Le retour en France des djihadistes, ou membres de l’Etat islamique Daesh semble être à l’ordre du jour, à tout le moins envisagé. Ils sont au nombre de 200, détenus en Irak. Ce sont des individus qui ont participé à la commission de crimes abominables, ou les ont cautionnés par leur ralliement : extermination de populations civiles, enlèvements de jeunes filles à des fins d’esclavage sexuel, destruction de Palmyre, anéantissement de populations chrétiennes et Yazidies, tortures, crucifixions, spectacle médiatisé de prisonniers égorgés par des enfants, captifs brûlés vifs dans des cages, etc.
Les mêmes ont commandité les attentats commis en France depuis 2015 et 2016 et le massacre de 260 personnes. Ils ont commis des crimes contre l’humanité, ils ont trahi le pays dont ils avaient la nationalité en portant le fer et le feu contre lui.
S’ils reviennent en France, ils retrouveront tôt ou tard la liberté.
Ils provoqueront de nouveaux massacres. Par leurs crimes abominables, ils se sont, de fait, exclus de la communauté nationale.
Les recevoir sur le territoire français serait une lâcheté innommable.
Maxime Tandonnet
Texte repris du blog de Maxime Tandonnet







On ne s’étonnera jamais assez du nombre impressionnant d’individus « psychologiquement fragiles » que peut compter la communauté musulmane dans notre pays. En effet, après nous avoir répété en boucle ces derniers jours que le converti Nathan Chiasson, auteur de la tuerie islamiste de Villejuif du 3 janvier, souffrait d’abord et avant tout de « troubles psychiatriques », les grands médias nous assurent maintenant que sa compagne, placée en garde à vue mardi alors qu’elle préparait un attentat suicide contre la police, est, elle aussi, sujette à des problèmes « psychiques » !
