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islamisme - Page 419

  • Faut-il rendre obligatoire la lecture du Coran ?

    Depuis plus de vingt ans, il ne se passe pas de mois sans qu’un pays d’Europe occidentale ne soit la victime d’un attentat islamique contre les biens ou les personnes, les djihadistes ayant pris le relais des assassins de la cause palestinienne des années 1970-90… et l’on n’évoque pas ici les viols des « petits culs blancs » (triste expression, hélas quotidiennement entendue dans les cités françaises et belges à fort taux d’immigration africaine, noire et maghrébine), ces viols qui devraient, par leur fréquence, faire raisonner non plus en mois mais en minutes, à l’échelle européenne.

     

    Pourquoi s’en étonnerait-on ? Depuis les années 1970, l’Europe de l’Ouest et du Nord a recueilli un nombre effarant de sectateurs d’Allah le tout-puissant, à défaut d’être encore le miséricordieux.

    Le 7 janvier 2015, ô stupeur (feinte, du moins pour les politiciens et les responsables de la police et des services de renseignements), les fous d’Allah ont tué des journalistes de la gauche bobo, plutôt du genre canette de bière et sandwich que caviar, mais en ces temps d’austérité hollando-vallsienne, Dame Démocratie et Pucelle Liberté d’expression doivent se contenter de ce qu’on peut leur offrir.

    N’oublions pas que dans la seconde moitié de décembre 2014 (ce n’est pas si éloigné dans le temps), deux fous avaient jeté leur voiture sur un marché de Noël, des « requins vicieux » (autre appellation contrôlée chez les vieux musulmans désabusés) de l’immigration maghrébine avaient volé et violé un couple de retraités juifs et qu’un autre fou d’Allah avait lacéré de coups de couteaux trois policiers tourangeaux au cri d’Allah Akbar ; envoyé au paradis de son dieu, il avait été enterré en grande pompe et avec moult manifestations de colère de parents et d’amis au carré musulman du cimetière municipal de Joué-lès-Tours.

    À l’occasion de l’attentat du 7 janvier, l’on a exhibé devant micros et caméras quelques pitres, venus proclamer que « l’islam est une religion de paix ». Du musulman de base au recteur honoraire de grande mosquée, les rares fidèles qui ont osé s’exprimer sont ainsi venus proférer un énorme mensonge… et l’on comprend le silence embarrassé d’une foule de musulmans « qui n’ont pas voulu s’exprimer » (selon les journalistes) : ceux-là connaissent leur Coran !

    En effet, la lecture du saint Coran, censé avoir été dicté par l’archange Gabriel à monseigneur Mahomet, n’apporte guère d’eau au moulin des fidèles qui clament leur « indignation » de commande, du moins si on lit le saint texte dans la traduction de Kasimirski, revue par Mohammed Arkoun, qui est la plus répandue en Europe francophone… l’arabe n’est guère une langue utile à l’Européen, du moins pour l’instant. Mais ne doutons pas qu’elle ne soit imposée à l’ensemble de la population quand le pays sera régi par la charî’a (la loi coranique). Avec l’invasion musulmane accélérée, qui a commencé l’été de 2015, favorisée par la Chancelière d’Outre-Rhin et le vice-Chancelier européen siégeant à l’Élysée, sur l’ordre du crypto-islamiste de la Maison Blanche, cette charî’a est l’avenir programmé des institutions de la Ripoublique franco-musulmane.

    Pour qui a quelque peu fréquenté le Coran et lu quelques volumes de hadîths, il est évident que pour un authentique muslim (fidèle en la langue du prophète), la Terre se divise en deux parties et seulement deux parties : le Dâr al-Islam (la maison de l’islam) et le Dâr al-Harb (la maison de la guerre). À l’exception des pays majoritairement musulmans d’Europe danubienne : Albanie, Kosovo, Bosnie-Herzégovine et Macédoine (faut-il rappeler que la Turquie n’est pas et n’a jamais été un « pays européen » ?), la France et les pays européens évolués sont situés dans la maison de la guerre sainte ou djihâd.

    Il ne pourra y avoir de paix sur Terre que lorsque tous les membres de tous les peuples seront des fidèles de l’islam. C’est le fondement de cette religion. 

    Effectivement, les hasards de l’actualité font redécouvrir une évidence : l’islam est une religion mâle, dominatrice, conquérante, à l’imitation de son fondateur qui n’a jamais reculé devant le pillage de caravanes ni la commandite d’assassinats, qui a même institutionnalisé la guerre sainte.

    Certes, sourates coraniques et hadîths ordonnent au muslim d’accomplir « le bien », d’être travailleur, modeste, véridique, frugal, honnête etc. Le bon muslim ne s’enivre pas plus qu’il ne commet l’adultère (il peut disposer de ses quatre épouses, quand il le souhaite, en plus de ses esclaves, cf. les sourates 4 et 33). Il doit faire l’aumône et accomplir le pèlerinage de La Mecque. Il n’y a rien à redire à toutes ces recommandations, en notant toutefois deux menus détails : la polygamie n’est pas plus une institution autorisée dans l’Europe moderne que l’esclavage.

