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islamisme - Page 416

  • Djihad à Paris : Conséquence de la trahison du gouvernement et de la gauche islamo-immigrationniste

  • EDITION SPECIALE SAMEDI 14 NOVEMBRE 2015 : "LA FRANCE EN GUERRE"

  • Manolo, tu n’es qu’un dégonflé !

    Tu me déçois, Manolo ! Tu me déçois beaucoup. Rappelle-toi ce que je t’ai dit le 8 avril 2014, sur RMC, alors que tu venais d’être nommé Premier ministre :

    « Tout d’abord, Manolo, comme on t’appelle en Espagne, on va se tutoyer, comme on le fait en Espagne. Ecoute, Manolo, tu as une seule grande décision à prendre, et tout de suite : annoncer officiellement la fin du monopole de la sécurité sociale. Et d’un coup d’un seul, tes 50 milliards, tu les as.

    A l’heure où je te parle, Manolo, plus de 300 000 Français se sont assurés en dehors de la Sécu. Et ils s’en portent merveilleusement bien. Mais les autres, ceux qui ne savent pas, ou qui ont peur, est-ce que tu y penses, Manolo ? Il y a en France 15 millions de personnes qui n’arrivent plus à joindre les deux bouts, 8 millions de pauvres, 5 millions de chômeurs. C’est la Sécurité sociale avec ses charges monstrueuses qui est responsable de ce désastre.

    On peut s’assurer mieux et pour beaucoup moins cher qu’à la Sécu, et on y gagne beaucoup de pouvoir d’achat. Et les entreprises, Manolo, tu y as pensé ? Il y en a trois millions, des petites, des moyennes, des commerçants, des artisans, des professions libérales. Toutes pourraient embaucher un ou deux salariés si le chef d’entreprise était libéré des charges insensées du RSI. C’en serait fini du chômage de masse en France !

    Alors, Manolo, tu sais ce qu’il te reste à faire : montre-nous que tu as des cojones, pas comme les bataillons de couilles molles de la classe politique. D’ailleurs, rappelle-toi, tu étais à Matignon avec Lionel Jospin en 2001, quand il a pris l’ordonnance qui a abrogé le monopole de la sécurité sociale.

    Alors à toi de jouer, Manolo. Hasta luego, hombre ! »

    Cela fait dix-neuf mois que tu es Premier ministre, Manolo. Dix-neuf mois de perdus ! Les entreprises continuent de crever sous le poids des charges sociales, et toi, tu passes ton temps à te montrer partout en France et à ne rien faire, à crier comme un perdu à l’Assemblée nationale contre tout le monde sans jamais rien proposer de concret.

    Pourtant, le 31 mars dernier, sur RMC et BFMTV, tu as déclaré : « Le RSI est un désastre. Ca ne marche pas ! » Et qu’as-tu fais face à ce désastre ? Rien. Ou plutôt si : tu as nommé une commission qui finalement considère que le RSI ne marche pas si mal ! Tu as l’air de quoi, Manolo ? Il y a un désastre, et toi tu laisses le désastre continuer. Manolo : tu es coupable de non -assistance à pays en danger, à Français en danger ! Tous les jours, des travailleurs indépendants se suicident, et toi, Manolo, tu t’en fous !

    Je vais te donner un dernier conseil, Manolo. Un dernier, parce qu’après tu n’auras qu’à te débrouiller tout seul. Supprime le RSI, Manolo ! Tout de suite ! Il ne pourra jamais s’en sortir, non seulement parce qu’il est structurellement déficitaire, mais aussi parce que les indépendants le quittent en masse. Le RSI est foutu, Manolo. Rien ne le sauvera. Alors colle-lui une balle dans la tête, par charité et surtout par souci d’arrêter les tortures qu’il inflige à ceux qui n’ont pas le courage de le quitter. Les indépendants qui le peuvent contracteront des assurances privées, et ceux qui ne le peuvent pas auront la CMU, comme n’importe quel étranger qui arrive en France.

    Voilà mon plan, Manolo. Adopte-le d’urgence. Parce qu’après, je ne réponds plus de rien, tant je sens la fureur monter dans le pays. Tiens, je vais te dire, Manolo. Quand Franco est mort, un ministre s’est écrié : « Oui, il est mort. Mais qui va aller le lui annoncer ? » Tu le sais aussi bien que moi, Manolo : la Sécurité sociale est morte. C’est ton boulot d’aller l’annoncer !

