Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

islamisme - Page 276

  • Vive l'Europe - Ils ont tué ma fille au Bataclan - Patrick Jardin & Daniel Conversano

  • Un député européen ne peut pas dénoncer des horreurs commises par des islamistes

    Le Parlement européen a approuvé jeudi la levée de l'immunité parlementaire de Marine Le Pen, réclamée par la justice française qui lui reproche d'avoir diffusé des images d'exactions de Daesh sur son compte Twitter.

    Cette levée, à effet immédiat, ne concerne que cette enquête. Cette levée était demandée par le parquet de Nanterre, qui a ouvert une information judiciaire à l'encontre de Marine Le Pen pour "diffusion d'images violentes". En décembre 2015, la présidente du FN avait diffusé trois photos sur Twitter avec le texte "Daesh c'est ça!": un homme vêtu d'une combinaison orange sous les chenilles d'un char, un homme vêtu de la même manière enflammé dans une cage et un corps d'homme décapité avec la tête posée sur le dos. Elle protestait contre le "parallèle ignoble" effectué par le journaliste de RMC, Jean-Jacques Bourdin, entre Daesh et le Front national.

    "Je suis députée, je suis dans mon rôle quand je dénonce Daesh", a-t-elle estimé. 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Macron, Bayrou et l’islam, par Guy Rouvrais

    8808-20170225.jpgParmi les raisons (avouables) de son ralliement à Emmanuel Macron, la principale, dit François Bayrou, est la « situation d’extrême risque » représentée par « une flambée de l’extrême droite ». Comme tous les autres, il désigne par-là, mensongèrement, le Front national. C’est pour cela que ne constatant pas, parallèlement, une flambée de centrisme, il fait de ce dernier une composante de la gauche.

    Un tel jugement montre une fois de plus que Bayrou et Macron sont, comme toute la classe politico-médiatique, complètement coupés du peuple. Car, enfin, si la droite nationale constituait un « extrême risque », se trouverait-il au moins 28 % des électeurs au premier tour et entre 44 % et 48 % (pour l’instant !) au second à se prononcer pour Marine Le Pen ? Seraient-ils à ce point aveugles, sourds ou sots pour mettre le pays en danger et eux-mêmes en péril ? Poser la question, c’est y répondre. Accessoirement, on ne voit pas que l’alliance du jeune loup socialiste et du vieux renard centriste puisse arrêter l’ascension de leur concurrente. Un sondage effectué après l’annonce de leur union l’atteste.

    Ce qui explique le mouvement populaire vers Marine Le Pen, c’est bien « une situation d’extrême risque » mais ce n’est pas celle que dénoncent les deux compères, un risque qui, cette fois, n’est pas imaginaire. C’est l’islamisation du pays, la montée en puissance des exigences communautaires de musulmans, d’une part, le terrorisme islamiste de l’autre, dont nous devons professer qu’ils n’ont aucun rapport sous peine d’être accusés du terrible « péché » d’amalgame.

    Macron, pourtant, a assuré dans une réunion publique qu’en France « aucune religion n’est un problème ». Aucune ! Pas même l’islam ? Il répond : « C’est un sujet. » Pas d’inquiétude, de mécontentement, un simple « sujet » qui se trouve, là, dans l’actualité, on ne sait trop pourquoi. Et à l’égard de cette religion-là, il préconise une « bienveillance exigeante ». On se demande pourquoi elle devrait être exigeante puisqu’elle ne poserait aucun problème.

    Cette bienveillance va très loin puisque, encore ministre à l’époque, il a attribué à la société française, quelques jours après les attentats du 13 novembre, « une part de responsabilité » dans le « terreau » sur lequel le djihadisme a pu prospérer, évoquant une disparition de l’idéal républicain de mobilité sociale. Rappelons aussi qu’il a félicité Angela Merkel d’avoir accueilli un million de « migrants » – la plupart musulmans – y voyant « une fierté et une force pour l’Europe ».