    D’autres sourates sont déjà moins agréables pour un Européen. On ne discute pas du Coran avec les infidèles (sourate 6) et l’on ne doit pas contracter de mariage avec un ou une infidèle (sourate 4). Le fidèle ne doit pas « contracter amitié avec le juif et le chrétien » (sourate 5). Enfin, la femme doit être totalement soumise à l’homme (sourates 4, 33) et l’homosexualité doit être considérée comme une infamie (plusieurs sourates le précisent). Selon la charî’a, le voleur doit avoir la main coupée (sourate 5)… après tout, pourquoi pas ?

    Le gros problème est représenté par les très nombreuses sourates vantant la « guerre juste », la « guerre sainte », le djihâd. Car le meilleur fidèle est celui qui meurt en combattant pour défendre ou propager l’islam (sourate 2).

    Selon divers imams, ulémas et autre mollahs qui s’adressent à des Occidentaux, l’islam serait une religion d’amour mutuel. Cette affirmation n’est exacte (à condition, bien sûr, de faire l’impasse sur les haines opposant les membres de sectes rivales) que pour les relations entre fidèles et d’une façon aussi théorique que l’est la pratique de la charité par les chrétiens !

    En revanche, l’islam est une religion de haine vengeresse envers les apostats et de haine conquérante envers les infidèles. Les premiers doivent être exterminés impitoyablement, selon la sourate 4, et bien des internautes ont pu visualiser sur leur canal préféré l’égorgement de musulmans apostats et d’autres infidèles d’ailleurs, selon la technique usitée par les tueurs d’abattoirs pour obtenir la viande halal (la tête de la victime étant tournée vers La Mecque et l’égorgeur récitant des « paroles pieuses »). La seule nouveauté, brevetée « califat nouveau », est l’usage du couteau à céramique : on peut être un tueur djihadiste et apprécier les techniques des « chiens de l’Occident » (autre expression d’appellation contrôlée).

    Par définition, le Djihâd est la guerre pour propager l’islam chez les infidèles (sourate 47) ou le défendre en cas d’agression (sourate 2). Dans la sourate 58, on relève cette forte phrase : « Allah a dit : je donnerai la victoire à mes envoyés ». Dans les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61 le djihâd est présenté comme « bon et juste ». Pour déculpabiliser les rares guerriers qui seraient pris de scrupules d’ordre humaniste, le prophète a dit : « Ce n’est pas vous qui tuez les idolâtres, c’est Allah » (sourate 8, verset 17).

    Le fidèle qui en est physiquement capable doit, en effet, obéir à un ordre aussi formel que simple : « Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (sourate 8, verset 40). « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez les idolâtres partout où vous les trouverez » (sourate 9). L’idolâtre est, bien sûr, le fidèle d’une autre religion ou l’athée.

    Les guerriers de l’islam qui meurent au combat ou des suites de leurs blessures sont assurés d’être reçus par Allah en son paradis, quel qu’ait été leur comportement terrestre (sourate 47). Ils ne doivent être ni pleurés, ni regrettés : ce sont des héros qui désormais vivent auprès d’Allah (in sourates 2, 3, 10 et 47). L’homme idéal selon l’islam est, quoi que puissent en dire les imams, ulémas et autres recteurs de mosquées chargés d’anesthésier les populations occidentales, le guerrier d’Allah et non le digne père de famille œuvrant pour nourrir sa famille et améliorer la société. Un hadîth le proclame : « Le sang du héros de l’islam est plus près d’Allah que l’encre des sages ou les prières des fidèles ».

    L’infidèle qui s’oppose au djihâd doit être tué (sourate 47) et sa famille dépouillée de ses biens et réduite en esclavage (sourates 8 et 47). « Quiconque montre de la bienveillance envers un infidèle combattant l’islam est injuste » (sourate 60, verset 9). La véritable paix ne pourra s’établir sur Terre que lorsque tous les humains adoreront Allah et pratiqueront son culte (sourate 47). Dès que les États islamiques sont en position de force, ils doivent proclamer le djihâd pour convertir qui veut l’être, exterminer ou réduire en esclavage qui refuse.

    En résumé, il n’est pas vrai que l’islam soit pacifique par essence, encore moins qu’il soit une religion tolérante, comme certains voudraient nous le faire croire. Il n’est pas faux d’écrire que, depuis le début de l’ère mondialiste et la diffusion des vidéos sur le Net, « le Coran est devenu une arme de destruction massive ».

    Durant les siècles précédents, plutôt que de les tuer, les maîtres de certains pays islamiques (singulièrement ceux de l’Empire ottoman) avaient trouvé plus profitable de laisser en semi-liberté des infidèles, pressurés d’impôts spéciaux, désarmés et publiquement humiliés et méprisés, totalement dépourvus de droits civiques : les dhimmis. Est-on assuré que cette « mansuétude » sera de mise en France (ou en d’autres pays européens) quand, par le mécanisme démocratique de la loi du nombre, une substitution de population majoritaire aura fait de nos pays des États islamiques ?

