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islamisme - Page 419

  • Baroin préfère lutter contre les crèches que contre les imâms radicaux de Troyes

    L'Observatoire de l'islamisation relaye une vidéo de France 2 dans l'émissionComplément d'enquête, qui révèle l'existence d'Abdelilah Ziad, sous le nom d'Abdelkrim, l'organisateur présumé des attentats de Marrakech en 1994 (explosion d’une bombe qui avait tué deux touristes espagnols), condamné pour cela en France en 1997 et remis en liberté en 2001, mis en examen en 2010 pour des braquages en région parisienne, braquages que le juge Trévidic le soupçonnait d'avoir commis afin de financer des attentats islamistes. Abdelilah Ziad est toujours en liberté bien que sous contrôle judiciaire.

    Complément d’enquête révèle que Ziyad , alors qu’il a rencontré à plusieurs reprises lors de réunions privées à Chartres Omar Mostefai, terroriste mort au Bataclan, officie le plus tranquillement du monde à la mosquée al Ghazzali de Troyes, avec la complicité tacite des fidèles. Troyes dont le maire, François Baroin, préfère s'attaquer aux crèches qu'aux mosquées où prêchent des imâms dangereux comme Abdelilah Ziad.

    Cazeneuve, obnubilé par le danger représenté par la montée du FN, en oublierait-il celui, bien réel, des mosquées et des imâms radicalisés ?


    Complément d'enquête. Sur les traces d... par francetvinfo 

    Marie Bethanie

  • L'Action Française dénonce le financement de l'islamisme par nos impôts

  • Coalition contre Daech : « Nous sommes entrés dans la deuxième phase de la stratégie »

    Il est certain que L’État Islamique recule actuellement sur tous les fronts (même à l’ouest de Tadmor). Si le Chef d’État Major fait penser que la situation est bien en main, sur le terrain, il ne faut pas oublier que L’EI a toujours été imprévisible.

    « Nous sommes entrés depuis quelques jours dans la deuxième phase de la stratégie de la coalition, qui est celle du démantèlement ». C’est une petite phrase, prononcée par le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (Cema), lors de son audition par les députés de la commission de la défense, le 25 novembre dernier. «Deuxième phase» ? Au-delà du décompte quotidien des bombes larguées par les avions français en Syrie et en Irak, il est important de comprendre de quoi il s’agit, d’autant qu’il y a eu, jusqu’à présent, peu d’expression publique sur ce sujet. Nous sommes aujourd’hui en mesure d’apporter des précisions sur la manière dont la stratégie militaire est pensée par les chefs militaires de coalition.

    Depuis quand est-on dans cette « deuxième phase de la stratégie » ? 

    Fin novembre, le Cema répondait  aux députés « depuis quelques jours ». C’est en réalité un peu plus que cela. « Depuis l’été. Cela a été acté par la coalition au mois d’aout», confie une source proche du dossier. Au plan pratique, c’est le Centcom (commandement américain pour le Moyen-Orient) qui est l’état-major concerné par cette planification de la campagne contre Daech. «Des critères secrets ont été fixés et on évalue les résultats du plan de campagne au fur et à mesure de son déroulement. Ces critères sont passés au vert petit à petit ». La bascule vers la deuxième phase aurait été « entérinée » en septembre, au niveau des chefs d’états-majors – dont le cema français – au cours d’une réunion qui n’a pas été rendu publique. Le passage d’une phase à l’autre s’apparente à un tuilage « sans rupture brutale » avec la précédente, mais « nous sommes dans un cadencement plutôt favorable ».

    En quoi consistent ces phases ? 

    La première, qui avait débuté en juin 2014, consistait à « arrêter, bloquer, mettre fin à la progression» en Irak puis en Syrie, de Daech, explique une source militaire. La deuxième est celle du « démantèlement » de Daech, explique le Cema. « Il s’agit d’affaiblir et de désorganiser » l’ennemi, précise la source militaire, qui use d’une image : « On travaille la viande pour l’attendrir»… Cette phrase des opérations est traditionnellement « la plus longue ». Quant à la troisième et dernière phase, la définition exacte de son objectif stratégique n’est pas publique, même si l’on comprend qu’il s’agit de la reconquête du terrain et du « coup de grâce ».

