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Terrorisme / Au tour de la Russie - Journal du mardi 4 avril 2017
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Attentat dans le métro de Saint-Pétersbourg : encore un islamiste
L'attaque commise dans le métro de Saint-Pétersbourg est imputable à un islamiste suicidaire, qui a fait exploser une bombe. Les autorités ont identifié l'auteur de l'attaque et le suspect, âgé de 23 ans, est originaire d'Asie centrale. Ses explosifs étaient dissimulés dans un sac à dos. Il serait lié à l'islam radical. Le président russe, Vladimir Poutine, s'est rendu sur les lieux de l'attentat pour y déposer des fleurs. L'attentat a fait 11 morts et 45 blessés.
Vladimir Fédorovski, écrivain et ancien diplomate russe, estime que Vladimir Poutine était directement visé :
"C'est lui qui est visé à travers cette attaque. Le choix de la ville a une dimension symbolique. Non seulement l'attentat a eu lieu au moment de sa venue à Saint-Pétersbourg, mais on sait aussi à quel point il est attaché à cette ville, où il est né et a longtemps vécu. C'est sa ville natale qui a été frappée, au moment où il s'y trouvait. Il s'agit clairement d'un défi personnel. Le choix de l'endroit et du moment s'explique par ce lien privilégié entre qui unit le Président russe à Saint-Pétersbourg, et peut-être aussi par le fait que Vladimir Poutine a toujours comparé le terrorisme islamiste au nazisme. Or, on sait que Léningrad fut une ville martyre du régime nazi.
Pourquoi Vladimir Poutine est-il la cible privilégiée des terroristes?
Parce qu'il en est ouvertement l'ennemi, et ne fait pas de concessions à ce sujet. Entre la Syrie, où il s'est opposé au renversement de Bachar El Assad car il craignait que Daech prenne le pouvoir, et son sempiternel refus de faire alliance avec l'Arabie Saoudite et le Qatar à cause de leurs liens avec certaines organisations terroristes, Vladimir Poutine a toujours annoncé très clairement la couleur. Pour les terroristes islamistes, il représente l'ennemi par excellence. Il veut depuis longtemps faire de la Russie le fer de lance de la guerre mondiale contre le terrorisme. À cause de cela, de nombreux attentats ont visé la Russie ces derniers mois, et ont été déjoués par les services russes. Cette fois, l'attentat a eu lieu. [...]"
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La Laïcité, mère porteuse de l’islam ?
C’est le titre du prochain livre que l'abbé Michel Viot co-signe avec Odon Lafontaine, aux éditions Saint Léger :
"Nous y explorons les fondements et les déploiements des espérances et projets politiques nés de l’islam et nés des Lumières : qu’est ce qui anime réellement leurs tenants ? Quelles ont été les influences que les uns ont pu exercer sur les autres jusqu’à la situation actuelle ? Cet éclairage nous a semblé plus que nécessaire en ces temps de grande confusion, alors même que la pitoyable campagne présidentielle en cours évite soigneusement de traiter le fond des problèmes posés par les rapports entre la société française, façonnée par 1500 ans de christianisme et deux siècles de Lumières, et l’islam.
La confusion, c’est par exemple le pataquès qui a accompagné la publication de la Charte de l’Imam que le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) a présentée ces derniers jours. Les réactions qu’elle suscite publiquement, laissant en deviner d’autres, et les tensions qu’elle révèle au sein des communautés musulmanes de France, me confirment qu’il était plus que temps d’inciter à une réflexion de fond sur l’islam. Aussitôt publiée, cette charte a en effet été condamnée par cinq fédérations musulmanes importantes au sein des communautés françaises (la Fédération de la Grande Mosquée de Paris, dont le président Dalil Boubakeur vient de publier à son tour sa propre « proclamation de l’islam en France », la Confédération Islamique Turque Milli-Görus ou CIMG, le Comité de Coordination des Musulmans Turcs de France ou CCMTF, l’Union des Organisations Islamiques de France ou UOIF, et l’organisation Foi et Pratique). L’État français avait voulu doter les musulmans français d’une représentation unique, d’une instance de dialogue avec lui, le CFCM. La réalité de l’islam, que ce même État s’est interdit de considérer en vertu de la loi de 1905, en a décidé autrement : travaillé en profondeur par des courants, des tendances, des influences puissamment divergentes et antagonistes, il se révèle ici incapable de parler d’une seule voix. C’est en fait tout l’islam, au niveau mondial, qui est en situation de crise, due principalement à des facteurs internes tenant à la nature de la doctrine musulmane elle-même. Cette crise a été aggravée encore depuis deux siècles que les Occidentaux se sont mêlés d’islam, depuis que les musulmans se sont appropriés les idées des Lumières et particulièrement depuis l’abolition du califat par Mustafa Kemal en 1924. Nous expliquons tout cela en détail dans notre livre.
