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islamisme - Page 273

  • Terrorisme : dormons sur nos deux œillères !

    Eric Blanc, Français résidant en Allemagne avec sa famille

    Le mois passé semble avoir été en Allemagne une succession de 1er avril. Deux affaires ont défrayé la chronique terroriste dont le côté ubuesque pourrait nous faire sourire si la manière dont elles ont été racontées et analysées ne confirmait encore une fois le danger de ne jamais remettre en question la grille médiatique de lecture.

    Le 11 avril, trois bombes explosent sur le trajet emprunté par le bus d’un club de foot, le Borussia Dortmund, alias BVB, faisant 2 blessés, alors que l’équipe rejoignait le stade pour affronter Monaco. Quand un attentat fait plusieurs morts en ville parmi de malheureux quidams, c’est certes bien triste, mais quelques centaines de bougies nous consolent et les psalmodies médiatiques savent nous convaincre de refuser l’amalgame.

    Quand les terroristes s’attaquent à des footballeurs, blessant l’un des (demi- ?) dieux du stade au poignet et provoquant le report d’un match, l’apogée du tragique est atteint et le pays grince des dents. Un pas est franchi. La foule réclame des comptes et le débat fait rage : faut-il ou non disputer le match dès le lendemain au risque de voir les joueurs du club allemand diminués par le traumatisme ? Le courage l’emporte : le Borussia Dortmund jouera bien pour prouver aux criminels que notre civilisation sait défendre ses valeurs !

    Le président du club peut déclarer : « Nous ne céderons pas. L’essentiel est que la démocratie et notre ordre libéral résistent ». La chancelière qualifie l’attentat d’acte odieux. La police révèle à la presse que des courriers de revendication ont été trouvés sur place au nom de l’Etat Islamique. On arrête immédiatement un Irakien dont les officiels noteront qu’il n’aurait pas dû se trouver sur le sol allemand compte tenu d’un dossier refusé. Le procureur annonce cependant que le courrier de revendication s’écarte des standards islamistes et que l’on ne peut encore garantir son authenticité.

    Quelques heures plus tard, une seconde revendication est mise en ligne, au nom d’un groupement d’extrême gauche « antifas ». Le verdict des autorités et de la presse est immédiat et sans appel : c’est une manœuvre de l’extrême droite pour nuire à l’extrême gauche dont nul ne peut supposer qu’elle se cache derrière un attentat. Qui oserait évoquer les années de plomb ?

    Le 16 avril, le ministre de l’intérieur de NRW parle d’engins de forte puissance préparés par des professionnels. Compte tenu des doutes confirmés sur l’origine des revendications précédentes, la piste d’extrême droite est privilégiée. Les banderoles se préparent. Les premiers appels à manifester contre l’hydre sont lancés. Les porte-voix s’échauffent.

    Je ne nie pas que cette allégation ait pu être fondée sur de solides éléments de l’enquête : j’admire seulement l’unanimisme de la presse qui sait parfois laisser au vestiaire (du stade ?) son esprit critique et sa prudence pour se faire au plus vite l’écho d’une thèse conformiste. Si l’on peut parfaitement admettre que quelques fanatiques de chaque bord seraient capables d’une telle action, cette hypothèse vieillissante doit cesser de nous aveugler sur la nature du groupe qui représente aujourd’hui une menace organisée pour nos pays.

    Hélas pour les semelles des manifestants abonnés, impatientes de battre le pavé, le pot aux roses est découvert le 21 avril, avec l’arrestation d’un jeune « Allemand russe » : Sergej W., discret technicien électricien dans la centrale thermique de l’hôpital de Tübingen, s’est endetté pour miser sur une chute des cours de l’action du club de football de Dortmund. Afin de toucher le jackpot boursier, il a monté seul cet attentat qui devait entraîner la baisse espérée. La presse, surprise de cet épilogue inattendu, déplore que la population ait eu le réflexe de considérer d’abord cet attentat comme d’origine islamique. En effet, sur quels faits récents pouvait-on bien se permettre une telle supposition ?