    Il existe de par le monde 1,3 milliard de musulmans soit un peu plus du cinquième de la population de la planète. La France renferme plus de musulmans que les quatre États musulmans d’Europe danubienne cités plus haut.

    Ce ne sont pas les discours pleurnichards des politiciens et des pitres des media de la société mondialiste qui arrêteront les fous de dieu dans leur délire homicide, pas plus que les milliards d’euros si mal dépensés dans les banlieues et les cités de non-droit n’empêchent les émeutes.

    Il est urgent, pour les Français de souche européenne comme pour tous les Européens autochtones, de lire le Coran, de s’imprégner de ses commandements (et pas seulement de ceux qui préconisent la bonté… entre fidèles).

    Il serait temps de bien connaître cette religion mâle et conquérante, ne serait-ce que pour moins mal voter ou, rêve insensé s’agissant d’une « nation de veaux », pour créer des milices d’autoprotection, dans le cadre d’une authentique « démarche citoyenne », puisque même les policiers, surmenés à force de verbaliser les automobilistes, semblent dépassés par les événements… sans compter que les forces armées, celles de gendarmerie et de police renferment entre 15 et 20 % de musulmans selon les armes et les régions.

    En 1914 et en 1939, la guerre entre Européens était proprement suicidaire. De nos jours, il est devenu évident que s’impose un Devoir d’insurrection, à l’encontre d’un pouvoir veule et laxiste, inepte et profondément corrompu.

    Docteur Bernard Plouvier

    notes

    Pour ceux qui seraient tentés d’aller explorer le sujet, on peut signaler

    * Le Coran, Garnier-Flammarion, 1970

    * A. Bauer, C. Soullez : Violences et insécurité urbaines, PUF, 2010

    * H. Corbin : En islam iranien, Gallimard, 1978

    * É. Darhel : D’une colonisation l’autre. Vers la guerre civile, L’Æncre, 2011

    * B. Davidson : Africa in History, Collier Books, New York, 1974

    * A. Fattal : Le statut légal des non musulmans en pays d’islam, Institut Catholique de Beyrouth, 1958 (disponible dans les bibliothèques des Universités catholiques de France et de Belgique)

    * G. Faye : Avant-guerre. Chronique d’un cataclysme annoncé, L’Æncre, 2002

    * H. de Fersan : Le racisme anti-français, L’Æncre, 1997

    * D. Filkins : La guerre sans fin, Albin Michel, 2008

    * J.J. Matringhem, P. Randa et Coll. : Vers la société multiraciste, Dualpha, 2002

    * J. Minces : La femme voilée. L’islam au féminin, Hachette, 1992

    * N. Multeau : L’islam chez lui chez nous, L’Æncre, 2012

    * J. P. Peroncel-Hugoz : Le radeau de Mahomet, Éditions Lieu Commun, 1983

    * M. Sakhri : Les démons de la foi, Dualpha, 2007

    * H. al-Tourabi : Islam, avenir du monde, Jean-Claude Lattès, 1997 (un livre hallucinant de haine et de fanatisme)

    * L. Uris : The Haj, Bantam, New York, 1985

    * I. Warraq : Pourquoi je ne suis pas musulman, L’Âge d’Homme, Lausanne, 1999

    * M. Wieviorka et Coll. : Violences en France, Seuil, 1999

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuuypukuFpdqLfEAcJ.shtml

  • Oskar Freysinger: « Le multiculturalisme est à la société ce que la partouze est à l’amour »

    Source : Boulevard Voltaire

    Oskar Freysinger, conseiller d’État du Valais et membre de l’Union démocratique du Centre (UDC), répond aux questions de Charlotte d’Ornellas sur l’Union européenne et le système politique de la Confédération helvétique.

    Pour Oskar Freysinger, l’Union européenne est un système bureaucratique, centralisateur, voulu par une élite, éloignée des soucis des citoyens. En contrepoint, la Suisse paraît être un modèle démocratique dont l’Europe pourrait et devrait s’inspirer.

    http://fr.novopress.info/

  • Entretien avec les auteurs du livre «L’islam dévoilé»

    Source : Poste de Veille
    Un entretien particulièrement clair et bien argumenté sur l’islam, donné à nos confrères canadiens de Poste de Veille. A lire d’urgence !

    Les auteurs du livre “L’islam dévoilé”, Claude Simard* et Jérôme Blanchet-Gravel*, ont bien voulu répondre aux questions de Rachid Bandou. Entretien sans langue de bois.

    Rachid Bandou : Quelles sont les raisons qui ont motivé votre décision d’écrire sur l’islam et non sur une autre religion ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Nous nous intéressons depuis plusieurs années au phénomène religieux et à la question corollaire de la laïcité. L’un de nous, Jérôme Blanchet-Gravel, a d’ailleurs entrepris des études de doctorat en sciences des religions. Le religieux est une dimension qui a marqué et qui marque encore les sociétés humaines. Bien que l’Occident se soit sécularisé à partir du XVIIIe siècle, les schèmes de la pensée religieuse influencent encore les idéologies qui y ont cours, même celles qui se veulent les plus progressistes, comme le montre le dernier livre de Jérôme Le retour du bon sauvage : la matrice religieuse de l’écologisme, qui vient d’être publié aux éditions du Boréal.

