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islamisme - Page 276

  • Terres de Mission #28 : des actions face à la haine anti-chrétienne

  • Macron dévisse et son plan B, c’est Mohamed Saou !

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    On savait que, chez Macron, la com’ c’était du creux, mais visiblement, l’éthique, c’est du toc.

    Les signes ne trompent pas. À une semaine du premier tour, le camp Macron panique. La com’ creuse tourne à vide, pilotée par une blondasse stupide chantant « En Marche ! » en lâchant le volant de sa voiture. Au QG, même Le Monde a bien vu que ça commençait à sentir le roussi. Les confidences pessimistes des députés PS macronistes fusent :

    « On est passé en quelques jours du “On peut gagner” à “On peut perdre”, il y a beaucoup de tension. »

    « Il faudrait que le scrutin ait lieu dimanche. Il y a une semaine de trop ! »​‌

    Et c’est vrai qu’il y a de quoi s’inquiéter sérieusement pour tous ces « marchiens » car, selon le sondeur Jérôme Sainte-Marie, « Emmanuel Macron a perdu trois points en une dizaine de jours, soit environ un million de voix ».

    Ce n’est pas rien, quand la tendance est celle-ci… Donc, encore une semaine et M. Macron sera 4e. Et ce ne sera que justice : il endossera le bilan de Hollande et de ce centre libéral-libertaire qui nous a conduits là où nous en sommes. En fait, il a perdu et il ne tient qu’à nous tous, à droite comme à gauche, de bien le lui signifier le 23 avril.

    Il découvre, le naïf, qu’une stratégie d’extrême centre renvoyant gauche et droite dos à dos peut violemment se retourner contre vous et faire monter, à l’heure du choix, et la gauche et la droite : une gauche qui veut vraiment un candidat de gauche (Mélenchon) et une droite qui rejoint calmement la droite sérieuse de Fillon.

    Il est donc intéressant de voir comment notre jeune homme pressé à qui tout a réussi, ce petit génie (ou cet enfant gâté) devant qui toutes les portes les plus difficiles à pousser – chez Rothschild, à l’Élysée, à Bercy – se sont ouvertes comme par enchantement, réagit devant ce qui commence à ressembler à de l’adversité. Pour Fillon, nous avons vu. Et sa résistance n’est pas pour rien dans sa remontée.

    Chez Macron, panique à bord. Les mêmes parlementaires qui se sont confiés au Monde le disent : « Macron affiche l’image du candidat serein, mais je ne crois pas que ce soit le cas, il est noué de l’intérieur. » Noué, crispé… Va-t-il monter davantage dans les aigus pour les derniers meetings ? Nous sortir la grosse artillerie : Mélenchon en dictateur sud-américain ? Marine Le Pen en Enver Hodja ? Et lui-même en Jeanne d’Arc boboïsée ?

    Non, ce vendredi, il a fait plus grossier encore : il est allé sur Beur FM, ce qui est déjà tout un programme, mais (pire), il a lâché, en off bien sûr, « à l’insu de son plein gré », selon l’expression consacrée, un éloge de son référent Mohamed Saou, compromis pour ses accointances avec l’islam radical :

    « C’est un type bien. C’est un type très bien, Mohamed. Et c’est pour ça que je ne l’ai pas viré. […] Il a fait un ou deux trucs un peu plus radicaux, c’est ça qui est compliqué. »

    Mais c’est bien en direct que M. Macron a dit toute son admiration pour ce Mohamed qui s’est signalé par des messages complaisants pour les islamistes :

    « Mohamed Saou est un citoyen plein et entier. C’est un responsable plein et entier. Je le respecte. J’admire le travail qu’il a fait. »

    Et il a renvoyé au « comité d’éthique » de son mouvement le soin de statuer sur le sort de ce responsable contestable et sulfureux ! On savait que, chez Macron, la com’ c’était du creux, mais visiblement, l’éthique, c’est du toc.

    http://www.bvoltaire.fr/macron-devisse-plan-b-cest-mohamed-saou/

  • Stockholm : les égarements sans fin des Européens face à l’islam, par Louis Brequin