La confusion, c’est encore ce qu’incarnent les modalités de publication de cette charte : le CFCM ne dispose même pas d’un site internet où le public pourrait consulter ses positions, ses communiqués et documents ! Au point même que des petits malins ont pris la place, mettant en ligne le site www.cfcm.tv (« Communauté Francophone de Confession Musulmane »), diffusant une doctrine musulmane d’inspiration salafiste ! Un comble ! On est alors obligé, pour s’informer sur cette charte, de s’en remettre aux divers médias qui l’ont reçue, de s’en remettre aux filtres de leurs propres commentaires, et, heureusement, aux initiatives de ceux qui ont eu la bienveillance de la publier eux-mêmes ! [...]"
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Comment l'alliance socialiste et islamiste a détruit la liberté d'expression
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Alexandre Del Valle : l’ennemi principal n’est pas la Russie, mais le totalitarisme islamiste
2e partie de notre entretien avec Alexandre Del Valle à propos de son livre Les Vrais ennemis de l'Occident (première partie ici) :
Mais les intérêts de la Russie ne sont-ils pas profondément différents de ceux de l'Europe de l'Ouest?
Non ! s’ils sont totalement opposés aux intérêts et idéologie de McWorld et de l’atlantisme, ils sont par contre très convergents avec ceux de l’Occident identitaire ou « alterOccident » car l’énergie, le territoire, les cerveaux, les ressources naturelles et la force militaire russes puis le modèle alter-occidental souverainiste et néo-orthodoxe-chrétien de la Russie post-soviétique doteraient l’Europe, si celle-ci était libérée du joug atlantiste, d’une autonomie et d’une force de frappe géostratégique qui en ferait la première puissance du monde. Et c est justement ce que craignent les Etats-Unis et les stratèges de l’OTAN… Mais il est clair que notre intérêt serait de développer les richesses énergétiques de la Russie et d’importer le gaz et le pétrole russe plutôt que de dépendre des monarchies du Golfe et du Maghreb qui ont des intérêts et des valeurs géocivilisationnelles non seulement opposées mais menaçantes puisque les puissances islamiques escomptent conquérir religieusement et démographiquement l’Europe.
Pensez-vous que la lutte commune contre le totalitarisme islamique suffise à unifier l'ensemble de la civilisation occidentale ou bien les divergences internes ?
Bien sûr que non, mais cette lutte commune aurait le mérite de clarifier l’ennemi principal, qui n’est pas la Russie, mais les pôles du totalitarisme islamiste, composé d’Etats et organisations sunnites qui projettent de nous conquérir et donc de détruire tout simplement note civilisation… Des Etats-Unis à la Russie en passant par l’Australie et la Vieille Europe, les défis sont communs : immigration, vieillissement, menace islamiste, individualisme, et les origines sont communes, christianisme, pensée gréco-latine, substrat celto-germanique ou latin et slave. Nos valeurs sont bien plus proches que nous le croyons et du point de vue de l’islamisme conquérant, nous ne faisons qu’un, en vertu de l’adage islamique, les Croisés et les impies ne sont qu’une seule nation (Kufru Millatün wahida »).
Est-il encore possible de lutter efficacement contre le totalitarisme islamique quand nous dépendons autant financièrement des principaux financiers de ce totalitarisme, notamment les monarchies du Golfe?