    Nous nous sommes particulièrement intéressés à l’islam, en raison de sa place et de son rôle prépondérants dans l’actualité nationale et internationale. Une bonne partie des grandes questions qui agitent aujourd’hui le monde sont liées à l’islam en tant que système politico-religieux. Pensons seulement à la crise du Moyen-Orient, à l’insoluble conflit israélo-palestinien, aux suites du Printemps arabe, aux problèmes d’intégration des immigrants musulmans en Europe et en Amérique du Nord, au terrorisme islamiste, etc.

    Si nous avons voulu écrire un livre sur l’islam, c’est surtout pour aider nos concitoyens à mieux comprendre les enjeux actuels que posent la doctrine et les pratiques islamiques. Les Québécois, comme les autres Occidentaux, ne connaissent guère la religion musulmane, et malheureusement les médias ne leur permettent pas d’acquérir des connaissances exactes sur cette religion. Nous avons voulu en quelque sorte combler ce vide.

    Rachid Bandou : Pourquoi l’Islam dévoilé ? Est-ce parce que les tenants et les promoteurs de cette religion ne veulent pas, pour des raisons données, dévoiler sa véritable nature mais que vous vous voulez faire connaitre au grand public ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Le titre de notre ouvrage nous a été fourni par notre éditeur lui-même, Karim Akouche. Nous l’avons tout de suite adopté parce qu’il traduit bien notre intention, celle de dévoiler au grand public la véritable nature de l’islam.

    L’islam est ambivalent et plein de contradictions. Bien des promoteurs de cette religion comme Tariq Ramadan exploitent cette ambivalence en présentant la religion musulmane seulement de façon positive et en taisant sciemment ses aspects sombres, afin notamment de la faire accepter par les Occidentaux, qui, comme il vient d’être dit, sont particulièrement vulnérables et crédules à cause de leur ignorance face à l’islam. Les défenseurs de l’islam iront jusqu’à mentir ou à diffuser des demi-vérités pour promouvoir leur religion, en conformité avec la règle coranique de la taqiya. Par exemple, Tariq Ramadan ne cesse de répéter dans les médias européens où il est souvent invité que, selon le Coran, le djihad est avant tout une quête spirituelle, une lutte sur soi en vue d’atteindre une vie plus vertueuse, alors que c’est totalement faux, puisque le Coran décrit avant tout le djihad comme une guerre sainte à mener contre les infidèles. Tariq Ramadan avance tout aussi effrontément que, selon les préceptes de l’islam, le djihad guerrier doit être mené uniquement à des fins défensives, jamais à des fins offensives, ce qui est encore totalement faux puisque l’histoire montre que l’islam s’est répandu dans le monde principalement au fil de l’épée.

    Nous sommes donc convaincus qu’il convient de rétablir les faits et de dénoncer les dérives réelles de l’islam.

    Rachid Bandou : On parle également d’un islam à deux visages. Celui de la Mecque décrit par les uns comme une religion qui prône la tolérance, la cohabitation et la paix et celui de Médine qui prêche tout le contraire. Est-ce qu’on retrouve ces deux faces dans votre livre ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Nous n’avons pas insisté sur le côté supposément bienveillant de l’islam. Nous avons plutôt fait une critique en règle de cette religion en insistant sur son côté malsain, imprégné d’intolérance et d’agressivité.
    Dans la partie qui analyse le Coran, nous introduisons évidemment la distinction entre les sourates mecquoises, plus modérées, et les sourates médinoises, franchement violentes et sectaires. Nous rappelons à ce propos la règle de l’abrogation, qui accorde préséance aux versets plus tardifs sur les versets antérieurs, ce qui nous amène à faire comprendre que les versets mecquois, plus anciens, sont le plus souvent annulés par les versets médinois, et qu’en conséquence le message coranique relève avant tout de l’esprit médinois, c’est-à-dire de l’époque où Mahomet a délaissé la prédication spirituelle pour devenir un chef militaire cherchant à imposer sa religion par le cimeterre.

    Rachid Bandou : Dans l’histoire de toutes les religions et croyances de la planète c’est toujours le visible, incarné par le fidèle, qui offre ses prières à l’invisible incarné par le divin. Directement ou à travers un symbole qui représente ce dernier. Sauf dans l’islam où c’est plutôt Dieu l’invisible, que personne n’a jamais vu, qui s’agenouille pour prier sa créature la plus préférée qu’est son prophète Mahomet. D’ailleurs, la phrase « Salla Allahou aalayhi wa sallem », qui accompagne le nom du Prophète et qui signifie en arabe que c’est ce dernier qui offre ses prières à Mahomet, le montre clairement. Mahomet est-il plus important qu’Allah ? Pourquoi mentir sur le véritable sens de l’invocation qu’on traduit à tort par « Que le Salut soit sur Lui» ? Pourquoi cette ruse : un discours qui respecte la raison, conçu pour les lecteurs occidentaux, et un autre qui la défie en divinisant le prophète, conçu pour les fidèles du monde musulman ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Les musulmans se livrent effectivement à une forme d’idolâtrie à l’égard de leur prophète. Le premier chapitre de notre livre résume la vie et la personnalité du fondateur de l’islam, et met en évidence le poids considérable qu’accordent les musulmans au personnage de Mahomet.