    Adios !

    Claude Reichman

    http://francelibre.tumblr.com/

  • C’est confirmé : un des terroristes est rentré en Europe en se faisant passer pour un « migrant »

    C’est l’information la plus important de ces dernières 24h. C’est la preuve que les combattants de l’État Islamique se sont servis des frontières grandes ouvertes et de la pleurniche autour des migrants pour nous attaquer. Il faut diffuser cette information au maximum et demander l’inversion immédiat des flux migratoires.

    http://www.contre-info.com/cest-confirme-un-des-terroristes-est-rentre-en-europe-en-se-faisant-passer-pour-un-migrant

  • Attentats : qui arrêtera de mentir ? Qui osera le mot qui tue ?

    Depuis cette nuit, la France est en deuil. Elle est en guerre, aussi. L'ennemi se déclare lui-même, annonce la couleur sans ambages, tue sur notre sol, nous sommes en guerre. La France ce matin se vêt de noir, elle est en deuil. Les politiques, chef de l'Etat en tête - il était bien dans son rôle - y sont allés de leur déclaration, le visage grave et le tweet épique; les larmes affleuraient.

    Mais la gravité du moment, qui devrait électriser la France, la faire se réveiller en sursaut de cet affreux cauchemar, n'a pas suffi, politiques et médias dorment toujours, du sommeil nauséeux de l'alcoolique. Un mot, un seul, qui aurait pu montrer que la France a pris la mesure du danger, n'a pas été prononcé : le mot qui tue, le mot "islamique". Car c'est bien aux cris d'"Allah Ouakhbar" que des Français sont morts. Les alcooliques reprendront une dose accrue de Padamalgam, continueront de mentir par omission et... les islamistes recommenceront. Plus fort, plus grave, plus souvent. Notre-Dame de France, ayez pitié de la Fille aînée de l'Eglise de votre Fils.

    Marie Bethanie

  • Et après ?

    On connait la chanson, selon cette tribune de nouvelles de France.

    Bande-de-charlie

    Et un et deux zéro pour les islamistes. Paris vit à nouveau des scènes de guerre. Les médias s’emballent enchaînant les gros titres, les superlatifs et les « alertes infos ». On cherche l’exclusivité ou l’image choc. Les citoyens s’affolent dans les rues et consultent frénétiquement leur Smartphone. Les politiques s’agitent dans tous les sens à coup de déclarations et de tweets. Par correction, ayons bien sûr une pensée pour les familles des victimes qui n’ont rien demandé.

    Dans les jours qui viennent, on va nous ressortir les experts en terrorisme nous expliquant que la menace est permanente et que les forces de l’ordre ont fait preuve d’un grand professionnalisme. D’autres justifieront ces actes en ressortant la jeunesse difficile de ces pauvres types livrés à eux-mêmes et que la société a rejetés. On interrogera la vieille du coin qui nous dira qu’Ahmed ou Kader étaient des gens biens, tout à fait intégrés et serviables. Hollande prendra un ton grave, Valls un ton martial, Cazeneuve un ton technocrate pour nous expliquer que toutes les mesures ont été prises pour assurer la sécurité des Français, que des plans rouge, jaune, violet ou indigo ont été activés. On va réunir des conseils de guerre en cascade et convoquer les ministres à l’Elysée pour donner l’impression que tout est sous contrôle. On va déployer policiers et militaires à tous les coins de rues.

    « Hollande, l’ami de l’Arabie Saoudite et du Qatar, va reprendre de l’altitude dans les sondages. Il sait tellement bien surfer sur le sang. »

    Puis viendra le temps des commémorations, des marches blanches, des discours creux et de l’émotion. Ah l’émotion ! Le point névralgique qui permet de neutraliser toute réflexion, de tuer tout débat, de soumettre tout dissident. Vous allez les voir défiler en boucle ces images de visages fermés, en larmes, de citoyens bras dessus, bras dessous. On nous serinera le pas d’amalgame. On nous rappellera les valeurs de la république. Il faudra afficher « Je suis Bataclan » ou « Je suis Stade de France ». On sera prié de jouer l’unité nationale. Tous ceux qui penseront différemment seront insultés et voués aux gémonies. Hollande, l’ami de l’Arabie Saoudite et du Qatar, va reprendre de l’altitude dans les sondages. Il sait tellement bien surfer sur le sang.

