Julien Sanchez, maire Front national de Beaucaire (Gard), a été cité à comparaître mercredi par des commerçants musulmans qui s’estiment discriminés par deux arrêtés municipaux. Juridiquement, un arrêté municipal est une décision administrative unilatérale prise par le maire. Le maire a notamment des compétences de police municipale. Les deux arrêtés visés, dans le recours pour excès de pouvoir des commerçants susmentionnés, concernent spécifiquement ce domaine.
Abdallah Zekri, président de l’Observatoire national contre l’islamophobie, au sein du Conseil français du culte musulman, a déclaré que « les mesures prises par ce maire visent à asphyxier l’activité économique de ces commerçants, en raison de leur appartenance à la religion musulmane ». De quelles mesures parle-t-on ici ? Rien que de très classiques restrictions à l’exercice du commerce, la nuit en centre-ville. Le premier arrêté interdit l’ouverture des épiceries, primeurs et commerces de distribution, entre 23 h 00 et 8 h 00 dans une partie du centre-ville. Le second arrêté interdit à tous les commerces de travailler entre 2 h 00 et 5 h 00 dans deux rues spécifiques. Ces mesures sont d’une banalité confondante, et nombreux sont les maires à prendre de tels arrêtés de police municipale dans leur commune.
islamisme - Page 436
-
Les associations communautaristes islamiques s’en prennent à Julien Sanchez
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, islamisme, lobby 0 commentaire -
2017 : le Califat du Ponant, fédérant la Libye et l’Algérie, déclenche l'opération Prophète des mers
Bernard Lugan
L'Afrique réelle
En 2017, la Libye et l'Algérie sont passées sous le contrôle de Daeshqui en a fait le Califat du Ponant. Profitant du désarmement moral des Européens, les islamistes décident de l'envoi, par vagues successives, de 4 millions de migrants vers l’Europe et plus spécifiquement vers la France, nouveau dâr al-harb[1]. A bord de certaines embarcations, ont pris place des kamikazes chargés de couler les navires portant secours aux forceurs de frontières et cela, afin de déstabiliser encore davantage l'ennemi. L'opération est baptisée Prophète des mers.
Face à cette guerre navale asymétrique, les rares frégates ultra-sophistiquées de la marine française, taillées pour la lutte de haute mer, sont débordées. A l’inverse les navires garde-côtes qui auraient dû être construits depuis longtemps afin de sécuriser les frontières maritimes, manquent cruellement. Faute de prise en compte par les autorités politiques des enjeux stratégiques vitaux que constitue la frontière maritime méditerranéenne, la marine française est impuissante.
Au sud, harcelé le long d'un front ouvert depuis la Mauritanie à l'ouest jusqu'au Soudan à l'est, le dispositif Barkhane s'est replié sur le Burkina Faso afin de protéger la Côte d'Ivoire. Quant aux dernières réserves opérationnelles françaises disponibles après des années de déflation des effectifs, elles ont été positionnées autour de N'Djamena afin de couvrir le Cameroun. Boko Haram, un moment affaibli, a en effet refait ses forces grâce à des cadres venus de Libye, d'Algérie mais aussi de Syrie.
En France même, alors que se déroule la campagne présidentielle, plusieurs banlieues se sont soulevées à la suite de contrôles d'identité ayant dégénéré. En raison de la dissolution de plusieurs escadrons de gendarmes mobiles opérée sous la présidence de Nicolas Sarkozy, les forces de l'ordre qui n'ont pas les effectifs suffisants pour intervenir doivent se contenter de boucler les périmètres insurgés. Les associations d'aide aux migrants dénoncent l' "amalgame" et leurs mots d'ordre sont abondamment relayés par les médias. Vingt cinq mille réservistes de la gendarmerie sont rappelés cependant qu’ un peu partout, face à la passivité de l'Etat, se constituent clandestinement des groupes de résistants prêts à passer à l'action. La France est au bord de la guerre civile.
Lien permanent Catégories : actualité, géopolitique, immigration, international, islamisme 0 commentaire -
Lutte contre Boko Haram : l’armée tchadienne annonce la mort de plus de 100 islamistes
L’armée tchadienne a lancé cette semaine une vaste opération antiterroriste contre Boko Haram sur le lac Tchad. Elle a annoncé vendredi la mort de 100 combattants islamistes au cours de l’opération. « Plus de 100 combattants islamistes et deux soldats tchadiens ont été tués lors de la vaste offensive lancée contre Boko Haram […] sur les îles du lac Tchad », a affirmé l’armée tchadienne dans un communiqué.