    A l’évidence, Macron drague les voix musulmanes qui s’étaient massivement portées sur Hollande en 2012 avant de l’abandonner pour cause de « mariage gay ». Et Bayrou fait campagne avec lui car il « fera tout » pour que son complice soit élu. Y compris ne pas se formaliser de ce que Macron a, à Alger, parlé de « crime contre l’humanité » à propos de la colonisation, calomniant son pays en terre étrangère, diffamant les colons et l’armée française.

    « Paris vaut bien une messe », aurait dit Henri IV, natif de Pau, pour justifier sa conversion au catholicisme. Son lointain concitoyen pense, lui, qu’exister encore un instant sur la scène politique vaut bien quelques courbettes devant les disciples de Mahomet en duo avec Macron.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 25 février 2017

    http://fr.novopress.info/

  • Un colloque pour « désislamiser l’Europe » le 4 mars chez Robert Ménard

    Un colloque qui a pour thème « Désislamiser l’Europe » se tiendra le 4 mars à Béziers, en présence de Robert Ménard, le maire de la ville. Pourquoi « désislamiser » ? « Parce que, expliquent le collectif Saint-Michel Archange à l’origine de ce symposium, depuis des dizaines d’années, sous couvert d’activités religieuses, des individus et des organisations opérant en Europe, soutenus par des puissances étrangères rassemblées au sein de la première organisation politico-religieuse du monde (l’OCI : Organisation de la Coopération Islamique), ont engagé un processus de subversion visant à transformer l’organisation de nos sociétés selon les règles de la charia. »

    Désislamiser EuropeSont annoncés :

    • Philippe CHANSAY WILMOTTE, avocat au barreau de Bruxelles, président de Valeurs Libérales Citoyennes (VLC), président du Collectif Saint-Michel Archange
    • Odon LAFONTAINE, auteur du Grand secret de l’islam
    • Jean-Yves LE GALLOU, président de la fondation Polémia
    • Général Antoine MARTINEZ, co-fondateur des Volontaires pour la France
    • Jean-Pierre MAUGENDRE, président de Renaissance Catholique
    • Robert MENARD, maire de Béziers
    • Karim OUCHIKH, président de Souveraineté, Identité Et Libertés (SIEL)
    • Alain de PERETTI, président de Vigilance Halal
    • Mireille VALETTE, présidente de l’association suisse Vigilance Islam
    • Alain WAGNER, président de l’UDCC
    • Joachim Veliocas, fondateur de l’Observatoire de l’islamisation, présente cet événement. 

    "Desislamiser l'Europe" les solutions annoncées à le 4 marsPrésentation de l'évènement par Joachim Véliocas https://youtu.be/DlI5hQAtdnE 

  • Question de Campagne : La Laïcité.

    Bientôt dans nos kiosques, dans la catégorie « presse féminine » :  100 conseils pour porter le burkini cet été ! ou Niqab ou Hidjab : 20 questions pour décider ! C’est en tous cas la crainte qui agite une grande partie de nos sphères de connaissances à tous. Nul doute que les différents candidats qui se proposent de présider la république vont aller de leurs petits commentaires pour défendre une laïcité menacée, diront-ils, par les fondamentalismes. Manière pour eux de parler du problème sans toutefois oser prononcer le mot islam, ce qui est d’une rare tartufferie.

    Il est de bon ton, ou du moins est-ce dans les habitudes, chez les légitimistes, de conspuer la Loi de 1905 et d’estimer que celle-ci est une aberration, une négation de l’identité profonde de la France.

    Permettez-moi d’en douter et allez, je vous prie, jusqu’au bout de l’article. Vous pourrez me vouer à la damnation éternelle une fois les présentes lignes achevées.

    Que nous propose la Loi de 1905 ?

    Ni plus ni moins que la garantie du libre exercice et de l’expression du culte par chacun sous réserve que cela ne cause pas de troubles à l’ordre public[1]. La république n’est pas exempte de quelques fulgurances, parfois. Vous pouvez librement prier le chapelet, annoncer l’Evangile, processionner en pleine rue : la Loi de 1905 réaffirme ces droits fondamentaux, demandant seulement que ces activités, si légitimes, ne perturbent point l’ordre. Vous avez même le droit d’essayer de convertir votre voisin de métro.

