
Le procédé est usé jusqu’à la corde : à défaut d’agir, le président élu par défaut en 2017 a parlé. C’est son seul talent qui n’opère plus qu’auprès de la poignée de ses derniers admirateurs et des chroniqueurs serviles qui sévissent dans nos médias. D’abord, il faut un nouveau concept pour s’emparer d’un sujet rebattu et le faire sien : on jette donc à la foule celui de « séparatisme », pour le montrer sous un jour apparemment nouveau, alors qu’il permet au contraire de le maintenir dans le discours aseptisé de la République neutre par rapport à toutes les religions, quand la réalité est beaucoup plus effrayante