    Il est clair que, dans la religion musulmane, Mahomet a autant sinon plus d’importance qu’Allah. S’attaquer à ce personnage sacré est même passible de la peine de mort ! Les adeptes de l’islam, sans le déclarer officiellement, voient Mahomet comme les chrétiens voient Jésus, c’est-à-dire comme un homme qui transcende l’humanité et accède à la divinité (il serait d’ailleurs monté au ciel de son vivant et aurait discuté avec Allah lui-même). Mais leur monothéisme strict (« Il n’y a de divinité qu’Allah », stipule impérativement la chahada) les empêche, non seulement face aux occidentaux mais aussi face à eux-mêmes, d’avouer qu’ils ont divinisé le personnage de Mahomet. C’est là une des autres grandes contradictions de l’islam que les adeptes de cette religion s’efforcent de tenir tacite.

    Rachid Bandou : L’écrivaine de confession musulmane Irshad Manjy dit dans son livre Musulmane mais libre que la plupart des musulmans de la planète ne comprennent pas ce qu’ils disent lorsqu’ils récitent les versets coraniques car descendants de peuples non arabes, non musulmans mais arabisés et islamisés au sabre par les conquérants mahométans au fil des siècles comme par exemple la majorité des peuples nord-africains qui sont d’origine berbère. Qu’en pensez-vous ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Nous souscrivons à cette analyse. Dans notre livre, nous rappelons que la très grande majorité des musulmans ne sont ni de culture ni de langue arabe. L’arabe est la langue liturgique de l’islam comme le latin l’était pour les catholiques jusqu’à Vatican II. De même que les catholiques ne comprenaient pas les prières qu’ils récitaient en latin, de même l’ensemble des musulmans ne comprennent pas les versets du Coran ni les hadiths de la Sunna (qui sont d’une lecture encore plus complexe en raison de la règle de l’authenticité des garants). En fait, on observe dans l’islam, comme dans les autres religions, que la foi des fidèles est affaire de croyances naïves qui s’imposent sous la force du conformisme ambiant. Les musulmans répètent ce que l’on dit de répéter. La liberté de pensée n’existe pas chez bon nombre d’entre eux.

    Rachid Bandou : Vous avez, dans votre livre, cité en exergue Ferhat Mehenni, auteur et actuel président du Gouvernement provisoire kabyle, qui disait que « l’islam c’est l’intégrisme au repos, et l’intégrisme c’est l’Islam en action. » Est-ce que le message que vous voulez transmettre au public à travers votre livre calque sur ces propos ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Oui, cette phrase de Ferhat Mehenni résume bien l’essentiel du message que nous voulons transmettre à nos lecteurs. C’est une curieuse coïncidence que vous nous amenez à relever de constater que la phrase que nous avons mise en exergue de notre livre vient d’un kabyle militant qui lutte en tant qu’artiste et homme politique contre l’impérialisme arabo-musulman et que notre livre a été édité également par un écrivain kabyle, notre ami Karim Akouche, qui défend avec conviction et courage son peuple et sa culture d’origine.

    L’islam contient, dans ses fondements mêmes, dans son histoire, dans ses mythes, tous les germes de la violence qui déferle actuellement sur le monde entier, et particulièrement dans l’espace musulman. Ses archétypes renvoient à une religion fondamentaliste sectaire qui entend s’imposer à l’ensemble de l’humanité, par la force si nécessaire. Son dieu Allah est présenté par le Coran comme un être vengeur qui désire soumettre l’humanité à sa loi par la peur et la menace incessante de châtiments aussi bien ici-bas que dans l’au-delà. Son fondateur Mahomet est décrit par la tradition musulmane comme un farouche guerrier qui n’hésite pas à piller et à massacrer au nom de la parole supposément infaillible et éternelle d’Allah. Depuis le XIIe siècle, on pourrait même dire depuis son origine au VIIe siècle, l’islam s’est figé dans l’immobilisme et l’absolutisme idéologiques. De leur côté, les musulmans pratiquants partagent une foi de charbonnier qui les aveugle. Ce qui est tragique dans leur cas, c’est que l’enracinement dans leur religion est si fort qu’ils ont tendance à sombrer rapidement dans le fanatisme. On pourrait dire qu’ils sont encore dans l’état d’esprit où les chrétiens se trouvaient lorsqu’ils s’entretuaient en Europe durant les guerres de religion du XVIe siècle.