    Fin avril, la presse révèle qu’un jeune officier de la Bundeswehr a été arrêté. Il est suspecté d’avoir préparé un attentat avec comme objectif de mettre en cause les migrants islamiques. Les enquêteurs et la presse découvrent que le lieutenant Franco Albrecht nourrissait des idées extrémistes et que ses supérieurs auraient dû les détecter lorsqu’il présenta à Saint-Cyr sa thèse de Master intitulée « Changements politiques et stratégie de la subversion » dont le contenu aurait été « incompatible avec les principes de la démocratie libérale ». Il n’en fallait pas plus pour enflammer les politiques et les officiels et les mettre en quête de réseaux extrémistes dissimulés dans l’armée allemande, armée qui par essence reste suspecte… La ministre de la Défense multiplie les mises en accusation. Il est vrai que la Grande Muette se doit d’être exemplaire et qu’un tel projet d’attentat par l’un de ses officiers, s’il est avéré, entache sa réputation.

    Encore une fois, le propos n’est pas de contester la réalité d’une initiative potentiellement criminelle, mais de tirer les bonnes conclusions des éléments ouverts de l’enquête. Notre priorité est-elle de rechercher une conspiration de l’ombre quand :

    • Franco Albrecht, de nationalité allemande, a pu se faire enregistrer comme réfugié syrien en 2015 sous le nom de David Benjamin, fils d’un marchand de fruits de Damas ;
    • Sur la seule foi de sa capacité à parler à peu près le français, son histoire a été acceptée (avec l’aide d’un interprète !), y compris la fable d’une blessure qui n’a pas été vérifiée ;
    • Il est certes difficile de distinguer sur les photos diffusées ce que révèlent ses traits, mais…
    • Aucun test de langue arabe ou de culture syrienne n’a été réalisé ;
    • Il a ainsi touché une aide mensuelle de 400 € pendant plusieurs mois en sus de sa solde de lieutenant ;
    • Le propriétaire du logement qui lui a été attribué en tant que David Benjamin avait scrupuleusement collé une étiquette à son nom sur la sonnette mais reconnaît ne l’avoir jamais vu ! Il nous explique naïvement que ce n’est pas le seul cas de logement attribué et non occupé…

    N’importe quel observateur béotien comprend que l’on peut ainsi, avec un peu de culot, se faire enregistrer comme faux réfugié auprès d’une administration allemande pourtant réputée tatillonne, soit pour en vivre abusivement (au mieux) soit pour préparer une action criminelle (au pire). Combien sont-ils sur le sol allemand à avoir usé de ce grossier stratagème ? Nous savons que le recensement des réfugiés et migrants assimilés pose actuellement un grave problème, certains ayant disparu des radars de l’administration et d’autres se promenant avec plusieurs identités. Dans les petites villes où s’édifient des logements pour ces nouveaux arrivants, on ne cache pas le fait que certains restent vides.

    Notre apprenti conspirateur a été pris pour avoir caché dans les toilettes d’un aéroport autrichien un revolver français vieux de… 70 ans. Faut-il vraiment être soutenu par un puissant réseau occulte pour être ainsi armé ? A la même heure, combien de kalachnikovs et de kilos de TNT se trouvent dissimulés sur le sol allemand ?

    Au nom de la sécurité des citoyens et au nom de la lutte contre la gabegie, l’Etat ne devrait pas se tromper de cible. Mais certains phantasmes posent moins de problèmes existentiels que d’autres et peuvent donner l’impression de s’effacer en nourrissant l’inflation d’anathèmes, de lois et règlements pour conjurer les fantômes du passé quand les spectres présents paraissent ô combien plus menaçants.

    Eric Blanc 11/05/2017

    https://www.polemia.com/terrorisme-dormons-sur-nos-deux-oeilleres/

  • Des drapeaux djihadistes pour fêter l’élection de Macron au Louvre? Analyse: Macron et les islamistes

    Pierre Le Corf, cet humanitaire français qui s’est installé à Alep pour secourir les habitants témoigne: « Lors de l’élection de Mr Macron, j’ai vu flotter de nombreux drapeaux à 3 étoiles de « l’armée libre » au milieux des drapeaux français, les Syriens qui étaient avec moi sont devenus blancs, on espère que l’on ne repart pas pour une guerre aveugle. » déclare-t-il. Macron, en effet a caressé tout-au-long de sa campagne les musulmans même islamistes militants, dans le sens du poil. Ainsi a-t-il refusé de dénoncer le soutien de l’UOIF cornaquée par les Frères musulmans, face à Marine Le Pen lors du débat de l’entre-deux-tours.

    En Marche vers l’islamisation ?