Oui parfaitement ! Une chose est claire : nous ne pourrons pas vaincre le totalitarisme « chez lui », c est à dire dans les pays musulmans, car seuls les musulmans et les responsables politiques et religieux de es pays pourront réformer leur religion, jamais revisitée depuis le 11ème siècle et restée figée dans une théologie de la guerre et de l’intolérance, source à laquelle puisent les islamistes radicaux pour disqualifier les modernistes. Cette guerre interne nous échappe largement. Nous pouvons certes aider les pays les plus anti-islamistes, comme les derniers nationalistes arabes et les Etats qui combattent la subversion des Frères musulmans (Egypte, général Haftar en Libye, Syrie de Bachar, forces chiites modérées en Irak, Kurdes, Liban, Jordanie, Maroc, etc). Mais par contre, sur notre sol, si nos dirigeants renouent avec un volontarisme et une politique de souveraineté, nous pouvons reprendre en main les institutions de représentations de l’islam et couper l’influence de l’islamisme mondial nos communautés musulmanes d’Europe puis bannir les Frères musulmans et les mouvances salafistes, radicales, wahhabites, tablighies, milli görüs,etc, bref toutes les tendances de l’islam extérieur dont l’objectif est d’empêcher l’intégration de nos concitoyens musulmans à qui sera proposée une « charte de l’islam de France » qui posera les conditions de la compatibilité entre les règles et rituels islamiques et nos valeurs et lois. Il suffira d’appliquer la loi et de n’accepter de l’islam que ses mouvances réformistes conformes à nos valeurs et règles. La chose est possible. Des imams modérés existent mais nos politiques ont préféré depuis des décennies confier nos musulmans aux forces islamiques obscurantistes et étrangères. Il est temps de revenir à la raison.
par Michel Janva
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La Guyane s’invite dans la campagne - Journal du lundi 27 mars 2017
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La guérilla ethnique a commencé
Et elle est le prélude d’une guerre civile en gestation, probablement de forte intensité, sanglante et dévastatrice, et qui sera un cataclysme, y compris économique. Profitez des dernières années de tranquillité relatives. La tempête approche. Pas une semaine, en France et ailleurs en Europe de l’Ouest, sans qu’éclatent des affrontements ethniques – à sens unique. Souvent, sans qu’il y ait besoin de prétextes : les émeutiers – d’origine maghrébine et africaine en totalité – sont des agresseurs qui ne revendiquent même plus leurs violences sous la justification d’une protestation. Les émeutes et agressions sont pratiquement gratuites et incessantes. La guérilla a commencé, première phase de la guerre. Elle annonce l’embrasement dévastateur qui se prépare et qui sera peut-être salvateur.
Criminalité et terrorisme djihadiste, même combat
C’est une criminalité d’intimidation, un mélange de délinquance crapuleuse avec saccage urbain et de raids de guérilla. Toujours sur fond de djihad islamique. Ce à quoi s’ajoutent des actes de terrorisme ”artisanaux”, dont l’égorgement du Père Hamel, pendant sa messe, est un symbole majeur, une provocation qui prolonge le meurtre des moines de Tibéhirine en Algérie, sauf que là, pour la première fois dans l’histoire, les tueurs musulmans agissaient en France même, au cœur de la Normandie.
L’intensité et la gravité des émeutes ethniques ne fait que croître d’année en année. Depuis le début de 2017, il n’y pratiquement pas une semaine sans un embrasement, surtout en région parisienne, avec son cortège de voitures incendiées, de mobilier urbain détruit, de policiers agressés et blessés. Les grands médias minimisent ou censurent. Le parallélisme est parfait avec la croissance des attentats djihadistes et la montée incessantes des innombrables problèmes liés à l’islam invasif. Il s’agit d’un seul et même phénomène, généré par la même population, grâce à la passivité, à la naïveté angélique ou à la complicité perverse des autorités françaises – et européennes.
L’État s’humilie devant les émeutiers arabo–africains
La tentative de meurtre de policiers par des voyous et dealers arabes et africains racistes anti–Blancs, gravement brûlés dans leur voiture incendiée, en banlieue parisienne en janvier 2017, a beaucoup moins ému les médias et le ministère de l’Intérieur que l’ ”affaire Théo ”, fin février 2017. Cet Africain, qui s’était violemment rebellé au cours d’un contrôle de police, prenant parti pour des dealers, a prétendu avoir été ”violé” par une intromission anale de matraque. Invraisemblable ; mais les médias, complices, ont suivi cette version délirante. Il semblerait que la ”blessure anale” ait une toute autre cause… (1) Les policiers, accusés de ”racisme”, ont été lourdement sanctionnés et des émeutes avec vandalisme ont éclaté pendant plusieurs jours dans les banlieues et ailleurs, soutenues par les islamo–gauchistes.