« Depuis deux semaines, les terroristes de Boko Haram tentent de s’infiltrer dans nos îles du lac Tchad pour perpétrer des attaques sur de paisibles citoyens. Nos forces armées et de sécurité ont lancé une vaste offensive pour débusquer et neutraliser ces terroristes sur ces îles », a déclaré le porte-parole de l’armée, le colonel Azem Bermendoa Agouna, qui précise que l’opération se poursuit.
En tout, l’armée annonce la mort de 117 islamistes. Du côté de l’armée, deux militaires tchadiens ont été tués et deux autres blessés. Plusieurs embarcations ont été détruites et de nombreuses armes de différents calibres ont été récupérées par l’armée, a affirmé le colonel Azem. L’opération qui a surtout visé les villages insulaires Koungya, Merikouta, Choua et Blarigui se poursuit.
Selon une source sécuritaire tchadienne, quelques 1 000 soldats ont été déployés dans la zone du lac où les islamistes, affaiblis dans leurs fiefs nigérians, se sont repliés. En représailles aux diverses offensives de l’armée et de la population, Boko Haram avait attaqué dans la nuit du mercredi au jeudi 30 juillet un village dans l’Etat de Yobé, au nord-est du Nigeria, faisant au moins 10 morts, a déclaré Baba Nahu, un responsable local. L’attaque est survenue non loin de Damaturu où une kamikaze s’est fait exploser dimanche dernier tuant au moins 14 personnes.
-
Viols en hausse, comme l’immigration
Un viol toutes les quatre minutes est commis en France !
Le Figaro nous apprend que le nombre de viols dénoncés aux autorités a progressé de 18 % en cinq ans, en France, et de plus de 20 % pour les mineures. Et le quotidien d’annoncer que cela représenterait 33 viols par jour, soit une agression sexuelle toutes les quarante minutes. Certains pourraient dire qu’on est bien loin des 300 viols quotidiens, annoncés dans ces colonnes par Laurent Obertone. Sauf que l’enquête reconnaît également qu’à peine 10 % d’entre eux font l’objet d’une plainte. C’est donc une confirmation des chiffres donnés par l’auteur de La France Orange Mécanique, et signifie donc que c’est un viol toutes les quatre minutes qui est commis en France !
Naturellement, les statistiques ethniques étant interdites dans notre pays, l’enquête ne précise pas l’origine des agresseurs, et pas davantage celle des agressées. Il suffit pourtant de se pencher sur quelques exemples, venus d’autres pays, pour se faire une petite idée. En Grande-Bretagne, à Rotherham, de 1997 à 2013, 1.400 adolescentes d’origine britannique ont été abusées sexuellement par des prédateurs majoritairement pakistanais, avec le silence complice des autorités et des travailleurs sociaux.
-
09 - Bistro d'été - L'Etat Islamique
-
Moscou met en garde contre des frappes visant les forces syriennes
De possibles frappes aériennes US en vue de protéger les forces d'opposition syrienne seraient lourdes de conséquences imprévisibles, estime le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
Le chef de la diplomatie russe s'est récemment entretenu avec son homologue américain John Kerry sur les projets de Washington d'apporter un soutien aérien aux combattants anti-EI en Syrie formés par des instructeurs militaires américains.
"Nous avons évoqué l'initiative des Etats-Unis visant à protéger les personnes qu'ils avaient formées pour faire face à l'Etat islamique. Ils enverront ces gens en Syrie et leur fourniront un soutien aérien si l'EI tente de les repousser. Cependant, les Etats-Unis ont indiqué que si les forces gouvernementales affrontaient ces groupes armés ou les empêchaient sur le terrain, elles seraient également attaquées", a déclaré M.Lavrov.
La semaine dernière, la Turquie a autorisé l'armée américaine à utiliser ses bases aériennes se trouvant près de la frontière syrienne pour effectuer des frappes contre l'EI en Syrie. Dimanche, les Etats-Unis ont déployé leurs six premiers avions chasseurs F16 Fighting Falcon sur la base turque d'Incirlik.
La Turquie s'est résolument engagée dans la lutte contre les djihadistes après l'attentat suicide de Suruc, qui avait fait 32 morts et une centaine de blessés. Les forces armées turques ont effectué depuis lors plusieurs frappes aériennes visant des militants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) dans le nord de l'Irak, ainsi que des combattants de l'EI. Cependant, des observateurs affirment que les membres du PKK ont été beaucoup plus souvent attaqués par l'aviation turque que les djihadistes.
Le chef du PKK Cemil Bayik a pour sa part accusé la Turquie de chercher à "protéger l'Etat islamique au moyen d'attaques contre les combattants kurdes".