    De même a-t-il admis que l’un des cadres d’En Marche était radicalisé et il l’a maintenu à son poste:

    En effet, alors que le micro n’était pas éteint pendant la coupure pub, et que le Facebook Live se poursuivait, le candidat d’En marche ! est revenu sur ce qu’il venait de répondre à l’antenne : « Il a fait un ou deux trucs un peu plus radicaux. C’est ça qui est compliqué. Mais à côté de ça, c’est un type bien. C’est un type très bien, Mohamed. Et c’est pour ça que je ne l’ai pas viré. »  Source: lepoint.fr

    C’est ainsi que Mohamed Saou, après avoir été écarté de En marche, y est revenu, suite au chantage de Marwan Muhammad, celui qui rêve à voix haute d’une France musulmane…

    Marwan Muhammad, président de l’organisation frériste CCIF, avait lui aussi exigé des explications et a menacé d’utiliser son supposé poids électoral, contre Emmanuel Macron, dans le cas où Mohamed Saou était écarté du mouvement «En Marche !»  sous pression «islamophobe», disait-il. En effet, le 10 avril 2017, il a adressé une lettre au candidat Macron dont la conclusion fut, on ne peut plus claire :  «En fonction de votre réponse (ou de son absence), je serai alors en mesure de m’exprimer publiquement sur le sujet, en direction de nos contacts médias, de nos 17 antennes régionales, de nos 14000 adhérents et de nos 350000 abonnés, sur les newsletters et les réseaux sociaux. Chaque électeur sensible à ces questions pourra alors faire, en conscience, un choix éclairé» : une intimidation. resistancerepublicaine.eu

    Cap islamiste sur les législatives ?

    Mohamed Louizi, l’auteur des citations ci-dessus et ci-dessous, est franco-marocain, auteur de l’essai autobiographique : « Pourquoi j’ai quitté les Frères musulmans : retour éclairé vers un islam apolitique » (Michalon 2016) :

    Cependant, le cas de Mohamed Saou est-il un cas isolé au sein du mouvement d’Emmanuel Macron ? Ce candidat à l’Élysée serait-il, ou pas, « dans les mains des islamistes » ? Est-il le candidat préféré des Frères musulmans ? (…) dans ce qui suit, d’autres cas troublants seront dévoilés : de la commune de Oignies dans le Pas-de-Calais, à Bordeaux dans le Sud-Ouest, jusqu’à Mulhouse dans l’Est, en passant par Paris, des soutiens d’Emmanuel Macron, des islamistes (ou au service inconscient de l’islamisme conquérant) s’appellent : Noureddine Aoussat, Rachid El-Kheng, Yanis Khalifa, Yaman Mahfoud, et la meilleure pour la fin, une certaine Fatima Jenn  et ses principaux soutiens : Anouar Sassi et Aziz Senni.

    Par ailleurs, d’autres noms pourraient même bénéficier de l’investiture d’ «En Marche !» pour les législatives. (…)

    En attendant, ce qui est certain, c’est que des candidats pour les législatives, notoirement islamistes, soutenant Macron ou pas, sont déjà dans les starting-blocks, ici où là. Ils sont jeunes adultes, issus de la frérosphère et s’appellent : Yassir Louati, Jimmy Parrat, Jamel Oufqir, Hanan Zahouani, Abdelkrim Marchani, Samy Debah, etc. D’autres candidats issus du parti islamo-turc, le «Parti Egalité et Justice», proche de l’AKP d’Erdogan, pourraient présenter des dizaines de candidats, revendiquant leur communautarisme, comme aux départementales de 2015.  Par conséquent, le risque de voir quelques islamistes occupés des sièges au Palais Bourbon, au nom de la diversité, lors de la prochaine législature, est bien réel. «En Marche !», comme d’autres formations, pourrait leur offrir cette opportunité tant rêvée. resistancerepublicaine.eu

    Macron a trop flatté les communautarismes durant sa campagne pour qu’il n’y ait pas eu tractation pour réserver des sièges aux communautarismes, c’est ainsi que les musulmans qui obéissent aux mots d’ordre des imams, voire  d’Erdogan, se soucient peu de savoir si Macron défend des idées compatibles avec l’Islam. Ce qui leur importe c’est de s’implanter et de gagner du terrain. Le fait qu’il aient voté à la quasi-unanimité pour Macron est un signe qui ne trompe pas.  Ils ont obtenu des places éligibles avec Hollande, c’est ce qu’ils obtiendront encore plus avec Macron. Lorsqu’ils jugeront qu’ils occupent assez de terrain ils pourront activer la charia. Hollande, Macron et l’oligarchie leur offrent la France sur un plateau dans l’aveuglement obtus des électeurs français non-musulmans et notamment des catholiques qui d’après les sondages auraient voté en masse pour celui qui a programmé leur disparition:

