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islamisme - Page 421

  • (Montjoie) Saint-Denis, tout un symbole

    Lors de son allocution lundi  devant les parlementaires réunis en Congrès à Versailles,  François Hollande a  avancé un certain nombre de propositions trois jours après les attentats qui ont ensanglanté  Paris. Au nombre de celles-ci figurent la destitution de la nationalité chez les binationaux « condamné pour une atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation ou un acte de terrorisme » ; la création de 2.500 emplois supplémentaires dans la justice, 5.000 emplois supplémentaires dans la police et la gendarmerie ; la création d’une « garde nationale » formée de « réservistes » de la Défense ; l’approbation avant la fin de l’année du fichier européen des passagers aériens (PNR) pour « assurer la traçabilité du retour des djihadistes et les interpeller ». Dans un communiqué, Marine Le Pen déploré cependant le refus de « reconstituer nos frontières nationales de manière définitive » et de mettre un terme à « la politique d’accueil des migrants », alors qu’elle est « une voie cachée potentielle des terroristes pour frapper la France ». « Plus grave, François Hollande a totalement occulté le combat indispensable à mener contre l’islamisme en tant qu’idéologie, notamment par la fermeture des mosquées salafistes, le renvoi des imams étrangers prêchant la haine, et la lutte contre toutes les formes de communautarisme. Rien non plus sur le nettoyage indispensable des caves et des banlieues gangrenées par tous les trafics.

    « Les conditions d’une sécurité retrouvée (…) incluent inévitablement le retour définitif aux frontières nationales, la fin de l’immigration massive et la lutte implacable contre l’islamisme» a encore assuré Marine Le Pen. Toutes choses évoquées également par Bruno Gollnisch, qui a aussi insisté sur le volet culturel, éducatif du combat à mener dans une vidéo postée hier sur ce blogue.

    Les Français constatent aussi, avec une interrogation, voire une incompréhension majeure teintée de colère que depuis les attentats de janvier, qu’aucunes opérations d’envergure, similaires aux centaines de perquisitions menées ces derniers jours dans un certain nombre de  banlieues plurielles,  n’avaient été décidées par MM. Hollande, Valls et Cazeneuve. Pourquoi ?

    L’ancien juge anti-terroriste Marc Trévidic  le confiait dans un entretien accordé à Mathieu Delahousse, et il le répète depuis de longs mois,   la France n’a pas d’autres choix que de passer rapidement à la vitesse supérieure,  prendre toute la mesure des périls qui pèsent sur sa sécurité intérieure : « Le nombre de personnes sous surveillance est devenu problématique. Il existe autant d’individus à surveiller que d’agents de la Direction générale de la sécurité Intérieure (DGSI), il faut se rendre compte de cela ! Nous sommes en face d’un sous-dimensionnement évident, problématique (…) L‘Etat islamique peut aujourd’hui recruter à foison. Les effectifs de jeunes gens prêts à passer à l’action peuvent lui sembler inépuisables (…). L’Etat islamique est dans une position de force incroyable, à la tête d’une armée qui paraît illimitée (…). On est tellement sous-dimensionné par rapport à la menace qu’il faut doubler les effectifs dans les directions de renseignement et les services judiciaires (…). Les jours les plus durs, les plus sombres, risquent d’être devant nous. »

    Le 16 novembre devant le Congrès, François Hollande a  affirmé que «les actes de guerre de vendredi ont été décidés, planifiés en Syrie, ils ont été organisés en Belgique, perpétrés sur notre sol avec des complicités françaises. Ils poursuivent un objectif bien précis: semer la peur pour nous diviser ici et nous faire pression pour nous empêcher là-bas, au Moyen-Orient, de lutter contre le terrorisme ».

    Le président de la République semble ( ?) avoir enfin pris  la mesure du danger en se ralliant à la nécessité  d’une coalition  plus large, non cantonnée à l’Otan,  incluant les Russes, pour casser les riens à l’Etat islamique.  Un objectif prioritaire,  autrement  plus important que les obsessions incompréhensibles ( ?)  de  Laurent  Fabius sur  l’élimination  de Bachar el Assad.

    Sur son blogue, Jacques Bordes notait  d’ailleurs que  les «  ubuesques conditions que Fabius pose à l’entrée de Moscou à une  grande coalition contre Daech, alors que les Russes lâchent tous les jours dix à vingt fois le tonnage  de bombes que nous venons de larguer sur Raqqa – commence à faire tache dans le paysage géostratégique. Raqqa est-il le début de la fin de cette exception française de cinq ans ? Espérons-le. Assurément, le départ de Laurent Fabius du Quai d’Orsayserait un signe fort que de plus en plus de chancelleries accueilleraient avec soulagement ».