"Les Turcs affirment qu'ils combattent l'EI, mais dans les faits ils combattent le PKK", a déclaré M.Bayik dans une interview accordée à la BBC.
Selon lui, le président turc Recep Tayyip Erdogan souhaite "endiguer l'avancée des Kurdes afin de poursuivre son chemin vers une +Turquie turque+".
http://fr.sputniknews.com/international/20150810/1017447511.html
Lien permanent Catégories : actualité, géopolitique, insécurité, international, islamisme 0 commentaire -
910 Français ont rejoint l'Etat islamique en Syrie
Lu dans Le Monde :
"Depuis le début du conflit, 910 Français ont été séduits par ce discours apocalyptique et ont rejoint la Syrie. Selon le dernier bilan du ministère de l’intérieur, fin juillet, 494 sont toujours sur place et 126 y ont perdu la vie : un djihadiste français sur sept est mort en Syrie.
Pour l’essentiel, ces « martyrs » sont des hommes. Sur les 158 Françaises actuellement sur place, une seule aurait succombé des suites d’une maladie. Ce sont paradoxalement les mineurs qui payent le plus lourd tribu. Cinq des seize adolescents français partis combattre sont morts, soit près du tiers. On estime par ailleurs que plusieurs dizaines d’enfants français en bas âge, pour lesquels n’existe aucun chiffre officiel, ont été emmenés par leurs parents pour peupler le « Califat »."
Et les Français qui ne sont pas morts en Syrie vont-ils pouvoir rentrer en France ?
-
Dispute à trois voix autour de nos églises
C'est une dispute non pas à deux, mais à trois voix qui s'est engagée à la suite du vœu formulé par Dalil Boubakeur, recteur de la Grande mosquée de Paris et président du Conseil français du culte musulman, de transformer des églises « désertes » en mosquées. Dans Valeurs actuelles, l'écrivain Denis Tillinac lui a répondu par un appel à « préserver ces sentinelles de l'âme française » que sont nos églises, dans un style qui évoque Barrés : « Croyants, agnostiques ou athées, les Français savent de la science la plus sûre, celle du cœur, ce qu'incarnent les dizaines de milliers de clochers semés sur notre sol par la piété de nos ancêtres : la haute mémoire de notre pays. Ses noces compliquées avec la catholicité romaine. Ses riches heures et ses sombres aussi, quand le peuple se récapitulait sous les voûtes à l'appel du tocsin. Son âme pour tout dire. (...) Inscrits au plus profond de notre paysage intérieur, les églises, les cathédrales, les calvaires et autres lieux de pèlerinage donnent sens et forme à notre patriotisme. »
Il n'y a pas trace de haine, ni de racisme dans ces lignes. Tout au plus, en réponse aux propos tenus par Dalil Boubakeur, qui, interviouvé par Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1, le 15 juin, avait déclaré « C'est le même Dieu, ce sont des rites qui sont voisins, qui sont fraternels, je pense que musulmans et chrétiens peuvent coexister ensemble », Denis Tillinac observe qu'« une église n'est pas une mosquée, et prétendre que les rites sont les mêmes relève d'un déni de réalité scandaleux. »
C'est alors que s'élève la troisième voix, qui n'est pas celle des musulmans, mais de la confrérie laïque des Flagellants, dont les adeptes n'ont de cesse de dénigrer l'héritage qu'ils ont reçu et de cultiver la détestation de soi - étant entendu qu'il s'agit du soi collectif, jamais de leurs aigrelettes petites personnes. Avouerai-je que je leur préfère le musulman Boubakeur ? Celui-là avance son idée ça passe ou ça casse , s'il rencontre une opposition, il en sera quitte pour un recul tactique et déclarera, dans le numéro de Valeurs actuelles du 16 juillet, qu'il n'a « jamais eu les intentions qu'on [lui]prête », qu'« il n'est pas question pour [lui] de transformer les églises en mosquées », qu'en évoquant ce sujet dans son dernier livre, Lettre ouverte aux Français, il a simplement rapporté la suggestion d'un député , et même, tiens, qu'il aurait pu « signer des deux mains » l'appel de Tillinac - mais que, cela dit, la France manque décidément de mosquées... Hélas, le message passe et l'idée fera son chemin.
Nos flagellants, eux, n'envisageraient certainement pas de signer l'appel de Tillinac, fût-ce du bout des doigts. Ils s'avancent et le mot « haine » leur pend au bec comme le clope à la lèvre du fumeur impénitent. Ils en ont fait leur principal argument, la sempiternelle accusation dont ils accablent leurs contradicteurs.