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  • Certains candidats et responsables départementaux de En Marche ! sont liés aux islamistes

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    Joachim Veliocas, directeur de l'Observatoire de l'islamisation, a été interrogé sur Le Rouge et Le Noir. Extrait :

    "Certains candidats et responsables départementaux de En Marche ! sont liés aux islamistes comme à Mulhouse, dans le Pas-de-Calais, Val d’Oise et Seine-Maritime (voir le dossier très précis de Mohamed Louizi), et ils ont déjà obtenu l’autorisation du voile à l’université et peut-être dans les entreprises si le nouveau président confirme ses propos tenus en meeting. Un parti musulman va présenter quelques candidats, l’Union des démocrates musulmans de France. Mais la stratégie généralement adoptée reste l’entrisme et le lobbying, comme dans les mairies de Beauvais, Aubervilliers, Strasbourg et Marseille où des conseillers municipaux de la majorité sont membres des associations pilotant la mosquée de la ville ou un « campus islamique » pour Strasbourg. A Argenteuil, on se souvient du « conseil des cultes » intégré à la mairie pour salarier deux militants musulmans ! Les cas sont nombreux. Cette dernière stratégie a prouvé son efficacité.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Plus de 200 millions de chrétiens persécutés dans le monde

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    Depuis des mois nous relayons dans nos colonnes les persécutions que subissent quotidiennement de par le monde les chrétiens.

    Le Vatican dénonce désormais publiquement une situation insupportable à plusieurs niveaux : liberté religieuse ; culturel ; ou encore la persécution et la discrimination.

    Déjà en 2014, le cardinal Parolin (numéro 2 du Saint-Siège) pour sa part « a dénoncé publiquement devant le même auditoire les exactions d’une « atrocité inouïe » commise par « l’État islamique » : « meurtres de masse, décapitation de ceux qui pensent différemment, vente des femmes sur le marché, enrôlement des enfants pour les combats, destruction des lieux de cultes ». Rappelant qu’« il est licite d’arrêter l’agresseur injuste » pour l’Église « mais dans le respect du droit international », il a une nouvelle fois appelé à l’urgence de l’engagement de la communauté internationale pour une solution politique. »

    Jean-Marie Guénois faisait un point « géopolitique » sur la situation dans un article du Figaro du 22 octobre 2014.

    Nos publications montrent malheureusement que la situation s’est aggravée depuis. Vous en trouverez trace sur ce lien.

    Ce lien vers la carte datée de janvier 2017 vous donne également son commentaire.

    Vous trouverez ici un extrait en français du rapport 2017 sur la persécution des chrétiens

    Enfin pour suivre au jour le jour et recevoir les synthèses vous pouvez consulter le site de l’Observatoire de la christianophobie

    http://www.infocatho.fr/plus-de-200-millions-de-chretiens-persecutes-dans-le-monde/

  • Terres de Mission #31 : L’ Observatoire de la christianophobie TVLibertés TVLibertés

  • Terrorisme, insécurité, immigration : il n'y a que Marine Le Pen qui puisse nous sauver !

  • Camouflet pour le gouvernement Cazeneuve : La 17e Chambre relaxe Pierre Cassen

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    COMMUNIQUE DE RIPOSTE LAIQUE ET RESISTANCE REPUBLICAINE

    Pierre Cassen, fondateur de Riposte Laïque, vient d’être relaxé par la 17e Chambre. Le Parquet, sous les ordres du gouvernement socialiste, et 6 associations dites antiracistes, voulaient absolument démontrer que Pierre, qui, depuis octobre 2012, avait quitté la direction du site Riposte Laïque, demeurait le vrai responsable du site. Pour cela, le Parquet et ceux qui veulent interdire toute dénonciation de l’islamisation de la France n’ont reculé devant rien pour harceler le fondateur de RL : multiplication de convocations policières, de convocations judiciaires, accumulation de plaintes, venues de Bernard Cazeneuve, Anne Hidalgo, Pierre Bergé, le préfet Clavreul en charge de la Dilcrah, des associations dites antiracistes, d’associations islamistes, de préfets et de journalistes politisés. Le fondateur de Riposte laïque a été, d’autre part, mis trois fois en examen, et a subi une perquisition policière, avec confiscation de son ordinateur et de son téléphone portable. Il était manifestement l’homme à abattre pour un gouvernement qui avait donné trop de gages aux islamistes pour tolérer l’action militante qu’il menait depuis près de 15 ans, pour défendre une République laïque, sociale et identitaire, menacée par l’offensive des soldats d’Allah.