    Quand les esprits se seront calmés et que d’autres sujets d’actualité auront pris le relais, le ministère de l’Intérieur confessera discrètement qu’il s’agissait d’individus fichés. Celui de la Justice avouera que certains sortaient de prison. Mais Valls voudra reprendre l’avantage et annoncera une énième loi antiterroriste… C’est-à-dire ? Une loi pour remettre l’ordre dans les banlieues et envoyer l’armée affronter le trafic d’armes ? Une loi pour contrôler définitivement les frontières ? Une loi pour renvoyer les illégaux chez eux ? Une loi pour autoriser les citoyens à s’armer et leur donner une chance de se défendre face aux islamistes ? Non, vous n’y pensez pas. Ce sera une loi pour surveiller et restreindre un peu plus les libertés des honnêtes gens. Bref, une loi inutile contre nos adversaires, comme d’habitude.

    « Après avoir séché ses larmes, une majorité de citoyens va continuer de refuser la réalité par lâcheté. La société multiculturelle ? C’est bien. L’immigration ? C’est sympa. L’islamisation ? C’est une vue de l’esprit. »

    Puis, le plus important sans doute, après avoir séché ses larmes, une majorité de citoyens va continuer de refuser la réalité par lâcheté. La société multiculturelle ? C’est bien. L’immigration ? C’est sympa. L’islamisation ? C’est une vue de l’esprit. Non, ces attentats, c’est la faute à pas de chance ma pauvre Lucette… On était un vendredi 13 je vous rappelle. Puis avec l’extrême droite qui souffle sur les braises, ça ne peut pas s’arranger.

    Bizarrement, je ne croirai pas à tout ce cirque. Je continuerai d’être un affreux fasciste qui considère l’arrêt de l’immigration comme une priorité vitale et qui supplie nos gouvernants d’admettre que nous sommes en guerre avec l’islam. Bizarrement, comme rien de tout cela ne sera envisagé, je m’attends à d’autres événements du genre. Et si le prochain attentat était un 11 septembre à la française ?

    Paula Corbulon

  • Les assassins sont parmi nous…

    Paris a connu sa nuit la plus sanglante, la plus meurtrière depuis la Deuxième Guerre mondiale. Une nuit de massacre, de sang et de mort.
    Lorsque les quatre tueurs ont fait irruption dans la salle de concert du Bataclan, un témoin, un survivant, rapporte qu’ils ont crié « Allahou akbar ! ». L’un d’entre eux a prononcé quelques phrases où il était question de la Syrie. Puis ils ont ouvert le feu. Ils ont tiré aveuglément sur la foule des spectateurs. Ils ont tiré dans le tas. Au nom de Dieu. De leur Dieu. Le Dieu du carnage.
    Ça devait arriver. On le savait. On ne savait ni où ni quand ni comment. On ne connaissait ni le lieu ni le jour ni l’heure, mais on le savait. C’est arrivé. Paris a connu sa nuit la plus sanglante, la plus meurtrière depuis la Deuxième Guerre mondiale. Une nuit de massacre, de sang et de mort.

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  • « Les messages de mise en alerte Guépard des unités de réserve arrivent en ce moment sur les boîtes mail »

    Message d’un lecteur de Contre-Info.com :« Pour info, les messages de mise en alerte guépard des unités de réserve arrivent en ce moment sur les boîtes mail de certains réservistes ».

    Depuis le 1er juillet 2011, l’armée de Terre dispose de 800 réservistes d’alerte en cas de crise sur le territoire national : c’est le Guépard réserve. Capables de s’engager dans un délai de 48h, ces militaires sont en mesure de remplir des missions de sécurité générale ou de sécurité civile, en complément du dispositif des unités permanentes de l’armée de Terre.

    11 brigades contribuent à la mise en œuvre de ce dispositif et fournissent chacune une unité de 70 réservistes environ. Le renfort est basé sur le principe territorial : en fonction de la localisation de la crise, la brigade la plus proche sera sollicitée pour fournir les premiers renforts.

    http://www.contre-info.com/

  • Chronique d'une guerre annoncée

    Ce n’était pas une question de « si », mais de quand et comment. Depuis le « 13-11 » et – à l’heure d’écrire – ses 128 victimes d’un terrorisme déterminé, et 99 blessés en « état d’urgence absolue », nous savons que la guerre est là. Avec l’entrée de milliers et de milliers de jeunes hommes depuis des terres où l’on prêche la conquête islamique, nous savons que cette guerre peut-être terrible. Qu’elle peut s’organiser. Depuis hier, elle ne vise plus des ennemis déclarés, comme l’attentat contre Charlie, mais un style de vie. L’homme de la rue. Le jeune qui s’éclate, dans un macabre « retour à l’envoyeur ».