    Si l’on observe bien, cette loi de 1905 est porteuse d’une vision de la pluralité religieuse. Il s’agit de séparer l’Etat de la religion : à l’Etat on doit obéir indépendamment de son appartenance religieuse. « Rendez à César ce qui est à César, à Dieu ce qui est à Dieu » disait le Christ. Les amateurs d’Histoire reconnaitront peut-être dans cette réflexion quelques éléments communs à l’Edit de Nantes d’Avril 1598[2] ! En effet, l’édit de Nantes en permettant aux protestants de pratiquer leur culte dans certaines places du royaume, en ne leur coupant plus l’accès aux offices de manière systématique, évite que les « réformés » soient exclus de l’Etat. Cependant, pour éviter le retour des affrontements religieux, ce qui est un des soucis principaux de l’édit, la pratique religieuse est réglementée dans une forme que le bon sens avait déjà fait exprimer. Il faudrait attendre cependant la « paix d’Alès », texte curieusement oublié, en 1629, pour que les places de sureté -et le risque de sédition- soit aboli tout en préservant l’exercice du culte protestant ET catholique.

    La Laïcité de 1905 s’accompagne dès l’origine d’une félonie : le vol caractérisé du patrimoine ecclésial. Cela prouve-t-il que le principe de laïcité soit mauvais en lui-même ? Cela prouve tout au moins que la république est d’une profonde malignité car se moquant éperdument de la concorde et, si l’on se penche un peu sur la question, ces confiscations témoignent d’un manque de sens politique des catholiques de l’époque qui, faute d’avoir créé les associations cultuelles nécessaires, n’avaient pas les moyens légaux pour défendre le patrimoine ecclésial : ils donnèrent ainsi le bâton qui servit à les battre.
    Tendance malheureusement par trop commune chez les catholiques de tous les temps.

    Enfin le Prince s’est prononcé sur la Laïcité, dernièrement, dans son entrevue pour KTO :

    «[La Laïcité] Au lieu de faire une sorte de respect pour toutes les religions, est devenu une attaque contre la religion. Je pense qu’il faudrait justement respecter le fait que chacun puisse avoir sa religion, et respecter les autres bien sûr ! »

    Dans le fond, cette laïcité qui devient un paravent pour parler de l’Islam et -vieil anticléricalisme oblige !- de catholicisme sans les nommer est une perversion par la république de ses propres principes : on ne peut donc rien confier aux républicains sans qu’il en fasse aussitôt une terrible erreur.

    Si progrès de l’Islam en terre de France il y a, ce n’est pas tant parce que la république est laïque que du fait d’une timidité des chrétiens à convertir et garder la Foi vive chez les français.

    Quand on est catholique il faut se battre pour que le Christ établisse son règne dans les cœurs alentours et, ayant gagné les cœurs, dans le monde. Bien trop souvent on voit des chrétiens qui, confiant dans la Providence jusqu’à l’excès oublient que les principaux outils de cette Providence c’est eux. Ils attendraient presque que de multiples miracles convertissent la France d’un seul coup… Mais comment cela pourrait-il se faire si nous n’annonçons pas publiquement cette Foi ? Or 1905 nous permet d’être prosélyte et de prier en public. Utilisons cette Loi plutôt que ne nous cacher derrière pour expliquer la déchristianisation de la France ! Utilisons les armes de l’adversaire, soyons : « Rusés comme des serpents et purs comme des colombes » (Mt 10-22) plutôt que stupides comme un sanglier blessé et aussi seuls qu’un pangolin.

    La plupart des candidats voudraient qu’on remplace la Laïcité par un laïcisme, c’est-à-dire une négation de la liberté religieuse qui serait alors reléguée à l’espace strictement privé. Cette négation de ce pour quoi nos Rois se battirent est, bien sûr, une menace profonde, inique. Trop souvent nous confondons ce laïcisme néfaste avec une laïcité qui n’est ni plus, ni moins que ce que nous en faisons.