    Rachid Bandou : Lors de la dernière campagne électorale fédérale et pour des raisons bassement électoralistes nous avions vu des leaders politiques, tels Justin Trudeau et Thomas Mulcair, faire campagne dans des mosquées montréalaises, voire même côtoyer des dirigeants d’organisations religieuses pourtant identifiées comme étant des satellites de l’islamisme international. Ne pensez-vous pas que les islamistes se servent de ces politiciens victimes du syndrome de l’angélisme pour défier les valeurs de notre société en faisant ici même au Québec ce qu’aucun leader religieux non musulman n’oserait faire dans son lieu de culte ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Nous déplorons comme vous l’angélisme de la plupart de nos politiciens et aussi de nos journalistes, d’ici comme d’ailleurs, qui se veulent si ouverts à la différence culturelle qu’ils en arrivent à cautionner tous les excès des autres cultures et à déconsidérer, voire à mettre en péril, leur propre culture ainsi que la sécurité et la liberté de leurs propres concitoyens. Malheureusement cette bien-pensance liberticide et suicidaire continuera au Canada à servir l’islamisme avec l’arrivée au pouvoir d’un adepte du multiculturalisme, Justin Trudeau.

    Rachid Bandou : Dans votre ouvrage, vous traitez non seulement de l’islam mais également de la question multiculturaliste. Quel est le lien entre ces deux idéologies ? Leur connivence est-elle une menace pour la démocratie ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Le multiculturalisme est sans doute le principal moyen dont se sert l’islamisme pour avancer dans les sociétés occidentales. Cette idéologie politique, qui domine actuellement dans les pays occidentaux dont le nôtre, conçoit un pays comme la juxtaposition de différentes cultures ayant toutes le même statut et jouissant toutes des mêmes protections de l’État. Ce différentialisme exacerbe le pluralisme ethnoculturel et ethnoreligieux au point de favoriser le communautarisme et le repli identitaire en acceptant toutes les réclamations des diverses communautés immigrantes, dont spécialement celles de la communauté musulmane, qui est sans doute la plus revendicatrice. On en arrive même à cautionner officiellement des pratiques tout à fait contraires aux valeurs défendues depuis longtemps dans les sociétés d’accueil. L’acceptation du voile islamique en est l’exemple emblématique : symbole on ne peut plus misogyne, il est pourtant cautionné par la plupart des politiciens des grands partis canadiens, et même par des féministes supposément affirmées… Voilà le monde dans lequel nous évoluons aujourd’hui : un monde à l’envers, aveuglément libéral, dans lequel s’infiltre aisément et s’impose sournoisement l’islam !

     

    *Claude Simard est professeur retraité de l’Université Laval. Jérôme Blanchet-Gravel est candidat au doctorat en science des religions à l’Université Laval.

    http://fr.novopress.info/194419/entretien-les-auteurs-du-livre-lislam-devoile/#more-194419

  • Vidéo de revendication du crash de l’avion russe par l’État Islamique

    Revendication EI crash avion russe

     

    Revendication audio : https://archive.org/details/S_7inai

    http://www.contre-info.com/letat-islamique-revendique-le-crash-de-lavion-russe

  • Banlieues: Guénolé, le mystificateur ridicule

    Les 10 ans des émeutes de 2005 sont l’occasion de sortir études sociologiques et autres essais sur le phénomène des banlieues. Celui de Thomas Guénolé frappe particulièrement fort. « Les jeunes de banlieue mangent-ils les enfants ? » explique benoîtement que de la délinquance à l’islamisation, de la fraude sociale au trafic de drogue, tout est faux, tout est fantasmé, « Un monstre créé pour effrayer le bourgeois ». À ce niveau, il vaut mieux en rire.

    La Tribune de Genève a complaisamment interviewé Thomas Guénolé à propos de son dernier ouvrage « Les jeunes de banlieue mangent-ils les enfants ? ». Poussant à son paroxysme l’argumentaire sur le « sentiment d’insécurité » qui ne serait pas réel, le « politologue » étale une thèse qui prêterait à rire si elle n’était prise au sérieux et relayée par une partie des médias officiels : le « jeune de banlieue » est une mystification, conçue (par qui ? on ne sait) pour faire peur.

    Le cliché véhiculé dans notre société sur le monstrueux jeune-de-banlieue demeure le même. C’est un jeune grand gaillard noir ou arabe, musclé, sauvage, qui va violer votre femme, brûler votre voiture, voler votre bien, vendre de la drogue à vos fils, et partir faire le djihad – après avoir fraudé les aides sociales et pillé un petit commerce.

    Il tire la corde de son argumentaire jusqu’à la rupture, expliquant que le cliché est né de la généralisation abusive de quelques cas à toute une population, ne se rendant même pas compte qu’il applique le même raisonnement à l’inverse, faisant de tous les jeunes de banlieue de braves petits, victimes de «balianophobie» et de discriminations policières « sur fond de contrôle au faciès » et d’apartheid social

    Manuel Valls a eu raison de parler d’un apartheid en France. Il y a effectivement dans notre pays un système complet de ségrégation économique, sociale, éducative et culturelle, qui enferme les jeunes de banlieue tout en bas de la pyramide sociale française ; tout particulièrement quand ils n’ont pas la peau blanche.

