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islamisme - Page 274

  • Düsseldorf : encore un « maboul » ?

    8818-20170311.jpgL’« épidémie » de mabouls, de déséquilibrés, d’agités du bocal, de fêlés, de malades mentaux, n’en finit plus de faire des victimes. Que ce soit en France ou dans un autre pays de leur Europe si accueillante, pas une semaine où presque sans qu’un « perturbé » du mental ne fasse parler de lui. Jeudi soir, c’est une nouvelle fois l’Allemagne de « maman » Merkel qui a eu droit à son « fait divers », comme ils disent, perpétré par un homme atteint de « troubles psychiatriques ».

    Le « fait divers » en question s’est déroulé en gare centrale de Düsseldorf. Aux alentours de 21 heures, un homme est descendu d’un train de banlieue avec à la main, non pas un attaché-case, mais une hache. L’individu, un homme de 36 ans originaire d’ex-Yougoslavie, s’en est alors pris aux voyageurs présents dans la gare. Tel bûcheron déboussolé, il frappe au hasard parmi les usagers se trouvant sur son passage. Bilan : « sept blessés dont trois graves et quatre légers ». Après avoir pris la fuite et s’être grièvement blessé en sautant d’un pont, l’homme, présenté comme souffrant « apparemment de troubles mentaux », est interpellé par la police mais ne sera pas en état d’être interrogé dans l’immédiat, précisent les autorités.

    Peter Altmaier, chef de la chancellerie et proche conseiller d’Angela Merkel, a aussitôt réagi en apportant son soutien aux victimes du fou furieux. « Quoi qu’il se soit passé à la gare centrale de Düsseldorf, notre compassion et nos pensées vont aux personnes innocentes blessées. » Même compassion pour Thomas Geisel, maire de la ville dont les « pensées vont aux victimes et à leurs proches ». Des pensées qui, on s’en doute, font une belle jambe aux victimes et à leurs proches, tout comme au peuple allemand.

    Un peuple allemand de plus en plus sous le choc et sur le qui-vive à force d’être confronté à des « mabouls » et à une menace djihadiste qui pèse sur le pays, notamment depuis l’attentat terroriste au camion bélier – revendiqué par les barbus du groupe Etat islamique – en décembre dernier à Berlin.

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 11 janvier 2017

    http://fr.novopress.info/

  • Général Antoine Martinez : comment inverser l'islamisation de l'Europe

  • Repenser le droit pour Désislamiser l'Europe- Philippe Chansay Wilmotte

  • Le délire idéologique de fonctionnaires dhimmis qui veulent intégrer nos enfants à l’oumma

    Yves Daoudal n'en croit pas ses yeux :

    6a00d83451619c69e201bb0981d649970d-250wi.jpg"J’avais vaguement entendu parler du projet de « la » ministre marocaine de l’Education nationale française de donner des cours d’arabe à l’école primaire. En me disant que c’était sans doute pour la progéniture de ses congénères. Mais voici que ça m’arrive dans la figure, dans un petit village du Centre Bretagne.

    Mon petit-fils est revenu chez lui avec un formulaire, dont « l’objet » est son « inscription à un enseignement optionnel de langue vivante étrangère dans le premier degré ». Langue vivante étrangère. Vous avez le choix entre… l’arabe, et le turc.

    On dirait qu’il y a comme une discrimination, non ? Ou alors l’anglais, l’allemand et l’espagnol sont devenus des langues mortes. Ou moins vivantes que celles de l’islam… Et pourquoi pas le breton, qui est pourtant une langue étrangère pour le ministère jacobin (islamo-jacobin) ?

    Et où vont-ils trouver des professeurs d’arabe et de turc par ici ? C’est le délire idéologique de fonctionnaires dhimmis qui veulent déjà intégrer nos enfants à l’oumma…"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • En finir avec l’escroquerie des centres de déradicalisation, par Fabrice Robert

    Fabrice-Robert-300x341.jpgLe constat est implacable, sans appel. Les deux sénatrices qui ont enquêté sur les politiques menées pour tenter de « déradicaliser » des individus tentés par le djihad dénoncent un manque de résultat flagrant. « Nous savons que nos programmes sont inutiles pour les djihadistes radicaux de conviction », explique Catherine Troendlé, sénatrice (LR) du Haut-Rhin. Passé un certain stade de la radicalisation islamiste, le chemin de retour semble impossible. Et les programmes mis en place auraient même plutôt l’effet inverse en renforçant, encore un peu plus, la foi de personnes en guerre contre les valeurs de la civilisation européenne. 