    Une semaine après l’attentat qui a frappé la capitale suédoise, le principal suspect, un Ouzbek de 39 ans débouté du droit d’asile, est passé aux aveux et a confessé ses sympathies islamistes. Les commémorations en hommage aux victimes ont débuté, s’accompagnant d’un discours systématiquement resservi à chaque fois qu’un attentat survient en Europe. Pour le résumer, citons le premier ministre suédois, Stefan Löfven, qui a déclaré : « Le but du terrorisme est de miner la démocratie. Mais ces actes n’arriveront jamais à gagner en Suède, nous le savons. Vous ne pouvez pas nous diviser […]. »

    Le mythe de l’unité du pays

    Cette rengaine sur la volonté supposée des terroristes de diviser la population des pays occidentaux, sous-entendu entre Européens de souche et immigrés, est devenue le leitmotiv de nos dirigeants car elle permet, par une pantalonnade bien culottée, de légitimer leurs politiques suicidaires, celles-là mêmes qui ont conduit à la situation actuelle de balkanisation de l’Europe. L’idée qu’ils cherchent à propager est la suivante : si le but du terrorisme est de nous diviser, alors pour lui faire échec, il faut renforcer les politiques « d’intégration », comprenez davantage d’antiracisme, de mixité contrainte et forcée et de concessions diverses envers les communautés immigrées au détriment des autochtones. Par contraposée, les solutions avancées par la droite identitaire ne constitueraient pas le bon remède à nos maux.

    Sauf que ces brillants esprits ont oublié un détail : pour que ce raisonnement soit valable, encore faudrait-il qu’il n’y ait jamais eu une quelconque unité entre ces deux composantes de la société. Et c’est là que le bât blesse.

    La fraternité ou même la simple cohabitation des Européens de souche et des immigrés n’a jamais été qu’une chimère, une douce illusion dont se bercent nos élites.

    Pour le cas de la France, il suffit pour s’en convaincre de relire les travaux de Michèle Tribalat sur la ségrégation dans les quartiers et les stratégies d’évitement des Français de souche ou de Christophe Guilluy sur l’endogamie des élites blanches et urbaines. Cet entre-soi a pu être constaté de manière éclatante lors des manifestations pourCharlie qui ont rassemblé quasi-exclusivement des citadins blancs, les extra-Européens les ayant délaissées car ils ne se sentaient tout simplement pas concernés. Les photos d’ensemble publiées par la presse à l’époque attestent irréfutablement de cette homogénéité.

    A bien y réfléchir, il n’y a rien de surprenant à ce constat. Comment des populations aux valeurs diamétralement opposées pourraient-elles fraterniser ? Pour le cas des « Charlies » qui se prévalent d’un vivre-ensemble harmonieux, il s’agit de personnes laïques, attachés aux droits des femmes et des minorités sexuelles, prônant l’émancipation hors des communautés d’origine et privilégiant le dialogue et le compromis. Pour ce qui est des jeunes issus de l’immigration, qui habitent souvent les quartiers sensibles et ont en majorité conservé une mentalité de « bledard », on a affaire à des individus misogynes, volontiers homophobes, obnubilés par leurs origines ethniques et religieuses et vouant un culte à la violence et au rapport de force. Il n’y a pour ainsi dire rien qui les rassemble tant elles sont aux antipodes l’une de l’autre.

    La véritable signification des « amalgames »

    Cet argument de la division ressassé par la classe politique est le corollaire logique de l’analyse qu’elle nous livre sur le phénomène terroriste qui voudrait que « 99 % des musulmans soient des gens pacifiques, horrifiés par le terrorisme ». L’avantage du terrorisme par rapport à d’autres formes de violence engendrées par l’immigration (délinquance, émeutes…) est sa dimension marginale qui permet au pouvoir d’absoudre l’entièreté des communautés d’immigrés musulmans, en renvoyant le terrorisme à un problème d’individualités. Présentée dans les médias comme une grille de lecture éclairée et nuancée face à l’assertion simpliste des beaufs (« tous les musulmans sont des terroristes »), elle trouve hélas de l’écho chez certains Français qui se pensent sans doute très intelligent de la rabâcher comme des perroquets.