    Réfutons le laïcisme qui voudrait nous priver d’exprimer notre Foi et que certains candidats, prompts à priver les Français de leurs coutumes et traditions, voudraient voir disparaitre et assumons une véritable laïcité qui, si nous nous en donnons les moyens, permettra que la France soit fidèle aux promesses de son baptême !
    Roman Ungern.


  • Banlieues : L’impasse du chaos ethnique

    Les nouvelles émeutes qui ont enflammé les banlieues dites « sensibles », à la suite des blessures subies par un homme rebelle à son interpellation, provoquent divers commentaires qui, tous, se cantonnent à des hypothèses convenues.

    Et pourtant, les décennies passent, l’argent coule à flots (politique de la ville, constructions d’infrastructures culturelles et sportives, subventions aux associations de tout poil), mais rien n’est résolu. Ces hypothèses seraient-elles erronées ?

    Pourquoi y a-t-il des « banlieues sensibles » ?

    Peut-être à cause d’un phénomène que nos criminologues, sociologues, journalistes, politiciens ou simples Français de souche n’osent pas évoquer. J’entends l’hypothèse selon laquelle il est impossible d’établir un ordre public et social stable lorsque l’on s’éloigne trop de l’homogénéité ethnique. Des décennies de gauchisme intellectuel et de décadence américanomorphe ont ruiné la liberté de l’esprit. Au surplus, l’ordre moral subséquent s’est caparaçonné de lois qui rendent l’hypothèse délicate à développer sinon même à énoncer.

    Avant la révolution intellectuelle et morale de 1968, avant la subversion anarchisante des droits de l’homme, le général De Gaulle pouvait dire benoîtement devant Alain Peyrefitte en 1961 :

    C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne.

    (…) Les musulmans vous êtes allés les voir ? (…) Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français (…) Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français.

    De Gaulle définissait ainsi à grands traits le tissu ethnique français.

    La pérennité d’un ordre public et social est-il possible dans le chaos ethnique ?

    La question est bien celle qui doit être posée et pourtant les responsables français de toute sorte n’osent pas même l’évoquer : est-il possible de maintenir un ordre public et social stable sans un minimum d’homogénéité ethnique ? Personne n’en parle ; même une Marine Le Pen ou un Xavier Raufer restent, au mieux, dans le non-dit et l’implicite.

    Cette homogénéité ethnique relative était celle des banlieues des grandes métropoles françaises jusque dans les années soixante du siècle dernier, calmes et ordonnées quoique beaucoup plus pauvres que la Seine-Saint-Denis d’aujourd’hui gavée d’argent public.

    Les banlieues des grandes villes japonaises, par exemple, elles, restent calmes et apaisées. Pourquoi ? Nous connaissions la même urbanité dans la conurbation parisienne de mon enfance…

    Si l’hypothèse soulevée ici se vérifiait, la solution serait, certes, pénible et longue à accomplir (cessation de toute immigration extra-européenne, remigration, répression). Il faudrait de la clairvoyance et du courage…

    Eric Delcroix 14/02/2017

    http://www.polemia.com/banlieues-limpasse-du-chaos-ethnique/

  • Marion Maréchal Le Pen : « Le voile est une offensive de colonisation de l’espace public en France ! »

    Mardi 21 février, Marine Le Pen a refusé de porter le voile pour rencontrer le mufti de la République libanaise à Beyrouth. Elle a expliqué : « J’ai indiqué, hier, que je ne me voilerais pas. Ils n’ont pas annulé le rendez-vous. J’ai donc cru qu’ils accepteraient que je ne porte pas le voile. Je ne me voilerai pas. Ils ont cherché à m’imposer cela, à me mettre devant le fait accompli, eh bien, on ne me met pas devant le fait accompli. »

    Marion Maréchal-Le Pen réagit…

    http://www.bvoltaire.fr/marionmarechallepen/voile-offensive-de-colonisation-de-lespace-public-france,315522

  • La Belgique va libérer 57 islamistes ayant prêté allégeance à Daech !