    La réponse doit-elle être politique ? Oui, certainement. Il appartient aux responsables des Etats d’y assurer la sécurité en les défendant contre les attaques extérieures et intérieures, et la paix, qui est « tranquillité de l’ordre ». Quel « ordre » ? Dans un pays où l’« ordre moral » est proscrit, où le désordre le plus fondamental est inscrit dans les lois et prêché dans les écoles, la tâche prend une allure singulière. Il s’agit de sauver et de protéger des vies, urgence vitale. Mais après ? Que défendons-nous ? Un « vivre-ensemble » qui traîne d’année en année son propre bilan de destruction, ce carnage propre, sûr et caché de plus de 200.000 victimes par an, par avortement légal ?

    Mère Teresa le disait, en recevant son prix Nobel à Oslo en 1979 : 

    « Le plus grand destructeur de la paix, aujourd'hui, est le crime commis contre l'innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu'est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ? L'Écriture déclare elle-même : “Même si une mère peut oublier son enfant, moi, je ne vous oublierai pas. Je vous ai gardés dans la paume de ma main.” Même si une mère pouvait oublier... Mais aujourd'hui on tue des millions d'enfants à naître. Et nous ne disons rien. On lit dans les journaux le nombre de ceux-ci ou de ceux-là qui sont tués, de tout ce qui est détruit, mais personne ne parle des millions de petits êtres qui ont été conçus avec la même vie que vous et moi, avec la vie de Dieu. Et nous ne disons rien. Nous l'admettons pour nous conformer aux vues des pays qui ont légalisé l'avortement. Ces nations sont les plus pauvres. Elles ont peur des petits, elles ont peur de l'enfant à naître et cet enfant doit mourir ; parce qu'elles ne veulent pas nourrir un enfant de plus, élever un enfant de plus, l'enfant doit mourir. »

    Cela n’enlève rien à l’horreur du massacre de vendredi qui résulte d’un attentat guerrier contre des innocents, des gens paisibles, des gens comme vous et moi.

    Mais comment nous défendre ?

    Car c’est une guerre où l’ennemi ne craint pas la mort. Il la recherche. C’est l’autre versant de cette culture de mort où l’Occident s’est enfoncé, recherchant la mort comme solution à ses problèmes, ses difficultés, ses ennuis, ses égoïsmes et même sa « charité » mal ordonnée faite de compassion et son refus de la souffrance. A l’Occident sans Dieu s’oppose sur son propre sol un « Orient » avec son faux dieu qui n’offre pas la rédemption mais la destruction, qui ne recherche pas l’amour librement donné mais la soumission. L’islam. Les djihadistes sont insaisissables parce qu’ils sont déjà de l’autre côté. Ils pensent gagner la vie en donnant la mort à autrui comme à eux-mêmes.

    « Que votre règne arrive mais je l’imposerai par ma volonté ; récompensez-moi parce que je n’ai pas pardonné aux autres… »

    Nous n’avons à opposer à cette charte de la haine que l’oubli de ce que nous sommes et la recherche de solutions trop humaines.

    Les huit terroristes qui sont morts – et d’autres peut-être, qui alors ne le sont pas, courent-ils toujours ? – ont choisi pour cibles des lieux symboliques d’une vie parisienne légère en un doux soir d’automne. Des restaurants où l’on se retrouve, des terrasses de café, des lieux sans souci. C’est la banalité de la vie quotidienne… le meilleur moyen de frapper les cœurs car chacun se dit : « J’aurais pu être là. » Le symbolisme de l’absence de symbolisme.

    Mais le plus grand nombre de morts, surtout des jeunes, sont tombés au Bataclan.

    Le groupe qui s’y produisait s’appelle Eagles of Death Metal. Dernier CD : « Zip down » – comprendre : « Braguette ouverte ». Au moment de l’irruption des trois ou quatre jeunes, très jeunes tueurs, ceints d’explosifs et lourdement armés, au moment des premiers tirs – il interprétait son tube de 2004, Kiss the devil. Embrasser le diable… Sans être un groupe de « métalleux » à strictement parler – on a plutôt à faire à un groupe de rock – le groupe affectionne les paroles à connotation sexuelle, noires, obscènes, avec des relents d’enfer.