    Mais la réalité est sans doute plus complexe que cela et obéit à une logique de cercles concentriques. Sans se hasarder à avancer des chiffres, on peut affirmer sans trop prendre de risques qu’au-delà des militants actifs prêts à se sacrifier, il est aussi des islamistes convaincus qui soutiennent le terrorisme et passeraient à l’acte s’ils n’avaient pas peur de mourir ou de passer le restant de leurs jours en prison. Ils le feront du reste le jour où les forces de l’ordre perdront pied. D’autres encore plus nombreux se réjouissent des actes terroristes, juste par haine et sans forcément adhérer à l’idéologie djihadiste, comme l’ont montré certaines réactions d’élèves dans les établissements scolaires sensibles. Il y a enfin la masse de ceux que la violence terroriste indiffère royalement tant qu’elle touche des Européens de souche.

    Prétendre que le problème du terrorisme n’a pas de dimension communautaire est donc un mensonge. Car si les terroristes kamikazes sont le fer de lance de la conquête islamiste en Europe, ils bénéficient d’un solide réseau de solidarités familiales, claniques ou religieuses sur lesquelles s’appuyer. Comment expliquer sinon que Salah Abdeslam ait pu se cacher trois mois à Molenbeek sans éveiller les soupçons ?

    Par ailleurs, même si nous n’en sommes pas encore à ce stade, dans certains quartiers mis en coupe réglée par les salafistes, les menaces et le chantage leur suffiront à obtenir l’appui de leurs coreligionnaires. C’est déjà ainsi que procédaient les islamistes en Algérie dans les années 1990.

    Pire, en cas de raidissement brutal de la situation, les non-militants, inquiets pour leur intégrité, s’en remettront de leur plein gré aux plus extrémistes et aux plus déterminés parmi les leurs. Ce sont là des mécaniques bien connues observées lors des guerres civiles (Irak et Syrie notamment).

    Tout cela ne veut bien évidemment pas dire que tout musulman porte une responsabilité quant au terrorisme, ni que « les musulmans devraient s’excuser pour le terrorisme » (exigence grotesque), mais que tant qu’il aura une telle présence musulmane en Europe, le risque terroriste, et plus largement insurrectionnel, existera malgré tous les efforts politiques et sociaux déployés.Les médias se plaisent à vilipender ceux qui se rendraient coupable « d’amalgames », mais personne un tant soit peu sensé ne pense réellement qu’en chaque musulman sommeille un terroriste.

    En revanche, beaucoup pensent que, comme les auteurs d’attentat sont indéniablement issus des rangs de la communauté musulmane, il est difficile de déceler par anticipation les passages à l’acte tant le phénomène islamiste devient massif et qu’il est quand même ici question de la préservation de la paix civile dans nos patries. Il serait peut-être temps d’arrêter les frais.

    Louis Brequin

    https://fr.novopress.info/

  • Paul Joseph Watson - Les nationalistes avaient raison, à propos de la Suède ! (vostFr)

  • Marine Le Pen réclame l'interdiction du rassemblement des islamistes radicaux de l'UOIF

  • 17 393 inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation terroriste

    Les chiffres du Sénat sont actualisés à la date du 1er mars 2017 ; ils prennent en compte les individus signalés par les services et le Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR), qui gère la plateforme téléphonique nationale de signalement, ainsi que les « objectifs » créés par les services spécialisés.

    Au total, 17 393 individus étaient inscrits au fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT) FSPRT, dont :

    • 7 400 individus signalés par les préfectures via les États-Majors de Sécurité (EMS) ;
    • 5 346 individus signalés par le public via le CNAPR ;
    • 5 799 objectifs inscrits par des services de police ou gendarmerie.

    Tous ces individus ne sont pas nécessairement contrôlés en permanence. Un certain nombre d’entre eux sont dits « clôturés » : les services estiment qu’ils ne nécessitent plus de surveillance, mais ils demeurent au FSPRT du fait des signes de radicalisation ayant été constatés. D’autres encore sont dits « en veille » : ils ne nécessitent plus de suivi actif mais restent néanmoins attribués à un service.

    Par ailleurs, 2 046 individus ont été formellement identifiés sur une zone de combat en Syrie et en Irak et 249 individus présumés décédés ont été recensés.

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/04/17-393-inscrits-au-fichier-des-signalements-pour-la-pr%C3%A9vention-de-la-radicalisation-terroriste.html

  • L’attentat contre le Borussia Dortmund commis « au nom d’Allah » ?