    Quelle est la situation actuelle sur le terrain, selon la coalition ? 

    Il faut distinguer le théâtre irakien, différent de la situation syrienne, mais les états-majors estiment que Daech « est sur le reculoir », surtout en Irak. Dans ce pays, Daech a été chassé de Tikrit, Baïji et Sinjar. Cette dernière victoire, sur un axe important, a permis de rendre la logistique de Daech plus compliquée entre Raqqa et Mossoul, ces deux « capitales ». Désormais, l’affaire se joue à Ramadi : les forces de sécurité irakiennes ont encerclé la ville et « entrent dans les faubourgs ». En Irak, Daech a perdu l’initiative. En Syrie, Daech est « sous pression sur ces marges(territoriales) et sur ses centres de pouvoir, de commandement, d’entraînement, de financement ». Alors que l’attention a été beaucoup focalisée, notamment par le pouvoir politique, sur la ville de Raqqa, les militaires relativisent l’enjeu : « Raqqa n’est pas l’alpha et l’oméga. Il faut procéder à une analyse de l’adversaire pour l’affaiblir avant de le détruire ».

    Combien de temps pourrait durer cette deuxième phase ? 

    La coalition s’inscrit dans « un temps long ». La première, celle ducontainment, a duré plus d’un an et une source militaire explique que la nouvelle phase des opérations (« démantèlement ») est traditionnellement« la plus longue » des trois. On serait donc parti pour des années… D’autant que la stratégie mise en œuvre n’est pas que militaire. Ses aspects politiques et diplomatiques sont au moins aussi importants. «On ne peut pas réduire la stratégie au nombre de  bombes larguées. Les aspects cinétiques ne résume la Grande Stratégie de la coalition » s’agace-t-on dans les armées.

    Qu’en est-il d’opérations au sol ? 

    Il est trop tôt, politiquement et diplomatiquement, pour le savoir sur le théâtre syrien. En revanche, en Irak, la coalition a désormais « des forces capables d’agir ». Il s’agit d’Irakiens : 15 000 soldats (y compris les Kurdes) ont été formés par la coalition depuis plus d’un an. «Il s’agissait également de redonner une cohérence à l’armée irakienne qui avait été désarticulée par la surprise stratégique qu’a été l’offensive de Daech ».

    Un exemple de cette formation : la lutte contre les IED (engins explosifs improvisés) dont les combattants de l’Etat Islamique font un large usage lorsqu’ils se retirent d’un secteur, laissant derrière eux « un terrain pourri », selon un militaire. Les Français forment ainsi des « formateurs » irakiens dans ce domaine. Les spécialistes irakiens peuvent ainsi quitter les écoles où ils enseignent pour être engagés sur le terrain.  Un travail de longue haleine.

    Source : Secret Défense

    http://www.contre-info.com/coalition-contre-daech-nous-sommes-entres-dans-la-deuxieme-phase-de-la-strategie#more-40231

  • Médiapart a bénéficié d’une amnistie fiscale grâce aux attentats

    Amnistie fiscale pour Médiapart et Arrêt sur images, qui s’étaient auto-appliqués un taux de TVA réduit depuis 2008. Le gouvernement était réticent à effacer les ardoises de respectivement 4,1 millions et 540 000 euros. Mais il y a eu un petit effet “13 novembre” comme il y a eu un effet “Charlie”. Piquant de voir en plein état d’urgence et accumulation de mesures liberticides le gouvernement se poser en défenseur de la liberté d’expression pour sauver les copains… quant à la presse vraiment pluraliste, elle est privée de subventions… 

    http://fr.novopress.info/

  • Zoom : Pierre Manent - La France doit poser ses conditions à l'islam (08-12-2015)

  • Pétrole de Daech : les révélations russes laissent la presse française coite

    carte-petrole-daech-syrie-russie-turquie-6ee46.pngLa nouvelle a fait le tour du monde : après qu’un chasseur russe a été abattu par la Turquie, Moscou riposte en révélant le rôle de la Turquie dans le blanchiment du pétrole syrien, que lui procure en contrebande Daech. Des images satellites fournies par Moscou montrent d’immenses convois de camions citernes rejoignant la frontière turque. Ce trafic, qui rapporte selon le Financial Times plus d’un million de dollars par jour aux djihadistes, fait les choux gras de la presse internationale et produit un silence gêné en France.