Incroyable humiliation : le chef de l’État, le pathétique François Hollande, est allé au chevet dudit Théo, voyou de banlieue, pour négocier avec lui ! Il lui a demandé, suprême soumission, de bien vouloir appeler ses amis des ”cités” au calme. Peine perdue, d’ailleurs. Hollande, méprisant, indifférent, n’était même pas allé au chevet des policiers gravement brûlés par les voyous arabes et africains. Deux poids, deux mesures. Hollande est un homme indigne qui a déshonoré sa fonction et encouragé les émeutiers et envahisseurs.
Il est bien, en version microscopique, le fils de son père en politique, François Mitterrand, le vichyste collabo, toujours du côté de l’occupant, quel qu’il soit, détestant toute forme de ”résistance”, qui a dit que les envahisseurs étaient « chez eux, chez nous ». Et pour tout couronner, le faux martyr, ” Théo”, s’avère être, ainsi que sa famille, un escroc détourneur de subventions publiques. Mais il ne risque rien ; pour la justice partiale, il est devenu sacré et intouchable. Antiracisme oblige.
Multiplication des actes de guérilla
L’attaque de militaires du 1er RCP en patrouille à la machette au Carrousel du Louvre par un Égyptien, Abdullah Reda al–Hamamy, au cri de Allah Akbar le 3 février 2017 relève d’un terrorisme de proximité, imprévisible, cœur de la guerre civile ethnique qui s’annonce. Ce genre d’actes se multiplie. À cela s’ajoute les raids de plus en plus fréquents, mêlant la criminalité crapuleuse et l’agression à caractère anti–français et raciste.
Dans la nuit du 14 au 15 janvier 2017, sept ”jeunes”, tous d’origine maghrébine et africaine, ont perpétré des saccages et des agressions dans un quartier tranquille de Juvisy–sur–Orge (Essonne). Ils étaient armés (sabre, scie, machettes, marteau). Ils ont aussi dévasté l’appartement d’un riverain. Outre une affaire de règlements de comptes entre bandes ethniques rivales, il s’agit d’une de ces razzias de plus en plus fréquentes, gratuites, destinées à terroriser les Français de souche sur leur propre territoire. Ce sont des actes, non pas seulement de délinquance, mais de guerre. Ces sept agresseurs n’ont été condamnés par une justice (laxiste ou complice ?) qu’à des peines de ”travaux d’intérêt général” (des plaisanteries jamais exécutées), à l’obligation d’indemniser les victimes (ce qui ne sera jamais fait) et à de la prison avec sursis. Autant dire : impunité, vous pouvez recommencer.
Les 25 et 26 janvier 2017, à Compiègne, ville royale jadis sans histoires, dans un quartier en proie au trafic de drogue, des policiers ont été encerclés et lapidés et les affrontements ont duré plusieurs heures. Le 26, à Corbeil–Essonne, au cours d’incidents avec toujours la même population (les « jeunes »), un policier a été grièvement blessé. Il ne se passe plus une semaine sans que ce genre d’incidents éclatent.
L’inexorable montée des violences protéiformes de même origine
Il existe une imbrication entre délinquance criminelle et guerre terroriste et/ou émeutière. En France, les homicides (hors attentats islamiques) étaient en hausse de 11% entre 2015 et 2016 ; les violences physiques sont en augmentation constante depuis 2013. Aujourd’hui, 3.000 personnes par jour en sont victimes, avec blessures. En 2014, il y avait 90 détenus pour des faits liés au terrorisme islamique, et 358 fin 2016. Et 16.000 individus sont soupçonnés d’être liés à l’islamisme radical, acteurs potentiels de toute forme d’agressions sanglantes et de terrorisme. Ce chiffre des services de renseignement est sous–estimé car c’est sans compter ceux qui ne sont pas repérés et dont le nombre ne cesse de croître. C‘est un fait gênant (la réalité sociologique est toujours incorrecte et brutale face à l’idéologie) : l’immense majorité des individus impliqués dans des actes criminels et délinquants, dans des émeutes et dans des projets ou actions terroristes sont d’origine arabe ou africaine et sont musulmans. Quant aux Français, surtout dans les classes sociales modestes, tous les sondages indiquent que leur principale préoccupation, avant le chômage, est maintenant leur sécurité face à cette inexorable montée de la violence qui gangrène leur vie quotidienne. Face à un État impuissant et à une justice quasiment complice. Quand se rebelleront–ils ?
