société française » (+8 par rapport à février 2018). On assiste donc à une véritable cristallisation (d’aucuns diront durcissement ou même « radicalisation »…) de l’opinion. Sur l’, les Français, désormais, se sont fait leur religion. Et ils ont peut-être quelques raisons pour cela.

    Et une fois cette conviction acquise, ils demandent toute une série d’interdictions : 73 % des Français veulent interdire le port de signes religieux lors de sorties scolaires, 75 % pour les usagers des services publics, mais ils sont aussi 72 % à le demander dans les entreprises du secteur privé.

    Ce qui est frappant, dans cette évolution de l’opinion publique, c’est qu’elle touche tous les milieux, tous les âges et toutes les couleurs politiques.

    Par rapport à cette cristallisation, les positions (ou les calculs électoraux) du président de la République, qui se lave les mains, et même de son ministre Blanquer, qui se contente de vœux pieux mais n’agit pas, apparaissent en total décalage : désormais, l’islamisation, dont le voile est le signe et l’étendard, a suscité une prise de conscience chez une majorité de Français qui attend des réponses fermes. Force est de constater que, pour le moment, la mollesse d’Emmanuel Macron ne les rassure guère.

    Pascal Célérier

    https://www.bvoltaire.fr/sondage-les-francais-vent-debout-contre-le-voile-et-la-mollesse-de-macron/

  • Mort du chef de l'Etat islamique : une simple péripétie.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Le bon shérif Trump a finit par abattre le méchant du désert syrien. Tant mieux. Il l'annonce avec tambours, trompettes et hymne étoilé. C'est de bonne guerre. 
    Le cadavre d'un ennemi sent toujours bon. Celui du chef du soi-disant État islamique plus que tout autre. Mais ne nous y trompons pas : une ordure islamique tuée, c'est dix de retrouvées.
    D'autres viendront a la suite d'al-Baghdadi. De nouvelles organisations surgiront qui remplaceront Daech, toutes embrasées par l'ambition eschatologique de la reconstruction du Califat et animées par la volonté d'instaurer l'Islam universel. Un islam universel dont l'entreprise stratégique de domination ne passe pas seulement par le djihad ou le terrorisme.
    La mort de Bakr al-Baghdadi est réjouissante. Elle n'en est pas moins une péripétie. Presque une anecdote. En quelque sorte un point de détail de la guerre de conquête plus que millénaire declarée à l'Occident par les fous d'Allah. 
    Ce n'est pas le commencement de la fin. Pas même la fin du commencement. 
    Une guerre, pour être gagnée, doit être reconnue comme telle afin que soient mobilisées toutes les ressources militaires, logistiques, économiques, morales et spirituelles nécessaires à la victoire.
    Pour le moment nous en sommes loin.
  • Mantes-la-Jolie : un guet-apens avec plus de 100 individus, des blessés et… « aucune interpellation » ?

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    Je n’ai aucune compétence judiciaire ou policière. Simple citoyen, je vois défiler, depuis des années, au sujet des violences qui embrasent régulièrement le pays, toujours les mêmes séries de faits, avec exactement les mêmes éléments de langage – et de réalité – dans la presse. Ainsi, pour les féminicides, le conjoint ou l’ex était déjà violent, souvent connu de la police et de la Justice, mais celle-ci n’a pas réussi à le mettre hors d’état d’assassiner sa femme. Pour les attentats, les terroristes radicalisés étaient aussi connus, parfois signalés, parfois fichés S, mais là encore, la Justice n’a pas su, ou voulu, éviter le passage à l’acte meurtrier. Et puis, pour les pièges tendus par des « jeunes » de banlieue aux pompiers et aux policiers, on a, aussi, toujours le même scénario : la voiture qui brûle comme appât, le coup de fil, les pompiers escortés et le guet-apens. À Mantes-la-Jolie, c’est encore ce qui s’est produit, jeudi soir.

    Certes, on retrouve toujours les condamnations des ministres, dont l’un, Laurent Nuñez a reconnu que c’était une « attaque extrêmement violente ». Certes, la Justice a ouvert une enquête pour « violences avec guet-apens, arme et en réunion », « participation à un groupement formé en vue de la commission de violences » et « outrages » sur personne dépositaire de l’autorité publique.