    Les révélations russes sont abondamment reprises dans la grande presse internationale, qui consacre à cette information de longs articles, incluant photographies satellites et cartes. En voici quelques extraits (traduction approximative) :

    « Des responsables du ministère de la défense de Moscou ont rendu publiques des images satellites prétendant montrer des colonnes de camions citernes chargeant le pétrole d’une installation contrôlée par l’ISIS en Syrie, avant de passer la frontière turque. » (The Independent (1))

    « Conflit syrien : la Russie accuse Erdogan de négocier du pétrole avec l’ISIS. Le ministre de la défense adjoint Anatoly Antonov a déclaré que la Turquie était le plus important acheteur de pétrole “volé” à la Syrie et à l’Irak. » (BBC (2))

    « La Russie a accusé aujourd’hui la famille du président turc d’être impliquée dans un commerce illégal de pétrole avec l’ISIS – un maillon d’une organisation qui apporte des millions de dollars dans les caisses des terroristes. » (The Daily Mail (3))

    « Les militaires russes ont publié des images satellites montrant selon eux des colonnes de camions citernes chargeant leur pétrole depuis des installations contrôlées par l’ISIS en Syrie et en Irak, et traversant ensuite la frontière turque. » (NBC News (4))

    « Le président turc Recep Tayyip Erdogan et sa famille sont directement « impliqués » dans le trafic de pétrole avec l’organisation Etat islamique (EI), a affirmé le vice-ministre russe de la Défense, Anatoli Antonov (...) Depuis le début de ses interventions, l’aviation russe a détruit 32 complexes pétroliers, 11 raffineries, 23 puits de pétrole et 1080 camions-citernes transportant des produits pétroliers, a énuméré M. Antonov, faisant défiler les cartes dans l’immense salle où s’étaient réunis plus de 300 journalistes. Grâce à ces frappes, Moscou a réussi à réduire de moitié le chiffre d’affaires annuel des activités pétrolières de l’EI, passé de trois milliards de dollars par an à 1,5 milliard de dollars, a-t-il assuré. » (Le Temps (5))

    Embarras français

    Un pays, cependant, résiste à cette vague d’information : la France. Une rapide recherche dans la presse française montre en effet peu d’articles sur le sujet, ou des articles qui tentent d’allumer des contre-feux.

    France Info, pourtant pas aux mains de marchands d’armes, réagit ainsi avec une mauvaise foi révélatrice. Le titre de leur article (6), « Le pétrole de Daech crée des tensions entre la Turquie et la Russie », place sur le même plan le fraudeur et celui qui le dénonce. Dans le chapeau, le lecteur est immédiatement informé que « Washington de son côté dément catégoriquement les affirmations russes », autrement dit qu’il ne faut rien croire de ce que la Russie raconte. Dans le corps de l’article, France Info considère que « Ce mercredi, la Russie est passée aux attaques personnelles à l’encontre du président turc, Recep Tayyip Erdogan. » La Turquie étant innocente, ce ne peut donc être que des « attaques personnelles ». Et enfin, au milieu de l’article et après bien des pas de danse, France Info aborde enfin le coeur de l’information : « “Le principal consommateur de ce pétrole volé à ses propriétaires légitimes, la Syrie et l’Irak, s’avère être la Turquie”, a accusé mercredi devant plusieurs centaines de journalistes le vice-ministre russe de la Défense, Anatoli Antonov. ». Autrement dit, la où la presse anglo-saxonne (et suisse) publie de longs articles agrémentés d’images et de cartes, France Info résume pour sa part les révélations russes en une phrase. Difficile de se montrer moins enthousiaste.