La stratégie de la tension
Les incidents graves et affrontements sont presque quotidiens, dans toute la France ; les grands médias les dissimulent ou les minimisent par idéologie ou par habitude ; ces émeutes dépassent la criminalité arabo-musulmane et africaine endémique, et visent les forces de l’ordre. C’est ciblé, calculé, politique, manipulé et encouragé dans l’ombre par les autorités musulmanes qui veulent en découdre. L’immense majorité des policiers et gendarmes tués en opération ou grièvement blessés en France depuis plus de dix ans le furent par qui vous savez…
Embuscades et agressions avec souvent volonté de meurtres contre les policiers et autres représentants de l’autorité, y compris pompiers, se multiplient partout. La portée de ces faits est donc politique et ethnique. S’attaquer aux forces de l’ordre revêt un sens : celui de lancer la guerre civile éthique.
En parallèle se développe évidemment un antisémitisme arabo-musulman, violent et largement impuni, qui provoque le départ vers Israël (alya) ou d’autres destinations de familles juives qui ne se sentent plus en sécurité dans une France qui se laisse envahir. Ces juifs français ont une attitude intuitive et préventive : ils sentent que la guerre civile ethnique se rapproche et qu’ils en seront les premières victimes.
Terroriser la population autochtone
Une de mes correspondantes me rapporte que dans son petit village du Sud de la France, près de Montpellier, jadis tranquille et très agréable à vivre, l’enfer s’est installé. Toute la région est particulièrement envahie par l’immigration arabo–africaine. Des bandes ethniques armées venues d’une ville voisine font régulièrement irruption au cours de razzias, terrorisant la population. L’incursion dure une quinzaine de minutes : saccage du mobilier urbain, bris des vitrines des magasins et des vitres des voitures, destruction des plantes des habitants, etc. Le but est clair : terrifier la population, qui s’enferme chez elle. Fin de la convivialité villageoise dans la sécurité du voisinage, comme jadis. C’est un marquage territorial ; le message est : ”vous n’êtes plus chez vous, on est chez nous, on est les nouveaux maîtres”. Exactement la même technique atavique que celle employée par leurs ancêtres dévastateurs à partir du VIIIe siècle…
Les zones tranquilles où ne résident pas les musulmans maghrébins et africains ne sont plus épargnées comme jadis. Les bandes ethniques y mènent des razzias pour ”casser du flic et du Blanc.” Le soir du 27 janvier 2017 , dans la très bourgeoise et jadis parfaitement tranquille petite ville de Saint-Germain–en–Laye, le poste de la police municipale a été attaqué par onze assaillants encagoulés qui ont défoncé la grille d’entrée et incendié un véhicule. Cette agression est gratuite ; elle n’est motivée par aucun intérêt crapuleux ; c’est un acte d’intimidation et de guerre civile.
Favoritisme ethnique et racisme anti–Blancs
La totalité des agressions (crapuleuses ou terroristes) contre les Français de souche, les chrétiens et les juifs, ainsi que la plupart des faits de criminalité crapuleuse ou violente et de vandalisme sont le fait de la même population qui, par ailleurs, est présentée comme victime de racisme ! Alors que l’État accorde à cette population envahissante tous les privilèges ethniques possibles : mansuétude judiciaire, impunité très fréquente avec peines symboliques, discrimination positive (1) et privilèges dans tous les domaines ; ils sont présentés par l’idéologie dominante comme des victimes alors qu’ils sont des prédateurs favorisés.
