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islamisme - Page 437

  • Comment peut-on encore être Charlie ?

    Décidément, je ne serai jamais Charlie !

    Que le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo, perpétré à l’aube de l’année 2015 par des terroristes islamiques, ait pu susciter l’indignation quasi unanime des Français soucieux de défendre la liberté d’expression, rien que de très légitime dans le feu de l’action, si j’ose dire, bien que la manifestation officielle organisée par les plus hautes instances de l’État apparût alors quelque peu démagogique.

    La caricature constitue en effet, comme naguère le pamphlet – genre littéraire aujourd’hui étouffé par les multiples ligues de vertu qui pourchassent toutes formes de satires un peu « viriles » -, un mode d’expression qu’il faut résolument défendre avant qu’il ne disparaisse à son tour.

    Depuis ce sinistre épisode, non contente d’avoir expressément renoncé à représenter Allah ou son prophète, capitulant ainsi devant la menace des « barbus » auxquels, ce faisant, elle donne gain de cause, la nouvelle équipe du journal a, semble-t-il, décidé de ne plus s’attaquer qu’à ses cibles favorites et bien moins dangereuses : la famille Le Pen, l’Église catholique, quelques politiciens classés à droite et les intellectuels « réactionnaires » (comprendre : ceux qui refusent la pensée unique et obligatoire en vigueur).

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  • Il joue le déséquilibré : "Non, moi, je ne décapite personne"

    Un homme de 34 ans a été condamné par le tribunal correctionnel de Versailles, à une peine de 2 ans de prison dont 6 mois avec sursis. La justice lui reproche d’avoir menacé de mort deux éducateurs d’une association et un agent de l’aide sociale à l’enfance du conseil départemental.

    Lors d’une visite avec sa fille de 18 mois, placée depuis sa naissance dans une famille d’accueil, le papa les a menacés de les égorger et les décapiter avec son sabre alors qu’une éducatrice venait de prendre l’enfant dans ses bras. Cet homme d’origine portugaise, converti à l’islam, a également traité une fonctionnaire de police de « sale chrétienne » avant de lui conseiller d’avoir peur des musulmans.

    Dans le box des prévenus, il joue le malade mental et se veut rassurant :

    « Oui, j’ai dit tout cela mais sans jamais avoir eu l’intention de le faire. Non, moi, je ne décapite personne. Vous pouvez demander à mon boulanger ».

    L'individu a déjà été condamné 16 fois.

    Michel Janva

  • Un recruteur islamiste français, « opposant modéré à Bachar el-Assad » cher à la Coalition, a été éliminé par les forces syriennes régulières

    Omar Diaby, classé au Grand banditisme, auteur d’un assassinat -pour lequel il n’avait écopé que de 5 ans de prison-, recruteur en France pour Al Qaïda et sa branche Al-Nosra, avait été arrêté en 2014 par la Division des investigations criminelles (Dic), son passeport confisqué. Mais il avait été très vite relâché, son passeport rendu et son autorisation de quitter le territoire accordée. Ce qui lui avait permis de rejoindre les « opposants modérés à Bachar el-Assad » en Syrie, d’où il allait recruter par Internet en France. Il se vantait de se trouver à la tête d’une bande de 80 combattants d’Al Nosra.

    Omar Diaby était par ailleurs, une célébrité, il faisait la Une de la presse et des télévisions.

    Voilà un aspect du curriculum vitae de ce chouchou des médias, que la presse préfère passer sous silence depuis l’annonce de sa mort.

    Omar Diaby était une célébrité, de grand quotidiens l’avaient suivi, interviewé, il faisait la Une de la presse, malgré son passé et en dépit de son présent, ou plutôt grâce à son passé et à son présent croustillant de criminel barbare.

    C’est l’Armée régulière syrienne de Bachar el-Assad qui a enfin mis un terme à la carrière criminelle de ce propagandiste de l’Islam en France.

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  • Qui arrêtera l'Etat islamique avant qu'il ne soit trop tard ?