    Bref, il a fallu attendre 10 mois et le carnage du 13 novembre pour donner un coup de pied dans le nid de frelon des fous d’Allah, pour que le sommet de l’Etat  donne les ordres, l’impulsion nécessaire. De même, hormis ces dernières 72 heures, depuis septembre, nos avions de combat  engagés au sein de la coalition contre l’Etat islamique,  n’ont largué que quelques bombes contre  les  positions des miliciens djihadistes,

    Cette nuit, la capitale de l’EI, Raqqa (Syrie),  a de nouveau été attaquée par l’aviation française  et un  assaut policier a  éaté donné  à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)  très tôt ce matin, contre la planque supposée du commanditaire des attentats de Paris, le « Belge» Abdelhamid Abaaoud. Trois islamistes auraient perdu la vie dans l’opération après des tirs contre les forces de l’ordre, dont une femme qui aurait actionné sa ceinture d’explosifs,  trois autres  ont été interpellés.

    Les personnes attachées aux symboles, aux signes que nous délivre l’Histoire, jugerons qu’il est emblématique  que la France ait été attaquée  dans sa capitale certes, mais aussi  dans la plaine Saint-Denis,  où comme le notait Dominique  Setzepfandt,  «à quelques centaines de mètres du méridien de Paris», «se trouvait l’omphalos de la Gaule, ce sanctuaire central dont parle Césardans De bello Gallico. C’était là, selon toute vraisemblance que se dressait le tumulus de l’ancêtre de tous les Gaulois, le lieu où était vénéré le Teutatès celtique, protecteur de sa race, que les romains assimilèrent à Dis Pater et que les Francs, lorsqu’ils arrivèrent sur les bords de la Seine, qualifièrent de Mundgani (Munjoie), Protège pays...»

    Montjoie  Saint Denis,   vieux cri de guerre des 43  rois de France qui reposent, en compagnie de 32 reines, de princes et de chevaliers,  à Saint-Denis dans  la   basilique abritant 1500 ans d’histoire de France. Mais nécropole  dans un état de délabrement indigne, malgré les récents travaux de restauration de sa façade occidentale, ce dont  s’était ému  voici déjà des années notre ami Karim Ouchikh.

    Un mépris de notre identité, de notre longue mémoire, de  nos  racines françaises et catholiques au cœur d’un département emblématique de toutes les démissions, les lâchetés, les reniements, les aveuglements des partis du système. Bruno Gollnisch avait justement  chois le parvis de la basilique Saint-Denis pour le lancement de sa campagne pour la présidence  du FN, en septembre 2010. « La Seine-Saint-Denis » avait-il notamment déclaré, « ne doit pas devenir pour la France ce que fut le Kosovo pour la Serbie: berceau de l’Histoire nationale progressivement submergé, puis amputé par les forces d’une coalition étrangère !». Des propos qui résonnent aujourd’hui avec une force accrue.

    http://gollnisch.com/2015/11/18/monjoie-saint-denis-tout-un-symbole-2/

  • Contre les djihadistes, le pouvoir manque de courage

    Michel Geoffroy, essayiste.

    ♦ Les odieux attentats islamistes du vendredi 13 novembre suscitent une émotion justifiée partout dans le monde civilisé. Mais l’émotion ne suffit pas.

    Le problème vient de ce que le pouvoir est justement passé maître dans le registre émotionnel. Pour nous faire oublier ses responsabilités. Et ses lâchetés.

    Pleure comme une femme…

    On nous ressort tout l’attirail habituel avec force deuil national, hommages, monceaux de fleurs, minutes de silence, « marches blanches », petites bougies, défilé de ministres et de président dans les médias.

    Lesquels médias de propagande nous montrent la mobilisation totale de nos forces de police et de nos forces armées, état d’urgence oblige. Les hélicoptères vrombissent et les sirènes hurlent. Et François Hollande de revêtir une nouvelle fois les habits de « chef de guerre ». Mais, hélas, après le carnage.

    « Pleure comme une femme ce que tu n’as pas su défendre comme un homme », aurait dit selon la légende la mère de l’émir Boabdil lorsqu’il fuyait sa citadelle de Grenade, reconquise par les rois catholiques. Nous y sommes, mais les rôles semblent inversés.

    Trois fautes cardinales

    Le terrorisme de fanatiques religieux est, certes, toujours difficile à combattre, surtout quand les terroristes n’ont pas peur de mourir. Mais ce n’est pas une raison pour passer sous silence les fautes commises en la matière par l’oligarchie au pouvoir. Et en la matière trois fautes cardinales ont été commises.