    Si les difficultés d’intégration sociale et dans le monde du travail sont incontestables pour les chéris de Guénolé, que dire de leur propre responsabilité dans ces difficultés ? Que dire aussi de celle des populations de souche, assimilées à ces mêmes « croque-mitaines » et qui de plus subissent leur délinquance au quotidien, le racisme anti-blanc, les avanies réservées aux non – musulmans ?

    Rien, nique, bernique, Guénolé n’en a cure, trop occupé à « déconstruire les stéréotypes », bref, à nier le réel, à le tordre pour qu’il colle à son idéologie. L’exercice est tellement caricatural qu’il en devient absurde.

    guenoleAlors qu’il se targue de s’être « fondé sur des enquêtes de terrain et sur les analyses scientifiques » pour écrire son ouvrage, a-t-il seulement consulté les statistiques de la délinquance du ministère de l’Intérieur ou celle des constructions de mosquées ?
    Ce qui est sûr, c’est qu’avec de tels arguments, Guénolé se garde une place au chaud dans tous les médias de propagande, toujours friands de chiens de garde de l’idéologie dominante qui ne craignent ni l’excès, ni la caricature.

    Charles Dewotine

    http://fr.novopress.info/

  • Nice: un imam porte plainte contre Marion Maréchal-Le Pen

    Un imam n’aime pas se faire traiter d’islamiste par le FN, s’affirmant au contraire à la pointe du combat contre l’islam radical. Pourtant, il a reçu dans sa mosquée des Frères musulmans. Bévue du FN ou Taqiya ?

    Qualifié « d’islamiste » dans un tract électoral du FN, l’imam Abdelkader Sadouni du quartier populaire des Moulins de Nice n’a pas apprécié
    « C’est très grave, estime Abdelkader Sadouni, car ce terme renvoie à tous les courants terroristes du Moyen-Orient. On n’a pas le droit d’utiliser ce terme contre une personne qui, au contraire, est à l’avant-garde, depuis plus de dix ans, du combat contre le radicalisme. Si des gens comme moi sont attaqués, vers qui vont-ils se retourner ? »
    Il a donc déposé une plainte en diffamation contre Marion Maréchal Le Pen et compte lance une action devant le juge des référés pour faire suspendre la diffusion du tract.

    Le candidat tête de liste FN dans les Alpes-Maritimes Olivier Bettati, de son côté, affirme que le religieux a « invité dans sa mosquée, en conférence, M. Hani Ramadan, petit-fils du fondateur des Frères musulmans, qui a publié en 2002 une tribune dans Le Monde justifiant la lapidation des femmes ». L’imam reconnaît avoir invité Hani Ramadan, frère de Tariq Ramadan, mais réaffirme ses prises de position contre la lapidation.

    Les équipes frontistes sont-elles allées un peu vite en besogne en pointant du doigt cet imam ou ce dernier pratique-il la Taqiya, ce mensonge ou double langage licite dans l’islam pour protéger sa foi ?

    http://fr.novopress.info/

  • Renseignements russes : Les djihadistes de l’EI se sont rassemblés pour une Invasion MASSIVE de l’Asie Centrale

    Auteur : Nick Gutteridge
    Traduction Laurent Freeman

    Un grand nombre de combattants islamistes se sont rassemblés au nord de la frontière afghane et se préparent à entrer dans les états voisins, ont révélé des agents des services de renseignement russes.

    L’espion moscovite en chef, Alexander Bortnikov, a mis en garde les Talibans, des combattants, dont beaucoup ont prêté allégeance à l’Etat Islamique, qui sont lourdement armés et préparés à pénétrer la frontière poreuse.

    S’adressant à un congrès des services spéciaux des Etats Indépendants du Commonwealth, il a dit:

    « La communauté internationale fait désormais face à un nouveau challenge géopolitique, un groupe criminel international du nom de l’Etat Islamique. »

    « Ce projet, qui est la progéniture même du ‘Printemps Arabe’, a obtenu son élan à cause du deux poids deux mesures de certains pouvoirs mondiaux et régionaux, en utilisant ‘un proxy terroriste ravageur’ pour qu’ils atteignent leurs objectifs stratégiques en Asie et en Afrique ».

    « Selon nos propres estimations, les citoyens de plus de 100 pays différents se battent actuellement dans les différents rangs de ces structures terroristes variées et les jeunes recrues représentent 40% de leurs forces ».

    « L’escalade des tensions en Afghanistan a provoqué de graves dangers. Il y a de nombreux groupes criminels au sein du mouvement taliban au nord de ce pays en ce moment-même. Certains d’entre eux ont également commencé à opérer sous les ordres de l’Etat islamique, ce qui amène à une montée critique du niveau de menaces terroristes d’une potentielle invasion de l’Asie centrale ».

    Le groupe de djihadistes haineux pourrait essayer de se frayer un chemin au nord de l’Afghanistan après avoir essuyé plusieurs raids aériens meurtriers de la Russie.

    L’invasion serait comme un coup bas pour Vladimir Poutine, car elle emporterait avec elle plusieurs régions de l’ex-URSS à savoir le Turkménistan, l’Ouzbékistan, le Tadjikistan, qui sont toujours en bon terme avec Moscou.