    D’ailleurs, comment des responsables politiques, coupables d’avoir favorisé l’islamisation de la France, pourraient-ils trouver les bonnes solutions alors qu’ils ont eux-mêmes permis, par leur silence complice, cette radicalisation ? 

    Certaines voix s’élèvent pour dénoncer également un vrai business dont tirent profit des associations en mal de subventions. Comme le révélait déjà, en novembre 2016, une enquête de France Inter, près de 80 structures ont investi ce secteur, sachant que le gouvernement a prévu de débloquer 100 millions d’euros sur trois ans. Dounia Bouzar, « Mme Déradicalisation », a bien profité de cette manne financière, elle qui parade désormais sur les plateaux de télévision avec Farid Benyettou, l’ex-mentor des frères Kouachi, un djihadiste « repenti » (sic) qui n’hésite pas, aujourd’hui, à exhiber un badge « Je suis Charlie ». Cabu et Charb doivent se retourner dans leur tombe en pensant aux disciples de l’ex-émir de la filière des Buttes-Chaumont venus les assassiner.

    Dans une tribune publiée le 28 février 2017 dans Libération, un certain Serge Hefez dénonce le rapport « partisan » des deux sénatrices tout en expliquant que de nombreux spécialistes sont mobilisés sur le terrain avec des résultats encourageants. Sauf que l’on apprend que ce psychiatre des hôpitaux est coauteur, avec Dounia Bouzar, du livre Je rêvais d’un autre monde. L’adolescence sous l’emprise de Daesh.

    Oui, la politique menée contre la radicalisation djihadiste est bien un véritable fiasco. Et ce n’est pas l’arrestation de Mustapha S., passé par le centre de déradicalisation de Pontourny pour finalement décider de partir faire le djihad en Syrie, qui est susceptible de nous faire changer d’avis. La méthode utilisée dans ce centre, qui vise notamment à promouvoir « des valeurs de citoyenneté, de respect d’autrui, de la règle de droit et des valeurs de la République et de la démocratie », n’aura visiblement pas résisté longtemps au réel.

    Les Identitaires ont dénoncé l’escroquerie de ces centres de déradicalisation. Le 11 février dernier, ils étaient aux côtés des habitants de Pontourny, qui réclament la fermeture d’un centre obligeant d’honnêtes citoyens à côtoyer des islamistes radicaux dans un village jusqu’alors sans histoires.

    Il s’agit de la réaction saine d’un peuple qui veut rester maître chez lui et qui refuse de voir s’installer à proximité de l’école de ses enfants des propagandistes de l’islam conquérant. Aveuglée par le mythe d’une société multiculturelle en déliquescence, notre classe politique n’a pas pris la mesure de cette menace mortelle pour notre pays. Les concessions acceptées par l’État ne peuvent que faire le lit de la charia.

    Il faut en finir avec l’angélisme. Il faut en finir avec la croyance que l’on peut transformer un serpent en un rossignol. Il faut fermer les centres de déradicalisation, à commencer par celui de Pontourny.

    Les djihadistes de retour de Syrie doivent être déchus de leur nationalité, condamnés et enfermés dans des prisons spécifiques. On ne « déradicalise » pas le cancer. On le soigne en éliminant les tumeurs.

    Fabrice Robert, directeur national à l’action des Identitaires

    Texte publié initialement par Boulevard Voltaire

    http://fr.novopress.info/

  • 4e colloque annuel de l’Institut Iliade le 18 mars, à Paris, sur le thème : « Européens : transmettre ou disparaître ».

    Dans le monde qui vient, pour continuer à exister, il faudra plus que jamais savoir qui l’on est et d’où l’on vient. En France même, le combat politique et celui des idées est un « combat de civilisation ». Ce qui se joue, c’est la nécessité pour les Français et les Européens de renouer avec le fil de leur tradition, que Dominique Venner définissait comme « ce qui persévère et traverse le temps, ce qui reste immuable et qui toujours peut renaître en dépit des contours mouvants, des signes de reflux et de déclin ».

    C’est à cet impératif que s’attachera le colloque annuel de l’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne, organisé samedi 18 mars 2017 à partir de 10h à la Maison de la Chimie, 28 Rue Saint Dominique, 75007 Paris.