    1/ D’abord le déni

    La première faute a été le déni.

    Le pouvoir n’a eu de cesse de nier la réalité de la menace islamiste – pour des raisons idéologiques avant tout, afin d’éviter « tout amalgame » et de ne pas faire « le jeu du Front national », sans doute. On a les priorités que l’on peut.

    Le pouvoir ne voyait donc que des « loups solitaires », des « isolés » ou des « déséquilibrés ». Il nous expliquait que ces isolés s’autoradicalisaient sur Internet, mais qu’ils étaient au départ de « gentils garçons ». Et quand ils fonçaient dans un marché de Noël en décembre 2014 aux cris d’Allouah Akhbar, ce n’était somme toute qu’un malheureux accident de la circulation sans signification.

    Le déni a continué même après les attentats de janvier 2015 : on nous a expliqué alors que des fascistes à barbe s’en prenaient aux valeurs de la République. Le mot islamisme n’était que très rarement prononcé, sans doute pour faire écho aux dires du Conseil représentatif des musulmans de France selon lesquels les tueurs ne pouvaient se réclamer de l’islam. Une façon théologique de dire : « Circulez, il n’y a rien à voir ».

    Cachez cette meute que je ne saurais voir

    Pour le pouvoir il ne pouvait y avoir aucune connexion entre islam et islamisme ni aucune relation entre islamisme et immigration.

    Bien entendu, les alertes répétées des services de police, de gendarmerie ou bien les études de criminologues pointant la progression inquiétante de la radicalisation islamiste dans certaines franges de la population n’étaient pas prises en compte car contraires à la doxa officielle. De même qu’on n’a pas pris au sérieux l’annonce des islamistes se félicitant que des « combattants » entrent en Europe mêlés aux « réfugiés » que Mme Merkel aime tant et que nos gouvernants veulent installer partout.

    On ne voyait officiellement que des « loups solitaires » : il n’était donc pas de bon ton de découvrir des meutes.

    2/ Les Diafoirus du terrorisme

    Le pouvoir s’est ensuite rendu coupable de naïveté.

    Si le diagnostic est mauvais, on a peu de chances de soigner le malade. La façon, digne des médecins de Molière, dont on a traité la menace terroriste en constitue un nouvel exemple.

    Le pouvoir en est d’abord venu à croire que la violence de ces individus résultait du sentiment d’exclusion dont ils s’estimaient victimes de la part de notre société, qui était donc finalement coupable.

    Le remède bisounours serait donc constitué par la fameuse « politique de la ville », sur fond de laxisme judiciaire. Un fiasco de l’aveu même du premier ministre Manuel Valls qui, après 20 ans de cette politique, évoque un « apartheid social » dont seraient toujours victimes ces pauvres jeunes.

    Le doigt dans l’œil

    Le pouvoir a ensuite estimé que pour éviter la radicalisation islamiste il fallait encourager… le culte musulman – et bien sûr aussi former des imams républicains.

    L’auteur de ces lignes se souvient d’ailleurs avoir entendu de hauts responsables de l’Etat en Seine-Saint-Denis se féliciter que les jeunes fréquentent de plus en plus les mosquées car cela allait, disaient-ils, contribuer à les re-socialiser ! Aujourd’hui ils sont exaucés : certains jeunes se sont tellement « socialisés » qu’ils sont partis faire leur service militaire… en Syrie, après s’être fait pousser la barbe.

    Le pouvoir s’étant enfin mis dans la tête que tout provenait des prêcheurs de haine sur Internet, il s’est mis à pourchasser prioritairement les fantômes du « râââcisme », du « fâââschisme », de « l’islamophobie » et de « l’antisémitisme » sur le Net, mélangeant allégrement souverainisme, refus de l’islamisation et prêche islamiste – mélangeant volontairement débat politique, provocations juvéniles et réseaux terroristes.

    3/ La lâcheté au pouvoir

    Le pouvoir a commis une dernière faute : la lâcheté.

    On ne peut pas combattre un ennemi qu’on ne désigne pas. Car si on ne le désigne pas, on ne risque pas de voir où il est, et on ne risque pas de l’intimider.

    Seulement voilà : il faut avoir le courage de désigner son ennemi, ce qui constitue l’essence de la souveraineté politique. Or ce courage, le pouvoir ne l’a pas eu. Il reviendra aux historiens du futur d’en expliciter les raisons, et au Tribunal de l’Histoire d’en tirer les conséquences, le moment venu.