    Bernard Lugan imagine 2017 :

    D"En 2017, la Libye et l'Algérie sont passées sous le contrôle deDaesh qui en a fait le Califat du Ponant. Profitant du désarmement moral des Européens, les islamistes décident de l'envoi, par vagues successives, de 4 millions de migrants vers l’Europe et plus spécifiquement vers la France, nouveau dâr al-harb. A bord de certaines embarcations, ont pris place des kamikazes chargés de couler les navires portant secours aux forceurs de frontières et cela, afin de déstabiliser encore davantage l'ennemi. L'opération est baptisée Prophète des mers.

    Face à cette guerre navale asymétrique, les rares frégates ultra-sophistiquées de la marine française, taillées pour la lutte de haute mer, sont débordées. A l’inverse les navires garde-côtes qui auraient dû être construits depuis longtemps afin de sécuriser les frontières maritimes, manquent cruellement. Faute de prise en compte par les autorités politiques des enjeux stratégiques vitaux que constitue la frontière maritime méditerranéenne, la marine française est impuissante.

    Au sud, harcelé le long d'un front ouvert depuis la Mauritanie à l'ouest jusqu'au Soudan à l'est, le dispositif Barkhane s'est replié sur le Burkina Faso afin de protéger la Côte d'Ivoire. Quant aux dernières réserves opérationnelles françaises disponibles après des années de déflation des effectifs, elles ont été positionnées autour de N'Djamena afin de couvrir le Cameroun. Boko Haram, un moment affaibli, a en effet refait ses forces grâce à des cadres venus de Libye, d'Algérie mais aussi de Syrie.

    En France même, alors que se déroule la campagne présidentielle, plusieurs banlieues se sont soulevées à la suite de contrôles d'identité ayant dégénéré. En raison de la dissolution de plusieurs escadrons de gendarmes mobiles opérée sous la présidence de Nicolas Sarkozy, les forces de l'ordre qui n'ont pas les effectifs suffisants pour intervenir doivent se contenter de boucler les périmètres insurgés. Les associations d'aide aux migrants dénoncent l' "amalgame"  et leurs mots d'ordre sont abondamment relayés par les médias. Vingt cinq mille réservistes de la gendarmerie sont rappelés cependant qu’ un peu partout, face à la passivité de l'Etat, se constituent clandestinement des groupes de résistants prêts à passer à l'action. La France est au bord de la guerre civile.

    Comment en est-on arrivé là ? Entre 2011 et 2017, conduite au chaos par l'intervention franco-otanienne, la Libye est passée de la plus totale anarchie au califat, Daesh ayant réussi à y engerber les milices. Quant au général Haftar, sur lequel la "communauté internationale" comptait pour constituer une troisième force, il n'a pas pesé lourd face aux jihadistes.  Impuissante, l'Egypte s'est illusoirement retranchée derrière un mur électronique cependant que, quotidiennement, des attentats y entretiennent un climat de guerre civile. Quant à la Tunisie, une artificielle quiétude y règne car les jihadistes qui ont besoin d'un pays-relais, se gardent de trop y tendre la situation, se contentant d'y maintenir une pression calculée. Après plus d'un demi-siècle de gabegie, de détournements de fonds publics, de népotisme et de récriminations à l'égard de l'ancienne puissance coloniale, l'Algérie, cible principale des islamistes de toutes obédiences depuis la décennie 1990, a, quant à elle, basculé dans l'islamisme à la suite d'émeutes urbaines déclenchées par l'effondrement de la rente pétrolière.

    Tel est le scénario auquel nous pourrions nous attendre à la veille de l'élection présidentielle française. Avec une Marine sans moyens, mais en première ligne face à la déferlante venue du sud, une Armée de terre aux effectifs rognés et isolée sur le rideau défensif sahélien et une Gendarmerie démotivée en raison de son alignement sur le modèle policier."

    Michel Janva

  • Taubira fait entrer la charia dans l’arsenal juridique français

    Je croyais notre République encore « laïque », mais voilà que la chancellerie pond onze pages discriminatoires au service de la seule communauté musulmane !