    Le Figaro publie de son côté un “flash actu”, autrement dit une brève (7), qui ne reprend pas l’information russe mais reprend en revanche les dénégations de Washington : « Les États-Unis ont fermement démenti aujourd’hui les accusations de Moscou (…) » bla, bla, bla. Puisqu’on vous dit que la Turquie (qui a abattu le Sukhoï russe au mépris des lois et jurisprudence internationales, après un survol de son territoire de 17 secondes) est innocente…

    L’implication française dans la guerre contre la Syrie, explique l’embarras de nos médias. Le rôle opérationnel turc vis-à-vis de la rébellion en Syrie, est déjà trop connu pour nier de façon vraisemblable cet échange de bons procédés entre Daech et la Turquie, autour du pétrole. Or, c’est ce cordon ombilical que les Russes s’emploient à casser.

    Affoler les masses, rassurer les CSP+

    La grande presse, y compris française, a largement fait état du soutien de l’Alliance Atlantique et de ses alliés (États-Unis, France, Turquie, Qatar, Arabie Saoudite, etc.) à la rébellion en Syrie et aux djihadistes en particulier, djihadistes qui militairement dominent la rébellion. La distorsion française que nous venons d’examiner apparaît dès lors passagère. D’aucuns seront tentés de s’en réjouir, de se féliciter de cette vaillance journalistique et de voir que la presse continue à fonctionner en ces temps chahutés, et reste capable de gratouiller, de taquiner, voire pourquoi pas, d’inquiéter le pouvoir politique et militaire. La proposition est, hélas, bien naïve. Le lectorat de la grande presse (« grande » au sens de : établie) sont les CSP+, les catégories sociaux-professionnelles supérieures. Le message qui leur est ainsi adressé, est le suivant : “Non, l’Occident n’est pas sur le point de tomber sous les coups de boutoir du monde Musulman : c’est nous, au contraire, qui l’attaquons. Non, nous ne sommes pas dépassés par les événements : c’est nous qui payons. Continuez à investir chez nous car si nous gagnons la guerre, nos multinationales de l’armement, du béton et de l’énergie feront de beaux profits. Voyez comme vos placements chez nous sont en de bonnes main.” Les médias de masse, c’est-à-dire la radio et surtout, la télévision, dépeignent au grand public l’image d’un monde composé de gentils et de méchants. Affoler les masses pour les rendre dociles, mais informer les CSP+ pour qu’ils gardent confiance : un plafond de verre que les informations ci-dessus, ne dépassent pas.

    Yves Ducourneau, le 07/12/2015

    Crédit image : BBC http://www.bbc.com/news/world-middle-east-34982951&nbsp ;

    (1) « Russia unveils 'proof' Turkey's Erdogan is smuggling Isis oil across border from Syria », par Tom Brooks-Pollock, The Independent, le 04/12/2015,http://www.independent.co.uk/news/world/europe/russia-releases-proof-turkey-is-smuggling-isis-oil-over-its-border-a6757651.html&nbsp ;

    (2) « Syria conflict : Russia accuses Erdogan of trading oil with IS », BBC News, le 02/12/2015, http://www.bbc.com/news/world-middle-east-34982951&nbsp ;

    (3) « Russia reveals satellite image 'proof' that Turkey is benefiting from ISIS oil trade - and even accuses Erdogan's FAMILY of being involved in the 'criminal business' », par Corey Charlton, The Daily Mail, le 02/12/2015, http://www.dailymail.co.uk/news/article-3342846/Russia-accuses-Turkish-president-s-FAMILY-involved-criminal-business-selling-oil-purchased-ISIS.html&nbsp ;

    (4) « Russia Accuses Turkey's Erdogan of Involvement With ISIS Oil Trade », par Alexey Eremenko et F. Brinley Bruton, NBC News, le 02/12/2015,http://www.nbcnews.com/storyline/isis-terror/russia-accuses-turkeys-erdogan-involvement-isis-oil-trade-n472596&nbsp ;