    Le pouvoir a, au contraire, trouvé commode de nous faire croire que les poseurs de bombes et les tireurs à la kalachnikov étaient des abstractions philosophiques nébuleuses : la haine, le refus de l’autre, etc. : un bla-bla qui permettait de noyer les responsabilités de l’oligarchie dans la situation, en particulier son laxisme obsidional vis-à-vis de l’immigration, la destruction des frontières de l’Europe et l’instauration du chaos au Moyen-Orient.

    Mais ce n’est pas le « refus des valeurs de la République » qui a tiré sur la foule du Bataclan. Ce n’est pas le rejet du « vivre-ensemble » qui a frappé au Stade de France. Ce sont des tueurs bien concrets qui se réclamaient de l’islam radical, qui ont été entraînés pour tuer et qui ont été aidés pour qu’ils commettent leur forfait sur un mode quasi militaire, dans notre pays.

    Comme le font remarquer les criminologues, tel Xavier Raufer, la plupart des terroristes font en outre leur apprentissage dans le grand banditisme. Cela veut dire qu’on les connaît la plupart du temps déjà et donc qu’on aurait tout à fait la possibilité de les mettre hors d’état de nuire préventivement si on le voulait vraiment. Mais curieusement, vis-à-vis du terrorisme islamiste, le fameux « principe de précaution » ne trouve jamais à s’appliquer.

    Parce que le pouvoir manque de courage.

    Courage, bombardons !

    « La France est en guerre », titrent les médias de propagande. Mais cette guerre, le pouvoir n’a ni l’envie ni les moyens de la conduire.

    Car pour cela il faudrait désigner nos ennemis. Il faudrait reconnaître aussi que la guerre de civilisation prophétisée par Samuel Huntington est devenue réalité, chez nous au surplus : un effort bien au-delà des forces du pouvoir !

    Le président de la République vient, certes timidement, de désigner Daesh. C’est un petit progrès.

    Mais Daesh n’est aussi à sa manière qu’une entité abstraite ; et le nom même de Daesh, mal connu des Français, évite commodément d’en prononcer d’autres.

    Cette entité n’est surtout qu’un conglomérat mal défini, sinon qu’il dispose curieusement des moyens militaires d’un pays moderne. Qui les lui fournit donc ? Secret Défense.

    On va donc bombarder Daesh une fois de plus, ce qui persuadera les Français qu’on assure, comme avec Vigipirate, leur « sécurité ». Mais on bombardera quand même de haut et de loin. On nous promet aussi une « réponse forte » aux attentats terroristes.

    Les djihadistes doivent en trembler d’avance. Comme les « marches » de janvier 2015 les ont fait reculer… de quelques mois.

    Michel Geoffroy, 16/11/2015

    http://www.polemia.com/contre-les-djihadistes-le-pouvoir-manque-de-courage/

  • Pétition du Salon Beige : Fermez les mosquées salafistes !

    Profondément choqués par les attentats de vendredi dernier, nous avons pris l’initiative de lancer une pétition au président de la république pour faire fermer la bonne centaine de mosquées salafistes présentes sur le territoire français, faire expulser les imams étrangers prédicateurs de haine, et faire interner ceux qui ont la nationalité français.

    Le président affirme - enfin ! - que nous sommes en guerre.

    Il est temps qu’il en tire les conséquences pratiques et que les pouvoirs publics cessent d’encourager par leur faiblesse, leur aveuglement, et parfois même leur complaisance, les islamistes radicaux.

    Et il faut que ces derniers sachent qu’ils ne seront jamais chez eux chez nous !

    Alors signez vite et faites largement signer cette pétition.

    Nous sommes déjà des milliers, mais il faut que le président croule sous les dizaines de milliers de messages de Français déterminés à défendre leurs libertés et leur identité.

    Guillaume de Thieulloy Directeur de la publication du Salon beige

    Alors signez vite et faites largement signer cette pétition

  • France Inter reconnait être sous influence du gouvernement

    CT6qq2SWsAAaMPeCT6qqapWsAEPm1CLe directeur de la rédaction de France Inter cherche à défendre sa journaliste auteur de l'article sur le "fantasme de l'infiltration djihadiste parmi les réfugiés". Il s'enfonce, il enfonce France Inter et écorne la déontologie de ses "journalistes" en reconnaissant tout simplement, et sans honte visiblement, qu'ils n'ont fait que reprendre la position du ministre de l'intérieur :

    "Ce n’est pas notre journaliste qui a mal fait son boulot. Elle s’est appuyée sur le ministère de l’intérieur : dans un échange en off avec d’autres collègues, il se disait alors très peu préoccupé par ce risque"
                        

    C'est ce qu'on appelle des médias "aux ordres" ou des médias "encadrants"...