    La journée est divisée en deux séquences. La matinée (10h-12h30) dressera le cadre de l’analyse, et plus particulièrement la crise de la transmission. Après une introduction de Grégoire Gambier et une mise en perspective proposée par Philippe Conrad, président de l’Institut Iliade (« L’Héritage européen, le connaître, le transmettre »), François Bousquet abordera « les origines du désastre : l’idéologie de la déconstruction », avant une table ronde consacrée à l’impasse de l’école républicaine, réunissant autour de Charlotte d’Ornellas, le délégué général de SOS Education Jean-Paul Mongin (« L’Education nationale : un outil idéologique »), Françoise Candelier, institutrice et créatrice d’une école hors contrat (« Les écoles hors contrat, lieux de résistance et de transmission »), l’enseignant et essayiste Jean-François Chemain (« L’Education nationale au miroir de l’éducation antique »). Cette matinée se conclura sur une évocation stimulante, issue de l’histoire : « Aristote au Mont Saint-Michel, comment la tradition grecque s’est transmise au Moyen Age ? ».

    L’après-midi (14h-18h30) explorera les différentes voies possibles du ressourcement. Interviendront ainsi Philippe Christèle (« Révéler et transmettre les valeurs du chef : éloge incongru de l’entreprise »), Christopher Gérard (« Paideia : la transmission comme acte révolutionnaire »), Jean-François Gautier (« La transmission par le patrimoine musical »), Lionel Rondouin (« Quel récit civilisationnel pour les Européens ? ») et Jean-Yves Le Gallou(« Face au ‘dernier homme’, le recours à la civilisation »). Ces interventions seront entrecoupées d’illustrations concrètes et de deux tables rondes. L’une, animée par Patrick Péhèle, réunira des représentantes des Antigones pour évoquer « le retour des femmes » dans l’œuvre de transmission. L’autre traitera, autour d’Aloysia Biessy, de laPaideia pour « former le corps, l’âme et l’esprit », avec l’essayiste et blogueuse Anne-Laure Blanc (« Le conte, lointaine mémoire et permanence vivante »), le chef d’entreprise et responsable d’un mouvement scout Hadrien Vico(« Le scoutisme, école de la vie et du caractère ») et le maître artisan allemand Harald Bosch (« Compagnonnage et artisanat d’art »).

    Ce colloque constitue la manifestation publique annuelle de l’Institut Iliade. Elle réunit plus de 1 000 participants désireux d’explorer les pistes du nécessaire réveil des peuples européens, d’échanger avec les orateurs et de se retrouver, y compris autour d’un verre, dans la convivialité d’une communauté ainsi reformée.

    Avec ses séances de dédicaces et davantage encore de stands, l’édition 2017 sera l’occasion de présenter en exclusivité :

    • Le prochain film de l’Iliade à destination des réseaux sociaux : « Européen, ton soleil revient !»
    • Le premier ouvrage co-édité par l’Iliade et Pierre-Guillaume de Roux : Le chant des alouettes. Cette anthologie poétique constitue le prolongement du travail réalisé par Thibaud Cassel dans le cadre de sa formation au sein de l’Institut.

    Pour être certain de disposer d’une place et accéder plus rapidement à la salle, il est vivement recommandé de réserver en s’inscrivant en ligne dès maintenant via weezevent.com/colloque-iliade

    Contact, demandes d’interviews et renseignements complémentaires : contact@institut-iliade.com

  • Un laboratoire de Captagon, la « drogue des dijhadistes », découvert en Grèce

    La police grecque a trouvé un laboratoire de Captagon, la « drogue des djihahistes », vendredi à Athènes. 635 000 pilules de cette drogue synthétique ont été saisies, rapporte Euronews, ainsi que de l’argent liquide et des armes. Le Captagon, une méthamphétamine, est tristement populaire au Moyen-Orient pour être utilisée par de nombreux combattants de l’Etat islamique. Les enquêteurs ne savent pas si les pilules étaient destinées au marché grec.

    « [Le Captagon] rend insensible à la douleur, elle neutralise les émotions, elle permet de tuer froidement et d’exécuter des attentats kamikaze. […] Ils sont [ainsi] insensibles à toute forme d’humanité », expliquait en novembre 2015, peu après le massacre du Bataclan, le docteur Jean-Pierre de Mondenard, spécialiste du dopage… dans le sport.

    Et pour cause : « Cette drogue a été largement utilisée dans le milieu du cyclisme dans les années 1960 à 1970 », expliquait Sciences et Avenir, qui ajoutait fin 2015 que « d’après les chiffres de l’Organisation mondiale des douanes (OMD), la quantité de pilules saisies dans les pays de la péninsule arabique a fortement augmenté ces dernières années : plus de 11 tonnes de captagon en 2013, contre 4 seulement en 2012 ».

  • Mireille Valette de Vigilance Islam Suisse lors de Désislamiser l'Europe

  • Désislamiser l'Europe : le général Piquemal sur la loyauté des musulmans