Imaginons une seconde que les centaines de morts (les milliers en comptant le 11 septembre 2001) des attentats commis par des musulmans en Europe (France, Espagne, Grande-Bretagne, Belgique, Russie, etc.) et en Amérique du Nord, au nom du djihad islamique, aient été perpétrés contre des musulmans par des non musulmans. Imaginons que des non– musulmans chrétiens aient attaqué des mosquées ou des immigrés musulmans en faisant des milliers de victimes, comme les musulmans le font, un peu partout en Occident et en Orient contre les chrétiens – sans même mentionner les massacres inter-musulmans. Imaginons que des tueurs européens de souche aient attaqué à l’arme à feu une mosquée ou un quartier à majorité immigrée en région parisienne en faisant le même nombre de morts que les Arabes musulmans au Bataclan et ailleurs. Imaginons que des catholiques intégristes ait tué un imam pendant sa prêche, comme des Arabes musulmans ont égorgé le Père Hamel pendant sa messe. Les réactions d’indignation auraient été dix fois plus fortes et des vagues d’émeutes auraient suivi. Deux poids, deux mesures.
Cibles des agresseurs : Noël et la Saint–Sylvestre
Pendant les fêtes de Noël 2016, pour la première fois dans l’histoire de France, il a fallu que des policiers et militaires, fusils au poing, soient postés devant les églises pour dissuader les agressions d’assassins musulmans ! La fête de la Saint–Sylvestre, le 31 décembre 2016, a dû être sécurisée par près de 100.000 policiers et militaires, en armes, sur le territoire français, toute la soirée et la nuit. Le chiffre est énorme. Car aux agressions crapuleuses, aux voitures incendiées, s’ajoute la menace d’attentats islamiques. On remarquera que c’est exactement la même population agressive qui est impliquée dans les deux cas. S’il ne s’agit pas des prémisses d’une guerre civile ethnique, on se demande de quoi il s’agit.
Au lendemain de la Saint–Sylvestre 2016, malgré les mensonges du nouveau ministre de l’Intérieur Bruno Le Roux (le réveillon « s’est particulièrement bien passé, sans problème majeur » a–t–il déclaré) 945 véhicules ont été incendiés – contre 602 l’an passé –et 454 émeutiers ont été interpellés, notamment pour agression envers les forces de l’ordre. Très peu feront de la prison ferme. Quatre morts sont à déplorer, dans l’incendie de leur appartement, ainsi que de nombreuses agressions avec vols contre des personnes ou des commerces. L’immense majorité des agresseurs est de l’origine que vous devinez. À part ça, tout va bien. Si 100.000 policiers et militaires n’avaient pas été mobilisés, que se serai-il passé ?
Il y a quelques décennies – dont beaucoup se souviennent avec nostalgie – aucun policier ou militaire ne surveillait les églises, les fêtes de fin d’année et aucune voiture ne brûlait ! Mais nous étions encore entre nous…
Corrélation entre islam et criminalité, avec même cause anthropologique
L’attaque au camion bélier, pendant un marché de Noël, à Berlin, fin 2016 (même méthode que la tuerie de Nice, le 14 juillet) qui vise un symbole chrétien, fait suite aux viols, agressions et vols à l’arraché contre des jeunes femmes allemandes, massivement commis à Cologne, à la Saint Sylvestre 2015, par des bandes de ”migrants” maghrébins, ces clandestins, faux réfugiés, parasites accueillis à bras ouverts par l’irresponsable Angela Merkel. Cet exemple, qui se répète partout, montre que les deux types d’attaques sont parfaitement liées.
Le djihadisme islamique par attentats terroristes et la délinquance criminelle, crapuleuse et sexuelle, sous des formes violentes ou non, sont largement corrélés. C’est une tradition millénaire dans cette ethno–culture, ce que révèle une étude objective de la genèse de l’islam arabique des origines : la religiosité et la criminalité de razzia (meurtres, vols, viols, pillages, brutalités, conquêtes, piraterie barbaresque) sont étroitement associées. Cet atavisme a évidemment des origines anthropologiques, antérieures à la création de l’islam, ce dernier n’en étant que le produit.
(1) On a photographié ce Théo pendant que François Hollande lui rendait visite à l’hôpital. Il était couché sur le dos. Or, un patient qui a été victime de blessures anales récentes par intromission rectale est toujours couché sur le côté, jamais sur le dos.