    Fouad-Belkacem-Daech-600x300.jpg

    C’est le quotidien belge La Dernière Heure qui le révèle ce matin : 57 islamistes fichés comme tels, dont certains ont prêté allégeance à l’Etat islamique (Daech) durant leur séjour en prison, sont sur le point d’être libérés !

    « Au moins neuf doivent à coup sûr retrouver l’air libre cette année parce qu’ils ont purgé leur peine, mais si l’on tient compte des libérations anticipées légales – au tiers de la peine ou aux deux tiers pour les récidivistes –, on arrive à une liste de 57 personnes. »

    Pire encore : parmi ceux-ci figure « quelques noms bien connus comme Fouad Belkacem » (photo), la figure de proue de Shariah4 Belgium, « qui a envoyé une centaine de combattants en Syrie » ! Ou encore « Soufiane Alilou, une figure du réseau qui entourait Abdelhamid Abaaoud, responsable des attentats de Paris » : lui devrait sortir le 5 avril prochain.

    La Dernière Heure cite encore un certain nombre de noms, comme celui de Mohammed Azzedine Keraï, « membre des Kamikaze Riders, dont plusieurs membres sont partis en Syrie, et soupçonné, mais sans qu’on puisse le prouver, d’avoir planifié des attentats en Belgique pour la nuit du Nouvel An 2015 ». Lui est assuré d’être libéré au plus tard… le 25 décembre prochain. Joyeux Noël !

    Le quotidien Le Soir précise qu’il ressort par ailleurs de la liste « que plus d’un tiers des détenus en question sont emprisonnés pour d’autres faits (abus, homicides…) et ont prêté allégeance derrière les barreaux ».

    Mais, pas de panique, la situation est sous contrôle. C’est le ministre belge de la Justice, Koen Geens, qui le dit : « La base de données centrale des prisons est liée à la base de données de la police fédérale. De cette manière, les détenus peuvent être mieux suivis. » On est pleinement rassurés.

  • L’islamophobie, nouveau péché capital – par Guillaume Faye

    L’islamophobie, une variante du ”racisme” pour l’idéologie dominante soft–totalitaire, est aujourd’hui poursuivie ; comme l’anti–nazisme pendant l’Occupation ou l’antisoviétisme dans l’ex–URSS. La même logique de soumission et de collaboration (dont la peur est le ressort) du dominé envers l’envahisseur est à l’oeuvre. L’islam est devenu intouchable, surtout pour les pouvoirs de gauche, même si ses racines sont liées à la dictature, à l’antisémitisme, à l’oppression des femmes, à l’obscurantisme ; sans oublier l’explosion de la délinquance, de la criminalité et du terrorisme, dont l’immense majorité des auteurs est d’origine musulmane. L’accusation d‘islamophobie vise à intimider et à soumettre. Au nom de la démocratie et de la liberté. Bonjour Orwell.

    Un désir masochiste d’être envahis et soumis

    Plusieurs manifestations de musulmans, soutenus par des islamo–collaborateurs, répètent ce slogan (parfaitement totalitaire) inscrit sur des banderoles : « l’islamophobie n’est pas une opinion, c’est un délit ». Le CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), officine militante d’islamisation de la France et de colonisation migratoire, poursuit en justice pour ”racisme” (!) l’historien George Bensoussan parce qu’il a déclaré que les Arabo–musulmans sont élevés dans l’antisémitisme (voir plus bas). Nous vivons ce paradoxe : l’islamophobie est condamnée alors que l’islam et les musulmans sont, partout dans le monde, les principaux acteurs de terreur, de meurtres, d’oppression et d’obscurantisme ! Et la christianophobie est parfaitement autorisée ! (L’islamophobie est même punie de mort par les musulmans eux–mêmes : voir le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo qui, pourtant, s’en prenait très rarement à l’islam mais répétitivement au christianisme)

    L’antisémitisme (ou judéophobie) n’est poursuivi que s’il provient (les cas sont rares) des milieux d ‘”extrême droite” et français de souche, mais pas des musulmans, qui bénéficient d’un privilège d’innocence. La judéophobie, comme le racisme anti–Blanc, d’origine arabe, musulmane, africaine sont très généralement ignorés et impunis par les autorités françaises objectivement collabos. Alors que, partout dans le monde, et jusqu’en France, les agressions, meurtres et persécutions contre les chrétiens sont commis au nom de l’islam. On marche sur la tête. Il s’agit de servitude volontaire. (1)
    Peu répandue, l’islamophobie mériterait-elle de l’être ?