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    DORTMUND (NOVOpress) : Selon les médias allemands, la lettre de revendication retrouvée sur le lieu des explosions au passage du bus du Borussia Dortmund débute ainsi : « Au nom d’Allah, le très miséricordieux »… La lettre, qui fait référence à l’attaque islamiste sur le marché de Noël à Berlin, dénonce la participation de l’Allemagne à la coalition contre l’Etat islamique et les raids accomplis par ses avions Tornado.

    Ce document affirme encore que les sportifs et autres célébrités, « en Allemagne et dans d’autres pays croisés », feront désormais partie des cibles de l’Etat islamique, jusqu’à ce que l’Allemagne retire son aviation de la coalition et que la base aérienne américaine de Ramstein soit fermée.

    En l’état des investigations, les autorités allemandes n’excluent pas que ce message soit destiné à brouiller les pistes.

  • Officiel - Al-Qaïda soutient (((macron))) !

  • Attentat en Suède : des fleurs contre le terrorisme

    8840-20170412.jpgEst-ce avec des fleurs, des lampions, des larmes et des manifestations d’amour qu’on aurait vaincu le fanatisme national-socialiste ou bolchevique ? Assurément non. Alors pourquoi donc tant d’Européens s’imaginent-ils pouvoir combattre ainsi le fanatisme islamique ? Ou islamiste, chacun choisira, l’islamisme n’étant qu’un néologisme pour désigner, en faisant croire qu’il s’agit d’une nouveauté, la voie violente de l’islam telle qu’elle a toujours existé depuis les origines de cette religion-idéologie.

    Après les larmes de Mogherini, « Haute Représentante de l’Union pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité », suscitées par les attentats de Bruxelles en mars 2016, nous avons eu droit vendredi aux larmes de Löfven, Premier ministre suédois, après l’attaque au camion contre les passants dans une rue piétonne de Stockholm. Commentaire d’une députée polonaise, qui s’est ainsi étonnée d’une telle réaction :

    « Suédois ! Descendant des valeureux Vikings ! Qu’êtes-vous devenus ? »

    Des fleurs partout, des lampions et une grande manifestation pour l’amourlancée sur Facebook qui a rassemblé plusieurs dizaines de milliers de personnes dimanche à Stockholm : les Charlies suédois étaient de sortie ce week-end.

    Quelques fausses notes, toutefois, dans ce concert de bonnes intentions dégoulinantes. Ainsi du chef de la police de l’agglomération de Göteborg, qui a appelé sur Twitter à l’expulsion des immigrés soutenant l’Etat islamique. Mais le ministre de la Justice a vivement réagi, demandant au grossier personnage de s’expliquer après cette déclaration, car la Suède est un pays ouvert : « Nous avons la liberté de parole en Suède, ce qui veut dire que les gens ont le droit d’avoir des opinions répugnantes ici », lui a rappelé le gentil ministre Morgan Johansson.

    Car le principal suspect de l’attentat est un Ouzbek de 39 ans, Rachat Akilov (ci-contre), qui ne cachait pas sur internet sa sympathie pour le terrorisme islamique. Par contre, dans la vie de tous les jours, c’était « un type normal » et pas religieux pour un sou. Il aurait, d’après les médias suédois, avoué et serait même content d’avoir réalisé son projet de tuer des « infidèles », soutenant avoir agi pour le compte de l’Etat islamique.

    Venu en Suède en laissant au pays sa femme et ses quatre enfants, sa demande d’asile avait été rejetée et il avait reçu l’ordre de quitter le pays en décembre mais avait disparu dans la nature, comme beaucoup d’autres.

    Sans doute inspiré par les attentats de Nice, de Berlin et de Londres, pour ne citer que ceux-là, l’Ouzbek a, au volant d’un camion volé, fait quatre morts et 15 blessés.

    Selon les déclarations de la police suédoise, il y a environ 12 500 autres immigrants ayant reçu l’ordre de quitter le territoire et dont les autorités ont perdu la trace.

    Difficile de contrôler tout ce beau monde quand on a laissé venir, pour ne pas dire encourager à venir, 163 000 « réfugiés » rien qu’en 2015 dans un pays de dix millions d’habitants. Finalement, les larmes que l’on a vues couler sur les joues du Premier ministre Stefan Löfven étaient peut-être celles d’un homme rongé par le remords…

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 12 avril 2017

    https://fr.novopress.info/