    (5) « L'armée russe accuse le président turc de trafic de pétrole avec l'Etat islamique. Réplique immédiate », Le Temps, le 02/12/2015,http://www.letemps.ch/monde/2015/12/02/armee-russe-accuse-president-turc-trafic-petrole-islamique-replique-immediate&nbsp ;

    (6) « Le pétrole de Daech crée des tensions entre la Turquie et la Russie », par France Info, le 02/12/2015, http://www.franceinfo.fr/actu/monde/article/le-petrole-de-daech-cree-des-tensions-entre-la-turquie-et-la-russie-749287&nbsp ;

    (7) « Pétrole de l'EI : les USA défendent la Turquie », par Le Figaro et AFP, le 02/12/2015,http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/12/02/97001-20151202FILWWW00417-petrole-de-l-ei-les-usa-defendent-la-turquie.php&nbsp ;

    http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/petrole-de-daech-les-revelations-175145

  • Réunion internationale des PEGIDA à Aix-la-Chapelle, le 13 décembre prochain

    Si l’on entend régulièrement parler de PEGIDA Allemagne, on connaît moins ses émules belges ou néerlandais. Samedi prochain se tiendra une réunion rassemblant les PEGIDA Flandre, Liège, Pays-Bas, Rhénanie du Nord-Westphalie (NRW). Une partie du rassemblement se fera en français.

    PEGIDA a essaimé rapidement depuis ses premiers rassemblements à Dresde en 2014, non seulement partout en Allemagne, mais aussi dans d’autres pays européens. C’est ainsi que PEGIDA Pays-Bas, PEGIDA Flandre, PEGIDA Liège et PEGIDA NRW (Rhénanie du Nord – Westphalie) organisent un grand rassemblement à Aix-la-Chapelle le 13 décembre à 14 h. Une bonne occasion de rencontrer des identitaires et patriotes luttant en Allemagne, en Belgique ou aux Pays-Bas contre l’islamisation de la société.
    Des discours, dont une partie en français, des différents responsables, seront ponctués par un défilé (*). Comme souvent en pareil cas, les organisateurs s’attendent à des contre-manifestations de gauchistes et à une importante présence policière.
    pegida La télévision interroge le public
    Le rassemblement se tiendra à partir de 14 près de la gare de l’Ouest (Westbahnhof) d’Aix-la-Chapelle, le 13 décembre prochain.
    Si vous souhaitez vous y rendre, Aix-La-Chapelle est facilement accessible depuis Paris, Lyon ou Marseille en train. Il faudra peut-être changer de train à la gare Centrale d’Aix-la-Chapelle pour se rendre à la gare du Sud d’Aix-la-Chapelle (10 min.). Vous pouvez également prendre l’avion jusqu’à Bonn, puis le train vers Aix-la-Chapelle.
    Pays-Bas. PEGIDA a tenu son premier rassemblement aux Pays-Bas ce 11 octobre 2015, à Utrecht
    Les mouvements PEGIDA hors d’Allemagne sont très actifs. Aux Pays-Bas, le mouvement a débuté Utrecht puis à Rotterdam. En Belgique, deux organisations sont liées à PEGIDA Allemagne : PEGIDA Flandre organise des manifestations, bien que la première ait été interdite. PEGIDA Liège/Lüttich (Liège en français, Lüttich en allemand) a voulu manifester en novembre 2015, mais la manifestation a été interdite par le maire socialiste. Les autres PEGIDA existant en Belgique ne sont pas reconnus par le mouvement PEGIDA.
    Lutz Bachmann, la figure de proue de PEGIDA (Dresde)
    (*) Les drapeaux de pays et régions sont autorisés. Sont interdits, les drapeaux ayant trait aux idéologies totalitaires et à l’islam, ainsi que le drapeau palestinien, les armes, couteaux, bouteilles, l’alcool, les objets dangereux. Les banderoles sont autorisées. Les tee-shirts de partis politiques sont interdits.