     

    Fin 2013, le concept islamique de la kafala était introduit au chapitre de l’adoption sous le vocable « Recueil légal ». Pour faciliter son application dans la seule communauté musulmane, Christiane Taubira l’entérine fin octobre 2014 avec effet immédiat. La kafala figure, d’ailleurs, en bonne place en Algérie et au Maroc. Non seulement notre laïcité vole en éclats, mais ce qui pourrait paraître sympathique à première vue occidentalisée se révèle, dans la pratique, source d’abus et de souffrance pour les enfants dans les milieux radicaux.

    « Il (Allah) n’a point fait de vos enfants adoptifs vos propres enfants » (Coran, 33 : 4). L’islam interdit l’adoption depuis que Mahomet épousa Zaynab, femme de son fils adoptif Zayd. Après s’être arrangé avec Allah pour justifier cet accouplement jugé incestueux, Mahomet mettait définitivement fin à la généreuse tradition bédouine d’adoption d’orphelins ou abandonnés ayant les mêmes droits que leurs frères et sœurs biologiques. En revanche, la kafala est « permise, voire recommandée », prescrit la fatwa du cheik Muhammad ibn Ibrahim. « Car il s’agit de bien traiter l’enfant, de lui assurer une bonne éducation religieuse, une orientation saine, et un enseignement utile ici-bas et dans l’au-delà. Cependant, l’on ne doit confier un enfant qu’à une personne connue pour son intégrité, sa piété, sa bonne conduite, son aptitude à sauvegarder les intérêts de l’enfant et son appartenance au pays d’origine de l’enfant. Ceci vise à empêcher qu’il l’emmène à un pays où son séjour risque à l’avenir de compromettre sa foi. »

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  • Hollandie : mosquée géante en construction à Tulle

    Tulle, la ville laboratoire du hollandisme est en train de faire voter un projet de construction d’une mosquée immense, complètement disproportionnée à la taille de la cité. En dehors de l’interrogation légitime des élus de l’opposition locale sur la participation des contribuables corréziens à un tel édifice, la hauteur du minaret et la taille du projet, qui ambitionne d’abriter une école coranique, illustrent l’islamisation de notre pays, dont même les terres rurales sont désormais touchées.

    Comme s’en étonnent les opposants locaux dans une brochure qu’ils ont distribuée lorsqu’ils ont réalisé que la mairie (ancien fief de Hollande tenu par Bernard Combes, son conseiller à l’Elysée) ne voulait pas aborder ce sujet et voulait faire passer cette construction dans la pénombre la plus totale, le projet est pharaonique pour une petite ville comme Tulle. Surtout si il doit être financé par les impôts locaux des Corréziens…

    La future mosquée tulliste devrait donc faire 1200 m2 et être composée, en plus d’un appartement pour l’imam (salarié par qui ?), de salles de prières séparées pour les hommes et les femmes, mais également de 4 salles de cours qui posent la question légitime de savoir s’il y est également prévu l’installation d’une école coranique.

    Bien sûr, le minaret d’une hauteur de 13m96 installé sur cette colline surplombera la ville, comme un symbole de domination, choquant ainsi l’inconscient collectif populaire, qui n’est pas manipulé par les médias et sait encore renifler un mauvais présage… D’ailleurs, cette future mosquée prévoit une possibilité d’accueil pour 500 fidèles, alors que la communauté musulmane de Tulle est composée de moins d’une centaine de musulmans pratiquants. Pourquoi alors un si grand bâtiment ? A moins qu’ils aient prévu des arrivages… Histoire d’entretenir les clientèles électorales ? Ca ne serait pas surprenant venant d’un parti qui est au pouvoir grâce au vote massif des musulmans français.

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  • De la marche des beurs à « ni putes, ni soumises » : L’échec des politiques « d’intégration »

    À l’occasion de la journée des femmes du 8 mars 2003, une large promotion est assurée à « l’appel national des femmes des quartiers : ni putes, ni soumises » lancé par la Fédération nationale des Maisons des Potes.