    Le 22 mars, Pierre Cassen, attaqué par le Parquet et Sos Racisme, la LDH, la Licra, le Mrap, J’accuse et l’UEJF, a répondu, cinq heures durant, aux questions du tribunal, présidé par Madame Siredey-Garnier, et de ses accusateurs. Maître Pichon, qui assurait la défense, a fourni un dossier complet, montrant la réalité du transfert de responsabilité en Suisse, et prouvant, suite à la condamnation du président suisse Alain Jean-Mairet, par la même 17e Chambre, que son client ne pouvait être le responsable du site. Pierre, avec calme, a répondu avec une grande clarté à toutes les questions qui lui étaient posées, et n’a jamais été mis en difficulté, même quand les avocats adverses essayaient de l’intimider avec agressivité.

    Le Parquet avait osé requérir 6 mois de prison avec sursis à l’encontre de Pierre Cassen, ne cachant même pas sa volonté de le faire taire par tous les moyens. Les associations dites antiracistes avaient demandé des dommages et intérêts de plus de 20.000 euros, ne masquant pas davantage leur volonté de réduire Riposte Laïque au silence, en frappant son fondateur au porte-monnaie.

    Il n’y avait pourtant dans le dossier instruit par l’accusation pas l’ombre d’une preuve contre notre fondateur, et le tribunal en a tiré la seule conclusion possible : la relaxe. Dans un contexte où nombre de patriotes se retrouvent condamnés, pour avoir osé dire la vérité sur l’islamisation de notre pays et la réalité d’une certaine immigration, les amoureux sincères de la parole libre permise par une justice rendue au nom du peuple français ne pourront que se réjouir de cette décision.

    Pour autant, ce même jour, Riposte Laïque a dû acquitter la somme exorbitante de plus de 9.000 euros de dommages et intérêts à deux caissières voilées d’H et M, suite à une décision ahurissante, au niveau juridique, du juge Caroline Kuhnmunch, ancienne collaboratrice de Christiane Taubira.

    Nous ne pouvons oublier, d’autre part, que Christine Tasin vient d’être condamnée par la même 17e Chambre pour avoir dit « Islam assassin » au lendemain de l’assassinat de deux policiers, à leur domicile, à Magnanville. De même, le maire de Béziers, Robert Ménard, vient-il d’être condamné pour avoir simplement exprimé la réalité de sa ville, avec des écoles comportant une grande majorité d’élèves musulmans. Et combien d’autres condamnations iniques ?

    Nous espérons (avec prudence) que ce jugement rendu par la 17e Chambre mettra fin au véritable harcèlement que subit Pierre Cassen, mais aussi nombre de patriotes, à qui nous exprimons toute notre solidarité, qui se retrouvent trop souvent au tribunal, traînés par des inquisiteurs qui préfèrent la judiciarisation du débat à la parole libre.

    Bien évidemment, plus que jamais, et quel que soit le résultat du 2e tour des élections présidentielles, Riposte Laïque et Résistance républicaine continueront à se battre pour la liberté d’expression, et pour le droit à la libre critique de l’islamisation de notre pays, cancer qui menace tous les fondamentaux de la France et de notre civilisation.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Pourquoi les islamistes de l'UOIF appellent à voter MACRON

  • Emmanuel Macron, vecteur de l'islamisme et des frères musulmans ?

    Intéressante présentation par un franco-marocain des agitateurs musulmans très entristes qui entourent le candidat de l'oligarchie. L'un des risques majeurs, non présenté ici mais qui nous semble essentiel, et de nature à mobiliser ceux de notre entourage qui voudraient voter blanc, ou pire (si, si, il y en a, nous avons discuté avec l'un d'eux pas plus tard qu'hier, un ardent participant aux manifs de 2013!), est selon nous la probabilité non négligeable que le fils d'Hollande légifère sur le vote des émigrés dans les 5 ans, ce qui nous condamne alors à la défaite électorale permanente par putsch démographique.