Démagogie ou pas, Boubakeur professe son amour de la France traditionnelle. Eux, la vomissent. La nation, c'est « la haine », affirment ces haineux. L'amour de la patrie n'est que le déguisement de la détestation et de la peur de l'autre - en l’occurrence, de l'islam - et ceux qui confessent ce sentiment sont des salauds et des imbéciles méprisables. Le flagellant Bruno Roger-Petit ne voit ainsi, parmi les signataires de la pétition de Tillinac, que « le ban et l'arrière ban du réac bien de chez nous, baguette, béret et saucisson. Ce n'est plus une pétition, c'est le train fantôme de la ringardise franchouillarde, le grand huit des Bidochon, le Space moutain des Super-Dupont ». Dans son éditorial de Libération, le flagellant Laurent Joffrin, veut « Des mosquées dans les églises, n'en déplaise aux prêcheurs de haine ». Et sur le site internet Slate, le très progressistement correct Henri Tincq, qui tint longtemps la chronique religieuse du Monde, même s'il convient que Tillinac « n'a rien d'un réactionnaire », soupçonne qu'il « se trouve aujourd'hui emporté, plus qu'il ne le voulait, dans un tourbillon où dominent les vents mauvais de la droite décomplexée et extrême », après avoir trop légèrement rédigé un texte qui « joue sur la menace de l'islam ».
La haine de la France traditionnelle
Les confrères auraient toutefois intérêt à mettre leurs lamentations au diapason. Ainsi, lorsque Tincq déclare que nul ne pense à transformer les églises en mosquées, Joffrin ne voit pas « quel scandale [il y aurait ] à les voir cédés à d'autres cultes présents en France, comme le protestantisme ou l'islam »... Quand le directeur de Libération, néo-théologien diplômé par le Café du commerce, déclare qu'« après tout, il s'agit du même Dieu, croit-on savoir », l'ex-chroniqueur du Monde, qui connaît mieux sa matière, répond qu'en l'occurrence son bon confrère croit mal et que, « Non, musulmans et chrétiens ne prient pas le même Dieu ». Il pourrait ajouter, pour achever de détromper son confrère qui glose sur les « religions du Livre », qu'il ne s'agit pas non plus du même Livre et que les personnages d'Ibrahim ou d'issa tels qu'ils sont dépeints dans le Coran n'ont que peu de choses à voir avec ce que la Bible dit d'Abraham, dans l'ancien Testament, et de Jésus, dans le Nouveau.
Henri Tincq, répudiant la « confusion de type syncrétiste », contredit même Mgr Dubost, révoque d'Evry, qui a déclaré dans La Croix du 9 juillet « J'aime mieux qu'une ancienne chapelle devienne un lieu de prière musulman qu'un lieu de débauche », sans vraiment imaginer, j'espère, le spectacle qu'offriraient nos églises de campagne si le croissant y remplaçait la croix, et sans non plus envisager qu'elle pourrait tout simplement rester une chapelle catholique, pour peu que les évêques catholiques, y compris celui d'Evry, s'attachent à remplir leur mission - qui consiste à remplir leurs églises, pas à les fermer.
Eric Letty monde&vie juillet 2015
-
Ancien patron du renseignement militaire du pays du goulag levant: « créer et soutenir l’EIIL est une décision de Washington »…
Qui eut encore être surpris par quoi qu’il puisse se passer ? Le système est au delà de toute rédemption ! Grand temps de faire passer tout cela à la trappe et pour les peuples de reprendre les commandes du bateau ivre…
— Résistance 71 —
D’après l’ancien patron du renseignement militaire des Etats-Unis les Etats-Unis ont pris la décision de créer l’EIIL/EI
url de l’article original:
http://www.presstv.ir/Detail/2015/08/08/423762/US-ISIL-Syria-terrorist-group
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
L’ancien patron du renseignement militaire américain, Michael Flynn de la DIA (Defense Inteliigence Agency) a dit que la montée du groupe terroriste de l’EIIL en Syrie a été une “décision sciemment prise” par Washington.
Une étude interne de la DIA récemment publiée montre que Washington savait que les actions de “l’occident, des pays du Golfe et de la Turquie” en Syrie pouvait créer un groupe takfiri comme l’EIIL.
Michael Flynn a décrit l´étude comme étant importante et a confirmé les conclusions.
Dans un entretien avec la chaîne de télévision qatarie Al Jazeera, il a dit avoir étudié un mémo de la DIA en 2012 prédisant la soutien de l’occident à l’EIIL en Syrie, ajoutant que cela provenait d’un renseignement parfaitement clair.
Quand le journaliste a demandé si l’administration avait plutôt détournée son regard de son analyse, Flynn a dit: “Je ne sais pas s’ils ont fait l’aveugle, je pense que ce fut une décision prise. Je pense que cela a été sciemment décidé.”