    Pour Pascal Bruckner, auteur d’un récent essai, Un racisme imaginaire (Grasset), l’islamophobie est une invention, qui ne correspond pas à un sentiment répandu en Occident : cette fiction servirait à neutraliser les résistances à l’ ”islamisme” et à culpabiliser, comme ”racistes” (accusation magique et paralysante) les opposants au salafisme. C’est parfaitement exact. Mais cette position est ambigüe. Car Bruckner rejette par là même l’islamophobie comme immorale, et en élimine la possibilité. Il sous-entend que ” ce n’est pas bien” d’être islamophobe ; pourquoi l’islamophobie ne serait-elle pas légitime, alors que nous sommes objectivement agressés par l’islam chez nous, son invasion, ses exactions et ses crimes ?

    Bruckner cède à la première étape de la soumission à l’islam invasif. Les islamophobes sensés sont donc condamnés par cet intellectuel prétendu adversaire de l’ ”islamisme ”. Bruckner obéit à l’esprit munichois : surtout pas de conflit ! L’angélisme politique et l’optimisme des bons sentiment sont le psoriasis mental des intellectuels élégants, qui pensent que la cohabitation, le ”vivre ensemble” en langue de bois, sont possibles dans l’harmonie.

    L’oxymore de l’ ”islam modéré et tolérant”

    La fable de l’ ”islam modéré” (pourquoi pas le ”nazisme centriste”, le ”stalinisme libéral”, le ”catholicisme athée”, etc. ?) est diffusée par l’idéologie officielle. Les premiers à s’élever contre cette idiotie sont d’ailleurs des écrivains et intellectuels arabes lucides, femmes et hommes, très minoritaires, mais courageux face aux menaces de leurs coreligionnaires obscurantistes et fanatisés, pour lesquels les ”apostats”, coupables de trahison, sont les pires ennemis.

    L’historien George Bensoussan (2) est poursuivi pour racisme par le CCIF – Collectif contre l’islamophobie en France, association militante objectivement alliée à l’islam radical, suivi des idiots utiles collabos habituels : la Licra, la Ligue des droits de l’homme, Sos Racisme et le Mrap (le marché de l’ ”antiracisme”). On l’attaque pour avoir déclaré que dans les familles musulmanes, l’antisémitisme était inculqué culturellement dès l’enfance, ce qui est une évidence sociologique.

    Ivan Rioufol (Le Figaro, 03/02/2017) note : « La trahison des mouvements antiracistes qui trouvent chez des magistrats l’appui pour poursuivre ceux qui dénoncent la nouvelle judéophobie, fait mesurer l’emprise de l’idéologie conquérante sur les esprits. Elle fait répéter […] que le musulman est le juif des années trente, en dépit des attentats au nom d’Allah. Une même inversion des réalités permet aux embrigadés de soutenir que l’antisionisme, qui dissimule souvent la haine du mécréant, est un antiracisme. » Il déplore la « désintégration de la nation, sous le poids du communautarisme surprotégé ». Ce qui signifie, en langage journalistique correct, que la nation est menacée par l’immigration en majorité musulmane. « La désislamisation de la France reste un objectif atteignable à la condition que l’État cesse de reculer devant une contre-société agressive ». Certes. Mais cette nécessaire ”désislamisation” ne pourra en aucun cas être pacifique…
    La pathologie islamophile

    L’idéologie dominante affirme que la France et l’Europe auraient une dette culturelle envers l’islam. La valorisation de l’islam – au prix d’énormes mensonges historiques– est proportionnelle aux dégâts qu’il cause en Europe, aux États–Unis et dans le monde et à son indigence intellectuelle et culturelle.