    Il conclue par les considérations suivantes.

    Que faire le 7 mai ?

    J’entends depuis l’annonce des résultats du premier tour des injonctions par-ci, des insultes par-là. Je n’ai jamais vu une telle violence dans les propos, à la veille d’une élection majeure. Comme si le bien était d’un côté et le mal de l’autre. Une binarité simpliste qui n’augure rien de bon pour l’avenir du débat contradictoire et complexe dans une société, la nôtre, demeurant déboussolée par des crises économiques, sociales, identitaires doublées de menaces réelles de toutes ces violences islamistes qui surgissent, ici où là, causant la mort et condamnant la République à être en état d’urgence. Comme si, après une campagne électorale calamiteuse, Emmanuel Macron était de facto «le» candidat légitime pour présider la France, durant les cinq prochaines années.

    Ses électeurs, respectables et respectés, constatant son relatif modeste score au premier tour d’une élection qui n’a pas livré ses secrets -- le ferait-elle un jour ? --semblent être décidés, au nom de grands principes, à culpabiliser tous les autres humanistes, qui ne partagent pas leurs avis et qui ne veulent voter ni pour Macron, ni pour Le Pen. Pour ce faire, le vote «ni-ni» est considéré comme étant favorable à Marine Le Pen. Pourquoi ne serait-il pas favorable à Macron ? Mais cela n’est pas la vraie question.

    Pour culpabiliser ceux qui refusent les postures de «moutons» et de «castors», on sort l’argument de l’antisémitisme, du nazisme et l’autre argument relatif à la Russie de Poutine, entre autres. Comme si un antisémitisme constaté chez des proches de Marine Le Pen serait beaucoup plus dangereux qu’un antisémitisme structurel avéré, constaté chez des proches islamistes d’Emmanuel Macron. Où est la cohérence ? Où sont la justice et la justesse dans le jugement ? La haine du juif, parce qu’il est juif, ne mériterait pas la même condamnation ferme et inconditionnelle selon qu’elle soit exprimée par un proche de Le Pen ou par un proche de Macron ?

    Par ailleurs, l’islamisme, qui a détruit des pays et des civilisations millénaires au Proche-Orient comme en Afrique serait-il devenu, le temps des présidentielles, compatible avec les valeurs et les idéaux démocratiques et humanistes ? Quid des liens entre islamisme et nazisme ?

    Que dire de cet épouvantail nommé la Russie de Poutine ? Est-il plus (ou moins) nocif, pour la stabilité de la République, qu’une servitude volontaire à la Turquie d’Erdogan ou aux monarchies pétrodollars, l’Arabie-Saoudite et le Qatar, et à leur volonté affichée de contrôler l’islam et la communauté de foi musulmane en France, via leurs agents frérosalafistes, leurs ONG, à travers une stratégie Soft Power assumée et financée, devant laquelle la France de Sarkozy, la France de Hollande-Macron se sont prosternées ?

    Le combat contre l’islamisme est, pour beaucoup, un combat secondaire. Soit. Mais ce n’est pas mon avis, car là où l’islamisme s’implante, la paix devient un mirage. Un rêve fragile. Les violences se banalisent. Les libertés fondamentales et les droits humains reculent, petit-à-petit, mais reculent pour disparaître à jamais. Quand j’observe l’arrière-plan, derrière la candidature d’Emmanuel Macron, je vois certaines choses s’organiser. L’islamisme tente d’obtenir ici en France ce qu’il n’a pas pu atteindre dans bien d’autres pays. Ils sont là, derrière les rideaux de fumée, avec leur idéologie de conquête, leur antisémitisme décomplexé mais masqué, leur haine de l’autre, leur détestation de la laïcité, de la République, leur volonté d’asservir des esprits, des corps et des espaces, leurs structures de lobbying et d’entrisme. Ils sont venus de divers chemins pour rejoindre «En Marche !», en direction du Tamkine.

    Peu importe que, par le passé récent, ils ont infiltré des formations politiques de gauche, du centre ou de droite. Ils ont même tenté de placer des «frères» au Front National, à l’image d’un certain Camel Bechikh. Aujourd’hui, c’est cap sur Macron.

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    Paula Corbulon

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