    Prisonniers de l’immédiateté et formatés par le politiquement correct, beaucoup de médias expliquent qu’il s’agit là d’une prise de conscience des femmes des banlieues soucieuses de jumeler le combat féministe et le combat antiraciste.

    Et pourtant un peu de recul historique devrait conduire à un minimum d’esprit critique !

    L’appel « ni putes, ni soumises » arrive très exactement 20 ans après « la marche des Beurs », événement médiatique de l’année 1983 couronné par une réception officielle au Palais de l’Elysée et suivi – dans une optique manifeste de récupération – par la création de S.O.S Racisme.

    L’objectif officiel de cette marche, c’était « l’intégration » et la promotion du métissage des cultures selon le fameux slogan : « La France c’est comme une mobylette, ça marche au mélange ».

    Cela s’est traduit dans la réalité des banlieues par la réislamisation : les Minguettes, point de départ de la « marche des Beurs », sont désormais un quartier islamique ; Toumi Djadja, l’initiateur de l’opération est aujourd’hui un « barbu » respecté ; quant à son ami de 20 ans, l’abbé Delorme, il rumine son amertume…

    Mais l’islamisation des banlieues et la réislamisation des populations qui y habitent sont en train d’y imposer les conceptions traditionnelles de la femme dans le monde musulman : respectée… à condition de rester à l’intérieur des murs de la maison.

    Le voile ou le viol ?

    Voilée ou violée, tel semble être le dilemme auquel est confrontée la jeune fille qui réside dans les quartiers à domination musulmane.

    Or, faute de comprendre la logique de l’islam, les autorités françaises ont géré en dépit du bon sens l’affaire du voile islamique.

    D’abord les autorités politiques – de Jospin à Bayrou – ont refusé de prendre leurs responsabilités : elles se sont défaussées sur les juristes du Conseil d’Etat : pétris d’individualisme et d’idéologie des droits de l’homme, ceux-ci ont vu dans le choix du port du voile – à l’école d’abord, à l’hôpital ensuite puis demain dans les entreprises – une liberté à respecter. Sans voir que la liberté des unes pouvait être l’oppression des autres.

    Il est vrai que certaines jeunes filles ou certaines femmes peuvent choisir librement de porter le voile : par conviction religieuse dans certaines circonstances ; pour être plus libre de sortir, pour poursuivre des études ou exercer un métier, dans d’autre cas ; tout simplement parfois pour affirmer une identité différente de celle des Euros-Français. Mais cette « liberté » pour les unes, c’est une oppression pour les autres.

    D’abord pour toutes celles qui portent le voile parce qu’elles y sont obligées par leur père ou leur mari, leurs frères ou leurs cousins, voire leur belle famille.

    Et puis aussi pour celles qui ne portent pas le voile. Car le voile dans l’islam c’est le signe pour une femme de l’appartenance à la communauté des fidèles, à l’oummah – appartenance qui protège. A contrario, celles qui ne portent pas le voile ne bénéficient pas de cette protection et, qu’elles soient d’origine musulmane ou euro-française, elles courent alors des risques pour leur dignité et leur intégrité.

    Dans certains quartiers, dans certains établissements scolaires, la femme voilée est protégée par les imams pendant que la femme sans voile est une proie pour les gangs.

    Alors le slogan « ni putes, ni soumises », si médiatique soit-il, ne correspond à aucune réalité.

    Le problème des femmes dans les banlieues est simple : c’est celui du choc des civilisations, entre une civilisation islamique pour qui la femme doit rester à l’intérieur des murs ou du voile pour ne pas être exposée à la convoitise masculine, et une civilisation européenne qui a toujours été attachée à la liberté et à la dignité des femmes.

    Jean-Yves Le Gallou

    http://www.polemia.com/de-la-marche-des-beurs-a-ni-putes-ni-soumises-lechec-des-politiques-dintegration/