    Témoigne de cette pathologie mentale le livre collectif Histoire mondiale de la France, dirigé par Patrick Boucheron (Le Seuil). C’est un bréviaire de l’ethno – masochisme, de la repentance et de la haine de soi, qui raconte que la France et l’Europe auraient depuis le haut Moyen–Âge une part brillante de leur identité due à l’islam. Alors que ce dernier a toujours été l’adversaire le plus acharné et le plus destructeur.

    Dans la revue identitaire belge Renaissance européenne (N°110, premier trimestre 2017), on apprend que le bulletin de la paroisse universitaire de Louvain–la–Neuve se félicite que la communauté musulmane inaugure une nouvelle mosquée. Vive l’invasion ! Le bulletin catholique parle de « nos frères et sœurs musulmans » et appelle à s’ouvrir à « la face lumineuse de l’islam ». Les chrétiens d’Orient persécutés, spoliés, massacrés apprécieront ce masochisme pathologique, angélique et délirant des autorités catholiques européennes. Ces malheureux savent, pour l’avoir vécu et le vivre, que l’islam n’est pas lumineux mais obscur et sanguinaire. Il brûle les églises, égorge les prêtres, et produit fort peu d’œuvres culturelles. Détruire et non pas construire, c’est la logique intrinsèque de l’islam et de ses racines anthropologiques.

    Paradoxe : plus l’islam tue, plus on réprime l’islamophobie

    Les médias, la classe politique, en Europe et en Amérique du Nord, sont très souvent, par bêtise, naïveté et culpabilisation, victimes de la propagande des idéologues islamiques. Même la hiérarchie catholique tombe dans le panneau. Voici les trois arguments mensongers intimidants : 1) critiquer l’islam et faire remarquer que tous les attentats terroristes ont été commis par des musulmans au nom de l’islam est une ”stigmatisation” des musulmans, donc relève du péché capital de racisme. 2) Il ne s’agit pas de terrorisme musulman mais de ”terrorisme” tout court, non imputable à l’islam. 3) L’islam est une religion de paix et d’amour et la critiquer est, là encore, du racisme. Ces sophismes favorisent discrètement la terreur islamique, ainsi que l’immigration invasive. L’antiracisme ? La principale source de racisme (anti–Blanc) et d’antisémitisme en France, parfaitement tolérée, provient des immigrés musulmans. Les idéologues musulmans ont pour stratégie (depuis le VIIIe siècle) de se présenter en victimes alors qu’ils sont des agresseurs. Les premiers persécutés dans le monde sont les chrétiens (par les musulmans) ; les seconds sont les musulmans (par leurs coreligionnaires). Dans les deux cas, l’islam est un facteur de mort, de guerre, de destruction.

    L’islamophobie est poursuivie à mesure que l’islam s’impose comme la principale source de terreur, de crimes, d’obscurantisme dans le monde. Paradoxe démentiel. L’islamophobie est même punie de la peine de mort, comme on l’a vu avec le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo, après un meurtre semblable en Europe du Nord, voici quelques années ; actuellement, en Europe, nombre d’ ”islamophobes”, souvent journalistes, sont sous le coup d’une fatwa (appel au meurtre) et sous protection de la police. (3)

    L’”islamophobie” de Trump choque, malgré sa modération

    La mesure minimaliste de Donald Trump, prise par décret fin janvier 2017, annulant (provisoirement et timidement) des visas de séjour aux Etats-Unis pour sept pays musulmans hébergeant des terroristes (bien en dessous de ses promesses d’interdire toute immigration musulmane, ce qui serait pourtant indispensable), a provoqué au Congrès et dans le monde, un vague de réprobation démesurée, auxquels se sont joints les immigrationnistes, la chancelière Merkel et son subordonné français Hollande.

    Le décret de Trump, qui a d’ailleurs été annulé par les juges, preuve de leur dictature contre le peuple, est assimilé à un crime islamophobe. Hollande a sermonné que « l’accueil des réfugiés est un fondement des démocraties », alors que c’est l’inverse, cet ”accueil” invasif imposé étant parfaitement antidémocratique puisque refusé massivement par les peuples européens autochtones et les Américains. Pour l’idéologie dominante devenue folle, bannir les immigrants musulmans est un péché – et la lutte antiterroriste ne saurait y servir de prétexte, même si 100% des terroristes sont musulmans.