    Mais on retrouve aussi, dans le compte rendu de ce « fait divers » par 20 Minutes, la phrase fatidique : « Aucun individu n’a été interpellé. »

    Et le simple citoyen de s’interroger. Pourquoi ? La nuit était trop noire ? Les individus cagoulés ? Et ceux qui sont allés directement aux urgences après leur petite attaque ? Ou bien fallait-il laisser retomber la tension ? Permettre à ces jeunes de retrouver leurs esprits après leur coup de feu ? Par crainte d’un embrasement ? Parce que la Justice avance à son rythme ? Parce que la police, déjà contrainte de battre en retraite, n’aurait pas les moyens de ? Il faudra, un jour, nous le dire. Sinon, le simple citoyen se fera son idée. Mais toutes ces raisons cumulées n’ont rien de rassurant. Surtout quand on sait comment la Justice et la police, par exemple lors de manifestations de gilets jaunes, ont procédé à des interpellations « préventives » en mobilisant des moyens exceptionnels, on s’interroge.

    Et le simple citoyen pourrait se dire, un jour : si la police ne peut pas, alors… Alors qui ? L’armée ? Mais peut-être que les chefs de la police, et les hommes au-dessus d’eux, ceux pour qui ces choses qui se déroulent dans l’espace public sont un petit peu l’affaire quand même, s’interrogent aussi : alors qui ? Alors quand ?

    Frédéric Sirgant

    https://www.bvoltaire.fr/mantes-la-jolie-un-guet-apens-avec-plus-de-100-individus-des-blesses-et-aucune-interpellation/

  • L’islam est une idéologie qui repose sur une imposture historique

    Odon Lafontaine était l’invité de Louis Daufresne, dans l’émission “Le Grand Témoin” sur Radio Notre Dame le 22 octobre. Au-delà de quelques considérations banales sur le voile, l’entretien a permis de revenir sur les origines de l’islam :

    https://www.lesalonbeige.fr/lislam-est-une-ideologie-qui-repose-sur-une-imposture-historique/

  • Déchéance de la nationalité : pour une application systématique.

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    L'avis de Jean-François Touzé

    Condamné à quatre ans de prison pour avoir voulu rejoindre les rangs de Daech en Syrie, le "franco-marocain" Fayçal Aïd Messoud vient de se voir retirer la nationalité française.

    Une décision rarissime puisque seulement seize déchéances de la nationalité ont été prononcées en vingt ans, dont treize pour terrorisme. 
    Une goutte d'eau dans l'océan de la dislocation française.
    Rappelons qu'en raison des conventions internationales qui interdisent de "fabriquer" des apatrides, seuls, en théorie, peuvent être déchus de la nationalité les bi nationaux.
    Des conventions que la droite nationale au pouvoir devra formellement dénoncer le jour venu pour retrouver sa liberté d'agir, de déchoir et d'expulser.
    Ce qui sera d'autant plus aisé que si la "Déclaration universelle des droits de l'homme" de 1948 indique bien que "tout individu a droit à une nationalité", il ne s'agit que d'un texte à portée philosophique et non contraignant, et que si la France a signé la convention onusienne de 1961 relative à la réduction des cas d'apatridie et celle du Conseil de l'Europe de 1997, elle ne les a pas ratifiées.
    Nous aurons ainsi toute liberté de prendre les décisions qui s'imposent. Pas seulement dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, mais dans celui, global, de la reconstruction identitaire de notre Pays.
  • Voile islamiste : les petits calculs électoraux d’Emmanuel Macron…

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    Depuis qu’Emmanuel Macron a fini par comprendre qu’un second tour l’opposant à Marine Le Pen, en 2022, serait peut-être autre chose qu’une simple formalité à expédier, ça carbure du neurone, dans les hautes sphères du pouvoir.

    D’où les récentes sorties présidentielles relatives à l’immigration – tiens, ce ne serait donc plus une chance pour la France ? –, sans oublier celles concernant une islamisation de moins en moins rampante, due à cette même immigration de masse. Mais comme le résident de l’Élysée débute dans le populisme, il y a évidemment un peu de retard à l’allumage.