    Ils prendraient ainsi le contrôle des champs d’opium en Afghanistan qui sont entretenus par les forces occidentales. Une manne qui renforcerait l’Etat Islamique, car le produit une fois transformé en héroïne, serait revendu dans les rues européennes ou américaines.

    L’Etat Islamique n’a cherché qu’à accroître sa présence en Asie et n’a cessé de recevoir du soutien de plusieurs cellules islamistes indiennes, pakistanaises et malaisiennes.

    Tôt ce mois-ci, Poutine a dénoncé la situation en Afghanistan comme étant « proche du seuil critique » et a appelé les nations de l’ex Union Soviétique à se préparer à agir à l’unisson pour contrer une potentielle attaque de l’Etat Islamique.

    Les fous islamistes ont été usés par les bombardements aériens russes et occidentaux, ce qui a amené plusieurs experts à reconnaître que leur économie est en panne et que leur structure de commande est sur le point de disparaître.

    Les djihadistes ont précédemment annoncé leur intention de conquérir le monde et de soumettre tous les êtres humains à une seule idéologie, la loi de la Charia.

  • Etre ou ne pas être… Notre jeunesse sensible à l’appel du djihad

    J’écoutais sur radio ND un débat avec une maman dont la fille, « contre toute attente », avait rejoint le djihad en Syrie. Cette maman traumatisée aurait même écrit un livre où elle raconte son désarroi et son incompréhension devant un phénomène qui tend à se multiplier. Elle conclut en affirmant que cette mésaventure peut toucher tous les milieux, toutes les familles quelques soient leurs religions.

     

    Mon attention, dans cet échange radiophonique fut attirée par l’évolution qu’elle décrivit du comportement de sa fille qui changeait à ses yeux. Au début elle vivait comme tous les jeunes, elle sortait avec les copines, avait un petit copain, elle parlait mode et se préoccupait de son apparence comme toutes les adolescentes, puis elle ralentit le maquillage, s’habilla plus sobrement, se détacha des objets et décorations kitch de sa chambre, elle menait une vie plus intérieure, elle semblait ailleurs.

    J’ai le pénible devoir de dire à cette dame que si sa fille s’était convertie en profondeur au catholicisme, il est probable que l’on aurait observé les mêmes évolutions dans son comportement. Sans faire ici de prosélytisme, nous devons admettre que notre société matérialiste et consumériste ne laisse pas beaucoup d’espace spirituel à nos enfants, pas plus que d’occasions de s’engager pour une cause qui dépasse le seul intérêt, la seule jouissance de notre enveloppe charnelle égotique.

    Quand, cette malheureuse maman dit que sa fille n’avait pas de problèmes, ne veut elle pas dire que sa fille s’épanouissait dans la superficialité de son existence ?

    Notre société occidentale apostâtes et fière de l’être avec sa longue théorie d’intellectuels autoritaires, athées, arrogants et laïcistes, a fermé tout espace d’élévation du cœur et de la conscience et a permis de transformer des êtres humains hier encore dotés d’esprit, en consommateurs passifs, ce qui fait le bonheur des dirigeants de notre société libérale.

    Mais l’aspiration profonde de chaque humain est quand même la quête des réponses ultimes sur l’existence, l’essence, la vie après la mort, le sens réel de notre vie ici bas. Cette aspiration est enfouie en chacun de nous, il suffit d’un révélateur conjoncturel pour la réveiller. Le grand Myrcéa Eliade ne parlait il pas de l’ « homo religiosus » ?

    Si cette maman, et je ne la juge pas, a pensé que si sa fille, adolescente, vivait normalement par ce que superficiellement, c’est surement là qu’elle s’est trompée. [....]

    Olivier Dejouy

    La suite sur Le Réveil Français

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Etre-ou-ne-pas-etre-Notre-jeunesse

  • Bachar accuse la France de soutenir le terrorisme

    Le président syrien Bachar al-Assad a reçu trois députés français, Jean-Frédéric Poisson, Véronique Besse et Xavier Breton, hier pendant un peu plus d'une heure. A l'issue, il a accusé les pays occidentaux

    « dont la France de continuer de soutenir le terrorisme en donnant une couverture politique aux groupes terroristes en Syrie et dans la région ».

    Bachar al-Assad a jugé que

    « le terrorisme est la raison principale de la souffrance du peuple syrien, (...) ainsi que l'embargo imposé à la Syrie qui a influé d'une manière négative sur la vie des citoyens ».

    Jean-Frédéric Poisson a déclaré :

    « Le règlement de la situation politique syrienne passe nécessairement par un dialogue avec le président syrien qui est en place et qui est élu par le peuple syrien ». « Il n'appartient pas aux pays étrangers de décider qui doit diriger la Syrie, il appartient aux Syriens de décider ».

    Laurent Fabius devait s'entretenir mercredi avec son homologue russe Sergueï Lavrov sur la crise syrienne avant des pourparlers à Vienne vendredi. Pour la première fois l'Iran participera à ces pourparlers internationaux. 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html