    http://fr.novopress.info/195931/reunion-internationale-pegida-aix-chapelle-13-decembre-prochain/

  • L’enquête sur les attentats du 13 novembre progresse

    Samedi, un délinquant de 25 ans, Mohamed S., a été mis en examen puis écroué pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle. Il est soupçonné d’avoir aidé à offrir un refuge à Abdelhamid Abaaoud, le chef opérationnel présumé des attentats. Il s’agit de la deuxième mise en examen dans l’enquête sur les attentats de Paris et de Saint-Denis, après celle de Jawad Bendaoud fin novembre. L’homme mis en examen samedi aurait servi d’intermédiaire entre Jawad Bendaoud et Hasna Ait Boulacen, qui recherchait une planque pour Abdelhamid Abaaoud. Par ailleurs, Salah Abdeslam, un des auteurs présumés des attentats, est toujours insaisissable.

    En Belgique, huit hommes sont inculpés et emprisonnés à ce jour. Ils semblent intéresser plus directement l’enquête sur la cellule qui a fomenté et mené les attentats, que Mohamed S. et Jawad Bendaoud. Vendredi, le parquet fédéral belge a annoncé que les enquêteurs recherchaient deux hommes contrôlés le 9 septembre en Autriche avec Salah Abdeslam. Non identifiés, ils avaient produit deux fausses cartes d’identité belges au nom de Samir Bouzid et Soufiane Kayal. Deux autres suspects ont été inculpés en Belgique « dans le cadre des attentats de Paris », a déclaré un porte-parole du parquet fédéral, Eric Van Der Sypt. Selon la télévision publique flamande VRT, l’un d’eux est une connaissance d’un des kamikazes des attentats, Bilal Hadfi, qui s’est fait exploser au Stade de France.

  • Yémen: la coalition saoudo-US derrière le retour d’Al-Qaïda et Daesh au sud

    Le porte-parole du mouvement yéménite Ansarullah (Houthis), Mohammad Abdel-Salam, a affirmé que la coalition saoudo-US est derrière le retour des miliciens takfiristes d’Al-Qaïda et de Daesh au sud du Yémen.
    Abdel Salam a fait cette déclaration à l’issue des discussions entre les délégations d’Ansarullah et de la Conférence Populaire (proche de l’ancien président Ali Abdallah Saleh) avec l’émissaire onusien Ismail Ould Cheikh Ahmad dans la capitale omanaise, Mascate.
    M.Abdel Salam a révélé avoir discuté avec l’émissaire onusien des moyens de mettre en place un cessez-le-feu au Yémen et des préparatifs du dialogue inter-yéménite prévu mi-décembre en Suisse.
    S’agissant du terrorisme takfiriste, M.Abdel Salam a indiqué avoir informé les Nations Unis que la poursuite des assassinats (dans les régions contrôlées par les forces proches de la coalition) révèle la situation douloureuse dont sont désormais victimes les habitants des provinces méridionales.
    Et de poursuivre: « Tel était le cas à Sanaa et dans les autres régions yéménites avant la révolution du 21 septembre ». Les combattants l’armée et d’Ansarullah ont éradiqué toute présence takfiriste à Sanaa et dans les provinces du nord.
    « Seuls les raids de la coalition saoudo-US perturbent la paix et la stabilité dont jouissent Sanaa et les provinces nord », a lancé le porte-parole d’Ansarullah, rapporte le correspondant d'AlManar.
    Dimanche, le gouverneur de la province méridionale d'Aden a été dans une attaque-suicide revendiquée par Daesh.
    Au moins six membres de son convoi ont également été tués et plusieurs autres blessés dans cette attaque-suicide, qui s'est produite dans le quartier de Tawahi.
    Ce quartier d’Aden est devenu un fief des takfiristes d'Al-Qaïda après son contrôle par les forces de la coalition et leurs alliés.

    Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuuAulAZlZyeSczDwh.shtml