Meta, la maison mère de Facebook, a annoncé mercredi 9 novembre la suppression de 11 000 emplois, soit environ 13 % de ses effectifs, confirmant une information de la presse américaine. « Aujourd’hui, je partage certains des changements les plus difficiles que nous ayons faits dans l’histoire de Meta », a introduit le patron du groupe, Mark Zuckerberg, dans un message adressé aux salariés.
l'emploi - Page 11
-
Chiffre d'affaires en net recul, stagnation du nombre d'utilisateurs... Facebook, le géant des GAFAM, annonce la suppression de 11 000 emplois
-
Gérald Darmanin propose un "titre de séjour pour les métiers sous tension" afin de régulariser les clandestins
Gérald Darmanin a présenté ce matin les grandes lignes du projet de loi immigration qui sera scruté de près. L’actualité récente mettant en cause des immigrés présents illégalement sur le territoire français. Le meurtre de la petite Lola a ravivé les tensions à ce sujet. Hier, dans la Seine et Marne, un tunisien sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français, comme la meurtrière de Lola, a provoqué un accident. Un homme est entre la vie et la mort. A Orléans, ce matin, c’est un soudanais en situation irrégulière qui a tenté d’étrangler une femme en pleine rue.
-
Pour résoudre la pénurie de travailleurs qualifiés, l’Europe veut… assouplir le séjour des migrants
Lien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, immigration, l'emploi, lobby 0 commentaire -
Emploi : Des entreprises françaises utilisent des cabinets spécialisés pour embaucher au Maghreb
En matière de recrutement, « les entreprises n’ont pas eu beaucoup le temps de souffler entre la pandémie de Covid-19 et la crise actuelle. Des secteurs comme le médical, l’informatique, l’ingénierie manquent cruellement de personnel. La seule option pour certains profils est d’aller les chercher dans d’autres pays », explique Olivier Desurmont, président et cofondateur d’Anywr (anciennement Cooptalis), spécialiste du recrutement et du placement de candidats, qu’ils soient en free-lance ou salariés, dans le monde entier.
-
Pierre Vermeren : «Je n’aime pas cette expression “les Français ne veulent plus faire certaines tâches” . En Ile-de-France, les classes populaires ont été chassées.»
-
Plus de 20% des travailleurs en Ile-de-France sont immigrés, selon une étude de l'INSEE
Une étude statistique de l'Insee révèle que plus de 20% des travailleurs en Île-de-France sont immigrés.
"L'Ile-de-France occupe une place particulière en matière d'emploi des travailleurs immigrés, ne serait-ce qu'en termes de volumes, puisqu'ils représentent 22% de la population active de la région", précise e chef du service régional de l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). C'est deux fois plus que pour le reste de la France métropolitaine.
Lien permanent Catégories : France et politique française, immigration, l'emploi, social 0 commentaire -
« Bruno décrouvre un risque majeur pour l’industrie française dont la production chute de 10% ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Haaaaa, notre Steve Austin en col roulé, notre lumière du ministère, notre phare dans le cauchemar économique, notre vedette de la dette vient de parler.
Il vient d’entrevoir la lune, je dis bien entrevoir, parce que notre Bruno n’a pas encore franchi le Rubicon, son Rubicon.
Je l’aime notre Bruno. On sent bien qu’il a tout compris le pauvre bougre et qu’il est coincé de tous les côtés. Manu, Babeth-la-doudoune, sans oublier la Cruelle von-der la hyène, qui veut faire la guerre au monde entier. Pas facile de composer avec tout ça. Mettez-vous à sa place 30 seconde. Zut, quoi, faites preuve d’empathie.
-
« Réveillez-vous ! L’écosystème industriel hexagonal est en danger ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je le dis et je le répète depuis des semaines.
Si nous ne devions sauver qu’une catégorie d’acteurs économiques et que nous devions choisir entre les entreprises et les particuliers, la logique et le bon sens voudraient que l’on choisisse non pas de sauver le chauffage des particuliers mais l’énergie des entreprises.
C’est très simple finalement et très rationnel.
Si nous sauvons les particuliers au détriment des entreprises qu’on laisse mourir, en quelques mois c’est tout l’écosystème industriel et productif de ce pays qui va disparaître. Puis les particuliers seront massivement mis au chômage. Puis face au nombre de faillites d’entreprises, le coût du chômage explosera, les cotisations sociales disparaitront, les caisses de l’Etat se videront à vitesse grand V. Au bout d’un an, l’Etat ne pourra plus payer le chauffage des particuliers, qui auront froid ET seront en plus au chômage.
-
On ne vous le dit pas. L’industrie européenne en pleine destruction
Ce qui se passe actuellement en Europe est effrayant.
Alors que l’on parlait de « relocaliser » c’est exactement l’inverse qui se produit, à un rythme qui n’est pas terrible, non, c’est un rythme qui est tellement rapide que nous assistons à la destruction de ce qu’il restait d’industrie en Europe.
Voici une vidéo courte à voir pour comprendre la profondeur et la gravité de la situation.
-
Flambée des prix de l'énergie : agriculteurs, industriels et supermarchés alertent d'une même voix sur le risque pour la filière alimentaire
Les fédérations d'agriculteurs (FNSEA, Coopération agricole), des industriels de l'agroalimentaire (ADEPALE, ANIA, ILEC, FEEF), des grandes surfaces (Perifem) ont parlé jeudi d'une seule voix pour lancer un «appel au secours» concernant la «hausse disproportionnée des coûts de l'énergie» pour les entreprises, alors que le gouvernement présente jeudi son plan de sobriété.