    « Qui aimera le diable, qui chantera sa chanson ?… Qui embrassera sa langue ? »

    Ce sont eux. Ils le proclament. Assurément, ils jouent. Espérons qu’ils n’en pensent pas un mot. Mais il y a des mots dangereux qui sont autant d’appels au Malin. Les chanteurs s’en sont sortis. Les jeunes qui s’étaient massés dans la salle du Bataclan – ils étaient 1.500 – ont été frappés dans leur chair par ces appels à la mort, à celui qui veut notre mort. « Ne prie pas pour moi maintenant, garde ça pour le lendemain », dit une autre chanson récente du groupe.

    Le lendemain triste, nous y sommes. A nous demander que faire. A savoir que l’Occident s’est déjà couché devant cette force qui arrive d’ailleurs en oubliant qu’il est chrétien, et qu’il a reçu les paroles de la vie éternelle.

    La solution est politique, mais pas seulement, et ce sera si difficile, il est déjà tellement trop tard !

    La vraie solution nous a été donnée à Fatima. Pour la France, il s’agit de ne pas se laisser mettre à genoux, mais s’y mettre soi-même en implorant celle qui est « forte comme une armée rangée en bataille », et son divin Fils.

    http://leblogdejeannesmits.blogspot.fr/

  • MASSACRE EN PLEIN PARIS : CE N’EST QU’UN TOUT DÉBUT

    fumier

    L’immense avantage d’accepter la pouillerie du monde entier sur notre territoire n’aura pas tardé à se révéler au grand jour. En préambule, ne craignons pas d’affirmer que la classe politique, droite et gauche confondues, porte l’entière responsabilité du drame survenu à Paris ce soir et pour lequel on décompte déjà plus de 60 morts à cet instant précis (23h30). Notons que nous sommes passés de 18 morts, puis 30 à au moins 40 en moins d’une heure puis à 60 (23h45), sans parler des blessés dont certains dans un état grave. Le bilan risque de s’alourdir encore dans le courant de la soirée. 

    Plusieurs fusillades ont donc éclaté ce soir à différents endroits de la capitale et des explosions dues à des attentats suicides auraient aussi fait un certain nombre de victimes aux abords du Stade de France. Une prise d’otages est en cours au Bataclan sans qu’on sache très bien combien de personnes sont ainsi retenues. Il y aurait eu sept attaques simultanées et par conséquent concertées : le Bataclan, République, Les Halles, Trocadéro, Stade de France, Belleville, Paris 10è, Paris 11è.

    Alors que Valls éructe contre le Front national et en perd les pédales, au point de proposer des listes communes UMPS (LRPS maintenant) avec pour seule obsession de « faire barrage au Front national », ne ferait-il pas mieux de faire barrage au terrorisme, à la submersion migratoire qui en est la cause, au chômage et à l’inexorable montée de la pauvreté et de la précarité ?

    Les Français doivent maintenant se préparer à reprendre en main leur destin, au prix de grandes souffrances et de grands sacrifices mais que jamais aucun ne vienne dire « nous ne savions pas ». Ils doivent maintenant s’organiser et se préparer à assurer leur défense.

    Espérons qu’il n’y aura pas, dans les jours à venir, de marche blanche et autres grandes déclarations sur les valeurs républicaines, le « pas d’amalgame » et autres « Je suis Charlie. Le retour ». Cela ajouterait l’odieux à l’horreur. La folle immigration et la politique de soumission à Washington et à sa folie belliciste aboutissent aux résultats que de nombreux patriotes annoncent et prédisent depuis des décennies malgré la hargne de la classe politique gamellarde, essentiellement soucieuse de se partager l’assiette au beurre. Même l’obscurantiste Arabie Saoudite dont la seule religion autorisée est pourtant l’islam, se garde bien d’accueillir ces fameux « migrants » qui ne sont rien d’autre que des immigrés illégaux. Elle refuse énergiquement d’accueillir des réfugiés en provenance des pays en état de guerre civile et surtout pas venant de Syrie. Tout juste propose-t-elle benoîtement de financer 200 mosquées en Allemagne, à coups de pétro-dollars, ce qui comporte infiniment moins d’inconvénients.

    La seule attitude digne du gouvernement consiste à démissionner pour laisser place à un gouvernement de salut public.

    Source : Synthèse Nationale  Arnaud Raffard de Brienne

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