    Les démocrates du Congrès ont accusé Donald Trump de discriminer les musulmans. Et le chef du groupe démocrate au Sénat, Charles Schumer, a déclaré que « les larmes coulaient sur les joues de la statue de la Liberté ». Elles ne coulent pas quand des migrants musulmans installés aux USA massacrent régulièrement des citoyens américains ? Décidemment, il faudrait que la couronne posée sur la tête de la statue de la Liberté à l’entrée du port de New–York soit remplacée par un voile islamique, ce serait important pour ne pas offenser l’islam, non ?

    Le vice–premier ministre turc, Numan Kurtulmus, a intimé au président Trump, avec une sereine impudence, de revenir sur son décret, motivé selon lui par « l’islamophobie, les sentiments anti–immigration et la xénophobie croissante de l’Occident ». Les musulmans revendiquent donc le droit de nous envahir. Deux poids deux mesures : l’Europe, les États–Unis, le Canada sont sommés d’accueillir les ”migrants” de Syrie et d’ailleurs, mais les riches monarchies arabes absolutistes, pas plus que d’autres pays musulmans n’en accueillent un seul. Cherchez l’erreur.

    L’”islamophobie” assimilée aux persécutions antijuives

    Les idéologues musulmans et leurs collaborateurs de gauche comparent les persécutions antijuives entre 1940 et 1945 et la prétendue ”islamophobie” qui règnerait en France et en Europe, notamment à la suite de l’interdiction (théorique, limitée, et peu suivie d’effets) des tenues vestimentaires imposées aux femmes, tchador intégral et ”burkini”.

    Cette comparaison est d’autant plus insultante pour les Juifs qu’ils sont la cible d’un antisémitisme musulman meurtrier depuis les crimes de Merah et de Coulibaly. Les abominables ”identitaires” ou le FN, ni les très supposés dangereux et subversifs cathos intégristes ne sont impliqués dans cet antisémitisme meurtrier. Dans de récentes déclarations, Vincent Peillon, Jean–Christophe Cambadélis (le patron du PS, le plus bête de la bande), Jean–Luc Mélenchon, Edwy Plenel, Tarik Ramadan ont défendu l’idée, avec l’aide des médias américains démocrates, que les musulmans sont persécutés en France et victimes de ”racisme” comme les Juifs du temps de Vichy. Alors qu’ils sont privilégiés ! Contrôler, arrêter ou condamner un voyou arabe ou africain qui vient de commettre un délit équivaudrait aux rafles antijuives de la Seconde guerre mondiale.

    Qu’on puisse, en France, être poursuivi pour ”islamophobie”, mais non pas pour ”christianophobie”, est un signe suicidaire de démission et de soumission face à l’islam.

    (1) Le christianisme est, aujourd’hui, dans le monde, la religion et l’appartenance la plus persécutée et poursuivie. Hors Chine et Corée du Nord, l’islam en est la principale cause. Les atteintes contre les lieux de culte chrétiens en France entre 2008 et 2016, (églises, cimetières, etc.) ont augmenté de 245%. En 2016, pour la première fois dans l’histoire, un prêtre (le Père Hamel) a été égorgé par des musulmans pendant sa messe. Mais, bien sûr, le grand péril, c’est l’islamophobie, n’est-ce pas ?
    (2) Une France soumise, est le dernier essai de Georges Bensoussan, ( Albin Michel, 2017)
    (3) Les poursuites judiciaires contre l’hebdo de droite Valeurs actuelles (le seul en progression de ventes par rapport à ses concurrents, ce qui inquiète l’oligarchie) simplement pour avoir dénoncé une islamisation et une invasion migratoire, prouvent que les médias résistants sont assaillis par une justice politisée et partiale. État de droit ?

    http://www.gfaye.com/lislamophobie-nouveau-peche-capital/