Lorsqu’il lui fut demandé si cela représentait une décision volontaire de soutenir une lutte armée il a répondu: “Ce fut une décision sciemment prise que de faire ce qu’ils font.”
Il a aussi dit qu’il avait contesté le soutien de militants étrangers en Syrie afin de mettre la pression sur Damas.Des observateurs disent que les Etats-Unis et leurs alliés ont aidé à créer et à entraîner les organisations terroristes afin qu’elles sèment le chaos dans les pays musulmans.
Les militants de l’EIIL ont saisi de larges territoires en Syrie et en Irak. Ils ont perpétrés des crimes haineux contre toutes les communautés dans les deux pays arabes voisins.
Ailleurs dans ses remarques, Flynn a admis que Washington était parfaitement au courant du chaos auquel l’Irak devrait faire face après son retrait de 2011.
Les avions de combat américains ont mené des raids aériens contre l’EIIL en Irak depuis le début du mois d’Août 2014. Quelques pays occidentaux ont aussi participé à certains raids aériens en Irak.
Depuis la fin Septembre 2014, les Etats-Unis et quelques-uns de leurs alliés arabes ont bombardé des positions de l’EIIL en Syrie sans aucune autorisation de Damas ni aucun mandat de l’ONU.
Note de Résistance 71: Des témoignages de terrain confirment en fait que ces “raids contre l’EIIL” sont plus en fait des attaques pour soutenir les terroristes mercenaires de l’EIIL, surtout plus récemment dans les régions autonomes kurdes en Syrie et en Irak. En cela, les US, la Turquie et Israël agissent comme l’armée de l’air d’appui de l’EIIL/EI…
Lien permanent Catégories : actualité, géopolitique, insécurité, international, islamisme, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire -
L’armée syrienne et le Hezbollah avancent à Zabadani en Syrie
L'armée syrienne et la résistance libanaise ont réussi à avancer à l'intérieur de la ville de Zabadani dans la province de Damas, après de violents affrontements avec les groupes armés.
Des sources militaires ont rapporté que l'armée et la résistance ont pris le contrôle de la place al-Corniche, après avoir mis la main sur le quartier de la mosquée Barada au sud-ouest de Zabadani.
A Alep, l'armée syrienne a pris le contrôle de nouvelles parties du quartier de Souleiman l'Aleppin, faisant plusieurs morts et blessés dans les rangs des miliciens dans le village de Foro et les alentours du village al-Bahsa dans la plaine d'al-Ghab dans la province ouest de Hama.
De plus, l'armée syrienne a progressé sur l'axe de la place de Shrida à Daraya, après la reprise aux terroristes d'un nombre de bâtiments clés.
L'armée a détruit plusieurs lance-roquettes utilisés par les miliciens contre des quartiers de la capitale.
Les affrontements de Daraya ont éclaté suite au lancement d'une bataille de la part des rebelles terroristes dans le but d'alléger les pressions sur les groupes rebelles à Zabadani.
Par ailleurs, à Homs, des unités de l'armée syrienne ont éliminé 30 terroristes de Daech, la plupart de nationalité saoudienne et tunisienne. L'armée a bombardé un dépôt de roquettes dans la ville al-Qaryatayne.
Roquettes sur Damas
Cinq personnes ont été tuées et 37 blessées samedi à Damas par des tirs de roquettes provenant des secteurs contrôlés par les rebelles autour de la capitale syrienne, a rapporté l'agence officielle Sana.
"Cinq morts et 37 blessés dans une agression terroriste au moyen de roquettes, qui sont tombées sur les rues Al-Thaoura et Bagdad ainsi que dans le quartier de Bab Touma à Damas", a indiqué l'agence.
Le bilan des morts a été confirmé par l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH qui a fait état d'un nombre de blessés dans un état critique.
Les quartiers résidentiels de la capitale sont régulièrement la cible de tirs de roquettes des rebelles positionnés dans la région de Damas, alors que les forces gouvernementales mènent des raids aériens et des bombardements à l'artillerie sur les secteurs contrôlés par les rebelles.
Le 28 juin, quatre personnes avaient été tuées dans le centre de Damas par le tir de roquettes provenant des zones contrôlées par les rebelles. Et le 17 juin, des tirs de roquettes sur le centre de la capitale avaient fait neuf morts.
La guerre en Syrie a fait en quatre ans plus de 240.000 morts, selon un nouveau bilan de l'OSDH.
source : Al manar lien
Lien permanent Catégories : actualité, géopolitique, insécurité, international, islamisme 0 commentaire