(2) Cette ”discrimination positive”, objectivement racisme anti–Blancs, est parfaitement anti–constitutionnelle et contraire à la Déclaration des Droits de l’homme. Pourtant, M. Macron veut l’établir officiellement en France, alors qu’elle est déjà pratiquée discrètement un peu partout. Quant au pitoyable Benoît Hamon, candidat du PS à la présidentielle de 2017, il a déclaré qu’ ” il avait trop de Blancs à Brest”. Si ce n’est pas du racisme, c’est quoi ?
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La finance « charia-compatible » enseignée à l’université Paris-Dauphine !
La finance islamique, ou le cheval de Troie du prosélytisme de la charia en France et terreau d’un communautarisme déjà fièrement revendiqué.
L’université Paris-Dauphine a présenté le 2 mars dernier à Marseille et en partenariat avec la Kedge Business School (KBS) une « certification gestion d’actifs islamique et assurance Takaful » venant compléter son master « Finance islamique » déjà lancé en 2009 .
Pincez-nous… On rêve ? Un diplôme « Finance islamique » délivré par une université française et, qui plus est, publique, et c’est le sacro-saint principe de laïcité qu’on assassine !
Pour faire simple pour les simples d’esprit, qui, comme beaucoup, l’ignoreraient encore : la finance islamique repose sur des préceptes issus de la loi coranique qui règlent le monde des affaires en interdisant, notamment, la spéculation, l’usure et l’intérêt ou les investissements dans les secteurs qualifiés d’ « illicites » (armement, alcool, porcs, pornographie ).
C’est donc pour sauver vos âmes de mécréants, qui seraient tentées de spéculer, que nos étudiants français, pourront désormais apprendre à gérer en bons mahométans et selon les principes du droit musulman.
Bernard Palanque, responsable du centre d’expertise « Économie et Finance Autrement – Pays émergents » de la Kedge Business School nous l’explique :
« Au-delà de l’aspect purement pratique d’acquisition de compétences sur la finance islamique, ses fondements, ses spécificités et ses marchés, il s’agit de susciter chez nos étudiants une interrogation plus philosophique sur ce que pourrait être une autre éthique de la finance. Cette réflexion est plus que jamais nécessaire après que la crise de 2008 a montré le risque que faisait courir au monde une finance hors de contrôle. »
De là à comprendre que la crise de 2008 aurait pu être évitée si l’on avait appliqué les principes de la loi islamique, il n’y a qu’un verset …
Christine Lagarde, alors ministre de l’Économie, s’était déjà montrée favorable à l’établissement d’institutions financières islamiques en France pour des raisons de « pragmatisme ». Elle allait même devant les caméras d’OummaTV, jusqu’à garantir la technique du “ mourabaha ” pour contourner la règle des intérêts dans la finance non « charia-compatible ».
Faut-il en arrondir, des angles, et en tordre, des principes, pour arriver à concevoir, dans une France asphyxiée de principes laïcards, que l’on permette à une faculté française et publique d’enseigner la finance en adéquation avec la loi du Coran, celle de la charia et du droit musulman !
C’est aussi comprendre que le principe de laïcité ne tend qu’à favoriser la prise de pouvoir de l’islam sur une terre de France, née fille aînée de l’Église, mais en perpétuelle allégeance et prête demain à voiler sa Marianne.
La charia véhicule des règles que nos démocraties réprouvent au sujet de la place de la femme, des châtiments corporels, ou de la polygamie, en violation intégrale des principes de notre République et de la Déclaration des droits de l’homme, sous le silence bienveillant et complice de notre caste politico-médiatique.
Notre soumission s’arrêtera t-elle à quelques arrangements portant sur le domaine précis de la finance islamique, parce qu’elle représente un marché de 700 milliards de dollars ? Du burkini au compte épargne islamique, il n’y a qu’une loi, celle de la charia, un tout qui régit le quotidien comme le religieux du monde musulman. Imaginer la limiter à la finance c’est ajouter la naïveté à l’imbécillité.