    Ainsi, quand Jean-Michel Blanquer, sa caution droitière, pose la question consistant à savoir si « le port du voile est souhaitable dans l’espace public », Emmanuel ne peut que botter en touche. Ce n’est plus Jupiter mais Ponce Pilate : « Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon affaire. C’est ça, la laïcité. » Et d’ajouter : « Le port du voile dans les services publics, à l’école, quand on éduque nos enfants, c’est mon affaire. C’est ça, la laïcité. »

    Passons sur cette laïcité à géographie variable, sachant que si la rue est un espace public, l’école l’est tout autant. Passons aussi sur la nature du voile, « signe religieux » à l’en croire, alors qu’il s’agit d’un signe éminemment politique. La preuve en est que Tareq Oubrou, recteur de la mosquée de Bordeaux, confiait récemment à ses ouailles, sous les yeux de l’auteur de ces lignes, que si « les femmes musulmanes tiennent absolument à masquer leurs cheveux, un carré de soie à la Grace Kelly, un turban à l’Arletty ou un canotier à la Maurice Chevalier emplissent parfaitement cette fonction » et qu’il n’est « nul besoin de se déguiser en bédouine du VIIe siècle pour être une bonne musulmane », sachant que « cet accoutrement ne peut qu’à juste raison crisper des Français se sentant de plus en plus étrangers en leur propre pays ».

    Le gag, car c’est bien d’un gag électoraliste qu’il s’agit, c’est qu’un Emmanuel Macron n’en finit plus de piller l’argumentaire lepéniste en reconnaissant : « Le voile, aujourd’hui, est utilisé dans certains quartiers, dans certaines circonstances et par certains – qui ne sont pas majoritaires [parfaitement exact, mais ne sont-ce pas les minorités agissantes qui finissent par prendre le pas sur les majorités silencieuses ? NDLR] mais qui en font un élément de revendication et un des instruments ou des signaux d’une forme de séparatisme dans la République. Ce qu’on appelle le communautarisme. »

    En revanche, il y a là comme une sorte de hiatus dialectique consistant à toujours se prévaloir des « valeurs de la République » alors qu’il serait autrement plus simple d’invoquer les mœurs françaises. Et le Président de s’égarer en évoquant le comportement de certains islamistes refusant, au nom de la religion, de continuer à adhérer aux « valeurs de la République ».

    Soyons honnêtes, voilà qui ne regarde pas que les islamistes. Allez demander aux catholiques de conviction s’ils font plus confiance aux lois de la République qu’à celles de l’ordre naturel quant au mariage homosexuel, à la PMA et la GPA…

    Pareillement, si certains musulmans posent problème en France, c’est aussi et avant tout parce qu’ils sont issus de l’immigration. Pour ne citer que le seul exemple russe, si la présence d’une forte minorité islamique n’est pas un problème là-bas, c’est, à en croire Vladimir Poutine, que les musulmans russes sont russes avant d’être musulmans, étant nés en Russie il y a déjà un paquet de siècles.

    Mais remettre en cause la politique migratoire n’est pas dans le viatique des puissants sponsors ayant amené Emmanuel Macron au pouvoir. Lesquels ont, sans cesse, besoin de nouveaux immigrés, que ce soit pour le BTP, son premier employeur ; mais également pour les EHPAD, histoire de soigner leurs parents, et dans l’uberisation galopante de notre société afin de livrer, à toute heure, pizzas et sushis à leurs enfants.

    D’où l’impuissance structurelle du Président sur le sujet, nonobstant sa coutumière habileté manœuvrière.

    D’où, encore, la montée en puissance sondagière d’une Marine Le Pen reprenant à la fois couleurs et espoir et inquiétant Emmanuel Macron en vue de 2022.

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/voile-islamiste-les-petits-calculs-electoraux-demmanuel-macron/

  • La polémique sur le voile masque la progresion de l’islamisme

    La polémique sur le voile masque la progresion de l’islamisme

    Pendant que les musulmans et autres dhimmis défendent le droit de porter le voile islamiste dans l’espace public, Zineb El Rhazoui, menacée de mort pour avoir osé défendre la laïcitédénonce la persécution musulmane en France :

    « ceux qui volent au secours de la hijabiste du Conseil régional se taisent sur ce que je vis. Un silence qui en dit long sur les dégâts de la terreur islamique sur l’inconscient collectif français ».

    Lundi soir en la basilique Saint-Epvre à Nancy, l’office a été perturbé par deux individus, dont l’un a crié : « Allah Akbar ».

    Très rapidement, une patrouille de la police municipale interpellait les deux hommes en état d’ébriété. Sur l’un d’eux était trouvé une matraque télescopique. Les deux suspects âgés de 26 et 32 ans ont été placés en garde à vue dans le cadre d’une enquête pouvant relever du port d’arme et d’apologie du terrorisme.

    La petite provocation musulmane dans un conseil régional fait plus de bruit que tous les morts et blessés causés par l’islam en France, que la pression subie par ces femmes qui ne veulent pas se conformer à la charia en France, ou par ces provocations jusque dans les églises.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-polemique-sur-le-voile-masque-la-progresion-de-lislamisme/