    Un peu comme ce journaliste de Libération qui a décidé du thème de son article par idéologie, qui l'a peut-être déjà même rédigé et qui recherche ensuite seulement des faits pour l'étayer... Une honte pour la profession !

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sarkozy : sa responsabilité est écrasante

    Si nous sommes en guerre, c'est dû pour une bonne part à sa dévotion atlantiste et sa politique désastreuse en Libye aux basques d’un BHL déguisé en chef des armées.
    Quatre jours après les attentats, on sait à une exception près qui les a commis, d’où venaient les terroristes, par où ils sont passés et qui les a aidés. Preuve que lorsqu’on veut savoir… En 36 heures, des centaines de perquisitions ont été menées, des armes de guerre et des explosifs découverts dans des planques où, nouveau miracle, on a su en une nuit où aller les chercher et les récupérer ! Comme les terroristes n’en avaient pas la liste dans la poche, on peut donc imaginer que les adresses étaient connues depuis un moment.

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  • La police est à la recherche d’un deuxième terroriste en fuite

    imagesIl aurait participé aux fusillades qui ont visées les terrasses des bars et des restaurants du 10e et 11e arrondissements. Salah Abdeslam ne serait pas le seul suspect en fuite. Un deuxième homme serait actuellement recherché par la police. Selon les informations de France 2, dans une nouvelle vidéo parvenue aux enquêteurs, on peut voir deux personnes tirer sur les terrasses, laissant supposer la présence d’un troisième homme au volant de la Seat noire retrouvée à Montreuil.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Terrorisme : craignent-ils une attaque au gaz sarin ?

    C‘est une information presque passée sous silence. Le 14 novembre dernier, soit le lendemain des attaques terroristes à Paris et Saint-Denis, un arrêté a été pris par le Ministère de la Santé, autorisant l’utilisation et la distribution par les professionnels de santé du sulfate d’atropine en solution injectable.

    Ce médicament est utilisé essentiellement comme antidote à l’exposition aux neurotoxiques organophosphés. L’un de ces neurotoxiques organophosphés est le gaz sarin, arme de guerre chimique 500 fois plus toxique que le cyanure, et qui attaque le système nerveux en entrainant notamment une paralysie et un arrêt cardio-respiratoire en quelques minutes. Ce gaz est inodore et incolore.

    Voici les captures d’écran issues du site Legifrance attestant de cet arrêté, publié au Journal Officiel hier :

     

    http://la-dissidence.org/2015/11/16/terrorisme-craignent-ils-une-attaque-au-gaz-sarin/

  • Le lien entre les réfugiés et le terrorisme

    Le premier ministre slovaque a déclaréque les attentats de vendredi à Paris confirmaient l’existence de risques pour la sécurité du fait de la crise migratoire actuelle en Europe :

    « Au moins deux des huit terroristes étaient des migrants. C’est le pire des scénarios qui se confirme, le scénario de risques énormes pour la sécurité engendrés par la vague migratoire".

    La Slovaquie, qui n'accepte que des réfugiés chrétiens au motif qu’elle n’a pas de mosquées, a attaqué devant la Cour de Justice de l’UE la décision prise en septembre d’imposer des quotas d’immigrants clandestins à chaque État membre.

    « Le citoyen slovaque et la sécurité de ce pays doivent passer avant les droits des migrants, avant la nécessité de nous occuper d’eux. » 

    Le premier ministre de la Slovaquie a ajouté que les autorités françaises avaient demandé l’aide de tous les pays européens pour déterminer l’identité d’autres terroristes, ce qui veut dire, selon lui,

    « que ces gens n’étaient pas enregistrés en France et qu’il s’agit probablement d’autres migrants« .

    Michel Janva

  • Les islamistes fuient déguisés en femmes après avoir rasé leurs barbes

    EI_Travestis en femmes

    Depuis que les Russes terrorisent les terroristes aux côtés de l’armée syrienne, les islamistes fuient le terrain après s’être rasé la barbe, certains travestis en femmes comme le montre la vidéo ci-dessous. Ils ont été capturés par les forces gouvernementales en train de fuir la bataille d’Alep, au nord de la Syrie. Ils sont moins fanfarons qu’en France face à des civils désarmés qui ne les attendent pas.

    L’article précise qu’à la fin de la semaine dernière, l’armée syrienne aidée par les frappes russes ont repris 410 km aux alentours d’Alep aux terroristes. La photo du tweet ci-dessous montre les barbes rasées avec des rasoirs abandonnés… non sans humour.

    voir la fin