Déjà, en France, des banques islamiques voient le jour, permettant aux musulmans de pratiquer des crédits islamiques ou une épargne islamique. Swiss Life a lancé il y a quelques années, le contrat halal , « Salam-Epargne & Placement » un plan d’épargne qui repose sur une soixantaine de fonds charia-compatibles internationaux et sur des Sukuk (le mot désigne dans le droit musulman un certificat d’investissement conforme à la charia.)
La finance islamique, ou le cheval de Troie du prosélytisme de la charia en France et terreau d’un communautarisme déjà fièrement revendiqué.
http://www.bvoltaire.fr/finance-charia-compatible-enseignee-a-luniversite-paris-dauphine/
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Orly, Londres, Anvers : La logique terroriste de l'islam
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Les Etats-Unis et la Grande Bretagne ont financé et continuent à aider le terrorisme
Ex: http://www.europesolidaire.eu
Après l'attentat de Westminster, qui en laisse présager d'autres analogues, faut-il rappeler que pendant des années, l'alliance entre les Etats-Unis et la Grande Bretagne a financé et entrainé, avec la collaboration de l'Arabie saoudite, des monarchies pétrolières et de la Turquie, des milliers d'extrémistes islamique en Syrie, Iraq et Libye. Il n'est pas certain que ceci ne se poursuive pas discrètement, même si dans le même temps ces pays annoncent vouloir dorénavant « éradiquer » l'Etat islamique.Pourquoi cette bienveillance ? Parce que ces terroristes continuent à mener une guerre dans tout le Moyen-Orient contre Bashar al Assad et l'influence qui ont prise récemment, à la demande de ce dernier, la Russie et l'Iran. Les intérêts pétroliers et géostratégiques occidentaux se croient menacés par Damas et Moscou, sans admettre que dans la lutte globale contre le djihadisme, la Syrie et la Russie mènent une lutte efficace contre l'internationale terroriste islamique qui les menace encore plus qu'il ne menace l'Europe et l'Amérique.Des mesures de protection dérisoires
Pour se défendre contre de nouveaux attentats terroristes, Theresa May promet des mesures de protection telles que l'interdiction de portables et tablettes sur certaines lignes aériennes. Mais dans le même temps la Grande Bretagne continue à refuser la mise en place de cartes d'identités au prétexte qu'elles menaceraient les libertés publiques. Il en a résulté qu'il a fallu des heures à Scotland Yard pour identifier le terroriste de Londres, un certain britannique nommé Khalid Masood, 52 ans.
Il y a plus grave. La Grande Bretagne comme la France disposent de fichiers de milliers d'individus ayant travaillé avec l'Etat islamique, les fiches dites S en France. Plus de 3.000 Britanniques seraient inscrits sur une liste de surveillance anti-terreur établie par le service de renseignement MI5. Mais comme ils ne sont pas encore passé à des actions violentes identifiées, on se borne à continuer à les surveiller épisodiquement au lieu de les mettre en détention, fut-ce à titre provisoire. Ceci est dérisoire, vu les faibles moyens dont dispose la police et les complicités dont ces individus disposent dans les quartiers dits sensibles – sans mentionner en Angleterre le nombre de communes ayant été autorisées à pratiquer la shariaa qui se révèlent de véritables pépinières de terroristes en puissance.
On objectera que les attentats seront de plus en plus le fait de candidats au suicide pour Allah, convertis discrètement dans certaines mosquées ou sur les réseaux sociaux islamistes, sans avoir fait parler d'eux auparavant. Peut-être, mais il n'empêche que de nombreux autres sont connus des services de police et que rien n'est fait pour les empêcher de nuire.
Mais que faire, dira-t-on ? Créer des milliers de places de prison, alors que l'administration pénitentiaire manque déjà de personnel ? Pourquoi pas ? Lorsqu'un pays est en guerre, il trouve les moyens de se défendre. D'autres mesures seraient possibles, mais nous ne les évoquerons pas ici.
Dans l'immédiat, le quotidien Sun de Rupert Murdoch a réclamé une augmentation massive de la police armée, tandis que le Daily Mail dénonce comme de plus en plus pervers le refus de donner aux autorités le droit d'écouter les communications électroniques. Mais ceci ne se fera pas. Rappelons que Rupert Murdoch est considéré en Angleterre comme un dangereux fanatique de droite, de même que l'est encore Marine Le Pen en France.